Lagraulet-du-Gers
Lagraulet-du-Gers (L'Agraulet de Gers en gascon) est une commune française située dans le nord du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Condomois, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de comté.
Lagraulet-du-Gers | |
Le village de Lagraulet-du-Gers vu de HourĂšs. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gers |
Arrondissement | Condom |
Intercommunalité | Communauté de communes de la TénarÚze |
Maire Mandat |
Nicolas Meliet 2020-2026 |
Code postal | 32330 |
Code commune | 32180 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
555 hab. (2020 ) |
Densité | 20 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 54âČ 16âł nord, 0° 12âČ 48âł est |
Altitude | Min. 85 m Max. 186 m |
Superficie | 27,22 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Eauze (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton d'Armagnac-TĂ©narĂšze |
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Auzoue, l'Izaute et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de quatre zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Lagraulet-du-Gers est une commune rurale qui compte 555 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 1 255 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Eauze. Ses habitants sont appelés les Lagraulétois ou Lagraulétoises.
GĂ©ographie
Localisation
Lagraulet-du-Gers est une commune située dans l'ouest du Gers, à l'est d'Eauze.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Cazeneuve, Courrensan, Eauze, Gondrin, Lauraët et Montréal.
GĂ©ologie et relief
Lagraulet-du-Gers se situe en zone de sismicité 1 (sismicité trÚs faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Auzoue, l'Izaute, un bras de l'Auzoue, le ruisseau de Barranque, le ruisseau d'Estivau, le ruisseau de Tonnetau et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[4] - [Carte 1].
L'Auzoue, d'une longueur totale de 74,3 km, prend sa source dans la commune de Mascaras et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Réaup-Lisse, aprÚs avoir traversé 19 communes[5].
L'Izaute, d'une longueur totale de 37,5 km, prend sa source dans la commune de Dému et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Castelnau d'Auzan LabarrÚre, aprÚs avoir traversé 11 communes[6].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Montreal », sur la commune de MontrĂ©al, mise en service en 1995[12] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[13] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 692 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, dans le dĂ©partement de Lot-et-Garonne, mise en service en 1941 et Ă 40 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[17], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensĂ©es sur la commune[19] :
- la « forĂȘt de Gondrin » (315 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[20] ;
- la « lande du Broc Blanc » (230 ha), couvrant 3 communes du département[21] ;
- la « mare de Bazeilles » (3 ha)[22] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [19] : « l'Izaute et milieux annexes » (2 772 ha), couvrant 13 communes dont 12 dans le Gers et une dans le Lot-et-Garonne[23].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Lagraulet-du-Gers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [24] - [I 1] - [25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Eauze, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (86,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (85,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (52,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21 %), forĂȘts (12,8 %), terres arables (10,3 %), prairies (2,7 %), zones urbanisĂ©es (1 %)[26].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lagraulet-du-Gers est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[27]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 94,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (94,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 281 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 264 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 94 %, Ă comparer aux 93 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2003 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1998, 2002 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[27].
Toponymie
Prononcé en gascon « lagra'ulas »[31].
Du languedocien agraulo (Corneille) avec le suffixe collectif âetum[31].
Ce toponyme signifie « la houssaie ». Lagraulet : Du latin classique acrifolium, littĂ©ralement « feuille pointue »,devenu aquifolium chez Pline, dâoĂč le nom scientifique dâIlex aquifolium, (houx). La variante bas latine *acrifulon[32] est issue dâun croisement entre acrifolium et axifulon. LâĂ©volution phonĂ©tique ultime de cet *acrifulon passe par lâaffaiblissement du f intervocalique en v. Ce f a mĂȘme pu disparaitre et ĂȘtre Ă lâorigine de la forme gasconne l'agreulet orthographiĂ© en français lagraulet, avec le suffixe collectif âetum et agglutination de lâarticle.
Histoire
Le seigneur Bertrand, avant de partir pour JĂ©rusalem, reçut en 1104 sur ses terres le propre Ă©vĂȘque de Compostelle, Diego GelmĂrez.
