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Francheville (métropole de Lyon)

Francheville est une commune française de la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Francheville
Francheville (métropole de Lyon)
Église Saint-Roch
Image illustrative de l’article Francheville (métropole de Lyon)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Circonscription départementale du Rhône
Métropole Métropole de Lyon
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Michel Rantonnet
2020-2026
Code postal 69340
Code commune 69089
Démographie
Gentilé Franchevillois[1].
Population
municipale
14 821 hab. (2020 en augmentation de 2,23 % par rapport à 2014)
Densité 1 812 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 14″ nord, 4° 45′ 51″ est
Altitude 262 m
Min. 179 m
Max. 315 m
Superficie 8,18 km2
Élections
Métropolitaines Ouest
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Francheville
Liens
Site web www.mairie-francheville69.fr/

    Géographie

    Les trois quartiers de Francheville : Francheville-le-Haut (au Sud), Francheville-le-Bas (à l'Est) et Bel Air (Au Nord)

    Francheville est une commune de 817 hectares (dont 450 hectares en zone naturelle), son point culminant est le Fort du Bruissin (Francheville Le Haut) à 308 mètres ; son point le plus bas est au quartier du Châter (Francheville le bas) à 215 mètres.

    Le relief particulier ainsi que l’histoire expliquent que la commune est partagée en trois quartiers (le Bourg ou Francheville-le-Haut, le Châter ou Francheville-le-Bas et Bel Air), géographiquement très distincts.

    Le quartier du Châter, à l'entrée du quartier de Francheville le Bas, doit son nom au château dont il subsiste des ruines qui surplombent la vallée de l'Yzeron. Un affleurement rocheux supporte ces ruines féodales ainsi qu'un pont qui enjambe la Vallée de l'Yzeron environ 45 mètres plus bas. Des maisons aux jardins étagés descendent jusqu'au ruisseau. Des éboulements et des coulées de terre s'étant produits à plusieurs reprises, la base abrupte du Rocher qui longe la voie de circulation D75 a fait l'objet de travaux de consolidation. C'est un goulot d'étranglement pour la circulation automobile actuelle[2].

    Géologie

    Ce sont les mouvements de glissement des glaciers qui ont, au Quaternaire, structuré la région. On trouve des affleurements rocheux, des moraines glaciaires, des strates sédimentaires, des plaines alluviales, avec l'apparition des vallées et des cours d'eau dont le ruisseau Yzeron, le plus long des ruisseaux de l'Ouest Lyonnais avec ses 25,1 km[3].

    Les sables de l'Yzeron à l'époque romaine, ont été utilisés pour le mortier de construction des théâtres antiques de Lyon et de sa région[4].

    Les ammonites ont disparu en même temps que les dinosaures en même temps que la "crise Crétacé - Tertiaire", et l'on en trouve un peu partout en France. Elles ont souvent été incluses dans des ouvrages d'art : un petit pont sur l'Yzeron, et sur la maison Jacques Faure à Francheville le Bas[5].

    Communes limitrophes

    Francheville est une commune située à l'ouest de l’agglomération lyonnaise.

    1 Arrondissement de Villefranche-sur-Saône

    Urbanisme

    Typologie

    Francheville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[9] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (64,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (58,8 %), forêts (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %), cultures permanentes (0,5 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Francheville se nomme Franchevéla en arpitan.

    Histoire

    Francheville est historiquement la première banlieue de Lyon. Avec la civilisation romaine, « franca villa », prend une importance toute particulière. En effet, les voies romaines, en partance de Lugdunum, remplacent les pistes des marchands. À Francheville, il s'agit de la voie d'Aquitaine qui traverse le massif central pour rejoindre la côte Atlantique.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Franche-Commune[16].

    Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[17].

    Le château de Francheville

    En 1193, l'archevêque Renaud de Forez fait construire un château fort sur le rocher qui surplombe la vallée de l'Yzeron afin de protéger son territoire contre les invasions[2]. Il faisait partie d'un ensemble de plusieurs forteresses construites par l'archevêque[18].

    Au sortir de la guerre de Cent Ans, l'Église n'a plus les moyens d'entretenir ses biens. Malgré la reprise économique (deuxième moitié du XVe siècle) et la remise en culture des terres en friche, certaines forteresses sont restaurées, d'autres rasées ou abandonnées, devenues inhabitables ou indéfendables, comme le château de Francheville.

    Au cours du XVIe siècle, la forteresse est progressivement abandonnée[2]. Les progrès de la science de la guerre sont venus à bout des citadelles imprenables[2]. On est passé de la catapulte romaine, ou baliste, au trébuchet à balancier, de plus en plus offensif et perfectionné, des pierres aux boulets de fer et à la poudre provoquant de plus en plus de dégâts. L'agonie des châteaux a duré plus d'un siècle en fonction de l'évolution de l'armement[19]. Finalement, la destruction du château est ordonnée par le Cardinal de Richelieu dans le deuxième quart du XVIIe siècle, dont on dit qu'il le jugeait menaçant pour Lyon et le pouvoir royal.

