GĂ©rard Miller
Gérard Miller, né le à Neuilly-sur-Seine en France, est un psychanalyste, professeur des universités, écrivain, réalisateur, acteur de théâtre et de cinéma, ainsi que chroniqueur et éditorialiste à la radio et à la télévision française.
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Jean Miller |
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Eve Milecka |
Fratrie | |
Conjoint |
AnaĂŻs Feuillette |
Enfant |
Jérôme, Élodie, Coralie, Jonathan, Margot |
A travaillé pour | |
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Directeur de thèse | |
Distinction |
Biographie
Famille
Né de parents juifs originaires de Pologne, Gérard Miller est le fils cadet de Jean Miller, médecin radiologue, et de Eve Milecka, pharmacienne. Il est le frère cadet du psychanalyste Jacques-Alain Miller[1].
« Marié pendant presque vingt ans avec la mère de [s]es quatre enfants, une psychanalyste de [s]a génération », il vit aujourd'hui avec la réalisatrice Anaïs Feuillette[2], avec qui il a eu une fille[3].
Jeunesse et formation
Gérard Miller suit ses études au sein du lycée Janson-de-Sailly dans le 16e arrondissement de Paris[4], puis au lycée Honoré-de-Balzac dans le 17e arrondissement de la même ville. Il affirme avoir été intrigué dès l'enfance par le pouvoir que la parole induit et s'être notamment intéressé à l'hypnose[5] qui, « si caricaturale qu'elle soit (...) ne constitue rien de moins que le noyau même de la structure de domination ». Il adhère en 1964, à l'âge de seize ans, aux Jeunesses communistes, l'organisation de jeunesse du Parti communiste français, et à dix-sept ans à l'Union des étudiants communistes, mais, se retrouvant proche des positions du Parti communiste chinois, il est d'emblée en désaccord avec le Parti communiste français, lié, lui, au Parti communiste soviétique : « Je devins hérétique avant même d’avoir été orthodoxe. » Un peu plus tard, il rejoint le Mouvement communiste français marxiste-léniniste, puis l'Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes (UJCML) et, enfin, la Gauche prolétarienne[1].
Élève de l'ENS de Saint-Cloud en sciences humaines puis étudiant à l'université de Nanterre, il travaille ensuite pendant deux ans comme ouvrier agricole (porcher vacher) dans la Sarthe, la Mayenne et le Morbihan, puis revient à Paris et commence une psychanalyse tout en étant formé dans le même temps par son frère Jacques-Alain Miller[6] dont il suit l'enseignement[5].
Il quitte définitivement le militantisme en 1972 et, tout en restant fidèle à ses engagements de jeunesse, il ne sera plus jamais impliqué activement dans l'action politique. Il avoue en 2013 ne pas se souvenir de la première fois où il a voté[7], mais apporte son soutien au cours des décennies suivantes aussi bien à des candidats du Parti socialiste, du Parti communiste que de la France insoumise.
Psychanalyse
Il devient maître de conférences en science politique à l'université Paris-VIII puis professeur[8] au département de psychanalyse de cette même université, département qu'il dirige pendant une dizaine d'années. Il est titulaire d'un doctorat en philosophie sous la direction de Roland Barthes et d'un doctorat d'État en science politique, dirigé par Michel Foucault puis Jean-Marie Vincent. Il est par ailleurs membre de l'École de la cause freudienne et de l'Association mondiale de psychanalyse.
Psychanalyste d'orientation lacanienne, comme son frère Jacques-Alain Miller qui est à la fois le gendre de Lacan et l'éditeur des Séminaires, il a travaillé une quinzaine d'années à l'hôpital psychiatrique Esquirol (St-Maurice) et exerce dans son cabinet depuis la fin des années 1970. À l'occasion du trentième anniversaire de la mort de Lacan, il réalise un film diffusé en sur France 3 intitulé Rendez-vous chez Lacan[5].
