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Guy Cogeval

Guy Cogeval est un historien de l’art et conservateur général du Patrimoine, né le à Paris.

Guy Cogeval
Description de l'image Guy Cogeval.jpg.
Nom de naissance Guy Louis Antonio Cogeval[1]
Naissance
Paris
Nationalité Française, canadienne
Pays de résidence France
DiplĂ´me
Licence d'histoire (1981)
Diplôme d’Études Appliquées en histoire de l'art (1982)
Conservateur du Patrimoine (1985)
Conservateur en chef du Patrimoine (1996)
Conservateur général du Patrimoine (2008)
Profession
Activité principale
Président de l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie
Autres activités
Formation
Distinctions
Officier de l’ordre national de la Légion d'honneur (2004)
Officier de l’ordre national du Québec (2006)
Officier de l'ordre des Arts et des Lettres de France (2008)
Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres (2014)
Commandeur de l'ordre de l’Étoile de la solidarité italienne (2015)

Président de l’Établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie de 2008 à 2017, spécialiste de l'art du XIXe siècle, notamment des nabis[2] et en particulier d’Édouard Vuillard[3], il est directeur du Centre d'études des nabis et du symbolisme.

Biographie

Famille et Ă©tudes

Guy Cogeval est le fils de Georges Cogeval, agent immobilier, et de Rosalba Mino, traductrice italienne[1].

Après avoir passé les cinq premières années de sa vie en Italie, Guy Cogeval grandit dans le 9e arrondissement de Paris[4]. Il intègre l'Institut d'études politiques de Paris, dont il est diplômé en 1977 (section Service public)[5].

Il devient professeur de sciences économiques au lycée Rocroy-Saint-Léon à Paris (1977-1982)[6], mais continue ses études avec des formations en histoire et histoire de l'art à la Sorbonne (université Paris IV-Sorbonne) et à l'Ecole du Louvre. Il obtient son DEA en histoire de l'art en 1982, avant d'être accueilli comme pensionnaire à l'Académie de France à Rome (villa Médicis) en tant qu'historien de l'art (1982-1984)[7]. Il est reçu major au concours de conservateur en 1985[8].

Guy Cogeval est un historien de l'art émérite, reconnu comme étant le spécialiste des nabis et en particulier d’Édouard Vuillard[4]. Il est le coauteur avec Antoine Salomon et Mathias Chivot du Catalogue critique des peintures et pastels d’Édouard Vuillard[9] ; il est commissaire de la grande rétrospective consacrée au peintre[10], présentée en 2003 aux Galeries nationales du Grand Palais à Paris[11].

Homosexuel affirmé[12], Guy Cogeval est une figure de la communauté gay ayant perdu nombre de ses amis durant les années sida[12]. En , il se marie avec son compagnon[13].

Débuts de carrière (1985-1992)

Guy Cogeval commence sa carrière comme stagiaire responsable de la section « cinĂ©ma Â» au musĂ©e d’Orsay (1985-1986)[14], puis comme conservateur adjoint de Philippe Durey au musĂ©e des Beaux-Arts de Lyon (1987-1988)[15], oĂą il est notamment commissaire de Triomphe et mort du hĂ©ros[14], exposition sur la peinture d'histoire en Europe.

Il rejoint le musée du Louvre, où il devient sous-directeur des services culturels (1988-1992])[15], chargé des conférences et des colloques, tout en enseignant l'art du XIXe siècle à l’École du Louvre (1988-1998)[14].

Direction du musée des monuments français (1992-1998)

Guy Cogeval est nommé directeur du musée national des monuments français à Paris (1992]-1998)[14]. Il intensifie la politique d'exposition[14] et fait doubler la fréquentation du musée[8].

L'une de ses principales expositions Architecture de la Renaissance italienne, de Brunelleschi à Michel-Ange[16], est également présentée au Palazzo Grassi de Venise[17], à la National Gallery of art de Washington et à l'Altes Museum de Berlin.

Son projet de création du Centre national du Patrimoine, développé en 1995][18], préfigure la création de la Cité de l'architecture et du patrimoine de Chaillot en 1997, avec le soutien du ministère de la Culture[18].

Direction générale du Musée des beaux-arts de Montréal (1998-2006)

Guy Cogeval part au Québec pour prendre la tête du Musée des beaux-arts de Montréal (1998-2006)[19]. Il est un des rares conservateurs français à avoir dirigé un grand musée étranger[20]. Membre du Groupe Bizot depuis 1999[21], réunissant les directeurs des plus grands musées du monde, il devient également conseiller auprès de la Réunion des musées nationaux (RMN) où il assure la programmation des Galeries nationales du Grand Palais (2004-2006)[22].

Il monte de nombreuses expositions dont Hitchcock et l'art, Picasso Ă©rotique, Vuillard et Le Paysage en Provence[19]. Il est Ă  l'origine de trois expositions majeures en France : Il Ă©tait une fois Walt Disney au Grand Palais, Maurice Denis au musĂ©e d'Orsay et Riopelle Ă  Marseille[19]. Ă€ la tĂŞte du MusĂ©e des beaux-arts, Guy Cogeval parvient Ă  augmenter le nombre des Amis du musĂ©e de 28 000 en 1998, Ă  45 000 en 2006 ; et acquĂ©rir plus de dix mille Ĺ“uvres[19].

Guy Cogeval annonce sa démission le [23], quelques mois avant l'échéance de son mandat[24]. Il rentre en France à la fin de l'année 2006, devient pensionnaire à l'INHA[25] et est remplacé à la tête du Musée des beaux-arts de Montréal par Nathalie Bondil, son ancienne adjointe et conservatrice en chef[26].

