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Gambsheim

Gambsheim, Gambse en alsacien , est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Gambsheim
Gambsheim
La mairie.
Blason de Gambsheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Haguenau-Wissembourg
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Rhénan
Maire
Mandat
Hubert Hoffmann
2020-2026
Code postal 67760
Code commune 67151
DĂ©mographie
Gentilé Gambsemer , Gambsheimois, Gambsheimoises
Population
municipale
5 164 hab. (2020 en augmentation de 11,13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 297 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 41′ 35″ nord, 7° 53′ 03″ est
Altitude Min. 126 m
Max. 131 m
Superficie 17,38 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Gambsheim
(ville isolée)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Brumath
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Gambsheim
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Gambsheim

    GĂ©ographie

    Gambsheim, avec ses 1 736 hectares, fait partie des agglomĂ©rations du Ried du Nord qui s’égrènent le long du Rhin. La commune est Ă©loignĂ©e de 18 km de la capitale alsacienne Strasbourg et de km du fleuve le Rhin. Son altitude oscille entre 128 et 131 mètres. Au dernier recensement en 2020, le bourg comptait plus de 5 164 habitants. A partir du 19 janvier 2023, le recensement de la population vas ĂŞtre refaite. Le risque de conurbation entre Gambsheim, Kilstett et la Wantzenau est Ă©levĂ© selon l'ADEUS[1].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Gambsheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 2] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Gambsheim, une unitĂ© urbaine monocommunale[5] de 4 883 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,9 %), eaux continentales[Note 4] (15 %), zones urbanisées (11 %), forêts (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Transports

    Réseau express métropolitain (REM), d'après l'association ASTUS.

    Depuis 1975, le barrage hydro-électrique de Gambsheim, réalisation franco-allemande, comprend une liaison routière entre les deux pays. Sur le musoir central de la voie routière surmontant le barrage, un monument dédié à Robert Schuman commémore cette première réalisation des deux États.

    La commune est une Ă©tape sur la VĂ©loroute Rhin EV 15 (1 320 km) qui relie la source du Rhin, situĂ©e Ă  Andermatt en Suisse, Ă  son embouchure Ă  Rotterdam.

    Elle est située sur l'autoroute A35 et sur l'axe ferroviaire Strasbourg-Lauterbourg.

    Environnement

    La commune abrite l'une des deux plus grandes passes à poisson d'Europe (en 2013) (l'autre étant celle d'Iffezheim un peu plus en aval, côté allemand). Elle trouve son origine dans un accord franco-allemand visant le retour et/ou la réintroduction des saumons et autres migrateurs après la pollution du Rhin par l'accident de l'usine Sandoz[12]. Cette passe située à 15 km au nord de Strasbourg a été construite après celle d'iffezheim, en bénéficiant de son retour d'expérience. Son « débit d'attrait » est de 15 m3/s (pour un dénivelé de 10 mètres). Elle contient un dispositif de piégeage, un système de vidéosurveillance (qui a notamment permis de filmer la remontée de silures), et un espace d'accueil du public. Les travaux ont commencé en 2004 sous maîtrise d'œuvre du centre d'Ingénierie hydraulique d'EDF pour une mise en eau en mars 2006[12].
    Dans la continuitĂ© Ă©cologique de la passe d'Iffezheim, et dans le cadre du rĂ©seau Ă©cologique paneuropĂ©en (rĂ©cemment renommĂ© « infrastructure verte »), et en France dans le cadre de la « trame bleue », dimension structurante de la trame verte et bleue, cette passe permet Ă  certains poissons migrateurs de remonter plus près de sources et petites rivières considĂ©rĂ©es comme ayant un haut potentiel d'accueil de grands migrateurs[12]. Selon les comptages, vers 2010, environ 20 000 poissons franchissent chaque annĂ©e cet ouvrage (de 50 Ă  100 saumons, plus de 200 truites de mer et plusieurs centaines d’autres migrateurs)[12]. Ces chiffres sont encore modestes par rapport aux centaines de milliers ou millions de saumons pĂŞchĂ©s chaque annĂ©e sur certains fleuves dans les siècles prĂ©cĂ©dents[13] - [14], mais ils contribuent Ă  se rapprocher des objectifs de « bon Ă©tat Ă©cologique » de la directive cadre sur l'eau.

