Goualade
Goualade (Gualada en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.
Goualade | |||||
La mairie (août 2012). | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Bazadais | ||||
Maire Mandat |
René Cardoit 2020-2026 |
||||
Code postal | 33840 | ||||
Code commune | 33190 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Goualadais | ||||
Population municipale |
86 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 5,1 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 18âČ 45âł nord, 0° 08âČ 35âł ouest | ||||
Altitude | Min. 74 m Max. 143 m |
||||
Superficie | 17,00 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Sud-Gironde | ||||
LĂ©gislatives | NeuviĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | cc-captieux-grignols.fr/mairie_goualade | ||||
Ses habitants sont appelés les Goualadais[1].
GĂ©ographie
Localisation
- 1Carte dynamique
- 2Carte Openstreetmap
- 3Carte topographique
- 4Carte avec les communes environnantes
Située dans les Landes de Gascogne (Haute-Lande-Girondine), la commune se trouve à 74 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 31 km au sud-sud-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 13 km à l'est-nord-est de Captieux, ancien chef-lieu de canton[2].
Communes limitrophes
Les communes limitrophes en sont Marions au nord-nord-est, Saint-Martin-Curton (Lot-et-Garonne) au nord-est, Saint-Michel-de-Castelnau au sud-est, Giscos au sud et Lerm-et-Musset au nord-ouest.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Captieux », sur la commune de Captieux, mise en service en 1974[9] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 907,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, dans le dĂ©partement des Landes, mise en service en 1945 et Ă 55 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 13,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 13,9 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Goualade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (91,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (91,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (81,4 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (10 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,6 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La principale voie de communication routiĂšre est la route dĂ©partementale D 12 qui traverse le bourg et mĂšne vers le nord-ouest Ă Lerm-et-Musset et au-delĂ Ă Bazas et vers le sud-est Ă Saint-Michel-de-Castelnau puis vers l'est Ă Casteljaloux (Lot-et-Garonne) ; l'est du territoire communal est traversĂ© par la route dĂ©partementale D 10 qui peut ĂȘtre gagnĂ©e, depuis le bourg, par la route dĂ©partementale D 10e14 et qui relie Grignols au nord-est Ă Giscos au sud-ouest et au-delĂ Captieux vers l'ouest.
L'accĂšs Ă l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de 4 La RĂ©ole qui se situe Ă 28 km vers le nord-nord-est.
L'accĂšs 1 Bazas Ă l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă 19 km vers le nord-ouest.
La gare SNCF la plus proche est celle de Langon, sur la ligne Bordeaux - SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine, qui se situe Ă 31 km vers le nord-ouest.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Goualade est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2008 et 2009[24] - [22].
Goualade est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[25]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[26] - [27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 63,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 72 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 58 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 81 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Toponymie
Goualade dérive directement du latin aqua lata "large cours d'eau". En effet, en passant au gascon, le son [kw] se sonorise en [gw], et le t intervocalique donne d[30].
Histoire
Ă la RĂ©volution, la paroisse Saint-Seurin de Goualade forme la commune de Goualade[31].
Politique et administration
Communauté de communes
Le , la communauté de communes de Captieux-Grignols ayant été supprimée, la commune de Goualade s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Bazadais siégeant à Bazas.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[33].
En 2020, la commune comptait 86 habitants[Note 6], en diminution de 20,37 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- L'église Saint-Antoine, de style roman, fut initialement construite vers le XIIe ; elle comporte, entre autres, une nef voûtée en berceau, un chevet en berceau brisé et des bas-cÎtés de style gothique voûtés d'ogives ; elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1925[36].
- La bergerie ronde, construite en forme circulaire vers la fin du XVIIIe siĂšcle ou le dĂ©but du XIXe, fut tronquĂ©e et devint ovale ultĂ©rieurement ; il s'agirait de la derniĂšre bergerie courbe du pays landais ; ce bĂątiment unique vient d'ĂȘtre restaurĂ© et est Ă©galement inscrit au titre des monuments historiques depuis 1992[37].
- Façade ouest de l'église Saint-Antoine (août 2012)
- Vue sud de l'église Saint-Antoine (août 2012)
- Vue sud-est de l'église (août 2012)
- La bergerie ronde (août 2012)
- Intérieur de la bergerie (août 2012)
- Vue de l'intérieur de la bergerie (août 2012)
- Le monument aux morts derriÚre l'église (août 2012)
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Goualade », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Goualade sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Nom des habitants de Goualade sur le site habitants.fr, consulté le 22 août 2012.
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 68,3 km pour Bordeaux, 28 km pour Langon et 9,2 km pour Captieux. Données fournies par lion1906.com, consulté le 23 août 2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Captieux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Goualade et Captieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Captieux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Goualade et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Goualade », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
- « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Goualade », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Boyrie-FĂ©niĂ© (B.), Dictionnaire toponymique des communes, Gironde, InĂc/CAIRN, 2008.
- Historique des communes, p. 24, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 5 avril 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Inscription de l'église Saint-Antoine », notice no PA00083561, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 22 août 2012.
- « Inscription de la bergerie », notice no PA00083916, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 22 août 2012.