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Kilstett

Kilstett est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Kilstett
Kilstett
Maison alsacienne.
Blason de Kilstett
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Haguenau-Wissembourg
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Rhénan
Maire
Mandat
Francis Laas
2020-2026
Code postal 67840
Code commune 67237
DĂ©mographie
Population
municipale
2 503 hab. (2020 en diminution de 2,38 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 363 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 40â€Č 35″ nord, 7° 51â€Č 24″ est
Altitude Min. 126 m
Max. 131 m
Superficie 6,9 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Kilstett
(ville isolée)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Brumath
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Kilstett
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Kilstett
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Kilstett
GĂ©olocalisation sur la carte : Grand Est
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Kilstett

    Ses habitants sont appelés les Kilstettois et Kilstettoises.

    GĂ©ographie

    Kilstett est situĂ©e Ă  environ 15 km au nord de Strasbourg. Le village possĂšde une gare SNCF sur la ligne Strasbourg - Lauterbourg, entre La Wantzenau et Gambsheim. Il est situĂ© sur la VĂ©loroute Rhin EV 15 (1 320 km) qui relie la source du Rhin, situĂ©e Ă  Andermatt en Suisse, Ă  son embouchure Ă  Rotterdam. Le risque de conurbation entre La Wantzenau, Kilstett et Gambsheim est Ă©levĂ© selon l'ADEUS[1]. La construction d'un lotissement au nord de la ville de La Wantzenau, au lieu-dit Schwemmloch[2], en direction de Kilstett, renforce cette hypothĂšse.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Kilstett est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Kilstett, une unitĂ© urbaine monocommunale[6] de 2 510 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (82,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (77,4 %), zones urbanisĂ©es (18,5 %), forĂȘts (3,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,2 %), eaux continentales[Note 3] (0,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[12].

    Histoire

    Bataille de Kilstett (janvier 1945)

    En janvier 1945, pendant la Seconde Guerre mondiale, une contre-offensive lancĂ©e par l'armĂ©e allemande pour tenter de reprendre Strasbourg fut stoppĂ©e lors de la bataille de Kilstett. Les Allemands lancent l'opĂ©ration « Nordwind » pour reprendre Strasbourg : les combats ont lieu au nord et au sud de la ville et Kilstett est le lieu de dĂ©fense de ses accĂšs : les Allemands sont contenus quand la 1re ArmĂ©e dĂ©cide de faire venir des Vosges des Ă©lĂ©ments d'artillerie du 67e RA, en appui Ă  la Wantzenau et HƓrdt, pour protĂ©ger le 3e rĂ©giment de Tirailleurs AlgĂ©riens, le 7e chasseurs, le 1er rĂ©giment de Marche de la LĂ©gion ÉtrangĂšre, et le 3e Spahis[13] - [14].

    « Le au matin, alors que la 1re armĂ©e française est tout entiĂšre au contact dans la poche de Colmar, de Lattre, ayant reçu l'ordre d'inclure Strasbourg dans la zone de son armĂ©e, dĂ©cide aussitĂŽt d'y envoyer le gĂ©nĂ©ral Guillaume avec sa 3e DIA. Mais cette grande unitĂ©, alors sur la ligne des crĂȘtes vosgiennes, ne pourra rejoindre que le en fin de journĂ©e. Or la menace sur Strasbourg se prĂ©cise. Dans la nuit du 4 au 5 - selon un renseignement F.F.I. -, l'ennemi a entrepris la construction d'un pont devant Gambsheim afin de permettre Ă  ses blindĂ©s de traverser le Rhin. Le gĂ©nĂ©ral Schwartz, gouverneur militaire de Strasbourg, affirme qu'il se battra jusqu'au bout. Il ne dispose cependant que de trĂšs faibles forces : 4 escadrons de la garde rĂ©publicaine mĂ©diocrement armĂ©s, Ă  effectif trĂšs rĂ©duit (moins de 350 hommes) et des F.F.I. strasbourgeois. Les 4 unitĂ©s de la garde rĂ©publicaine (...) constituaient, sous les ordres du chef d'escadron Daucourt, un groupement articulĂ© en 2 sous groupements :

    • le 3e et le 5e escadron d'une part ;
    • le 4e et le 8e escadron d'autre part.

    Chaque escadron avait créé un groupe franc qui patrouillait la nuit ou tenait des observatoires avancés vers le Rhin.