    Histoire

    Première citation

    Le village, bâti dans un méandre du Rhin, est très ancien. C’est la proximité d’un passage à gué du fleuve qui a dû retenir les premiers habitants. Des trouvailles de l’âge de bronze, des époques gallo-romaine et mérovingienne confirment l’existence d’un habitat bien antérieur à sa première citation. C’est une charte du 16 avril 748 qui dénomme le lieu « Gamhpine ». Boron de la famille des Étichonides, duc d’Alsace, cède le village avec champs, prés, forêts et prairies aux moines du couvent de Honau situé sur une île du Rhin à 5 km en amont. En 884, l’empereur Charles le Gros, confirme cette donation et dénomme le village « Gamanesheim ». En même temps apparaît pour la première fois « Biura », Bettenhoffen, aujourd’hui englobé par Gambsheim. Le hameau tiendra le rôle de cité paroissiale jusqu’au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Nommé « Bethof » en 1265, il abritait déjà une église qui servait de paroisse à Gambsheim, Kilstett et Bettenhoffen.

    Se trouvant au centre du village, la Mairie est l’une des rares d’Alsace à être construite entièrement en pans de bois et surmontée d’un beffroi. Une première maison communale appelée « die Laube » fut la proie des flammes dans le grand incendie de 1717. La maison communale fut reconstruite au même endroit mais subit des dommages durant l’invasion de 1813-14. La mairie actuelle fut construite en 1823 et porte une inscription sur le poteau d’angle. Jusqu’en 1954, le rez-de-chaussée servait d’école. Le bâtiment subit des dommages en 1945 et perdit son clocheton à bulbe d’oignon. Véritable joyau de notre village, elle fut modernisée à l’intérieur en 2008 pour la rendre à la fois plus fonctionnelle et plus accueillante, ce bâtiment public fait la fierté de toute la population.

    Donné en gage

    En 1290, les moines quittèrent l’abbaye de Honau ruinée par les flots du Rhin pour s’établir sur une île du Rhin à Rhinau, les propriétés revinrent à l’évêque de Strasbourg qui les incorpora dans le bailliage de La Wantzenau. Par suite de difficulté, le village fut donné en gage en 1398 à Reinbold Huffel, chevalier, et à Nicolas Merschwin, prêteur de Strasbourg. En 1420, la moitié passa à Wirich de Hohenbourg et à Jean Knapp de Strasbourg pour la somme de 1 420 florins. L’autre moitié fut cédée en 1453 pour 1 300 florins à Conrad Bock, écuyer. La première moitié de cet engagement fut rachetée par le Grand Chapitre en 1435 et la seconde en 1468.

    Guerres et pillages

    Par le passage de nombreuses troupes dans ce couloir rhénan, au cours de l’Histoire, la commune a beaucoup souffert. En 1388, les troupes du Margrave de Bade mettent le village en flammes. Durant la guerre des Voleurs en 1587, le village fut pillé, de même qu’en 1592 durant la guerre des Évêques. Mais la plus importante fut la guerre de Trente Ans. À l'approche de la soldatesque de Mansfeld en hiver 1622, la population se réfugia sur les îles du Rhin et en Pays de Bade et ne revint qu’à Noël. Quatre-vingts maisons et écuries furent incendiées. Lors de l’invasion suédoise en 1636, elle occupe à nouveau les îles du Rhin. Après les misères de cette guerre, la piété chrétienne dédia la chapelle au nord du village à la Vierge Douloureuse. Les courtes incursions de la guerre de Succession d’Espagne et d’Autriche au XVIIIe siècle rechasseront les villageois sur les îles du Rhin. Durant la période révolutionnaire, le 1er décembre 1793, Desaix lance une attaque contre les Autrichiens qu’il repousse jusqu’à Offendorf ; et le 1 floréal de l’an V (20 avril 1797) les troupes de Moreau jetèrent un pont sur le Rhin à Gambsheim pour venir en aide à l’armée d’Italie.

