HĆrdt
HĆrdt (prononcer [ĆÊt] ; Hördt en allemand) est une commune française situĂ©e dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la CollectivitĂ© europĂ©enne d'Alsace, en rĂ©gion Grand Est.
HĆrdt
Hördt | |
La mairie de Hoerdt. | |
Blason ville fr Hoerdt Bas-Rhin.svg | |
Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Haguenau-Wissembourg |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Basse-Zorn (siÚge) |
Maire Mandat |
Denis Riedinger 2020-2026 |
Code postal | 67720 |
Code commune | 67205 |
DĂ©mographie | |
GentilĂ© | HĆrdtois, HĆrdtoises [1] |
Population municipale |
4 586 hab. (2020 ) |
Densité | 277 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 48° 41âČ 50âł nord, 7° 47âČ 04âł est |
Altitude | Min. 128 m Max. 139 m |
Superficie | 16,56 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Hoerdt (ville isolée) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Brumath |
LĂ©gislatives | NeuviĂšme circonscription |
Localisation | |
GĂ©ographie
HĆrdt est situĂ©e dans la partie nord du Bas-Rhin entre Strasbourg et Brumath. La commune est traversĂ©e par la route dĂ©partementale 37 qui mĂšne, au nord, vers Bischwiller (Ă 10 km) et qui se raccorde Ă 3 km au sud Ă l'autoroute A35 sur la section Strasbourg-Lauterbourg. La dĂ©partementale 223, qui traverse le village d'est en ouest, relie La Wantzenau Ă Geudertheim et Brumath. La ligne TER Strasbourg - Haguenau - Niederbronn-les-Bains - Wissembourg dessert le village.
Communes limitrophes
Bietlenheim, Weyersheim | ||||
Geudertheim | N | Kilstett (CC Pays Rhénan) | ||
O HĆrdt E | ||||
S | ||||
Vendenheim (Eurométropole) | La Wantzenau (Eurométropole) |
Urbanisme
Typologie
HĆrdt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă l'unitĂ© urbaine de HĆrdt, une unitĂ© urbaine monocommunale[5] de 4 370 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (79,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (60,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (8,7 %), zones urbanisĂ©es (8,3 %), eaux continentales[Note 3] (4,5 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (4,1 %), prairies (3,3 %), forĂȘts (0,1 %)[10].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[11].
Transports
L'EuromĂ©tropole de Strasbourg entend dĂ©velopper les transports Ă la demande jusqu'Ă sa seconde couronne, et mĂȘme au-delĂ , car la commune de HĆrdt est incluse dans le dispositif[12] - [13].
Histoire
- En 1192, HĆrdt est citĂ©e pour la premiĂšre fois dans des documents officiels comme fief impĂ©rial du landgrave de Basse-Alsace sous le nom de Herde, qui signifie sol sec et inculte. Le village fait alors partie du Saint-Empire romain germanique, c'est-Ă -dire du premier empire allemand.
- Ă travers les siĂšcles, le village fut successivement la propriĂ©tĂ© de l'Ă©vĂȘchĂ© de Strasbourg, et de plusieurs familles nobles dont la famille des Hanau-Lichtenberg (Ă partir de 1570) et de leurs hĂ©ritiers, les Hesse-Darmstadt (de 1736 Ă la RĂ©volution française). HĆrdt faisait partie du bailliage de Brumath.
- En 1570, la RĂ©forme fut introduite en vertu du principe cujus regio, ejus religio , qui indique que les sujets doivent adopter la religion de leur prince.
- AprÚs avoir subi la guerre de Trente Ans, qui ravagea toute la région, et plus généralement une bonne partie de l'empire, la population eut à faire face, au XVIIe siÚcle, à deux incendies en 1669 et 1687, ainsi qu'aux guerres menées par Louis XIV.
- Au XVIIIe siĂšcle, pendant la guerre de Succession d'Espagne, de 1701 Ă 1714, HĆrdt garda rarement plus d'un an la mĂȘme nationalitĂ©. Toutefois, jusqu'Ă la RĂ©volution française et la Grande Fuite[14] de 1793, pendant la Terreur, une pĂ©riode de paix permit un lent accroissement de la population.
HĂ©raldique
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Les armes de HĆrdt se blasonnent ainsi : |
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Ăconomie
- La principale production agricole est la culture des asperges.
- AprĂšs avoir subi les Ă©preuves liĂ©es aux deux guerres mondiales et pleurĂ© 187 de ses enfants morts au combat, HĆrdt a su profiter de sa localisation gĂ©ographique pour se dĂ©velopper.
Les cultures maraĂźchĂšres, pratiquĂ©es dans le Ried, approvisionnent en grande partie, les marchĂ©s de la proche ville de Strasbourg. La mĂ©canisation de l'agriculture a conduit prĂšs de 800 HĆrdtois Ă chercher leur emploi dans les grandes et petites villes qui entourent HĆrdt. L'amĂ©nagement d'une zone industrielle a permis la crĂ©ation de prĂšs de 2 500 emplois au sud du village.
