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Gaël (Ille-et-Vilaine)

Gaël est une commune d'Ille-et-Vilaine, dans la région Bretagne, en France.

Gaël
Gaël (Ille-et-Vilaine)
Mairie de Gaël.
Blason de Gaël
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Communauté de communes de Saint-Méen Montauban
Maire
Mandat
Denis Levrel
2020-2026
Code postal 35290
Code commune 35117
DĂ©mographie
Gentilé Gaëlite
Population
municipale
1 620 hab. (2020 en diminution de 1,88 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 31 hab./km2
Population
agglomération
9 861 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 07â€Č 59″ nord, 2° 13â€Č 12″ ouest
Altitude 80 m
Min. 51 m
Max. 131 m
Superficie 52,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-MĂ©en-le-Grand
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montauban-de-Bretagne
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.mairie-gael.bzh

    GĂ©ographie

    Carte de la commune.

    La commune de Gaël est située en Ille-et-Vilaine à la limite du Morbihan et des CÎtes-d'Armor. Elle ne fait pas partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rennes. Les communes limitrophes sont Saint-Méen-le-Grand, Saint-Onen-la-Chapelle, Muel, Concoret, Saint-Léry, Mauron, Illifaut, et Loscouët-sur-Meu.

    Transports

    Ancien bùtiment voyageurs de la gare de Gaël.

    Gaël est située sur l'ancienne voie ferrée de la Ligne de Ploërmel à La BrohiniÚre, dont le trafic voyageurs a cessé depuis le [1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 755 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Mauron », sur la commune de Mauron, mise en service en 1969[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 761,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  38 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Gaël est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-MĂ©en-le-Grand, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (91,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19 %), prairies (15,9 %), forĂȘts (7,5 %), zones urbanisĂ©es (1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Guadel en 799, Wadel en 816, Vadel en 851, Wael en 1096, Gael dÚs 1112[22].

    Ernest NĂšgre, qui ne cite aucune forme ancienne, car il n'en connaĂźt pas, considĂšre que la forme moderne GaĂ«l peut suggĂ©rer un rapport avec le nom de personne breton GaĂ«l ou le nom d'un peuple gaĂ©lique[23], la commune se situant dans l'aire de diffusion de la toponymie bretonne. Toutefois, cette hypothĂšse est infirmĂ©e par l'analyse des formes anciennes du nom qui suggĂšre un emprunt au gallo-roman *WADELLU[24], lui-mĂȘme dĂ©rivĂ© du vieux bas francique *wad̄ « guĂ© » ou directement du germanique *wadilą (cf. vieux saxon widil, vieux norois vaĂ°ill, allemand Wedel) que l'on retrouve dans Wail (Pas-de-Calais, Wadhil 1066, Wail 1079, Guahil 1143)[24].

    Théophile Jeusset donne Gwazel comme nom breton de la localité. Ce dernier justifie sa création par l'ancienne forme de la localité, indiquant que la forme bretonne doit conserver la consonne intervocalique [d] (qui en breton est souvent changé en [z])[25]. La forme bretonne actuelle proposée par l'Office public de la langue bretonne est aussi Gwazel[22].

    Histoire

    Moyen Âge

    Saint MĂ©en fonda au VIIe siĂšcle le monastĂšre de Saint-Jean-de-GaĂ«l Ă  l'orĂ©e de la forĂȘt de BrocĂ©liande, sur les bords du Meu, lĂ  oĂč un seigneur local lui offrit une terre. C'est lĂ  qu'il accueillit notamment JudicaĂ«l, roi de DomnonĂ©e. Sa rĂ©putation de thaumaturge attira pendant longtemps des pĂšlerins venus parfois de loin, implorant la guĂ©rison du "mal de Saint MĂ©en", une espĂšce de lĂšpre ou de gale, en tout cas une maladie de peau, horrible Ă  voir. L'hospice de Saint-MĂ©en[26] Ă  Rennes, transformĂ© par la suite en hĂŽpital psychiatrique, recevait alors les pĂšlerins en route vers le monastĂšre de saint Jean de GaĂ«l. Le monastĂšre de GaĂ«l fut dĂ©truit en 811 par les troupes franques de Charlemagne, puis en 919 par les Vikings. Il fut reconstruit un peu plus au nord, en un lieu devenu depuis Saint-MĂ©en-le-Grand[27].