Carrière intellectuelle
Gérard Miller a écrit quinze livres ayant pour thème l'histoire (Les Pousse-au-jouir du maréchal Pétain, Après la colère), la politique (Du père au pire, Le Divan des politiques) ou la psychanalyse (Psychanalyse 6 heures 1/4, Hypnose, mode d'emploi). Parallèlement à son enseignement de 1972 à 2017 à l'université, il a prononcé plus d'une centaine de conférences sur la psychanalyse, tant en France qu'à l'étranger (Italie, Espagne, Belgique, Grande-Bretagne, Argentine, Brésil, Mexique, etc.). Il publie en 2001 une autobiographie, Minoritaire.
Affaire du fichier « Falciani »
En , dans le cadre des SwissLeaks, son nom est cité par Le Monde dans un article sur les fichiers de la banque HSBC Private Bank (en) de Genève (fichier dit « Falciani »), à propos d'un compte non déclaré au fisc français. Il s'en explique dans un bref texte publié par le même journal où il déclare notamment : « Mon père est décédé dans sa 93e année et j’ai hérité de lui quelques mois plus tard. J’ai ainsi reçu en héritage un compte qu’il avait constitué à l’étranger, sans que j’y prenne la moindre part et sans même que j’en sois informé. À titre personnel, je n'avais jamais ouvert de compte ni transféré de sommes à l’étranger, je n'avais jamais été payé à l’étranger pour quelque raison que ce soit, et à la mort de mon père, je me suis donc retrouvé l’héritier passif d’une situation qu’il avait créée sans moi et peut-être même avant ma naissance. » L'article de Le Monde indique : « Tout remonte à la mort de son père, juif polonais immigré en France au début des années 1930, et disparu en 2004 (...) Gérard Miller ajoute : « Ayant vu par la suite la totalité de sa famille mourir dans les camps, on peut bien sûr imaginer que mon père a tiré après la seconde guerre mondiale certaines conclusions personnelles de cette traversée de l'horreur » »[9] - [10] - [11] - [12]. Cette situation est selon lui régularisée[13] - [14] - [15].
Carrière médiatique
Surnommé ironiquement par Libération le « divan marquis » et par L'Express le « psy rouge à paillettes »[16], Gérard Miller a été chroniqueur de Laurent Ruquier à la radio dans Rien à cirer sur France-Inter, puis dans On va s'gêner sur Europe 1 et à la télévision dans On a tout essayé puis On n'a pas tout dit sur France 2.
Il a été également chroniqueur dans l'émission Vivement dimanche prochain. Fin , Michel Drucker met fin à cette collaboration du jour au lendemain, reprochant à Miller ses prises de position sur la télévision dans son livre Minoritaire, qui vient de paraître[17].
En 2002, Gérard Miller tient un des rôles principaux de la pièce de théâtre La Presse est unanime de Laurent Ruquier. Elle fait l'objet d'une captation pour l'édition d'un DVD et est diffusée également à la télévision.
Il a présenté l'émission Le Goût du noir au côté de la journaliste Sophie Massieu sur France 5, émission tournée dans le noir total. En 2005-2006, il présente Cette année-là , une émission-éphéméride sur France 3 Paris-Île-de-France-Centre puis, de à , toujours sur France 3 Paris-Île-de-France, une déclinaison de sa précédente émission, intitulée Ce jour-là .
En 2009-2010, il participe comme chroniqueur à L'Objet du scandale, présenté sur France 2 par Guillaume Durand, et à Cactus sur Paris Première, présentée par Géraldine Muhlmann.
Pendant dix ans, chaque semaine, le magazine chrétien La Vie publie ses entretiens face à des personnalités, intitulés J'aurais dû. Il a également écrit pour Libération, Globe Hebdo, L'Événement du jeudi et L'Humanité.