Présidence de l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie (2008-2017)

Le , Guy Cogeval est nommé président de l’Établissement public du musée d'Orsay[27], par décret présidentiel[28] sur proposition de Christine Albanel[29], à compter du [30], succédant ainsi à Serge Lemoine[25] pour une durée de trois ans renouvelables[30]. Il est nommé membre du conseil artistique des musées nationaux en avril[31], et en juin de la même année il est également nommé conservateur général du Patrimoine[15].

La nomination d'un conservateur Ă  la tĂŞte du musĂ©e rassure le monde de l'art, qui craignait une nomination politique[32]. PrĂ©sentĂ© comme « flamboyant Â», il entend ouvrir le musĂ©e Ă  des disciplines peu reprĂ©sentĂ©es jusqu'alors comme l'opĂ©ra, le théâtre ou le cinĂ©ma[20].

Le est créé l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie[33], comprenant également le musée Hébert[34], dont Guy Cogeval est nommé Président[35]. À ce titre, son mandat est prolongé jusqu'au , date à laquelle il est reconduit à la tête de l’Établissement public pour trois nouvelles années sur proposition du ministère de la Culture et de la Communication[36]. Il est de nouveau prolongé en pour une seule année puisqu'il prend en 2017 la tête d'un centre d'étude sur les nabis[37].

Ayant survécu à un cancer au début des années 2000[8] et un AVC en 2014[12], Guy Cogeval s'estime être un survivant[12].

Grands axes de la présidence des musées d'Orsay et de l'Orangerie

Les avis sur son travail sont présentés comme contrastés.

Il est reconnu que la présidence de Guy Cogeval a insufflé une nouvelle dynamique de rayonnement au musée d'Orsay[38], grâce notamment à la rénovation en profondeur du musée[39], menée à bien sous son impulsion[40], à la programmation d'expositions temporaires ayant rencontré un large succès critique et public[41] à Paris, en France et à l'étranger[41], à la mise à disposition du contenu scientifique sur les réseaux sociaux et internet des Musées[42], et au développement d'activités musicales, théâtrales et cinématographiques[8] à l'auditorium du Musée d'Orsay.

Son bilan en matière de gestion financière[43] comme sa politique énergique d'acquisitions[43] font également l'objet de jugements positifs[44].

D'autres aspects de la gestion de Guy Cogeval ont fait l'objet de critiques : une gestion vigoureuse des ressources humaines[45] et une programmation faisant parfois l'objet d'improvisation, pouvant aboutir à une préparation précipitée de certaines expositions[45].

Le Canard enchaîné a publié un article en [46] faisant le lien entre une soirée privée organisée au musée d'Orsay et le mariage homosexuel de Guy Cogeval[47]. Relayée par Libération, cette information a donné lieu à un droit de réponse de Guy Cogeval[13] qui réfute ces allégations.

Grands travaux de réaménagements et de rénovations : le nouvel Orsay

Dès son arrivée à la tête du musée d'Orsay, Guy Cogeval a entrepris une politique de grands travaux[48] qui a conduit à la rénovation et au réaménagement de plus de 80 % du musée[39].

EntamĂ© en 2008, ce programme de travaux qui comprend notamment la crĂ©ation du pavillon Amont[39], dĂ©volu aux Arts dĂ©coratifs, la transformation de la Galerie impressionniste par l'architecte Jean-Michel Wilmotte[49] (prolongĂ©e par une salle d'exposition temporaire), la rĂ©novation du CafĂ© de l'Horloge par les frères Campana[49], la mise sous verre d'une grande partie des tableaux[49] et le rĂ©-accrochage de la quasi-totalitĂ© des collections entre 2009 et 2011[49] pour aboutir Ă  la naissance du nouvel Orsay, ouvert en [50]. Cette rĂ©ouverture du musĂ©e s'est accompagnĂ©e d'une grande campagne de communication intitulĂ©e « Nous avons revu Orsay, tout est Ă  revoir Â»[51].

Les travaux se sont poursuivis par exemple avec la rénovation des salles situées au rez-de-chaussée du musée d'Orsay, désormais appelées salles Luxembourg[52], effectuée entre 2011 et 2014.

Politique d'acquisition et de valorisation des fonds

Le musĂ©e d'Orsay a acquis plus de 6 000 Ĺ“uvres nouvelles depuis 2008, dans toutes les catĂ©gories (peintures, pastels, architecture, sculptures et mĂ©dailles, objets d'art et photographies)[53]. Ces acquisitions ont notamment renforcĂ© les collections d'art Ă©tranger, comblant ainsi certaines lacunes. Plusieurs pièces emblĂ©matiques de l’Art dĂ©coratif italien de 1900 ont pu ĂŞtre acquises comme Les mille et une Nuits de Vittorio Zecchin[53]. Le musĂ©e a acquis de nombreuses pièces de mobiliers et d’objets d’art, tĂ©moins de la transition de l’Art nouveau vers l’Art dĂ©co. Dans le domaine de la peinture, Guy Cogeval a complĂ©tĂ© la collection des Ĺ“uvres d'artistes nabis, avec des Ĺ“uvres de Paul-Élie Ranson (La Sorcière au chat), Maurice Denis (Dame au jardin clos, Yvonne Lerolle en trois aspects), Édouard Vuillard et Pierre Bonnard (Danseuses)[53].

Le musée d'Orsay a bénéficié de la donation anonyme sous réserve d’usufruit d’un ensemble de 25 tableaux de Vuillard, 25 tableaux de Bonnard et d’une centaine de dessins de ces deux artistes[53], cette donation du collectionneur Jean-Pierre Marcie-Rivière[54], annoncée en janvier 2011[53], a été réalisée lors du décès du donateur le . Celle-ci est constituée d'un ensemble de 141 œuvres de Bonnard et de Vuillard[54].