    En 1712 et 1715, le mur d'enceinte s'écroule en partie, à deux reprises, sans faire de victimes. Les pierres du château sont prélevées pour le réparer. Cependant, un jugement interdit désormais de prélever les pierres sous peine d'amende. Le processus de dégradation se poursuit et reste une menace pour les riverains[2].

    En 1886, celui qu'on appelle désormais le Vieux Château, est amputé de son tiers nord-ouest, pour la création d'une voie d'accès entre les deux quartiers, Francheville-le Haut et Francheville-le Bas. On construit un nouveau pont sur l'Yzeron, devenu Pont-Neuf, de nos jours[2] - [20].

    Le relief de la région nécessita la construction des viaducs de Francheville pour permettre la réalisation de la ligne du Bourbonnais

    Le sujet des ruines ressort dans les années 1960. En 1966, le projet est l'arasement complet du rocher, donc la destruction des ruines médiévales qu'il supporte. Les ruines du château sont inscrites au titre des Monuments historiques le 12 juillet 1982 (référence PA 69000763)[21].

    En 2001 et 2002, sont pris deux arrêtés municipaux de péril, et des travaux de consolidation sont entrepris en 2003. Aujourd'hui, le château appartient à la commune de Francheville, les héritiers des derniers propriétaires Marjollet ayant finalement cédé ces ruines médiévales pour un euro symbolique[2].

    En empruntant le chemin de ronde, on peut voir aujourd'hui la seule fenêtre restante, une ouverture rectangulaire inscrite dans la muraille haute encadrée de pan coupé ou chanfrein en pierre de taille, un calcaire blanc fin[2]. Les maisons environnantes s'appuient encore sur le rocher, pressées les unes sur les autres avec des terrasses et des jardins clos. Les ruines sont interdites au public.

    Héraldique

    Francheville
    Blason de Francheville Blason
    De gueules à la tour d'or avec son avant-mur dextre ruiné, le tout maçonné de sable, ouvert et ajouré du champ, posé sur un rocher d'argent mouvant de la pointe; au chef cousu d'azur chargé de trois amphores d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs de Francheville
    Période Identité Étiquette Qualité
    Louis Decourt
    Mathieu Arnaud-Tison
    M. Rolachon
    M. Arnaud-Tison
    François-Xavier Marie de Ruolz
    Jean-Marie Bouchard-Jambon Officier de santé
    Louis Paul Paullian Centre Avocat, rentier
    Député du Rhône (1848 → 1849)
    Benoît Charavay
    M. Dervieu
    M. Bouchard
    M. Bonnard
    M. Charavay
    Théodore Côte Propriétaire
    Guillaume Vautherin
    Pétrus Frappa
    Ernest Reyre DVD Propriétaire
    Claude Jaricot
    Pétrus Bernard Notaire
    M. Lapine
    M. Ferlay
    M. Carteron
    M. Carrel
    Gabriel Richard Médecin
    Claude Vacheron DVD Médecin
    Jean-Charles Mallen DVD
    René Lambert PS Avocat
    En cours
    (au 19 janvier 2021)
    Michel Rantonnet UMP-LR Cadre bancaire retraité
    Conseiller de la Métropole de Lyon
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[22] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 14 821 habitants[Note 4], en augmentation de 2,23 % par rapport à 2014 (Rhône : +4,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7866267769771 1031 2371 3851 5511 528
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6971 8431 7071 8581 8742 0052 1432 0921 912
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0182 0031 9181 9442 2372 8052 6593 0773 527
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 0644 9328 0999 50010 86311 32411 66712 98014 278
    2020 - - - - - - - -
    14 821--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage Ã©tait de 39 516 â‚¬ ce qui plaçait Francheville au 2 739e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[24].

    Emploi

    Le taux de chômage, en 2013, pour la commune s'élève à 8,7 %[25], un chiffre nettement inférieur à la moyenne nationale (10,2 %)[26].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Espaces verts et fleurissement

    En 2015, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[27].

    Culture

    Francheville est particulièrement connue pour le Fort du Bruissin, ancien fort militaire reconverti en cité artistique, et le festival Fort en Jazz qui se déroula de 1990 à 2014[28]. Son arrêt fut décidé par le conseil municipal élu lors des élections municipales de 2014[29]. L'association "Ca jazze fort à Francheville" est créée en 2015 en réaction à l'arrêt du festival. Son objet est la promotion du jazz à Francheville auprès du grand public et du jeune public[30]. Elle organise son premier concert en mai 2015[31] et propose depuis plusieurs concerts par an[32]

    On y trouve également de nombreuses associations culturelles (environ 120) :