    Pour cette mission trĂšs dangereuse, le chef d'escadron Daucourt dĂ©signe les 4e et 8e escadrons, renforcĂ©s par un peloton du 5e escadron, soit Ă  peine 200 hommes. Liaison est aussitĂŽt prise avec les F.F.I. locaux et avec un Ă©lĂ©ment amĂ©ricain qui se trouve encore lĂ  en arriĂšre-garde du repli amorcĂ©. (...) La progression aidĂ©e par les F.F.I. de Kilstett dĂ©marre Ă  15 h 15, sur un terrain dĂ©couvert et absolument plat. À 600 mĂštres du premier objectif - Bettenhoffen - les premiers Ă©lĂ©ments sont pris sous le feu d'armes automatiques. Plusieurs gardes rĂ©publicains sont blessĂ©s. MalgrĂ© l'absence totale de feux de soutien ami, la progression continue sous un violent tir d'artillerie et de mortiers. Le lieutenant Cambours, commandant le 4e escadron, tombe mortellement frappĂ©. Son adjoint, le lieutenant PerrĂ© est griĂšvement blessĂ©. Les escadrons manƓuvrent pour dĂ©border la rĂ©sistance allemande. Vers 16 h 30, les tirs d'artillerie ennemis s'intensifient, tuant 3 gardes rĂ©publicains et en blessant encore plusieurs autres. MalgrĂ© tout, la progression se poursuit. 2 blessĂ©s refusent de se faire Ă©vacuer. Il s'agit du garde Barjolet, le visage ravagĂ© par un Ă©clat d'obus et du garde Martin, qui, un Ɠil crevĂ© et un bras fracassĂ©, doit faire l'objet d'un ordre ferme pour aller se faire soigner. En dĂ©pit de l'opposition acharnĂ©e de l'ennemi, les abords de Bettenhoffen sont atteints. Cependant, devant la supĂ©rioritĂ© Ă©crasante des tirs adverses et la diminution inquiĂ©tante des munitions, le repli est dĂ©cidĂ©. Les gardes dĂ©crochent sous un feu d'enfer et viennent se rĂ©installer dĂ©fensivement devant Kilstett, ramenant avec eux les blessĂ©s et mourants. La nuit tombe, troublĂ©e de rafales de mitrailleuses et d'explosions d'obus, tandis que de menaçants grondements de chars ennemis laissent prĂ©sager l'attaque au petit jour. Celle-ci ne se produira cependant pas. Les Allemands ont Ă©tĂ© « bluffĂ©s » par l'ardeur combative des gardes et par ailleurs, l'artillerie amĂ©ricaine alertĂ©e, a dĂ©truit le pont en construction devant Gambsheim, interdisant ainsi aux panzers la traversĂ©e du Rhin. En lieu et place d'une attaque allemande, c'est une compagnie amĂ©ricaine arrivĂ©e le Ă  7 h qui tente aussitĂŽt, avec 3 chars et la garde rĂ©publicaine en accompagnement, de poursuivre l'opĂ©ration commencĂ©e la veille. Cette colonne ne peut percer mais ramĂšne une centaine de prisonniers allemands. Les gardes les font parler et apprennent avec stupĂ©faction - mais non sans fiertĂ© - qu'avec 200 hommes Ă  peine ils ont rĂ©ussi Ă  tenir en Ă©chec la tĂȘte de pont ennemie comprenant 1 600 combattants aguerris (...). Ce renseignement exalte le moral de tous sans cependant estomper le lourd tribut des pertes subies :

    • 1 officier tuĂ© : lieutenant Georges Cambours ;
    • 3 gardes tuĂ©s : Émile Barbin, Fernand Kember et IrĂ©nĂ©e Lannoy ;
    • 1 officier trĂšs griĂšvement blessĂ© : lieutenant PerrĂ© (devenu gĂ©nĂ©ral en 1977) ;
    • 15 gradĂ©s et gardes blessĂ©s, la plupart griĂšvement.

    (...) La gendarmerie a fait élever, avec le concours des habitants du village, une stÚle solennellement inaugurée le et devant laquelle la gendarmerie d'Alsace célÚbre chaque année les combats de par une prise d'armes commémorative. »

    — Extrait de l'article rĂ©digĂ© par le lieutenant colonel (er) Lallemant Claude "Kilstett, 5 janvier 1945, La gendarmerie gardienne du serment de Koufra", SNAAG Magazine no 274, avril 2006, p. 17-18)

    Contrairement Ă  ce qui est dit ci-dessus, ce n'est pas une compagnie amĂ©ricaine qui est arrivĂ©e en renfort au matin du mais des Ă©lĂ©ments de la 8e compagnie de marche du Tchad, unitĂ© de la 2e D.B. du gĂ©nĂ©ral Leclerc. Au cours des combats furent tuĂ©s, entre autres, l'adjudant Groetz et le caporal Saussier. À l'origine, la 8e compagnie du rĂ©giment de marche du Tchad fut crĂ©Ă©e avec une unitĂ© de F.F.I. du XVe arrondissement de Paris nommĂ©e « Escadron de Vaugirard ».