Durant le festival off d'Avignon 2008, Gérard Miller se produit pour la première fois seul sur scène au théâtre du Petit Chien dans un spectacle qu'il a écrit, Manipulations : mode d'emploi. Il y dévoile les manigances « des grands hypnotiseurs », de Franz-Anton Mesmer à Nicolas Sarkozy. À partir de , il reprend son spectacle au Petit Théâtre de Paris, puis le joue pendant deux ans en tournée en France.
Il Ă©crit entre autres pour les humoristes Guy Bedos, Jean-Marie Bigard et Marc Jolivet.
En 2013, il apparaît comme chroniqueur aux côtés de Sophia Aram dans l'émission Jusqu'ici tout va bien. De 2014 à 2020, il fait partie de l'émission On refait le monde de Marc-Olivier Fogiel puis de Thomas Sotto, sur RTL[18].
En 2016 et 2017, sur Toute l'Histoire, il présente Et si c'était vous ?, puis en 2019-2020 Si j'avais vécu.
En 2017, il est l'un des trois cofondateurs de la web-télé Le Média. Dès sa création, la web-télé suscite de nombreuses polémiques, comme après l'évacuation d'une partie du site Tolbiac de l'université Panthéon-Sorbonne, Le Média participe alors à la diffusion dans la presse de témoignages d'étudiants, affirmant qu'un des leurs serait dans le coma à la suite d'une chute provoquée par un CRS. À la suite des démentis officiels et de l'établissement de l'inexactitude de ces témoignages, Le Média reconnaît son erreur, mais Gérard Miller n'en déclarera pas moins que « la violence policière ayant bien été réelle », il ne faut « ni regretter d'avoir donné la parole à des témoins traumatisés » ni « se laisser impressionner par les cris d’orfraie des défenseurs de l’exactitude »[19].
Pendant l'été 2018, Gérard Miller s'oppose à Sophia Chikirou, elle aussi cofondatrice du Média, notamment sur les financements de celui-ci[20]. Alors qu'il décide progressivement de ne plus exercer aucune responsabilité au Média « anti-système », Gérard Miller est recruté en septembre par LCI du Groupe TF1[21] - [22].
En 2022, il intervient régulièrement sur les plateaux de LCI dans le cadre d'émissions qui participent de manière très soutenue sur l'information au sujet de l'invasion de l'Ukraine mené par ce média.
Carrière cinématographique
Gérard Miller a co-écrit pour le cinéma deux films, réalisés par Francis Girod : Passage à l'acte et Terminale.
Il a participé à l'élaboration de plusieurs documentaires réalisés par Patrick Jeudy : Les Yeux d'Eva Braun, Marilyn, malgré elle, Ce que savait Jackie Kennedy, Robert Capa, l'homme qui voulait croire à sa légende et Il n'y a pas de Kennedy heureux.
Il a témoigné dans d'autres documentaires tels : Reprise, sous-titré « Un voyage au cœur de la classe ouvrière »[23], réalisé par Hervé Le Roux en 1996, Décryptage de Philippe Bensoussan en 2003 ou L'Impossible Mister Dieudo de Civa de Gandillac en 2003.
En 2008, à l'occasion des 40 ans des événements de Mai 68, il réalise son premier documentaire[24] intitulé Mai 68, tu disais…, dans lequel des « ex-soixante-huitards » sont interrogés par leurs propres enfants, puis, en 2009, Le Striptease dévoilé et Les Années 1980 : les branchés.
Documentariste devient, avec psychanalyste et enseignant, l'une de ses activités principales et il réalise dès lors de nombreux autres films comme La Première Séance (2009), Mais que font nos enfants la nuit ? (2010, coréalisé avec Anaïs Feuillette), Femmes de président (2011) Laurent Ruquier – On ne demande qu’à le connaître[25] ou encore François Léotard, l'unique séance[26], diffusé sur Planète+ (). La même année il réalise avec Anaïs Feuillette DSK, l'homme qui voulait tout et est diffusé pour la première fois en prime-time. Ce documentaire rencontre un très grand succès public, mais lui vaut quelques critiques acides, comme celle de Thierry de Cabarrus, pour qui ce film ne serait « ni l'œuvre d'un historien, ni celle d'un journaliste », mais tiendrait davantage du film de fiction, dont il ne resterait « qu'un plaidoyer indécent »[27].