    XXe siècle

    Plus proche de nous, au début de la Seconde Guerre mondiale, toute la population fut évacuée en Haute-Vienne, et ce n’est qu’au mois d’août 1940 qu’elle retrouve son village. Pareil sort les attendra en janvier 1945, où tous les habitants furent déportés de l’autre côté du Rhin pour ne revenir qu’au mois d’avril. Plongée dans la guerre, fin novembre 1944, la commune libérée par les Américains le 8 décembre fut reconquise le 5 janvier 1945 par la « tête de pont de Gambsheim ». Durant les combats de novembre-décembre 1944 et de janvier 1945, le village fut très meurtri. Le gouvernement reconnaît les mérites des habitants de la commune de Gambsheim et la cite à l’ordre de « la Croix de Guerre avec étoile de vermeil ». Il faudra vingt ans pour réparer et reconstruire la commune sinistrée. L’aspect typique qu’offrait le centre du village a beaucoup souffert. Quelques îlots de maisons alsaciennes et surtout place de la Mairie, sont très bien conservés. L’église de style baroque datant de 1763, fortement endommagée, ne fut plus reconstruite à Bettenhoffen mais au centre de la grande agglomération que l’urbaniste Fernand Guri a projetée. La nouvelle église et son campanile élancé est la plus belle œuvre réalisée par les reconstructeurs. L’église, entièrement réalisée avec l’or gris du sol de Gambsheim, ainsi que les ouvrages du bief, donnent aux visiteurs le vrai cachet d’une commune rhénane.

    Dans les années 70, la construction de deux réacteurs nucléaires avait été envisagée, pour finalement être abandonnée[15].

    HĂ©raldique

    Blason de Gambsheim

    Les armes de Gambsheim se blasonnent ainsi :
    « De gueules au fer de flèche d'or. »[16].

    Les armoiries de la commune « de gueules au fer de flèche d’or posé en pal » figurent sur un sceau communal de l’année 1588. Un premier blason attribué en 1697 à la « communauté de Gambsheim » comportait saint Nazaire et saint Celse, les patrons de la paroisse. Un nouveau blason redessiné conforme à l’ancien paru en 1900 fut employé par la municipalité jusqu’en 1965. Après la Seconde Guerre mondiale, sur proposition de la commission héraldique départementale, les armoiries furent simplifiées en ne retenant que le « fer de flèche ». Depuis 1948, son écu est orné de la « Croix de Guerre avec Étoile de Vermeil ».

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Paul Guck
    Victor Jung
    Raymond Nonn MĂ©decin
    Robert Jund
    Les données manquantes sont à compléter.
    Paul Hommel
    En cours
    (au 31 mai 2020)
    Hubert Hoffmann [17]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    DVD Cadre du secteur public
    Président de la CC de Gambsheim-Kilstett (? → 2014)
    Vice-président de la CC du Pays Rhénan (2014 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelage

    Rheinau (RFA) depuis le 22 juin 2019[18]

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

    En 2020, la commune comptait 5 164 habitants[Note 5], en augmentation de 11,13 % par rapport Ă  2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2451 2231 1871 5331 7251 8421 9051 9672 016
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 8972 0112 0251 9001 8701 9181 8831 9131 909
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9201 9912 0692 1732 3202 3662 2862 1312 406
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 8343 1423 8133 9483 7073 8584 3124 3774 572
    2017 2020 - - - - - - -
    4 8835 164-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Saints-Nazaire-et-Celse.
    • Plan d'eau le Massetti.
    • La passe Ă  poissons sur le Rhin[23].
    • Écluses de Gambsheim[24].
    • Centrale hydroĂ©lectrique de Gambsheim, sur le Rhin. Mise en service en 1967, elle fournit une puissance de 141 MW.
    • Centre sportif et culturel l'EcRhin[25]

    Personnalités liées à la commune

    • Ignace Leybach (1817-1891), compositeur, pianiste, organiste, y est nĂ©.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Il s'agit du quartier de Freistett.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. [PDF] ADEUS: référentiel paysage Ried-Nord sur bas-rhin.fr Voir pp. 67 et 79.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Gambsheim », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Ministère français de l'environnement Passe à poissons Gambsheim (incluant une vidéo présentant le site ; wikhydro, consulté 2013-10-17
    13. MR Vibert (1943), "Protection du saumon, possibilités de réacclimatation", Bulletin français de pisciculture, 15e année, n° 128, janv-mars 1943 (Extrait : 1re page/archives ONEMA
    14. Louis Roule (1914) Traité raisonné de la pisciculture et des pêches, Éditeur :J.-B. Baillière et fils, 1914 734 pages
    15. Fermeture de Fessenheim : enfin ça se précise... sur sortirdunucleaire.org
    16. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    17. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    18. (de) Ellen Matzat, Rheinau und Gambsheim fiebern der Unterzeichnung der Städtepartnerschaft entgegen, Kehler Zeitung, .
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. La passe Ă  poissons sur le site de la mairie de Gambsheim.
    24. Fiche de l'Ă©cluse de Gambsheim sur le site de fr.structurae.de.
    25. « EcRhin », sur Commune de Gambsheim (consulté le )
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