C'est par la dation en paiement de droits que l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie a acquis cinq toiles du peintre William Bouguereau, une toile tardive de Paul Cézanne (Paysan assis), un paysage des débuts d'Auguste Renoir (Le Poirier d’Angleterre)[53] et, en 2016, L'Autoportrait octogonal[55] de Vuillard.

Grâce à la persévérance de Guy Cogeval qui connaissait le couple américain depuis 2001, Marlene et Spencer Hays fait un don exceptionnel au musée d'Orsay, estimé à 173 millions d'euros. Cette donation est annoncée le samedi à l'Élysée par le président de la République François Hollande[56]. Il s'agit des œuvres qui avaient été exposées en 2013 au musée d'Orsay dans le cadre de l'exposition Une passion française[57]. Ce sont ainsi 187 œuvres (peintures, papiers, sculptures) qui entreront dans les collections à la mort des deux donateurs : 23 Vuillard, 12 Bonnard, 4 Maurice Denis. Outre les nabis, il y a aussi des œuvres d'Odilon Redon, Edgar Degas, Gustave Caillebotte, Camille Corot, Aristide Maillol, Amedeo Modigliani, Albert Marquet[58], entre autres.

Politique d'expositions

À la présidence des musées d'Orsay et de l'Orangerie, Guy Cogeval fait le choix de multiplier l'offre d'expositions temporaires[41], en alternant expositions monographiques et expositions thématiques originales et souvent audacieuses[3].

Si cette originalité dans le choix des expositions était déjà présente chez Guy Cogeval lorsqu'il était directeur du Musée des beaux-arts de Montréal, elle a été réaffirmée en 2013[59] lorsqu'il s'est dit confronté au conservatisme à Montréal, rendant impossible la programmation d'une exposition sur le nu masculin[60]. Ces déclarations ont été contestées par le musée, qui a affirmé que Guy Cogeval n'avait jamais évoqué ce sujet et a rappelé que des œuvres érotiques sont régulièrement présentées au musée[61].

Cette politique d'exposition contribue au renouvellement des publics et au rayonnement de l'institution[62]. Les grandes expositions temporaires des Musées d'Orsay et de l'Orangerie ont permis d'augmenter le nombre de visiteurs[53].

Augmentation de la fréquentation

La frĂ©quentation au musĂ©e d'Orsay a connu une progression notable sous la prĂ©sidence de Guy Cogeval, passant de 3 millions de visiteurs en 2008 Ă  environ 3,5 millions de visiteurs en 2014[63] et notamment 1,7 million de visiteurs pour les expositions temporaires[43]. Cette hausse de la frĂ©quentation a Ă©galement marquĂ© le musĂ©e de l'Orangerie passant ainsi de 690 000 visiteurs en 2010 Ă  plus de 800 000 visiteurs en 2014. Cette frĂ©quentation reste stable en 2015[64].

Politique territoriale et rayonnement Ă  l'Ă©tranger

Membre du groupe Bizot depuis 1999[21], qui rĂ©unit les directeurs des plus grands musĂ©es du monde[65], et fondateur en 2008 du « club 19 Â»[21] regroupant les principaux directeurs de musĂ©es de rĂ©gion possĂ©dant une grande collection du XIXe siècle, Guy Cogeval s'est attachĂ© Ă  renforcer et privilĂ©gier des partenariats avec des musĂ©es rĂ©gionaux français. Guy Cogeval a ainsi dĂ©veloppĂ© un partenariat avec le musĂ©e des impressionnismes Giverny, le musĂ©e Bonnard du Cannet, le palais Longchamp Ă  Marseille et le musĂ©e Courbet d'Ornans[66].

Cette politique d'expositions se poursuit au-delà des frontières. Guy Cogeval a ainsi multiplié le nombre d'expositions présentées par le musée d'Orsay à l'étranger notamment au Brésil, en Corée, à Singapour, au Mexique[53]. Cette politique accroit le rayonnement culturel de la France à l'international[41]. Elle permet aussi de faire sortir certaines œuvres des réserves et de les restaurer afin de les présenter dans un musée étranger comme ce fut le cas de l'exposition Courbet, Millet et le naturalisme français, présentée au Shanghaï Art Museum. Ces expositions ont reçu 1,5 million de visiteurs en 2014[43].

Certaines pratiques d'exposition et de prêt d’œuvres à l'étranger font l'objet de critiques, notamment en ce qui concerne les œuvres dont l'état rend le déplacement délicat[67]. Ce débat au sujet du prêt d’œuvres qui met en jeu la question du rayonnement de l'art et de la marchandisation en vue de sauvegarder le patrimoine, par l'accroissement des ressources propres, touche actuellement la plupart des grands musées français[68]. Guy Cogeval affirme cependant prendre toutes les précautions nécessaires en ce qui concerne le déplacement des œuvres[53], et sa politique de valorisation de ses collections a été citée en exemple par un rapport de l'inspection générale des finances[44].

Développement des ressources propres et du mécénat

Sous la présidence de Guy Cogeval, l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie a vu son degré d'autofinancement progresser fortement[44], les ressources propres passant de 24 millions d'euros soit 56 % du financement total en 2008 à 39 millions d'euros soit 66 % du financement total en 2014[43]. Le mécénat s'est diversifié, notamment de par la mise en place de structures spécifiques comme the American Friends of the Musée d'Orsay en 2009[69], le Cercle des Femmes mécènes[70] en 2013 et le Cercle italien des mécènes[71].