    Époque moderne

    Au XVIIIe siÚcle, deux foires se tenaient à Gaël : à la saint Symphorien le 22 août et à la saint Luc le 18 octobre.

    Révolution française

    La population de la commune est favorable aux changements apportĂ©s par la RĂ©volution française, surtout aprĂšs la fin de la Terreur. La principale fĂȘte rĂ©volutionnaire est celle cĂ©lĂ©brant l’anniversaire de l’exĂ©cution de Louis XVI, accompagnĂ©e d’un serment de haine Ă  la royautĂ© et Ă  l’anarchie, fĂȘtĂ©e Ă  partir de 1795[28].

    La PremiĂšre Guerre mondiale

    Le monument aux morts de GaĂ«l porte les noms de 126 soldats morts pour la France pendant la PremiĂšre Guerre mondiale[29]. Celui du Bran porte les noms de 15 soldats originaires de ce hameau morts pour la France au cours de la mĂȘme guerre[30].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de GaĂ«l porte les noms de 13 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[29]. Celui du Bran porte les noms de 2 soldats originaires de ce hameau morts pour la France au cours de la mĂȘme guerre[30].

    Pendant l'Occupation, l'aérodrome de Point-Clos, situé à proximité de la ville, emploie de nombreux villageois pour des travaux sur les pistes[31].

    L'aprĂšs Seconde Guerre mondiale

    Un soldat originaire de Gaël (François Gosmat) est mort pendant la Guerre d'Indochine et un autre (Marcel Moreul) pendant la Guerre d'Algérie[29].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1919 1933 Alexandre Villandre
    1933 1944 Aimé Guillotin
    1945 1965 Amédée Lepenant Vétérinaire
    1965 1968
    (décÚs)
    Germain Dubé
    mai 1968 mars 1983 René Salmon
    (1918-2000)
    DVG DĂ©lĂ©guĂ© dĂ©partemental de l'Éducation nationale
    Chevalier des Palmes académiques et du Mérite agricole
    RĂ©Ă©lu en 1971 et 1977
    mars 1983 juin 1995 Bernard Dahyot Coiffeur retraité
    juin 1995 août 1998
    (décÚs)
    Jean-Baptiste Guéneuc
    (1927-1998)
    Retraité agricole, ancien adjoint au maire
    août 1998 mars 2008 Daniel Amet
    (1942-2015)
    Agriculteur
    mars 2008 mars 2014 Claude Josse Cadre bancaire retraité
    mars 2014 En cours Denis Levrel[32] SE Chef d'entreprise

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[34].

    En 2020, la commune comptait 1 620 habitants[Note 7], en diminution de 1,88 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3352 2252 2122 4322 0552 1662 2252 2952 402
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3932 4342 4322 3732 5222 6412 7042 8622 874
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 8152 6542 7092 5662 6672 6932 5672 1052 038
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 8801 6731 5151 4841 4061 3511 5171 5641 637
    2018 2020 - - - - - - -
    1 6181 620-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Pierre de GaĂ«l.
    • Église Saint-Pierre (XIe-XIXe siĂšcle)[37]. Ancien prieurĂ© bĂ©nĂ©dictin dĂ©pendant de l’abbaye de Saint-MĂ©en, l’édifice prĂ©sente un plan en croix latine. Il est couvert de lambris. La nef et le chƓur datent du XIe siĂšcle[38]. La nef unique, Ă©paulĂ© par des contreforts, est Ă©clairĂ©e par d’étroites fenĂȘtres en forme de meurtirĂšres. Deux fenĂȘtres flamboyantes ont Ă©tĂ© percĂ©es ultĂ©rieurement sur son cĂŽtĂ© sud. Le chevet droit a trois contreforts plats sur le pignon ouest et deux fenĂȘtres murĂ©es[39]. La chapelle sud a Ă©tĂ© reprise au XVe siĂšcle, la chapelle nord au XVIIe siĂšcle. La sacristie a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e Ă  la mĂȘme Ă©poque. La façade ouest avec sa tour-porche a Ă©tĂ© construite par l'architecte Aristide Tourneux entre 1865 et 1870[38].
    • Chapelle de Louyat.
    • Le four Ă  pain communal restaurĂ© de façon traditionnelle.