Face Ă la forte pression dĂ©mographique, une prudente politique d'urbanisation limite l'extension du village. La volontĂ© de la municipalitĂ© de conserver le caractĂšre rural de la commune reste inĂ©branlable, sans, toutefois, se cantonner dans un conservatisme rĂ©trograde. Cette volontĂ© se concrĂ©tise par l'amĂ©nagement d'un Ă©quipement culturel et sportif exemplaire. C'est ainsi que la construction d'un centre culturel en 1968, a permis la crĂ©ation de nombreuses activitĂ©s culturelles et sportives qui ont enrichi une vie associative dĂ©jĂ trĂšs active : l'amĂ©nagement de deux terrains de football supplĂ©mentaires, la construction d'une salle de sports avec une salle de judo et une autre pour la gymnastique, ainsi qu'un terrain de pĂ©tanque. Ces Ă©quipements ont Ă©tĂ© complĂ©tĂ©s par la construction dâune maison de retraite, dâune nouvelle mairie, dâune crĂšche garderie et la crĂ©ation dâune bibliothĂšque-mĂ©diathĂšque municipale, dâune nouvelle salle de sports et enfin dâun groupe scolaire unique.
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[19].
En 2020, la commune comptait 4 586 habitants[Note 4], en augmentation de 5,21 % par rapport Ă 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
BĂątiments
Ancienne mairie (1863), actuellement bibliothÚque, 1 rue de la République. Bùtiment de la communauté de communes de la Basse-Zorn,
34 rue de la Wantzenau.Ăcole Les Cigognes,
7 rue de la Wantzenau.Ăglise protestante,
rue de la Wantzenau.Ăglise catholique Saint-Sixte,
rue de l'Ăglise.PresbytĂšre catholique (XIXe),
7 rue de l'Ăglise.PresbytĂšre protestant (XVIIIe),
21 rue de la Wantzenau.
Quelques maisons alsaciennes
Ferme (1669),
10 rue de la RĂ©publiqueFerme (1683),
32 rue de la WantzenauFerme avec séchoir (XVIIe),
42 rue de la RĂ©publiqueFerme (1715),
39 rue de la RĂ©publiqueAncienne ferme (1723),
26 rue de la RĂ©publiqueGrange de la ferme (1723),
26 rue de la RĂ©publiqueFerme (1753),
38 rue de la RĂ©publiqueFerme (XVIIIe),
5 rue de la WantzenauFerme (XVIIIe),
15 rue du Cheval-NoirFerme (XVIIIe-XIXe),
21 rue de la RĂ©publique
Autres
Un musée de l'asperge voit le jour dans la commune. Le pasteur Louis Auguste Heyler cultive les asperges à Skikda (qui s'appelle Philippeville à l'époque). De retour en Alsace, le sol sableux l'incite à planter des graines d'asperge derriÚre le presbytÚre protestant[22]. C'est ainsi que la culture de l'asperge se développe.
Enseignement
- Ăcole maternelle "Les courlis.
- Groupe scolaire "Im Leh".
- CollĂšge "Baldung-Grien" : 475 Ă©lĂšves. (regroupe les communes de HĆrdt, Geudertheim, Bietlenheim et Weyersheim.
Loisirs
- BibliothĂšque municipale.
- Stade municipal de football et centre culturel.
- Sentier nature : il permet aux marcheurs, randonneurs ou cyclistes, de découvrir, tout au long d'un circuit d'environ 12 km, la biodiversité et l'écosystÚme autour du village.
- Parcours de santĂ© Ludisme et Ă©quilibre vital : situĂ© dans la forĂȘt de Geudertheim, il sâĂ©tend sur prĂšs de quatre kilomĂštres.
- Hippodrome de Strasbourg-HĆrdt.
- Centre socio-culturel
FĂȘtes et manifestations
- Carnaval : le carnaval de HĆrdt est lâun des Ă©vĂ©nements majeurs de la vie culturelle locale. Fort dâune soixantaine de chars et groupes, le cortĂšge dĂ©file chaque annĂ©e le jour du Mardi Gras dans les rues de HĆrdt. Il est prĂ©cĂ©dĂ© dâun bal costumĂ© le lundi soir.
