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Goualade

Goualade (Gualada en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Goualade
Goualade
La mairie (août 2012).
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Bazadais
Maire
Mandat
René Cardoit
2020-2026
Code postal 33840
Code commune 33190
DĂ©mographie
Gentilé Goualadais
Population
municipale
86 hab. (2020 en diminution de 20,37 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 5,1 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 18â€Č 45″ nord, 0° 08â€Č 35″ ouest
Altitude Min. 74 m
Max. 143 m
Superficie 17,00 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Sud-Gironde
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Goualade
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Goualade
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Goualade
Liens
Site web cc-captieux-grignols.fr/mairie_goualade

    Ses habitants sont appelés les Goualadais[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies de la commune
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    SituĂ©e dans les Landes de Gascogne (Haute-Lande-Girondine), la commune se trouve Ă  74 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  31 km au sud-sud-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et Ă  13 km Ă  l'est-nord-est de Captieux, ancien chef-lieu de canton[2].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Marions au nord-nord-est, Saint-Martin-Curton (Lot-et-Garonne) au nord-est, Saint-Michel-de-Castelnau au sud-est, Giscos au sud et Lerm-et-Musset au nord-ouest.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 874 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Captieux », sur la commune de Captieux, mise en service en 1974[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 907,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, dans le dĂ©partement des Landes, mise en service en 1945 et Ă  55 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Goualade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (91,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (91,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (81,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (10 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La principale voie de communication routiĂšre est la route dĂ©partementale D 12 qui traverse le bourg et mĂšne vers le nord-ouest Ă  Lerm-et-Musset et au-delĂ  Ă  Bazas et vers le sud-est Ă  Saint-Michel-de-Castelnau puis vers l'est Ă  Casteljaloux (Lot-et-Garonne) ; l'est du territoire communal est traversĂ© par la route dĂ©partementale D 10 qui peut ĂȘtre gagnĂ©e, depuis le bourg, par la route dĂ©partementale D 10e14 et qui relie Grignols au nord-est Ă  Giscos au sud-ouest et au-delĂ  Captieux vers l'ouest.

    L'accĂšs Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de Sortie 4 La RĂ©ole qui se situe Ă  28 km vers le nord-nord-est.
    L'accĂšs Sortie 1 Bazas Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă  19 km vers le nord-ouest.

    La gare SNCF la plus proche est celle de Langon, sur la ligne Bordeaux - SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine, qui se situe Ă  31 km vers le nord-ouest.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Goualade est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2008 et 2009[24] - [22].

    Goualade est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[25]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[26] - [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Goualade.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 63,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 72 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 58 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 81 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Toponymie

    Goualade dérive directement du latin aqua lata "large cours d'eau". En effet, en passant au gascon, le son [kw] se sonorise en [gw], et le t intervocalique donne d[30].

    Histoire

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-Seurin de Goualade forme la commune de Goualade[31].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 Henri Lacampagne
    mars 2008 mars 2014 Alain Aucoin
    mars 2014 En cours René Cardoit LR Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le , la communauté de communes de Captieux-Grignols ayant été supprimée, la commune de Goualade s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Bazadais siégeant à Bazas.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[33].

    En 2020, la commune comptait 86 habitants[Note 6], en diminution de 20,37 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    235239224304346342340326330
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    398381361325311287318304311
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    307316323278257226206206196
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    192152115797677818198
    2017 2020 - - - - - - -
    9186-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Façade ouest de l'Ă©glise Saint-Antoine (aoĂ»t 2012)
      Façade ouest de l'église Saint-Antoine (août 2012)
    • Vue sud de l'Ă©glise Saint-Antoine (aoĂ»t 2012)
      Vue sud de l'église Saint-Antoine (août 2012)
    • Vue sud-est de l'Ă©glise (aoĂ»t 2012)
      Vue sud-est de l'église (août 2012)
    • La bergerie ronde (aoĂ»t 2012)
      La bergerie ronde (août 2012)
    • IntĂ©rieur de la bergerie (aoĂ»t 2012)
      Intérieur de la bergerie (août 2012)
    • Vue de l'intĂ©rieur de la bergerie (aoĂ»t 2012)
      Vue de l'intérieur de la bergerie (août 2012)
    • Le monument aux morts derriĂšre l'Ă©glise (aoĂ»t 2012)
      Le monument aux morts derriÚre l'église (août 2012)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de Goualade sur le site habitants.fr, consulté le 22 août 2012.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 68,3 km pour Bordeaux, 28 km pour Langon et 9,2 km pour Captieux. DonnĂ©es fournies par lion1906.com, consultĂ© le 23 aoĂ»t 2012.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Captieux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Goualade et Captieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Captieux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Goualade et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Goualade », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    26. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    27. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Goualade », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. Boyrie-FĂ©niĂ© (B.), Dictionnaire toponymique des communes, Gironde, InÒc/CAIRN, 2008.
    31. Historique des communes, p. 24, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 5 avril 2013.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Inscription de l'église Saint-Antoine », notice no PA00083561, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 22 août 2012.
    37. « Inscription de la bergerie », notice no PA00083916, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 22 août 2012.
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