    Théâtre
    • Pièces en stock (improvisation)
    • La Traboule (troupe)
    • La Ruée vers l'art (atelier pour enfants et ados)
    • Just'In (troupe / ateliers théâtre adulte / stages adultes)
    • Scène Franche (troupe)
    • Théâtr'Art (jeu théâtral et masqué, création de masques)
    • Théâtre de Bulle (théâtre masqué, burlesque et musical…)
    Musique, chant et créations artistiques
    • École de musique de Francheville
    • La Cantoria
    • Association Expression Vocale de Francheville
    • Chorale Bel-Air (AEVF)
    • Big Band de Francheville
    • Chorale Éclats de Voix[33]
    • Ensemble Vocal Cantabile
    • Musika Franche
    • Pro lyrica
    • In Voce Veritas
    Danse
    • C.L.L.E.F.
    • Emmanueli'Dance
    • Centre social Michel Pache
    • Association des familles
    Arts plastiques
    • Vivre à Bel-Air
    • Atelier et rencontre
    • Peintres de l'Yzeron
    • L'effet d'artistes
    • C.L.L.E.F.
    • L'Art est nié
    Culture générale et patrimoine
    • Le patrimoine de Francheville
    • Amis de la bibliothèque
    • Comité de jumelage

    Transports

    Francheville est desservie par une gare, ainsi que par les bus TCL C19, C20, C20E, C24, C24E, 14, 73, et 73E.

    Jumelages

    Voir aussi

    Jean-Paul Muel est un acteur français, né à Francheville.

    Immudelki (ou Immu) créateur de l'I.F.S.C.L. (Interfaces Fictionnelles Simulées de Code Lyoko) développe son jeu à Francheville.

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. Association Le Patrimoine de Francheville, Francheville sur la route de l'histoire, 2018
    3. Francheville, sur la route de l'histoire [2018], p. 5, 125-126.
    4. G. Mazenot, « Le sable de l'Yzeron et le théâtre romain de Fourvière », Les Études Rhodaniennes, Vol.16, n°3,‎ , p. 125-172.
    5. Francheville, sur la route de l'histoire [2018], p. 126.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale.
    18. Bruno Galland, « Les fortifications de Renaud de Forez, archevêque de Lyon », Actes du 135e congrès national des sociétés historiques et scientifiques,‎ , p. 121-127
    19. Beffeyte, Renaud, 19.-, L'art de la guerre au Moyen Age, Ouest-France, (ISBN 2-7373-3744-5 et 978-2-7373-3744-4, OCLC 419577008, lire en ligne).
    20. Association du Patrimoine de Francheville, Francheville, un patrimoine... Images de 2013, , p. 7.
    21. Ministère de la Culture, « Château (ruines) », sur Plateforme Ouverte du Patrimoine
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    24. « Revenus fiscaux localisés des ménages-Année 2010 », sur site de l'Insee, (consulté le ).
    25. « Comparateur de territoire−Commune de Francheville (69089) | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    26. « Le taux de chômage au sens du BIT baisse de 0,1 point au quatrième trimestre 2013 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    27. « Les villes et villages fleuris - Site officiel des Villes et Villages Fleuris, label de qualité de vie », sur www.cnvvf.fr (consulté le ).
    28. « Francheville : la fin du festival "Fort en Jazz" », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le )
    29. « Rhône. « Fort en Jazz » à Francheville, c’est fini », sur www.leprogres.fr (consulté le )
    30. « Ca jazze fort à Francheville – Mairie de Francheville », sur www.mairie-francheville69.fr (consulté le )
    31. « francheville. « Ça jazze fort à Francheville » : un petit air de Fort en jazz », sur www.leprogres.fr (consulté le )
    32. « PROGRAMMATION », sur cajazzefort.com (consulté le )
    33. « Chorale "Éclats de Voix" de Francheville », sur Eclats de Voix - Wix.com (consulté le ).

    Monographies

    Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    • Association Le Patrimoine de Francheville, Francheville, sur la route de l'histoire, , 233 p. (ISBN 978-2-9548156-0-2 et 2-9548156-0-4, OCLC 1061218079, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Association Le Patrimoine de Francheville (préf. Bernard Guérin), Francheville, un patrimoine, , 400 p. (ISBN 978-2-7466-4260-7).
    • Francia Auger-Menand et Louis Menand, Francheville Arts et Spectacles (préf. René Lambert), Francheville, Maury Imprimeur, , 196 p. (ISBN 2-9507319-0-2).
    • Dr_Gabriel_Richard1967">Dr Gabriel Richard, Francheville : Un pays qui vient de loin, Lyon, Audin & Cie, , 166 p..
    • E. Bonnard, Monographie de la Commune et des deux Paroisses de Francheville (Rhône), Lyon et Villeurbanne, Association Typographique Lyonnaise, , 58 p..
    • Paul Richard, « Les deux Paroisses de Francheville », Bulletin de la Société littéraire, historique et archéologique de Lyon, Lyon,‎ avril - septembre 1906, p. 107-125 (lire en ligne, consulté le ).
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