Expositions

Commissariat d'expositions

  • Debussy e il simbolismo (Rome, villa Medicis, 1984)
  • Triomphe et mort du hĂ©ros : la peinture d'histoire en Europe de Rubens Ă  Manet (Lyon, musĂ©e des Beaux-Arts, 1988)
  • Architecture de la Renaissance italienne, de Brunelleschi Ă  Michel-Ange (Venise, Palazzo Grassi – Washington, National Gallery of art – Paris, MusĂ©e des monuments français – Berlin, Altes Museum – 1994-1996)
  • Triomphe du Baroque : l'architecture en Europe, 1600-1750 (Turin, Palazzina di Caccia di Stupinigi - MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al - Marseille, musĂ©e des Beaux-Arts – 1999-2001)
  • Hitchcock et l'art (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts – Paris, Centre Pompidou - 2001)
  • Picasso Ă©rotique (Paris, RMN-Grand Palais - MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al – Barcelone, MusĂ©e Picasso - 2001)
  • Édouard Vuillard, maĂ®tre du post-impressionnisme (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2003)
  • Jean Cocteau (Paris, Centre Georges Pompidou, 2003 – MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2004)
  • Sous le soleil exactement. Le paysage en Provence, du classicisme Ă  la modernitĂ© (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2004 - Marseille, La Vieille charitĂ©, 2005)
  • Design et Avant-Garde en Italie, MontrĂ©al (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2006 - Rovereto, MART, 2007)
  • Girodet, le rebelle romantique (MontrĂ©al, musĂ©e des Beaux-Arts, 2006)
  • Maurice Denis. Le paradis terrestre (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2006 - MontrĂ©al, musĂ©e des Beaux-Arts, 2007)
  • Il Ă©tait une fois Walt Disney, aux sources de l'art des studios Disney (Paris, Grand Palais, 2006 - MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2007)
  • Le Mystère et l’éclat. Pastels du musĂ©e d’Orsay. (Paris, musĂ©e d’Orsay, 2008)
  • Voir l'Italie et mourir : photographie et peinture dans l'Italie du XIXe siècle (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2009)
  • De la scène au tableau (Marseille, musĂ©e Cantini, 2009 - Rovereto, MART, 2010)
  • Au-delĂ  de l’impressionnisme, chefs-d’œuvre du musĂ©e d’Orsay (Tokyo, National Art Center – San Francisco, Fine Arts Museums – 2009-2011)
  • Naissance de l’impressionnisme, chefs-d’œuvre du musĂ©e d’Orsay (Madrid, Fondation MAPFRE - San Francisco, Fine Arts Museums of San Francisc - Nashville, First Center for Visual Arts - 2007)
  • Claude Monet 1840-1926 (Paris, Grand Palais, 2010-2011)
  • Gustav Mahler, (Paris, musĂ©e d’Orsay, 2011)
  • Gino Severini (1883 – 1966), futuriste et nĂ©oclassique (Paris, musĂ©e de l’Orangerie – Rovereto, MART – 2011)
  • RĂŞve et rĂ©alitĂ© (SĂ©oul, National Art Center – Singapour, National Museum of Singapore – 2011-2012)
  • BeautĂ©, morale et voluptĂ© dans l’Angleterre d’Oscar Wilde (Londres, Victoria & Albert Museum – Paris, musĂ©e d’Orsay – San Francisco, Fine Arts Museum – 2011-2012)
  • Odilon Redon : chefs-d’œuvre du musĂ©e d’Orsay (Madrid, Fondation MAPFRE, 2011)
  • Akseli Gallen Kallela, une passion finlandaise (1865-1931) (Helsinki, City Art Museum – Paris, musĂ©e d’Orsay - DĂĽsseldorf, Museum Kunstpalast – 2011)
  • Debussy, la musique et les arts (Paris, musĂ©e de l’Orangerie – Tokyo, BridgestoneMuseum – 2012)
  • L’Impressionnisme et la mode (Paris, musĂ©e d’Orsay – New York, Metropolitan museum of Art – Chicago, Art Institute – 2012-2013)
  • Misia, reine de Paris (Paris, musĂ©e d’Orsay, 2012)
  • Impressionnisme : Paris et la modernitĂ© (Sao Paulo, Banco do Brazil – Rio de Janeiro, Banco do Brazil – 2012)
  • L’Ange du Bizarre. Le romantisme noir de Goya Ă  Max Ernst (Francfort, Städel Museum – Paris, musĂ©e d’Orsay, 2013)
  • Les Macchiaioli, 1850-1875. Des impressionnistes italiens ? (Paris, musĂ©e d’Orsay – Madrid, Fondation MAPFRE – 2013)
  • Une passion française : la collection Marlene et Spencer Hays (Paris, musĂ©e d’Orsay, 2013)
  • Manet. Ritorno a Venezia (Venise, Palais des Doges, 2013)
  • Masculin/Masculin. L’homme nu dans l’art de 1800 Ă  nos jours (Paris, musĂ©e d’Orsay, 2013)
  • FĂ©lix Vallotton (1865 – 1925), Le feu sous la glace (Paris, Galeries nationales du Grand Palais – Amsterdam, musĂ©e Van Gogh – Tokyo, Mitsubishi museum – 2013-2014)
  • Allegro Barbaro. BĂ©la BartĂłk et la modernitĂ© hongroise, 1905-1920 (Paris, musĂ©e d’Orsay, 2013)
  • 7 ans de rĂ©flexion. Dernières acquisitions (Paris, musĂ©e d’Orsay, 2014)
  • Pierre Bonnard (1867—1947). Peindre l’Arcadie (Paris, musĂ©e d’Orsay – San Francisco Fine Arts Museums – 2015)
  • Dolce vita ? Du Liberty au design italien 1900 – 1940 (Paris, musĂ©e d’Orsay – Rome, Palazzo delle esposizioni – 2015)
  • Le douanier Rousseau. L’innocence archaĂŻque. (Paris, musĂ©e d’Orsay, 2016)
  • Charles Gleyre (1806-1874). Le romantique repenti. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2016)
  • Spectaculaire Second Empire, 1852-1870. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2016)