Fin 2021, Gérard Miller avait réalisé ou co-réalisé 33 documentaires, tout en étant également l'auteur ou le co-auteur de 10 autres films (documentaires et fictions).
Engagement politique
En 1965, alors qu’il est élève du lycée Janson-de-Sailly, il rejoint la Fédération des cercles marxistes-léninistes de France, puis le Mouvement communiste français marxiste-léniniste, un mouvement maoïste, tout en restant membre dans un premier temps des organisations de jeunesse du Parti communiste[28]. En 1967, il intègre l’Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes[29], puis la Gauche prolétarienne[30].
Après son engagement maoïste, l’ancien militant de la Gauche prolétarienne ne militera plus jamais, mais soutiendra les gouvernements de gauche pendant les deux septennats de François Mitterrand, puis le gouvernement de Lionel Jospin de 1997 à 2002. Se rapprochant de nouveau des communistes à la fin des années 1990, il votera Robert Hue au premier tour en 2002 et Marie-George Buffet au premier tour de 2007[31].
En 2012, il soutient publiquement Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle[32], ainsi que lors de la campagne présidentielle de 2017, lorsque celui-ci se présente comme candidat de La France insoumise. En , son documentaire Jean-Luc Mélenchon, l'homme qui avançait à contre-courant est diffusé sur France 3.
Il apporte son soutien à La France insoumise pour les élections européennes de 2019[33], ainsi que pour la Présidentielle, et soutient dans la foulée la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (NUPES) lors des élections législatives de 2022.
Publications
Livres
- Les Pousse-au-jouir du maréchal Pétain, préf. de Roland Barthes, Le Seuil, 1975 ; Le Livre de Poche, 1988 ; Points Seuil, 2004
- Lacan, GĂ©rard Miller (dir.), Bordas, 1987
- Du père au pire. Chronique de deux septennats (1981-1995), tome I, Grasset, 1988.
- Le Divan des politiques. Chronique de deux septennats (1981-1995), tome II, Le Seuil, 1989.
- Malaise. Chronique de deux septennats (1981-1995), tome III, Le Seuil, 1992.
- Psychanalyse 6 heures 1/4, avec Dominique Miller, Le Seuil, 1991 ; Points, 2001
- La France des HĂ©rissons. Chronique de deux septennats (1981-1995), tome IV, Le Seuil, 1994.
- Moments de vérité, L'Archipel, 1996
- Ce que je sais de vous… disent-ils, Stock, 2000 ; Le Livre de Poche, 2002
- Après la colère, Stock, 2001, Le Livre de Poche, 2001
- Minoritaire, Stock, 2001 ; Points, 2003
- Hypnose, mode d'emploi, Stock, 2002 ; Points, 2004
- Le Divan et le confessionnal, Desclée de Brouwer, 2010
- Antipathies, Grasset & Fasquelle, 2014
- Mélenchon, mai oui, 1968-2018, Éditions du Seuil, 2018
Préfaces et autres contributions
- Le Tennis et la sexualité. Les écrits secrets de Freud, par Theodor Saretsky. Le Seuil, 1986. Préface.
- Mon stress, mon psy et moi, par Piem. Le Cherche-Midi, 2004. Préface.
- L'Anti-livre noir de la psychanalyse, avec Jacques-Alain Miller, Agnès Aflalo, et Marie-Claude Sureau. Le Seuil, 2006. Contribution.
