Labatmale
Labatmale (en béarnais La Vatmala ou La Batmale) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Labatmale | |||||
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays de Nay | ||||
Maire Mandat |
Florent LacarrĂšre 2020-2026 |
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Code postal | 64530 | ||||
Code commune | 64292 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Labatmalais | ||||
Population municipale |
260 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 78 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 11âČ 01âł nord, 0° 09âČ 03âł ouest | ||||
Altitude | Min. 350 m Max. 480 m |
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Superficie | 3,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
Départementales | Canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | https://www.labatmale.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Labatmale se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 27 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 3,4 km de Pontacq[3], bureau centralisateur du canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pontacq[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Saint-Vincent (2,4 km), Pontacq (3,1 km), Lamarque-Pontacq (3,1 km), Barzun (3,9 km), Livron (5,0 km), Bénéjacq (5,0 km), Hours (5,2 km), BordÚres (6,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Labatmale fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].
communes limitrophes
Hydrographie
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La commune est drainée par le Lourrou, le ruisseau Sausse, un bras du Lourrou, le Chourrou, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
Le Lourrou, d'une longueur totale de 13,2 km, prend sa source dans la commune de Saint-Vincent et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le ruisseau de l'Ousse à Gomer, aprÚs avoir traversé 7 communes[8].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[9]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Asson », sur la commune d'Asson, mise en service en 1970[14] et qui se trouve Ă 10 km Ă vol d'oiseau[15] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 304,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[16]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 33 km[17], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[19], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[21] - [22] - [23].
La commune de Labatmale dispose d'une forĂȘt communale.
La forĂȘt communale de Labatmale a la mĂȘme origine que la forĂȘt communale de Coarraze qui la jouxte : c'est une ancienne forĂȘt seigneuriale qui a ensuite appartenu Ă la couronne de France. La commune de Coarraze devint propriĂ©taire de la forĂȘt en 1830, selon les Ă©crits de Saint Guily, arpenteur de la maĂźtrise locale des Eaux et ForĂȘts.
La commune de Labatmale, usagĂšre de la forĂȘt communale de Coarraze, devint propriĂ©taire en 1854 du lot qui lui fut assignĂ© Ă la suite du cantonnement du droit d'usage.
La forĂȘt communale de Labatmale est composĂ©e de 12 parcelles forestiĂšres. Elle occupe une surface de 55,19 ha sur le territoire communal de Coarraze (64).
Cette forĂȘt, situĂ©e au sein de la RĂ©gion forestiĂšre de la Bordure sous-pyrĂ©nĂ©enne, est entiĂšrement installĂ©e sur le versant d'un coteau orientĂ© au sud-ouest, depuis la crĂȘte Ă 445 m d'altitude jusqu'Ă son pied Ă 300 m. Elle est drainĂ©e par deux ruisseaux principaux dont le ruisseau de "Cap de bĂ©dat" Ă l'ouest[24].
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Elle est gĂ©rĂ©e par l'Office national des forĂȘts
Urbanisme
Typologie
Labatmale est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pontacq, une agglomération inter-régionale regroupant 5 communes[28] et 5 038 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[29] - [30]. La commune est en outre hors attraction des villes[31] - [32].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (100 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (36,8 %)[33].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
- Labirade.
RĂ©seau routier
La commune est desservie par les routes départementales 345 et 936.
Chemin Henri-IV
Le village est traversĂ©, Ă l'ouest et au sommet des crĂȘtes, par le chemin Henri-IV qui relie le chĂąteau de Franqueville Ă Bizanos au lac de Lourdes. Il s'agit d'un chemin de terre principalement forestier d'environ quarante kilomĂštres pouvant ĂȘtre arpentĂ© Ă pied, Ă cheval ou Ă vĂ©lo. PrĂšs de ce chemin, ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes des monnaies celtibĂšres en bronze et en argent.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Labatmale est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[34]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[35].
Risques naturels
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Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[36]. 52,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 7] - [37].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[34].
Toponymie
Le hameau se nommait originellement Villa de Bas (XIe siÚcle[38], Pierre de Marca[39]), en référence à sa position géographique au creux des collines environnantes.