Direction du Musée des beaux-arts de Montréal (1998-2007)

  • Le temps des nabis, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 1998)
  • Monet Ă  Giverny, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 1999)
  • Cosmos : du Romantisme Ă  l'Avant-garde (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 1999)
  • Triomphes du baroque, (MontrĂ©al,MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2000)
  • De Renoir Ă  Picasso : les chefs-d’œuvre du musĂ©e de l’Orangerie, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2000)
  • Hitchcock et l'art, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2000)
  • Picasso Ă©rotique, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2001)
  • Aluminium et design, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2001)
  • Grands maĂ®tres italiens de RaphaĂ«l Ă  Tiepolo : la collection du musĂ©e des Beaux-Arts de Budapest, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2002)
  • Richelieu : L'art et le pouvoir, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2003)
  • Riopelle, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2002)
  • L'invitation au voyage : l’avant-garde française de Gauguin Ă  Matisse, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2003)
  • Édouard Vuillard, maĂ®tre du post-impressionnisme (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2003)
  • Village global : les annĂ©es 60, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2003)
  • Jean Cocteau, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2004)
  • Égypte Ă©ternelle : chefs-d’œuvre de l’art ancien du British Museum, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2005)
  • Sous le soleil, exactement. Le paysage en Provence, du classicisme Ă  la modernitĂ©, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2005)
  • Catherine la Grande : un art pour l’Empire. Chefs-d’œuvre du musĂ©e de l’Ermitage de Saint-PĂ©tersbourg, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2006)
  • Il Modo Italiano. Design et avant-garde en Italie au XXe siècle, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2007)
  • Il Ă©tait une fois Walt Disney. Aux sources de l’art des studios Disney, (MontrĂ©al, MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, 2007)

Présidence de l’Établissement public des musées d'Orsay et de l'Orangerie (depuis 2008)

  • Picasso / Manet : Le dĂ©jeuner sur l'herbe, (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2008)
  • Masques. De Carpeaux Ă  Picasso (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2008)
  • Le mystère et l'Ă©clat. Pastels du musĂ©e d'Orsay (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2008)
  • L'image rĂ©vĂ©lĂ©e, première photographie sur papier en Grande-Bretagne 1840-1860, (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2008)
  • Italiennes modèles, HĂ©bert et les paysans du Latium (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2009)
  • Art Nouveau Revival, 1900. 1933. 1966. 1974. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2009)
  • James Ensor (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2009)
  • Max Ernst, Une semaine de bontĂ© - les collages originaux (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2009)
  • Oublier Rodin ? (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2009)
  • Renoir au XXe siècle, (Paris, Galeries nationales du Grand Palais, 2009)
  • Voir l'Italie et mourir. Photographie et peinture dans l'Italie du XIXe siècle. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2009)
  • Art nouveau et industrie du luxe en France (Tokyo, Nagasaki, Hiroshima, 2009)
  • Birth of Impressionism. Masterpieces from the MusĂ©e d'Orsay (Madrid, San Francisco, Nashville – 2010)
  • Crime et châtiment (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2010)
  • Heinrich KĂĽhn, la photographie parfaite (Paris, musĂ©e national de l'Orangerie, 2010)
  • L’impressionnisme. Une nouvelle renaissance (Madrid, San Francisco, Nashville, 2010)
  • Jean-LĂ©on GĂ©rĂ´me (1824-1904) L'Histoire en spectacle (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2010)
  • L’impressionnisme au fil de la Seine (Giverny, musĂ©e des Impressionnismes, 2010)
  • Manet et le Paris moderne (Tokyo, Mitsubishi Ichigokan Museum, 2010)
  • Maximilien Luce, nĂ©o-impressionniste. RĂ©trospective. (Giverny, musĂ©e des Impressionnismes, 2010)
  • Meijer de Haan, le maĂ®tre cachĂ© (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2010)
  • Claude Monet (1840-1926), (Paris, Grand Palais, 2010)
  • Paul Klee (1879-1940). La collection d'Ernst Beyeler (Paris, musĂ©e de l'Orangerie, 2010)
  • The Modern Woman. Dessins de Degas, Renoir, Toulouse-Lautrec, etc. Chefs-d’œuvre du musĂ©e d'Orsay (Vancouver Art Gallery, 2010)
  • BeautĂ©, morale et voluptĂ© (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2011)
  • L'Espagne entre deux siècles de Zuloaga Ă  Picasso 1890-1920 (Paris, musĂ©e de l'Orangerie, 2011)
  • Manet, inventeur du Moderne (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2011)
  • Odilon Redon. Prince du RĂŞve (Paris, Grand Palais, 2011)
  • Une ballade d'amour et de mort : photographie prĂ©raphaĂ©lite en Grande-Bretagne, 1848-1875 (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2011)
  • Akseli Gallen-Kallela (1865-1931). Une passion finlandaise. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2012)
  • ChaĂŻm Soutine (1893-1943). L'ordre du chaos. (Paris, musĂ©e de l'Orangerie, 2012)
  • Debussy, la musique et les arts (Paris, musĂ©e de l'Orangerie, 2012)
  • Degas et le nu (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2012)
  • Felix Thiollier (1842-1914), photographies (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2012)
  • L’impressionnisme et la mode (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2012)
  • La mĂ©daille en France au XIXe et XXe siècles. Au creux de la main (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2012)
  • Misia, reine de Paris (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2012)
  • Allegro Barbaro. BĂ©la Bartok et la modernitĂ© hongroise 1905-1920. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2013)
  • FĂ©licie de Fauveau. L'amazone de la sculpture. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2013)
  • Frida Kahlo / Diego Rivera. L'art en fusion. (Paris, musĂ©e de l'Orangerie, 2013)
  • L'ange du bizarre. Le romantisme noir de Goya Ă  Max Ernst. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2013)
  • Une passion française. La collection Marlene et Spencer Hays (Paris, musĂ©e d'Orsay 2013)
  • Les Macchiaioli 1850-1874. Des impressionnistes italiens ? (Paris, musĂ©e de l'Orangerie, 2013)
  • Masculin/Masculin. L'homme nu dans l'art de 1800 Ă  nos jours. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2013)
  • 7 ans de rĂ©flexion. Dernières acquisitions. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2014)
  • Emile Bernard (1868-1910) (Paris, musĂ©e de l'Orangerie, 2014)
  • Gustave DorĂ© (1832-1883). L'imaginaire au pouvoir. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2014)
  • Carpeaux (1827-1875), un sculpteur pour l'Empire (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2014)
  • Les archives du rĂŞve, dessins du musĂ©e d'Orsay : carte blanche Ă  Werner Spies (Paris, musĂ©e de l'Orangerie, 2014)
  • Paul Durand-Ruel. Le pari de l'impressionnisme. Manet, Monet, Renoir… (Paris, musĂ©e du Luxembourg, 2014)
  • Sade. Attaquer le soleil. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2014)
  • Van Gogh/ Artaud (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2014)
  • Adolfo Wildt (1868-1931), le dernier symboliste. (Paris, musĂ©e de l'Orangerie, 2015)
  • Autoportraits du musĂ©e d'Orsay (Nancy, musĂ©e des Beaux-Arts, 2015)
  • Degas, un peintre impressionniste ? (Giverny, musĂ©e des Impressionnismes, 2015)
  • Dolce Vita ? Du Liberty au design italien (1900-1940) (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2015)
  • Pierre Bonnard. Peindre l'Arcadie. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2015)
  • Qui a peur des femmes photographes ? 1839-1945. (Paris, musĂ©es d'Orsay et de l'Orangerie, 2015)
  • Splendeurs et misères. Images de la prostitution, 1850-1910 (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2015)
  • Le douanier Rousseau. L’innocence archaĂŻque. (Paris, musĂ©e d’Orsay, 2016)
  • Charles Gleyre (1806-1874). Le romantique repenti. (Paris, MusĂ©e d'Orsay, 2016)
  • Spectaculaire Second Empire, 1852-1870. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2016)
  • FrĂ©dĂ©ric Bazille (1841-1870). La jeunesse de l'impressionnisme. (Paris, musĂ©e d'Orsay, 2016)