Le pĂšlerinage de Compostelle
Lagraulet-du-Gers est sur le trajet de la via Podiensis du pÚlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. On vient de Lauraët, la prochaine commune est Eauze.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[35]. En 2020, la commune comptait 555 habitants[Note 8], en augmentation de 6,53 % par rapport Ă 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Ăconomie
Revenus
En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 215 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 518 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 150 âŹ[I 4] (20 820 ⏠dans le dĂ©partement[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 6,6 % | 8,6 % | 5,4 % |
DĂ©partement[I 7] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 324 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs (73,1 % ayant un emploi et 5,4 % de chÎmeurs) et 21,5 % d'inactifs[Note 10] - [I 6]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Eauze, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 120 emplois en 2018, contre 123 en 2013 et 92 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 242, soit un indicateur de concentration d'emploi de 49,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,7 %[I 10].
Sur ces 242 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 70 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Secteurs d'activités
52 établissements[Note 11] sont implantés à Lagraulet-du-Gers au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 52 | ||
Industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres | 7 | 13,5 % | (12,3 %) |
Construction | 7 | 13,5 % | (14,6 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 19 | 36,5 % | (27,7 %) |
Activités immobiliÚres | 5 | 9,6 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 8 | 15,4 % | (14,4 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 4 | 7,7 % | (12,3 %) |
Autres activités de services | 2 | 3,8 % | (8,3 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,5 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 52 entreprises implantées à Lagraulet-du-Gers), contre 27,7 % au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[38] :
- Lero, activitĂ©s de soutien aux cultures (159 kâŹ)
- SARL Alsau, hĂ©bergement touristique et autre hĂ©bergement de courte durĂ©e (38 kâŹ)
Agriculture
La commune est dans le TĂ©narĂšze, une petite rĂ©gion agricole occupant le centre du dĂ©partement du Gers, faisant transition entre lÊŒAstarac âpyrĂ©nĂ©enâ, dont elle est originaire et dont elle prolonge et attĂ©nue le modelĂ©, et la Gascogne garonnaise dont elle annonce le paysage[39]. En 2020, l'orientation technico-Ă©conomique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 62 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] Ă 47 en 2000 puis Ă 38 en 2010[41] et enfin Ă 26 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 58 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[42] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a quant Ă elle augmentĂ©, passant de 2 184 ha en 1988 Ă 2 286 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 35 Ă 88 ha[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Reste de l'ancien chùteau médieval : une tour carrée du XIIIe siÚcle et logis, vestiges d'une seconde tour carrée du XIIe siÚcle, enceinte fortifiée et douves en eau
- Dans l'église Sainte-Madeleine de Lagraulet-du-Gers, une retombée d'ogive sculptée d'un pÚlerin avec bourdon, gourde, chapelet et coquilles.
- La chapelle Saint-Lannes de Saint-Lanne de style roman ainsi que le cimetiÚre attenant, au lieu-dit HourÚs, au carrefour de la D 113 et de la D 254, a été sauvegardée au début des années 2000[43].
- Un dolmen â un des rares qui subsiste dans le dĂ©partement â se trouve dans le bois proche de HourĂšs[44].
Chapelle Saint-Lannes, vue du carrefour. Abside de la chapelle Saint-Lannes. Ruines de la chapelle Saint-Lannes vues du petit cimetiĂšre. La nef et le chĆur de la chapelle Saint-Lannes.
Le chĆur de la chapelle Saint-Lannes et le mur sud. Porte de la chapelle vue depuis le cimetiĂšre. Porte de la chapelle, de l'intĂ©rieur de la nef. Lagraulet-du-Gers vu du cimetiĂšre Saint-Lannes.
Voir aussi
Bibliographie
- Georges CourtÚs (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39919209)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Lagraulet-du-Gers » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lagraulet-du-Gers » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lagraulet-du-Gers » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lagraulet-du-Gers » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Lagraulet-du-Gers », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Auzoue »
- Sandre, « l'Izaute »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Lagraulet-du-Gers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forĂȘt de Gondrin » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
- « ZNIEFF la « lande du Broc Blanc » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « mare de Bazeilles » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « l'Izaute et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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