    À l'issue de la bataille, le gĂ©nĂ©ral de Lattre de Tassigny, commandant en chef de la 1re ArmĂ©e française, cite Ă  l’ordre de l'ArmĂ©e le 2e bataillon du 3e rĂ©giment de tirailleurs algĂ©riens de la 3e DIA et Ă  l'ordre du corps l'armĂ©e, son 3e bataillon :

    « Magnifique bataillon qui, sous les ordres du chef de bataillon de ReyniĂšs, s’est montrĂ© aussi ardent et manƓuvrier dans l’attaque qu’obstinĂ© et inĂ©branlable dans la dĂ©fense. [...] Les 7 et , s’est rĂ©solument portĂ© Ă  l’attaque de Bettenhoffen dĂ©fendu par un ennemi puissamment retranchĂ©. Est parvenu au prix de pertes sĂ©vĂšres Ă  mordre dans les dĂ©fenses avancĂ©es du village, Ă  faire 53 prisonniers. BloquĂ© par des tirs violents des armes automatiques ennemies, ne s’est retirĂ© de ses positions de dĂ©part que sur ordre et dans un ordre parfait, en brisant net les tentatives de poursuites de l’ennemi. Dans la nuit du 21 au , renforcĂ© par la 6e compagnie, a rĂ©sistĂ© victorieusement dans Kilstett, Ă  l’attaque de deux bataillons allemands appuyĂ©s par des chars ‘Panther’ et une puissante artillerie. ComplĂštement encerclĂ©, a rĂ©sistĂ© maison par maison, permettant ainsi Ă  la contre-attaque menĂ©e dans la matinĂ©e du d’arriver Ă  temps pour rĂ©tablir notre position. AussitĂŽt dĂ©gagĂ© a participĂ©, malgrĂ© sa fatigue, au nettoyage de Kilstett et de ses abords. A Ă©tĂ© ainsi l’un des meilleurs artisans de la dĂ©route du rĂ©giment de Marbach, qui a laissĂ© de nombreux cadavres et 4 chars sur le terrain, et 250 prisonniers entre ses mains. Par sa rĂ©sistance farouche, par son ardeur, a mis dĂ©finitivement un terme aux ambitions allemandes sur Strasbourg. »

    — Citation Ă  l'ordre du Corps d'ArmĂ©e attribuĂ©e au 3e bataillon du 3e R.T.A. lors de la bataille de Kilstett et de la dĂ©fense de Strasbourg

    « Magnifique Bataillon qui, sous les ordres du chef de bataillon Destremau, n'a cessĂ© de se distinguer par son habiletĂ© manƓuvriĂšre et sa tĂ©nacitĂ©. [...] Vient Ă  nouveau de prouver sa valeur dans la rĂ©gion nord de Strasbourg. Le , en dĂ©gageant au cours d'une brillante contre-attaque le 3/3 R.T.A. encerclĂ© dans Kilstett par deux Bataillons allemands appuyĂ©s par des panzers. Le , en s'emparant de Gambsheim Ă  la suite d'une remarquable manƓuvre d'inïŹltration, a permis ainsi de mettre dĂ©finitivement Strasbourg Ă  l'abri des visĂ©es allemandes. »

    — Citation Ă  l'ordre de l'ArmĂ©e attribuĂ©e au 2e bataillon du 3e R.T.A. lors de la bataille de Kilstett et de la dĂ©fense de Strasbourg, Ordre n° 1064 le 20 aoĂ»t 1945

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Arthur Sprauer URD Industriel
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Brumath (1934 → 1940)
    Les données manquantes sont à compléter.
    Charles Matter
    Germain Sprauer UDR puis RPR Ingénieur
    DĂ©putĂ© de la 9e circonscription du Bas-Rhin (1967 → 1986)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Brumath (1964 → 1988)
    Armand Hommel
    mai 2020 Gabriel Muller DVD Retraité de l'enseignement
    RĂ©Ă©lu en 2008[15]
    mai 2020 En cours Francis Laas [16]
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[18].

    En 2020, la commune comptait 2 503 habitants[Note 4], en diminution de 2,38 % par rapport Ă  2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    468490540670737730800771791
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    752758795799811777804780789
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8128488838919331 0041 0071 0031 063
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 1611 2571 5481 5101 4061 9232 2702 3692 555
    2018 2020 - - - - - - -
    2 4822 503-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    MĂ©morial de la bataille.
    L'Ă©glise Saint-Jean-l'ÉvangĂ©liste.
    • Monument Ă  la mĂ©moire des combattants de la bataille de Kilstett, rue des Hirondelles.
    • Monument des 5 Disparus, place du Souvenir-Français.
    • Monument de la Garde, Ă  l'entrĂ©e sud du village.
    • Plaque en mĂ©moire de la Task force Linden, rue de la ForĂȘt.
    • L'Ă©glise Saint-Jean.
    • Les calvaires.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Kilstett

    Les armes de Kilstett se blasonnent ainsi (depuis 2003) :
    « CoupĂ© : au 1er d’argent au crampon en forme de S de sable, au 2e de gueules plein. » [21] - [22]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. [PDF] ADEUS: référentiel paysage Ried-Nord sur bas-rhin.fr Voir pp. 67 et 79.
    2. Schwemmloch sur sers.eu
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Kilstett », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    13. Bataille de Kilstett (site de la ville)
    14. Amicale des anciens de la Résistance combattante du Bas-Rhin (ARC), La résistance et les combattants de la libération du Bas-Rhin. : Les FFI du commandant François, Strasbourg, , « Résistance sous l'occupation »
    15. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
    16. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. L'Armorial des villes et villages de France, http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=10209
    22. Site officiel de la Commune, http://www.kilstett.fr/tourisme_et_patrimoine/blason_31.php
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