Issenheim
Issenheim (prononcé [isənaim] ; en alsacien : Isena) est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est.
Issenheim | |
La mairie[2]. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Thann-Guebwiller |
Intercommunalité | C.C. de la région de Guebwiller |
Maire Mandat |
Marc Jung 2020-2026 |
Code postal | 68500 |
Code commune | 68156 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Issenheimois, Issenheimoises [3] |
Population municipale |
3 449 hab. (2020 ) |
Densité | 422 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 47° 54′ 11″ nord, 7° 15′ 17″ est |
Altitude | Min. 223 m Max. 268 m |
Superficie | 8,18 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Guebwiller (banlieue) |
Aire d'attraction | Mulhouse (commune de la couronne) |
Élections | |
DĂ©partementales | Guebwiller |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.issenheim.fr |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
GĂ©ographie
Issenheim se situe à une altitude moyenne de 250 m, au pied des collines sous-vosgiennes. Le ban communal s'étend sur une superficie d'environ 816 hectares et la Lauch le traverse d'Ouest en Est. Le Oberwald est la forêt communale d'Issenheim. Elle s'étend au Sud-Ouest de la commune (de la zone industrielle du Florival, jusqu'à la route départementale 83).
Communes limitrophes
Villes et villages proches
(Mesure prise Ă partir de la mairie)
- Guebwiller - 1,3 km
- Bergholtz - 1,6 km
- Soultz-Haut-Rhin - 2,2 km
- Merxheim - 2,6 km
- Raedersheim - 3,5 km
- Buhl - 6 km
Grandes villes de l'Est proche d'Issenheim
(Mesures prises Ă partir de la mairie)
Lieu-dit
- Pfleck : situé au nord-ouest d'Issenheim.
Cours d'eau
- La Lauch
- Rimbach
- Schecklenbach
- Lachmattenbach
Urbanisme
Typologie
Issenheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Guebwiller, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[7] et 28 756 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8] - [9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,9 %), zones urbanisées (19,3 %), forêts (10 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,9 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Histoire
Toponymie
En 1135, les archives mentionnent pour la première fois le nom d'Issenheim, sous la forme Ysenheim. Au fil du temps, son orthographe subit de nombreuses modifications : Isinheim en 1149, Isenheim dès 1196, Isinhen en 1233… jusqu'à Issenheim son écriture actuelle. L'immémoriale prononciation dialectale alémanique Isena ne justifie aucunement l'utilisation du deuxième "s", qu'un barbarisme orthographique a imposé voici quelque temps déjà . Durant plusieurs siècles d'ailleurs, que ce soit sous la domination autrichienne, française ou allemande, ce nom s'écrivait Isenheim.
L'origine exacte du nom est inconnue. Dans ses « Légendes du Florival »[14], l'abbé Braun y voit la trace du culte jadis dédié par les Romains à la déesse Isis, c'est-à -dire Isisheim.
Une analogie phonétique avec le mot Eisen (le fer) paraît peu vraisemblable. Jamais un minéral de ce type n'a été découvert dans les proches environs. Les étymologistes penchent plutôt en faveur du préfixe Iso, un nom d'homme germanique ; suivi du suffixe -heim, signifiant le village. Le village d'Iso en somme.
La seigneurie d'Issenheim
Issenheim était autrefois une seigneurie autrichienne possédée en fief par les nobles de Hausen, qui passa au XVe siècle aux Schauenburg. Ces derniers, pendant la guerre qu'ils firent au marquis de Bade, s'emparèrent de trois frères de cette maison et les retinrent prisonniers dans le château d'Issenheim.
En 1639, cette seigneurie fut acquise par Jean de Rosen, colonel suédois, qui eut pour successeur César Pflug, gentilhomme saxon. Le roi la donna en 1659 au cardinal de Mazarin.
Issenheim fut brûlé au cours de la Guerre de Trente Ans ; en 1695 il ne restait que 12 maisons et 50 habitants. Le village avait une commanderie d'Antonins[15] - [16], dont dépendait le prieuré de Froideval, près de Belfort, celui des Trois-Épis et la maison des chanoines qui desservait l'Église Saint-Étienne de Strasbourg. Ce couvent fut par la suite occupé par les Jésuites qui y ont établi un noviciat.
D'après des titres qui remontent au XIIe siècle, la seigneurie d'Issenheim appartenait primitivement à l'abbaye de Murbach qui l'avait reçue de l'archiduc Albert en échange de la ville de Lucerne, qui y possédait aussi le château d'Ostein. Ce château, qui datait du XIe siècle et qui n'existe plus, a donné son nom à la famille noble Hennemann d'Ostein qui était au XIVe siècle, vassale de l'abbaye de Murbach. Pierre était prince-abbé de Murbach en 1430.