Publications

En français

  • DĂ©cor et mises en scène Ă  l'opĂ©ra de Paris de 1875 Ă  1900, Guy Cogeval, Paris, (1981).
  • La Vie de bohème. Luce AbĂ©lès, Guy Cogeval. Collection Les dossiers du musĂ©e d'Orsay. Éditions RĂ©union des musĂ©es nationaux (1986).
  • Le Post-Impressionnisme. Guy Cogeval, Nouvelles Éditions Françaises, (1986).
  • Triomphe et mort du hĂ©ros : la peinture d'histoire en Europe de Rubens Ă  Manet : une exposition. Ekkehard mai, Anke Repp-Eckert, Guy Cogeval, Philippe Durey. Éditions Electa-MusĂ©e des Beaux-Arts de Lyon (1988). ( (ISBN 8843524801))
  • Edouard Vuillard. AndrĂ© Chastel, Guy Cogeval, Ann Dumas. Catalogue de l'Exposition, Lyon, Barcelone et Nantes. Flammarion (1990). ( (ISBN 978-2080117304)).
  • Hommage Ă  AndrĂ© Chastel. Revue de l’art 93 (1991) Guy Cogeval et Philippe Morel. "Entretien avec AndrĂ© Chastel": (p. 78-87)
  • Bonnard. Guy Cogeval. Hazan (1993)
  • La logique de l'inaltĂ©rable : Histoire du MusĂ©e National des Monuments français, Guy Cogeval et Gilles Genty. Paris, MusĂ©e National des Monuments français (1993).
  • L'Architecture de la Renaissance italienne ; prĂ©face par Guy Cogeval. Publications Nuit et Jour, Paris, (1995)
  • Le Temps des nabis, Guy Cogeval. Éditions MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al, (1998)
  • Hitchcock et l'art, coĂŻncidences fatales. Guy Cogeval, Dominique PaĂŻni. Mazzotta Edizione (2001)
  • Le MusĂ©e des beaux-arts, MontrĂ©al. Avant-propos de Guy Cogeval. Éditions Mercator, BNP Paribas (2001). ( (ISBN 9782711842537))
  • Vuillard : Le Temps dĂ©tournĂ©. Guy Cogeval. Coll. « DĂ©couvertes Gallimard / Arts » (no 178). Gallimard (1993, rĂ©Ă©d. 2003, 2017)
  • Vuillard. Le regard innombrable. Antoine Salomon, Guy Cogeval. Catalogue critique des peintures et pastels, 3 volumes. Éditions Skira (2004). ( (ISBN 88-8491-110-9))
  • Vuillard. Antoine Salomon, Guy Cogeval. Skira International Corporation (2005).
  • « Vuillard : la peinture Ă  l’œuvre Â» Le théâtre de l'Ĺ’uvre (1893-1900. Naissance du théâtre moderne. Isabelle Cahn, Guy Cogeval, Serge Lemoine, Antoine Terrasse ; Ă©ditions 5 continents (2005). ( (ISBN 88-7439-209-5))
  • Sous le soleil exactement. Peindre en Provence. Du classicisme Ă  la modernitĂ© (1750-1920). Marie-Paule Vial, Guy Cogeval,. Éditions SNOEK (2005). ( (ISBN 90-5349-521-5))
  • « Bonnard en Arcadie Â» dans Bonnard et Matisse, cat. exp., Rome, 2006
  • Italia Nova. Une aventure de l'art italien (1900-1950). Gabriella Belli, Guy Cogeval, Piergiovanni Castagnoli, Maria Vittoria Clarelli. Éditions RĂ©union des musĂ©es nationaux (2006). ( (ISBN 2-7118-5076-5))
  • Il Modo Italiano, Design et avant-garde en Italie au XXe siècle. Guy Cogeval et Giampiero Bosoni. Éditions Skira (2006). ( (ISBN 8876245367)).
  • Riopelle. Guy Cogeval, StĂ©phane Aquin. MusĂ©e des beaux-arts de MontrĂ©al (2006)
  • L'image rĂ©vĂ©lĂ©e : Premières photographies sur papier en Grande-Bretagne (1840-1860). Dominique de Font-RĂ©aulx, Roger Taylor, Guy Cogeval. Éditions Nicolas Chaudun (2008)
  • PrĂ©face dans Max Ernst, « Une semaine de bontĂ© Â», cat. exp., Paris, musĂ©e d’Orsay / Gallimard / Fundacion MAPFRE, (2009)
  • Voir l'Italie et mourir : photographie et peinture dans l'Italie du XIXe siècle. Guy Cogeval, Urich Pohlmann et collectif (2009)
  • « Aus Italien Â» dans Voir l’Italie et mourir, cat. exp., Paris, musĂ©e d’Orsay / Skira-Flammarion, (2009)
