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Fresne-LĂ©guillon

Fresne-LĂ©guillon (parfois orthographiĂ©e Fresne-L'Éguillon, Fresnes L’Éguillon ou Fresnes-L’Éguillon[1]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Oise en rĂ©gion Hauts-de-France.

Fresne-LĂ©guillon
Fresne-LĂ©guillon
La mairie.
Blason de Fresne-LĂ©guillon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Christian Legros
2020-2026
Code postal 60240
Code commune 60257
DĂ©mographie
Population
municipale
440 hab. (2020 en diminution de 4,76 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 60 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 15â€Č 18″ nord, 1° 59â€Č 05″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 132 m
Superficie 7,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chaumont-en-Vexin
LĂ©gislatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Fresne-LĂ©guillon
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Fresne-LĂ©guillon
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Fresne-LĂ©guillon
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Fresne-LĂ©guillon
Liens
Site web http://www.mairie-fresnesleguillon.fr/

    GĂ©ographie

    Description

    Fresne-LĂ©guillon est un village du vexin français dans l'Oise, situĂ© Ă  11 km Ă  l'ouest de MĂ©ru, 24 km au nord-ouest de Pontoise, km Ă  l'est de Chaumont-en-Vexin et 15 km de Gisors et 21 km au sud-ouest de Beauvais.

    Il est desservi par l'ancienne route nationale 323 (actuelle RD 923), qui relie MĂ©ru Ă  Chaumont-en-Vexin.

    En 1827, Louis Graves indiquait que le territoire communal « formé de plusieurs coteaux en pente douce, séparés par deux vallées, dans l'une desquelles coule le ruisseau du Mesnil, et dans l'autre ler uisseau de Pouilly[2] ».

    Communes limitrophes

    Rose des vents Bachivillers Senots Rose des vents
    Fleury N
    O Frene-LĂ©guillon E
    S
    Monneville Ivry-le-Temple

    Hydrographie

    Le Ru du Mesnil.

    Le village est drainé par le Ru du Mesnil, qui se jette dans le canal de Marquemont à à Monneville.

    Ce ruisseau a alimentĂ© de nombreux moulins le long de ses 10,7 km, au Mesnil-ThĂ©ribus, Fresneaux-Montchevreuil, Villette, Senots, Lannoy, Fresne-LĂ©guillon, le Vivier, de la ferme de Fleury, du Bout-d'en-bas et de Neuvillette[3].

    Le Ru de Pouilly draine, au sud du territoire communal, le hameau de Heulecourt, et se jette Ă©galement dans le canal de Marquemont.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 725 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Jamericourt », sur la commune de JamĂ©ricourt, mise en service en 1990[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 700,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă  25 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Fresne-Léguillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (87,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (75,8 %), forĂȘts (9,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (7,3 %), zones urbanisĂ©es (3,9 %), prairies (3,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Lieux-dits, hameaux et Ă©carts

    La commune dispose d'un hameau, Heulecourt, qui comptait une soixantaine de maisons en 1827[2].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 195, alors qu'il Ă©tait de 191 en 2014 et de 190 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 85,1 % étaient des résidences principales, 6,7 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,2 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fresne-Léguillon en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,7 %) supérieure à celle du département (2,4 %) mais inférieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,7 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Fresne-LĂ©guillon en 2019.
    Typologie Fresne-LĂ©guillon[I 1] Oise[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 85,1 90,4 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,7 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 8,2 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a porté les noms de Fresnes-L'Eguillon ou Laiguillon[2].

    La commune est instituée par la Révolution française sous le nom de Fresnes en 1793 et de Fresnes-l'Eguillon en 1801. Elle prend ultérieurent son nom officiel actuel de Fresne-Léguillon[24].

    Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous la forme de Fraxinis en 1172. Fresnes, pluriel de l'ancien français fresne « frĂȘne », est issu du latin fraxinus « frĂȘne »[25].