Les Ostein donnèrent à l'évêché de Bâle un prélat, Jean-Henri, qui administra son église de 1628 à 1646. Son petit-neveu Jean Sébastien fut l'heureux père d'une nombreuse postérité dont est sorti Jean-Frédéric Charles, promu archevêque de Mayence en 1743.
Le hameau d'Ostein a été détruit à l'époque des Armagnacs, en 1375, mais n'a entièrement disparu qu'en 1800. Beaucoup de tombes mérovingiennes y ont été trouvées et les coffres en pierre ont servi d'abreuvoir pour le bétail. Une pierre tumulaire rappelant Rudolf d'Ostein décédé en 1594 a été transférée dans l'église du village.
La Maison Saint-Michel
En 1277 fut fondé à Issenheim un préceptorat de l'ordre de Saint-Antoine, ordre réputé pour traiter le mal des ardents (nommé par la suite « feu de Saint-Antoine ») : cette maladie due à l'ergot de seigle, champignon toxique, était caractérisée par d'intenses brûlures intestinales puis généralisées. Cette spécialité fit la fortune des Antonins d'Issenheim qui couvrirent au XVe siècle le bâtiment d'œuvres d'art (Hans Holbein l'ancien, Martin Schongauer…), dispersées ou détruites par la Révolution et l'incendie de 1831[17].
La Maison Saint-Michel reconstruite par la suite à son emplacement par les sœurs de la divine providence de Ribeauvillé, conserve le porche de l'ancien couvent, dont une clef de voûte représente Saint-Antoine et une autre Sainte-Véronique. D'autres œuvres, et notamment le retable d'Issenheim de Mathias Grünewald, sont visibles au musée Unterlinden de Colmar.
Histoire moderne
Issenheim a vécu un temps grâce aux usines textiles[18] - [19] - [20] qui ont créé de nombreux emplois pour les habitants de Issenheim.
C'est le village natal de Georges Spetz : industriel, collectionneur et artiste[21]. On y retrouve sa villa et on y trouvait jusqu'en 2010 la villa Carpentier de son beau-frère qui a été démolie par le collège Champagnat avec l'accord de la mairie et malgré les différentes propositions d'achat pour y agrandir son parking.
HĂ©raldique
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Les armes d'Issenheim se blasonnent ainsi : |
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Activités
La ville dispose de nombreux clubs et associations sportives. Il y a le club de football, le Tennis de Table Issenheim, le club de danse, etc.
Politique et administration
Circonscriptions de rattachement
Issenheim appartient à l'arrondissement de Thann-Guebwiller et au canton de Guebwiller depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, la commune appartenait au canton de Soultz-Haut-Rhin.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Haut-Rhin, représentée depuis par Raphaël Schellenberger (LR).
Intercommunalité
Issenheim appartient à la communauté de communes de la Région de Guebwiller depuis le , date de sa création. Cette intercommunalité a succédé au Syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) de la Région de Guebwiller, créé en , et transformé en District en .
La commune fait aussi partie du PĂ´le d'Ă©quilibre territorial et rural (PETR) du Pays Rhin-Vignoble-Grand Ballon.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[23].
Liste des maires
Finances locales
En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :
- total des produits de fonctionnement : 3 655 000 €, soit 1 041 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 462 000 €, soit 702 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 2 369 000 €, soit 675 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 2 559 000 €, soit 729 € par habitant.
- endettement : 2 993 000 €, soit 853 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 11,58 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 14,53 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 57,01 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Jumelages
Depuis 1975, la commune est jumelée avec la ville autrichienne de Hainfeld (Basse-Autriche)[27]. Elle entretient par ailleurs des liens d'amitié avec la commune allemande de Feldberg (Bade-Wurtemberg)[27].
Enfin, un jumelage avec la commune gardoise de Redessan est en projet.
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2020, la commune comptait 3 449 habitants[Note 3], en augmentation de 0,32 % par rapport Ă 2014 (Haut-Rhin : +1,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Filature Gast.
- Église paroissiale Saint-André[32], sa cloche de 1654[33] et son orgue de Joseph Callinet de 1835[34] - [35].
- Couvent d'antonins Saint-Joseph (préceptorat) dite maison Saint-Michel[36].
- Vestiges du château d'Issenheim[37], dans le parc de l'institut Champagnat. Il adoptait probablement un plan octogonal[38].
- Vestiges du château d'Ostein.
- Croix monumentales[39].
- Monument aux morts[40].
- Chapelle funéraire de la famille Spetz.