Filmographie
Auteur pour la télévision (documentaires)
- 1991 : Les yeux d'Eva Braun de Patrick Jeudy
- 2002 : Marilyn malgré elle de Patrick Jeudy
- 2003 : Ce que savait Jackie Kennedy de Patrick Jeudy
- 2004 : Robert Capa, l'homme qui voulait croire à sa légende de Patrick Jeudy
- 2010 : Il n'y a pas de Kennedy heureux de Patrick Jeudy
- 2020 : Deux couples à Hollywood de Sylvain Bergère
Auteur pour le cinéma (fictions)
- 1996 : Passage à l'acte de Francis Girod (co-scénariste et dialoguiste)
- 1998 : Terminale de Francis Girod (co-scénariste et dialoguiste)
Auteur pour la télévision (téléfilm)
- 1993 : Les kilos en trop de Gilles BĂ©hat (co-auteur)
Auteur pour la télévision (série télévisée)
- 1999 : Politiquement correct (co-auteur)
Auteur pour la radio (fiction)
- 2013 : La malédiction des trois corbeaux, série radiophonique (co-auteur avec Coralie Miller et Nicolas Terrier)
Réalisateur pour la télévision (documentaires)
- 2008 : Tu disais... Mai 68, documentaire[34]
- 2009 : Paris, années 80 : les branchés, documentaire
- 2009 : Le Strip-tease dévoilé, documentaire
- 2009 : La première séance
- 2010 : Rendez-vous chez Lacan, documentaire
- 2010 : Femme de président, documentaire
- 2011 : Désirs masculins, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2011 : Serial Tueurs, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2011 : Désirs féminins, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2012 : On n'demande qu'à le connaître, documentaire[25], coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2012 : Les Ruses du désir (3 parties)
- 2013 : François Léotard, l'unique séance, documentaire[26]
- 2013 : DSK, L'homme qui voulait tout, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2013 : Le prix Ă payer
- 2014 : Monaco, le rocher était presque parfait, coréalisé par Anaïs Feuillette
- 2014 : Jérôme Cahuzac, l'homme qui ne savait pas mentir, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2015 : Gérard Depardieu, L’homme dont le père ne parlait pas, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2015 : Ils n'étaient pas héritiers, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2015 : Ségolène Royal, la femme qui n'était pas un homme, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2016 : Dalida, la femme qui rêvait d'une autre scène, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2016 : Sarkozy, l'homme qui courait plus vite que son ombre, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette[35]
- 2017 : Mélenchon, l'homme qui avançait à contre courant, documentaire
- 2017 : Lady Di, la femme qui s'était trompé de vie, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2017 : Fortune et infortunes des Bettencourt, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2018 : La révolution Dolto, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2019 : La Folie à l'abandon, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2020 : Un divan sur le fil
- 2021 : J'entends des voix qui me parlent, documentaire, coréalisé avec Anaïs Feuillette[36] - [37] - [38]
- 2021 : François Mitterrand, l'homme qui ne voulait pas rompre, coréalisé avec Coralie Miller
- 2021 : Walt Disney, l'homme qui voulait changer le monde, coréalisé avec Anaïs Feuillette
- 2022 : Les enfants du siècle - Ils ne seront plus jamais les mêmes, coréalisé avec Coralie Miller
- 2022 : Georges Marchais - L'Homme qui avait choisi son camp
- 2023 : À la table des nazis
Acteur
Théâtre
Télévision
- 2004 : Nature contre nature de Lucas Belvaux : lui-mĂŞme
- 2009 : Avocats et Associés : Dr Bobby Wilcox
- 2020 : Astrid et Raphaëlle : le psy
Cinéma
- 2018 : Neuilly sa mère, sa mère ! de Gabriel Julien-Laferrière : le médecin
Distinction
À l'initiative de Georges Sarre et en présence de Laurent Fabius dont il est alors proche, Jack Lang le fait Chevalier dans l'Ordre national du Mérite en 1993[31].
Notes et références
- Emmanuel Poncet « Le divan marquis », Libération, .