    L'Éguillon provient du surnom de Guillaume de Trie, dit Aiguillon[25].

    Histoire

    Temps modernes

    La chùtellenie de Fresnes était la propriété jusqu'en 1777 par les princes de Conti, et son terroir était pour eux un rendez-vous de chasse[26].

    Henri IV est venu Ă  Fresne le [26].

    Époque contemporaine

    En 1827, le tissage des toiles blondes pour les manufactures de Chantilly était en déclin[2].

    En 1859, on compte dans la commune un presbytĂšre et une Ă©cole. deux moulins sur le Ru du Mesnil et trois sur celui de Pouilly. La population est agricole[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaumont-en-Vexin[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Chaumont-en-Vexin.

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxiÚme circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Fresne-Léguillon est membre de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1912 mai 1945 Alexandre Goré[28] - [29] Rad. ind. Agriculteur
    SĂ©nateur de l'Oise (1933 → 1940)
    Conseiller d'arrondissement du canton de Chaumont-en-Vexin (1919 → 1939).
    PrĂ©sident de la SociĂ©tĂ© des agriculteurs de l'Oise (1924 → ?)
    PrĂ©sident de la chambre d'agriculture de l'Oise (1925 → 1936)
    Nommé membre de la Commission administrative départementale en 1941[30]
    Officier de la LĂ©gion d'honneur, officier du MĂ©rite agricole
    novembre 1947[29] Alexandre Goré Ancien agriculteur
    PrĂ©sident de la SociĂ©tĂ© des agriculteurs de l'Oise (1924 → ?)
    Officier de la LĂ©gion d'honneur, officier du MĂ©rite agricole
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Ginette Toulemonde
    mars 2008 mai 2020[31] - [32] Jean-Michel Bouchard Tailleur de pierre, meilleur ouvrier de France en 2004[33]
    mai 2020[34] En cours
    (au 18 novembre 2022)
    Christian Legros Couvreur Ă  la retraite

    Équipements et services publics

    Enseignement

    L'Ă©cole.

    Les enfants de la commune sont scolarisĂ©s avec ceux de Fay-les-Étangs, Fleury et Senots dans le cadre d'un regroupement pĂ©dagogique intercommunal[34] (RPI).

    La construction d'une nouvelle Ă©cole, conçue par le cabinet Kaleadoscope Architecture, est prĂ©vue vers 2023 par la municipalitĂ© en extension de l'Ă©quipement ancien, dans le petit parc Ă  cĂŽtĂ© de la salle des fĂȘtes[35] - [36].

    Postes et télécommunications

    Fresne-LĂ©guyon dispose d'une agence postale[37].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[39].

    En 2020, la commune comptait 440 habitants[Note 8], en diminution de 4,76 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    445468496480535513512400481
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    456466424423452436418385354
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    361375373331334310321332317
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    298307354313394467478480468
    2017 2020 - - - - - - -
    438440-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune.

    En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  40,8 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 18,5 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 242 hommes pour 196 femmes, soit un taux de 55,25 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,5
    3,7
    75-89 ans
    4,6
    13,2
    60-74 ans
    14,8
    16,9
    45-59 ans
    22,4
    20,7
    30-44 ans
    21,9
    14,9
    15-29 ans
    18,4
    30,2
    0-14 ans
    17,3
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption, dont la nef date du XIe siĂšcle, et qui a Ă©tĂ© divisĂ©e en trois vaisseaux en 1896 dans un style nĂ©o-gothique tardif. Le transept, le chƓur et l'abside Ă  sept pans sont construits avec un grand rafinement au XIIIe siĂšcle. Le clocher est reconstruit au XVIe siĂšcle ainsi que les arcades de la croisĂ©e. La chapelle seigneuriale est construite Ă  la mĂȘme Ă©poque au sud du chƓur, en style Renaissance[43].
    • Lavoir en briques et tuiles, sur le Ru du Mesnil[3]
    • Moulin du XIIIe siĂšcle.