Historique : Le premier cortĂšge a eu lieu en 1925-1926. En 1936, le carnaval de HĆrdt a connu son heure de gloire grĂące Ă un char trĂšs remarquĂ© reprĂ©sentant le paquebot Normandie, le plus luxueux des transatlantiques de son Ă©poque. AprĂšs une interruption pendant la Seconde Guerre mondiale, un nouveau dĂ©filĂ© fut improvisĂ© en 1950, Ă lâinitiative dâun groupe de copains. LâannĂ©e suivante, quatre dâentre eux fondent SâNĂ rre ComitĂ© (ComitĂ© des fous) qui va se charger de lâorganisation annuelle de cet Ă©vĂ©nement. En 1996, une Ă©quipe rajeunie reprend le flambeau. Une nouvelle association carnavalesque est crĂ©Ă©e : la Herrefasenacht (carnaval des Seigneurs).
- FĂȘte de l'Asperge : les fĂȘtes Ă caractĂšre gastronomique fleurissent en Alsace. Pierre vous y servira de bonnes biĂšres (celles qu'il ne boit pas).
Des coupures de journaux, conservĂ©es par certains HĆrdtois attestent de lâĂ©clat particulier de lâune ou lâautre SpĂ richelfeschd :
- la premiÚre manifestation de ce genre fut organisée en 1932 par la société locale de musique Harmonie.
- le dimanche , lâHarmonie de HĆrdt organisa « la FĂȘte de propagande de lâasperge » couplĂ©e avec une fĂȘte folklorique. Des invitĂ©s de marque : Gustave Stoskopf Fritz Stephan, auteurs de poĂšmes en dialecte et Gustave Burkhard furent accueillis Ă la gare du village par le maire Ottmann.
- la Seconde Guerre mondiale sonna le glas du SpĂ richelfeschd , qui devra attendre 1947 pour renaĂźtre ;
- une FĂȘte de lâasperge ultĂ©rieure aura pour invitĂ© dâhonneur la ConfrĂ©rie dâArgenteuil et sera animĂ©e par Annie Cordy ;
- le SpĂ richelfeschd de 1975 sâassurera le concours de la Musique municipale de Gries, de la Musique « Union » de Kilstett et des majorettes de Reichstett[23].
La sociĂ©tĂ© de musique continua dâorganiser annuellement la fĂȘte de lâasperge jusquâau milieu des annĂ©es 1990. En 1998, le comitĂ© du Cyclo-Club, crĂ©Ă© en 1992, estima quâon ne pouvait pas laisser HĆrdt sans sa fĂȘte de lâasperge et dĂ©cide alors de lâorganiser en coopĂ©ration avec la coopĂ©rative et un certain nombre de fermes. Actuellement, HĆrdt cĂ©lĂšbre sa fĂȘte de lâAsperge tous les deuxiĂšmes dimanches du mois de mai.
- Festival Basse Zorn' Live : chaque annĂ©e, courant mai, la communautĂ© de communes de la Basse Zorn organise le festival Basse Zorn' Live sur le site de l'hippodrome de Strasbourg-HĆrdt.
Jumelage
HĆrdt est jumelĂ©e avec BĂŒttelborn, une ville de Hesse en Allemagne, distante de 180 km, avec qui elle partage la culture de l'asperge, une similitude de terrains (ried ou zones humides), le Carnaval...
Vie sportive et associative
PrĂšs de 60 associations se partagent les installations du centre culturel et de son gymnase, du hall de tennis et de la salle de sport Jacques-Brandt.
L'AS HĆrdt Football Ă©volue depuis 4 annĂ©es en RĂ©gionale 3 Alsace.
Personnalités liées à la commune
- Louis Gustave Heyler (° 1836 â â 1904), pasteur qui a introduit l'asperge Ă HĆrdt en 1873[24]. Une rue du village porte le nom de Heyler et depuis 1992 l'une des ancienne Ă©cole primaire situĂ©e dans cette rue porte Ă©galement ce nom[25].
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « UnitĂ© urbaine 2020 de HĆrdt », sur https://www.insee.fr/ (consultĂ© le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Le transport en commun sur rĂ©servation qui vous rapprocheÇ Â» [PDF], sur CTS.
- « Eurométropole magazine n°27 » [CALAMEO], sur Eurométropole de Strasbourg, p. 6.
- [Cf. La grande fuite de dĂ©cembre 1793 et la situation politique et religieuse du Îas-Rhin de 1794 Ă 1799, Frans van Kalken & Rodolphe Reuss, Revue belge de philologie et d'histoire, 1924, vol. 3, n° 4, pp. 936-939.]
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
- [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
- « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'Ătat (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- DerniÚres Nouvelles d'Alsace, voir l'article « la capitale de l'asperge a son musée » en page 39 dans le journal en date du mercredi 5 fécrier 2020.
- HĆrdt notre village, Ăditions Corpus
- LÂŽasperge dÂŽAlsace.
- Site de l'Ă©cole Heyler Ă HĆrdt.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Pierre Hirlemann, Alfred Maechling, Doris Pflumio (et al.), HĆrdt, images d'une histoire, CarrĂ© Blanc Ă©ditions, Strasbourg, 2006, 263 p. (ISBN 2-84488-089-4)