- « Interview à Voici », Gérard Miller - Site officiel,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « Qui est Anaïs Feuillette, la compagne de Gérard Miller ? » sur programme-tv.net.
- Bourseiller 1996, p. 65
- Thierry Ardisson, interview de GĂ©rard Miller, Ă©mission Tout le monde en parle, .
- Interview, France Inter, .
- Le premier jour de ma vie où j'ai voté, , sur France Inter, en radio.
- « Psychanalyse, Psychologie et cognition, Sciences du langage - La section clinique », sur Université Paris VIII (consulté le ).
- Comptes HSBC : 3 000 contribuables français suspectés, lemonde.fr
- Karembeu, Miller, Afflelou, Klapisch : les 60 nouveaux noms de people des listes HSBC, challenges.fr
- GĂ©rard Miller, CĂ©dric Klapisch et Paul Bocuse ont des comptes en Suisse, lepoint.fr
- Des milliers de Français, dont des stars, accusés d'évasion fiscale en Suisse, lalibre.be
- Voir sur 20minutes.fr.
- LISTE HSBC : LE MONDE BALANCE DES NOMS, arretsurimages.net
- Pauline Moullot, « Gérard Miller, le responsable de @LeMediaTV, a-t-il un compte en Suisse comme annoncé dans la presse ? », liberation.checknews.fr, .
- « Le récit de L'Express : Gérard Miller, de Mao à Mélenchon », lexpress.fr, .
- « France 2 : Miller viré par Drucker », leparisien.fr, . Consulté le .
- « Ivan Levaï rejoint les polémistes de RTL », sur lalettre.pro, (consulté le ).
- « Cinq jours après l’évacuation de Tolbiac, la vérité se fait jour », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- « Au Média, l'ex-patronne Sophia Chikirou accusée d'« abus de biens sociaux » par les deux autres cofondateurs » Europe 1, .
- « Gérard Miller, cofondateur du Média anti-système « et en même temps » recruté par LCI », La Dépêche, .
- « En pleine crise du Média, Gérard Miller rejoint LCI comme débatteur », lesinrocks.com, ,
- Voir présentation du DVD sur fichesducinema.com.
- Film diffusé sur France 3 Paris-Île-de-France.
- Laurent Ruquier – On ne demande qu’à le connaître, consulté le .
- « "François Léotard, l'unique séance" : l'ex-ministre vu par Gérard Miller », consulté le .
- « Portrait de DSK sur France 3 : l’indécent plaidoyer de Gérard Miller », Thierry de Cabarrus, nouvelobs.com, .
- Bourseiller 1996, p. 66
- Bourseiller 1996, p. 125
- Bourseiller 1996, p. 161
- Jacqueline Remy « Gérard Miller, le petit psy rouge », L’Express, .
- « Ils et elles votent Front de gauche », L'Humanité, .
- « Le père de Marlène Schiappa dans le comité de soutien de La France insoumise aux européennes », sur L'Obs, (consulté le ).
- Tu disais... Mai 68.
- « DIRECT. Regardez le documentaire "Sarkozy, l’homme qui courait plus vite que son ombre" avec France 3 », sur Franceinfo, (consulté le )
- « film-documentaire.fr - Portail du film documentaire », sur www.film-documentaire.fr (consulté le )
- Par Thomas Depicker et Temps de lecture : 0 minutes, « Le documentaire du jour: J’entends des voix qui me parlent », sur Moustique.be (consulté le )
- Gérard Miller, Anaïs Feuillette, « Infrarouge J'entends des voix qui me parlent » (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Christophe Bourseiller, Les Maoïstes : La Folle Histoire des gardes rouges français, Plon (1996)
- François Dufay, « Gérard Miller : de Lacan à Ruquier », Le Point,
- Laurent Telo, « De Michel Drucker à Jean-Luc Mélenchon, le complexe Gérard Miller », sur Le Mag, Le Monde, (consulté le ).