    Arts et culture

    La ville parraine l'ETEC "Gaël" basé à Villacoublay[40].

    2006

    • CinĂ©potager #1 le par Labomobile (lieu-dit BĂ©nihel)
    • Les pas perdus de Raymond Hains du 30/09 au 05/11/2006 au Centre culturel de la gare de GaĂ«l.

    2011

    • Treiz #12, brocante et cinĂ©ma le par l'association rennaise TREIZ (lieu-dit BĂ©nihel)

    2019

    Le chĂąteau d’eau de GaĂ«l ornĂ© d’une fresque monumentale reprĂ©sentant le roi et saint JudicaĂ«l, rĂ©alisĂ© par l’artiste peintre globe trotter FrĂ©dĂ©ric Gracia.
    • Le chĂąteau d'eau de 28 mĂštres est dĂ©corĂ© dans sa totalitĂ© d'une fresque monumentale Ă  l'effigie de JudicaĂ«l Roi de DomnonĂ©e. ƒuvre rĂ©alisĂ©e par l'artiste FrĂ©dĂ©ric Gracia

    Personnalités liées à la commune

    • Colas Ricard, cinĂ©aste.
    • Raoul Ier de GaĂ«l, seigneur de GaĂ«l, XIe s.
    • Ange Porteux y est nĂ© le , auteur d'ouvrages sur la pĂȘche Ă  la ligne, de matĂ©riel de pĂȘche, en mer voire en eaux douces[41], dĂ©cĂ©dĂ© Ă  presque 105 ans dans le FinistĂšre (Penmarc'h ou Pont-l'AbbĂ©) († )[42].

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules Ă  la croix alĂ©sĂ©e d’argent, gringolĂ©e d’or.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Jean-Pierre Nennig, 2010, p. 197.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Mauron - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Gaël et Mauron », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Mauron - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Gaël et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. « Recherchez un nom de lieu : Gaël », sur la base Kerofis de l'Office Public de la Langue Bretonne.
    23. Ernest NĂšgre, Toponymie gĂ©nĂ©rale de la France : Ă©tymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, GenĂšve, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), n° 1932..
    24. Maurits Gysseling, « Gaël », dans François de Beaurepaire (préface de Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , p. 114.
    25. (br) ThĂ©ophile Jeusset, « ANVIOU-LEC'HIOU BREIZ-UHEL », Al Liamm,‎ , p. 58
    26. « Asile de Qaint-Méen », sur Wiki Rennes.
    27. Joseph Chardonnet, Rennes et la Haute-Bretagne, Ă©ditions France-Empire, .
    28. Louis Dubreuil, « FĂȘtes rĂ©volutionnaires en Ille-et-Vilaine », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 21, t. 4,‎ , p. 398-399.
    29. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=10308
    30. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=74452
    31. Julien Joly, « AĂ©rdrome de Point-Clos : de l'air Ă  la poussiĂšre », Mensuel de Rennes,‎ (ISSN 2101-8936, lire en ligne).
    32. « Denis Levrel Ă©lu maire, Ă  la tĂȘte du nouveau conseil municipal », Ouest-France, 1er avril 2014.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Notice no IA00130698, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    38. « Prieuré de bénédictins, église paroissiale Saint-Pierre (Gaël) », sur patrimoine.bzh.
    39. « Gaël », sur infobretagne.com.
    40. L'ETEC sur le site du MinistĂšre de la DĂ©fense
    41. https://www.ouest-france.fr/bretagne/penmarch-29760/ange-porteux-le-doyen-est-entre-dans-sa-100e-annee-1732734
    42. « Penmarc’h. Ange Porteux, une figure de la pĂȘche, s’éteint Ă  105 ans », sur letelegramme.fr, Le TĂ©lĂ©gramme, (consultĂ© le ).
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