Histoire
Labatmale est un ancien hameau[38] de Coarraze dont les premiÚres traces remontent au XIe siÚcle. Le village s'est détachée au XVIIe siÚcle.
Le nom du hameau s'est ensuite transformé en Labatmale dont l'étymologie signifierait la vallée mauvaise. Cette derniÚre appellation fait référence tant à cette position géographique encaissée qu'aux multiples inondations que la vallée dut subir durant de nombreuses années.
MĂȘme si aujourd'hui le village s'est plutĂŽt dĂ©placĂ© sur les crĂȘtes alentour, le cĆur du village se trouve toujours Ă l'emplacement du lieu-dit originel.
Politique et administration
Intercommunalité
Labatmale fait partie de trois structures intercommunales[43] :
- la CC Pays de Nay ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
- le syndicat mixte dâeau et dâassainissement de la vallĂ©e de lâOusse.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[45].
En 2020, la commune comptait 260 habitants[Note 8], en augmentation de 4,84 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăquipements
La commune de Labatmale compte, outre sa mairie et son Ă©glise, une salle des fĂȘtes Ă destination des habitants et associations[48] ainsi qu'une aire de jeux.
Ăconomie
Les ressources du village sont centrées sur la polyculture (principalement de maïs) et l'élevage (principalement bovin). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
La fĂȘte communale se situe en gĂ©nĂ©ral Ă la fin du printemps (mai-juin).
Patrimoine civil
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Ă la fin du XVIIIe siĂšcle pour des raisons de salubritĂ© publique, une loi du 3 fĂ©vrier 1851 instaure un financement de lâĂtat Ă hauteur de 30% pour la construction des lavoirs. Câest Ă cette Ă©poque que le lavoir de Labatmale a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©.
Comme tous les lavoirs, celui de Labatmale a été progressivement abandonné à partir de 1950. Il est un élément de patrimoine à valoriser. Il accueille aujourd'hui une population de poissons rouges et carpes koï.
Le lavoir est directement alimentĂ© par une source, qui provient de la cĂŽte de Labatmale. Par lâeffet de la gravitĂ©, lâeau de la source alimente la fontaine Saint Roch, sâĂ©coule dans le lavoir pour finalement se jeter dans le Lourrou.
Patrimoine religieux
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L'Ă©glise Saint-SĂ©bastien
- Ăglise paroissiale construite probablement dans le premier quart du XVIIIe siĂšcle et achevĂ©e au cours du XIXe siĂšcle[49].
- La date 1720, gravée sur le linteau de la porte de la sacristie, laisse en effet penser que des travaux de construction ou de rénovation furent entrepris à cette date.
- La construction du clocher et du collatéral date vraisemblablement du XIXe siÚcle. Enfin, en 1879, deux verriÚres à médaillon sont fournies par Jules-Pierre Mauméjean, maßtre-verrier à Pau, et en 1915 une verriÚre historiée est fabriquée par L. Saint-Blancat, maßtre-verrier à Toulouse.
- L'architecture de l'église est classique. L'entrée est constituée d'un clocher-porche à son nord, d'un bas-cÎté au sud. La couverture, soutenue par une fausse voûte en anse-de-panier et principalement constituée d'ardoises, se pare d'une flÚche polygonale, d'un toit à longs pans et d'une croupe polygonale. à l'intérieur, des vitraux ornent les murs en ses cÎtés sud, est et ouest. Le plan est allongé et l'étage se compose de deux vaisseaux.
La fontaine Saint Roch[50] - [51]
- La fontaine Saint-Roch date de 1888. Elle est dĂ©diĂ©e Ă saint Roch, priĂ© comme protecteur lors des Ă©pidĂ©mies. Il lâĂ©tait dĂ©jĂ au Moyen Ăge, quand les pandĂ©mies de peste sĂ©vissaient. Il protĂšge Ă©galement le monde agricole (hommes, animaux, vĂ©gĂ©taux) ; il est invoquĂ© lors des catastrophes : tremblements de terre, maladies graves. Il est devenu le saint guĂ©risseur des pestifĂ©rĂ©s.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- site de la commune
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Labatmale » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune de Labatmale », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Labatmale et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Labatmale et Pontacq », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Labatmale », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale de Labatmale », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Lourrou ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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