    • L'Ă©glise ND de l'Assomption
      L'Ă©glise ND de l'Assomption
    • Christ aux liens sur l'Ă©glise.
      Christ aux liens sur l'Ă©glise.
    • Le lavoir et le Ru du Mesnil.
      Le lavoir et le Ru du Mesnil.
    • Le lavoir.
      Le lavoir.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Fresne-LĂ©guillon Blason
    D'argent au frĂȘne de sinople ; au chef d'azur chargĂ© de trois molettes Ă  cinq rais du champ[44].
    DĂ©tails
    Armes parlantes (Fresne → frĂȘne).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Bernhard Duhamel, Guide des Ă©glises du Vexin français : Fresne-LĂ©guillon, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 144-146

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Fresne-LĂ©guillon », MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Yoann Roche, « Fresnes l’Éguillon, le village du Vexin aux quatre orthographes : MalgrĂ© un combat menĂ© de longue date par la municipalitĂ©, les panneaux de signalisation ou aux entrĂ©es du village arborent tous des orthographes diffĂ©rentes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont, Oise, Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 293-294, sur Google Livres.
    3. Thiéry Maille, « Fresne-Léguillon : Lavoir », Chemins > Archéologie et histoire, sur http://lacommunautedeschemins.fr, (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    10. « Station Météo-France Jamericourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Fresne-Léguillon et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Jamericourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Fresne-Léguillon et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
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    31. M.B., « Coronavirus: Ă  Fresne-L’Éguillon, le maire rĂ©invente la com’ confinĂ©e », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « En rĂ©alitĂ©, l’édile bosse un petit peu pour la prochaine majoritĂ©. « Nous avons Ă©tĂ© balayĂ©s aux Ă©lections par la liste d’un ancien conseiller municipal Â», dĂ©plore Jean-Michel Bouchard. En l’occurrence, Christian Legros, qui a remportĂ© la mise Ă  18 voix prĂšs ».
    32. ClĂ©mence Bauduin, « À Fresnes-LĂ©guillon, les opposants au nouveau maire font dans la satire : Candidats dĂ©chus ou habitants déçus, ils prennent la plume pour critiquer vertement la nouvelle Ă©quipe municipale. », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « L'humour offre quelques libertĂ©s, mais s'estompe parfois pour laisser place Ă  la dĂ©ception. « Les blagues, les dessins
 Tout ça permet de dĂ©dramatiser la situation, car ils foutent le village en l'air », lance l'ancien Ă©lu, amer. La dĂ©faite du 15 mars dernier, Ă  quelques voix prĂšs, n'est pas encore passĂ©e ».
    33. Corinne Fourcin, « Fresne-L’Eguillon : JMB Taille de pierre, un savoir-faire gravĂ© dans le marbre », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    34. Matthieu Le Tirant, « Une quatriĂšme classe pour l'Ă©cole de Fresne-LĂ©guillon : Christian Legros, Ă©lu rĂ©cemment maire face Jean-Michel Bouchard, Ă©dile sortant, dĂ©voile la liste des projets que son Ă©quipe aura Ă  mener durant la mandature. », L'Impartial ,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    35. Florent Regnault, « Fresnes-LĂ©guillon. Un collectif se monte contre les projets de la mairie : Vendredi 18 novembre, le collectif Transparence a rĂ©uni une trentaine de personnes. Ils veulent contrer les projets de l'Ă©cole et du lotissement », Oise hebdo,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    36. Benjamin Merieau, « Les habitants de Fresne-LĂ©guillon ne veulent pas d’une Ă©cole Ă  la place de leur espace vert : Un collectif s’est montĂ© pour dĂ©noncer les projets du maire actuel de ce village du Vexin. Outre le projet d’école, un futur lotissement en partenariat avec Nexity inquiĂšte », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    37. « Agence postale », sur http://www.mairie-fresnesleguillon.fr.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fresne-LĂ©guillon (60257) », (consultĂ© le ).
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