- Salle polyvalente. En 2010 a été inaugurée une nouvelle salle à vocation sportive[41] destinée à accueillir les clubs de tennis de table et de danse. Elle se situe derrière l'école des Châtaigniers et du multi-accueil « La Récré ».
Enseignement
Issenheim a un collège privé d'enseignement secondaire, « l'Institution Champagnat », une école publique « les Chataîgniers » et deux écoles maternelle « La colombe » et « Fridoline ».
Activités et développement
Zone d'Aménagement Concerté
En 2006, le conseil municipal d'Issenheim a décidé de créer une ZAC (Zone d'Aménagement Concerté), la « ZAC des Antoinins », afin de pouvoir maîtriser le développement d'Issenheim. Le logement, le fonctionnement de la ville, le cadre de vie constituent autant d'enjeux au cœur de ce projet. L'écologie viendra se mêler à ce projet, pour préserver les écosystèmes existants.
RĂ©seau routier
Issenheim est desservie par deux voies rapides à proximité : la voie rapide D 83 avec deux sorties (nord-est via le rond-point au nord de la ville et sud-est via l'échangeur D 83/D 430), et la voie rapide D 430 au rond-point du Florival. On rejoint donc assez rapidement les deux autoroutes traversant l'Alsace A35 et A36. Issenheim est traversée par la route départementale D 5, elle rejoint Soultzmatt à Cernay. Cet axe routier est très fréquenté en journée. La D 5 est l'artère principale de la ville (Rue de Soultz, Rue de Guebwiller à partir du rond-point entre la D 5 et la D 4bis et Rue de Rouffach).
Personnalités liées à la commune
- Le Prince Albert II de Monaco (1958-), seigneur d'Issenheim[42].
- Georges Spetz (1844-1914), industriel[43], collectionneur et artiste.
- Alphonse Roellinger (1849-1918), chanoine honoraire et abbé de Guebwiller[44].
- Les deux frères Zimmermann : Thiébaut Zimmermann (1772-1869) et Joseph Zimmermann (1778-1863), fondateurs de l'hospice d'Issenheim[45].
- Auguste Biecheler (1869-1943), poète, collectionneur et homme d'œuvres. Il fut le premier président de l’ « Elsaessicher Turnerbund » (ETB)[46].
Voir aussi
Bibliographie
- Les moulins d'Issenheim, Le moulin des Antonins, Le moulin seigneurial.
- Michel Haering, Histoire d'Issenheim, 1992.
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 663 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Issenheim, pp. 182-183
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Issenheim sur le site de la Communauté de Communes de la Région de Guebwiller
- Issenheim sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Mairie », notice no IA00111894, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mairie », notice no IA00111894, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Guebwiller », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Mulhouse », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Laissez-vous conter les légendes
- Clémentz Élisabeth, Les Antonins d’Issenheim, essor et dérive d’une vocation hospitalière à la lumière du temporel, thèse d’Histoire, Université de Franche-Comté, Faculté des lettres et sciences humaines de Besançon, , 378 p.
- voir le compte-rendu Le baume de saint Antoine au XVIIIe siècle
- Histoires extraordinaires et lieux mystérieux d'Alsace, Guy Trendel, éditions du belvédère, p. 158-159.
- « filature Gast », notice no IA00111906, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Filature Gast », notice no PA68000043, base Mérimée, ministère français de la Culture, inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 10 octobre 2005
- « Filature Zimmermann et Baeumlin », notice no IA00111907, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Georges Spetz :Un artiste hors du commun
- Archives DĂ©partementales du Haut-Rhin
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Bernard Biehler, « Décès du maire honoraire Albert Reinbold : Premier magistrat de la commune d'Issenheim de 1995 à 2005, Albert Reinbold est décédé samedi à l’âge de 68 ans. », L'Alsace,‎ (lire en ligne)
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur Internet Archive).
- « Relations internationales : Jumelage », sur issenheim.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église paroissiale Saint-André », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Cloche de l'église Saint-André », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Orgue (grand orgue) », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Orgue de l'église Saint-André.
- « Couvent d'antonins Saint-Joseph (préceptorat) dite maison Saint-Michel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 62.
- « Chapelle funéraire de la famille Spetz », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Monument aux Morts.
- La nouvelle Salle Ă vocation Sportive.
- « Le prince de Monaco, comte de Ferrette, de Thann et de Rosemont, baron d’Altkirch et seigneur d’Issenheim se marie »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Maison, villa Spetz », notice no IA00111899, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le Chanoine Alphonse Roellinger
- Les deux frères Zimmermann
- Regroupement de sections de gymnastique en une ligue