  • De la scène au tableau. Guy Cogeval, BĂ©atrice Avanzi et collectif. Flammarion (2009)
  • PrĂ©face dans James Ensor, cat. exp., Paris, musĂ©e d’Orsay / RMN, (2009)
  • PrĂ©face dans Oublier Rodin ? La sculpture de 1905 et 1914, cat. exp., Paris, musĂ©e d’Orsay / Éditions Hazan / Fundacion Mapfre, (2009)
  • « Monet entier Â», dans Claude Monet (1840 – 1926), cat.exp., Grand Palais, Orsay / RMN, (2010)
  • « Une beautĂ© exacte et perverse Â», dans Jean-LĂ©on GĂ©rĂ´me, l’Histoire en spectacle, cat.exp., Skira, (2010)
  • « Un mythe inextinguible : SalomĂ© de Wilde, Beardsley, Strauss, Nazimova Â», entretien avec StĂ©phane GuĂ©gan dans BeautĂ©, morale et voluptĂ© dans l’Angleterre d’Oscar Wilde, cat.exp., Skira / Flammarion, (2011)
  • « Vuillard versus Redon. Fleurs de rĂŞve et rĂŞve de fleurs Â», dans Odilon Redon, cat. exp., Paris, MusĂ©e d’Orsay / RMN, (2011)
  • « Looking for PellĂ©as. Le chef-d’œuvre de Debussy, aux risques de la scène Â», entretien avec StĂ©phane GuĂ©gan, & « Puisqu’il faut bien commencer par quelques mots Â», dans Debussy. La musique et les arts, cat. exp., MusĂ©e d’Orsay / Skira Flammarion, (2012)
  • « Vuillard amoureux : ses annĂ©es Misia Â», in Misia. Reine de Paris, cat. exp., MusĂ©e d’Orsay / Gallimard, (2012)
  • « Entretien entre Guy Cogeval et Robert Carsen Â», & « James Tissot, Le Cercle de la rue Royale Â», avec StĂ©phane GuĂ©gan, dans L’Impressionnisme et la Mode, cat. exp., MusĂ©e d’Orsay / Skira Flammarion, (2012)
  • « Sont-ils des impressionnistes italiens? », dans cat. exp. Les Macchiaioli. Des impressionnistes italiens?, MusĂ©e d’Orsay / Skira Flammarion, (2013)
  • « Le Surmâle Â», dans Masculin/Masculin, l’homme dans l’art de 1800 Ă  nos jours, cat. exp., MusĂ©e d’Orsay / Flammarion, (2013)
  • «L’Helvèteunderground Â», dans FĂ©lix Vallotton. Le Feu sous la glace, cat. exp., RĂ©union des musĂ©es nationaux – Grand Palais, (2013)
  • « Transcendance du dĂ©lire Â», dans cat.exp. Van Gogh/ Artaud. Le suicidĂ© de la sociĂ©tĂ©, Paris, MusĂ©e d’Orsay/Skira, (2014)
  • « Nouvel Orsay. Les habits neufs d’une collection ancienne Â», dans cat.exp. Naissance de l’Impressionnisme : la libertĂ© de peindre. Collections du musĂ©e d’Orsay, Tokyo, The Yomiuri Shimbun, (2014)
  • « Sade Ă  Orsay. Et pourquoi pas? Â», dans cat.exp. Sade. Attaquer le soleil, MusĂ©e d’Orsay / Gallimard (2014)
  • « Orsay, sept ans de rĂ©flexion Â», entretien avec Annie Dufour, dans Sept ans de rĂ©flexion. Dernières acquisitions du musĂ©e d’Orsay, cat. exp., MusĂ©e d’Orsay / Skira (2014)
  • « Bonnard, le chat Ă  sept vies Â», dans Bonnard (1867-1947). Peindre l’Arcadie, cat. exp., MusĂ©e d’Orsay / Hazan (2015)
  • « Italie 1900 – 1940 Â» & « Un tropisme joyeux vers le nĂ©ant Â», dans Dolce vita? Du Liberty au design italien (1900 – 1940), cat.exp., MusĂ©e d’Orsay / Skira (2015)
  • « Deux ou trois bonnes raisons d’aimer Adolfo Wildt Â», dans Adolfo Wildt (1868 – 1931). Le dernier symboliste, cat. exp., MusĂ©e d’Orsay / Skira 2015
  • « Qui a encore peur des femmes photographes? Â», dans cat. exp. Qui a peur des femmes photographes ?, MusĂ©e d’Orsay/ Hazan (2015).
  • « Une promenade avec Claude Monet : les surprises de la Normandie Â», dans cat.exp. Monet, Skira (2015)
  • Le douanier Rousseau. L’innocence archaĂŻque, Hazan, 2016

Autres langues

  • Debussy e il simbolismo. François Lesure et Guy Cogeval. Flli Palombi (Roma) (1984)
  • Witkin. Photographs by Joel-Peter Witkin. Guy Cogeval. Éditions Baudouin Lebon (1993)
  • Postimpressionists. Guy Cogeval. Alpine Fine Arts Collection (1998)
  • Vuillard: Post-Impressionist Master. Guy Cogeval. Harry N. Abrams (2002)
  • Edouard Vuillard. Guy Cogeval. Yale University Press (2003)
  • Vuillard, Master of the intimate interior. Guy Cogeval. Thames and Hudson (2005)
  • Gauguin: Y Los Origenes Del Simbolismo. Guy Cogeval, Richard Shiff, Guillermo Solona. Nerea Édition (2008)
  • A History of Photography: The Musee d'orsay Collection. Guy Cogeval, Francoise Heilbrun, Dominique de Font-RĂ©aulx, Michel Frizot. Collection Art Monographs. Flammarion (2008)
  • « Il demone della scena. Teatro e pittura da David a Wagner Â» & “Fra Maeterlinck e Ibsen. Vuillard al Teatro dell’Oeuvre” dans Dalla Scena al dipinto, Mart (2010)
  • « Al di lĂ  dell’Impressionismo Â» & « Le Collezioni del MusĂ©e d’Orsay tra storia, passione e attualitĂ  Â», dans La Rivoluzione dello sguardo – capolavori impressionisti e post-impressionisti dal MusĂ©e d’Orsay, cat. exp., Rovereto, MART, (2011)
  • « Mảs allả del impresionismo Â», dans Impresionistas y Postimpresionistas. Il nacimiento del arte modern. Obras maestras del musĂ©e d’Orsay, cat. exp., TF Editores, (2013)
  • « Venere di Urbino e Olympia : due donne scandalose Â», avec Isolde Pludermacher, dans Manet. Ritorno a Venezia, Skira, (2013)
  • « Il gioco delle coppie Â», Entretien avec Pierre Boulez Ă  propos de BĂ©la BartĂłk, avec Claire Bernardi et Annie Dufour, dans Allegro Barbaro. BĂ©la BartĂłk et la modernitĂ© hongroise, 1905-1920, cat.exp., MusĂ©e d’Orsay / Hazan, (2013)
  • « Orsay: Portrait of a Museum Â», dans Faces of Impressionism. Portraits from the MusĂ©e d’Orsay, cat. exp., Kimbell Art Museum, (2014)
  • « Il Nuovo Orsay. La veste nuova di una collezione antica Â», dans cat. exp. MusĂ©e d’Orsay. Capolavori, Rome, Skira, (2014)
  • « Rousseau o del candore arcaico Â», avec Gabriella Belli, dans Henri Rousseau. Il candore arcaico, cat. exp., 24 Ore Cultura, (2015)
  • « El arte vulgar Â», entretien avec CĂ´me Fabre, dans cat. exp. El canto del cisne. Pinturas acadĂ©micas del Salon de Paris, Fondation MAPFRE, (2015)

Films

  • Le sublime et la fĂ©rocitĂ© : Brutus de David[72], film de Gilles Delavaud et Guy Cogeval, Louvre-Films d'Ici, 1989, (26 min)[73].
  • AndrĂ© Chastel : un sentiment de bonheur. Entretiens filmĂ©s avec Guy Cogeval et Philippe Morel, rĂ©alisation Edgardo Cozarinsky, Les Films d’ici, 1990, rĂ©Ă©d. MusĂ©e du Louvre, 1993[74].

Distinctions

Notes et références

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  37. Communiqué du ministère de la Culture, 9 mars 2016.
  38. « Communiqué de presse », sur webcache.googleusercontent.com (consulté le )
  39. Eric Le Mitouard, « Orsay prend des couleurs », Le Parisien,‎
  40. « Le Musée d'Orsay métamorphosé par la couleur (VIDEO) », sur leparisien.fr (consulté le )
  41. Le Point, magazine, « Pour le président du musée d'Orsay, "il n'y a pas trop d'expositions" à Paris », sur Le Point (consulté le )
  42. « Comment les musées se dépoussièrent sur les réseaux sociaux », sur Le Huffington Post (consulté le )
  43. « Musée d'Orsay: Rapports d'activité », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )
  44. Serge Kancel, Frédérique Baudouin, Camille Herody et Claire Lamboley, « Évaluation de la politique de développement des ressources propres des organismes culturels de l’État », Rapport de l'inspection générale des finances,‎ , p. 46 (lire en ligne)
  45. Au Musée d’Orsay, le président Guy Cogeval fait débat, La Croix, 28 janvier 2014
  46. D. F., « Danse avec Degas », Le Canard enchaîné, 6 novembre 2013
  47. « Aurélie Filippetti et les grands ducs », sur Libération.fr (consulté le )
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  68. Emmanuelle Jardonnet, « Prêt d'œuvres d'art à l'étranger : débats et blocages », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le )
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