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Frétoy-le-Château

Frétoy-le-Château est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Frétoy-le-Château
Frétoy-le-Château
Mairie de Frétoy-le-Château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Jean-Pierre Boileau
2020-2026
Code postal 60640
Code commune 60263
Démographie
Population
municipale
264 hab. (2020 en augmentation de 0,76 % par rapport à 2014)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 43″ nord, 2° 58′ 55″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 107 m
Superficie 5,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Frétoy-le-Château
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Frétoy-le-Château

    Géographie

    Description

    La rue principale.

    Frétoy-le-Château est un petit village du Noyonnais située dans le nord-est de l'Oise, limitrophe du département de la Somme, à km à vol d'oiseau au nord de Noyon, 30 km au nord-ouest de Compiègne, 15 km de Roye où l'autoroute A1 (France métropolitaine) est accessible et à 31 km au sud-ouest de Saint-Quentin.

    Il est aisément accessible depuis les anciennes routes nationales RN 32 et RN 334 (actuelles RD 932 et 934.

    Aujourd'hui peu peuplé, ce village a connu des heures plus glorieuses, mais il semble connaître un gain d'attractivité grâce au terrain de parachutisme. Installé sur le flanc d'une petite colline, les habitants jouissent d'une situation qui leur permet de voir un beau paysage à l'horizon. Des paysages agricoles qui changent au cours de l'année. Un petit bois longe le côté nord de la commune ce qui renforce cette impression de communion avec la nature.

    En 1850, Louis Graves décrivait la commune comme constituée « en grande partie couvert de bois; deux longues rues sablonneuses forment le chef-lieu[1] ».

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le Canal du Nord passe dans l'est du territoire communal.

    Le canal du nord à Frétoy-le-Château

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 726 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Frétoy-le-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,3 %), forêts (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), zones urbanisées (6,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 111, alors qu'il était de 113 en 2014 et de 97 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 90,7 % étaient des résidences principales, 5,2 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Frétoy-le-Château en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,2 %) supérieure à celle du département (2,4 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,8 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Frétoy-le-Château en 2019.
    Typologie Frétoy-le-Château[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 90,7 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,2 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 4,1 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été désignée sous les noms de Frétoy, Frestois, Frestoi, Frétoy, le Frétoy[1].

    La commune, instituée par la Révolution française sous le nom de Fretoy, prend ensuite le nom de Frétoy et ensuite, en 1863, celui actuel de Frétoy-le-Château[22].

    Histoire

    L'histoire de ce petit village commence avec l'édification d'un château fort par un puissant seigneur sur un domaine baptisée "le Frestoy" ou aussi "le Frétoy", un domaine partagé en deux parties, la partie nord nommée "la zone de la forêt", et celle au sud, "la zone du village". Ce village est habité par les paysans qui travaillent pour le seigneur.

    Au XIe siècle, un puissant seigneur construit ce qui seront plus tard les bases, les fondations de tous les édifices fortifiés à Frétoy-le-Château, chaque édifice étant reconstruit sur les ruines du précédent. Ces fondations vont être renforcées au fur et à mesure du temps et des guerres. Elles sont toujours présentes aujourd'hui, contrairement au château en lui-même.

    Au départ, le château avait pour vocation la guerre ; mais comme la plupart des châteaux forts au moment de la Renaissance, il fut transformé en lieu de résidence. On ajouta aux douves un bassin pour la décoration, ce qui devait donner une ambiance comme on aurait pu en avoir à Versailles.

    Sous l'Ancien Régime, la terre de Frestoy avait le titre de marquisat[1]..

    Époque contemporaine

    En 1850, Frétoy-le-Château disposait d'une fontaine distribuant de l'eau potable et d'un terrain pour les archers. La population vivait du bûcheronnage, de la production de fruits ou de la fabrication de sabots[1]

    Première Guerre mondiale

    Durant la Première Guerre mondiale, la Frétoy-le-Château est occupée par l'armée allemande dès le jusqu'au , lors du replis allemand de l'Opération Alberich. Pendant cette période, les hommes en âge de se battre sont emprisonnés et déportés par les occupants et le village est totalement rasé par les Allemands appliquant la stratégie de la terre brûlée[23]. Le château avait servi de quartier général à la première division de la Garde du prince Eitel-Frédéric de Prusse[24].

    Un camp d'aviation militaire, sans doute l'ancêtre du terrain de parachutisme actuel, y est aménagé.

    • Le camp d'aviation en février 1917
    • Mission anglaise visitant l'escadrille Caudron
      Mission anglaise visitant l'escadrille Caudron
    • Avion Caudron.
      Avion Caudron.
    • Les hangars.
      Les hangars.
    • Visite de la Mission anglaise : départ d'un Caudron à droite
      Visite de la Mission anglaise : départ d'un Caudron à droite

    Après s'être retrouvée zone avancée sous contrôle militaire français strict, la commune est à nouveau occupée par les Allemands de juin 1918 jusqu'à sa libération, le [23]. Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[25] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Après avoir été fugacement chef-lieu de canton en 1801,elle faisait partie depuis 1802 du canton de Guiscard[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Frétoy-le-Château est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1962 Roger Van Moorleghem Maire de la commune pendant 35 ans
    Mort en fonction
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Gérard Gurdebeke Chef d'entreprise (Gurdebeke SA)
    mars 2008 mai 2020[28] Andrée Berton Retraitée
    Suppléante du conseiller général (PS) Gérard Lecomte (2011 → 2015)
    mai 2020[29] En cours
    (au 16 décembre 2022)
    Jean-Pierre Boileau Retraité

    Équipements et services publics

    • Salle polyvalente Roger Van Moorleghem, un ancien maire.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 264 habitants[Note 8], en augmentation de 0,76 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    402406463390398403391373384
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    358364340322315275254260220
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    207204317156178182172180153
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    153170167201209193205202262
    2015 2020 - - - - - - -
    256264-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune.

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 130 hommes pour 129 femmes, soit un taux de 50,19 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,8
    8,3
    75-89 ans
    6,1
    20,3
    60-74 ans
    22,1
    16,5
    45-59 ans
    13,7
    18,0
    30-44 ans
    19,1
    15,8
    15-29 ans
    22,1
    21,1
    0-14 ans
    16,0
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Sports et loisirs

    Après le championnat de Picardie de parachutisme en 2017[35], le championnat de France des disciplines artistiques de parachute est organisé à Frétoy-le-Château les 30 et à à l’aéroclub club Skydive Frétoy[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église paroissiale Notre-Dame, dont la façade date du XVIIIe siècle. Le chœur, en grès et pierre, est datable de la fin du XVIe siècle, mais les contreforts et sa partie supérieure, refaits en briques, est plus récente. Ses larges fenêtres en plein cintre en briques ont été réalisées au plus tôt au XVIIe siècle. Le nef, datant probablement du XVIe siècle est relié à l'unique bas-côté par trois arcades brisées.
      Le maître-autel en bois au riche décor sculpté est datable du XVIIe siècle[37]
    • Terrain de parachutisme[38], où plus de 16 700 sauts ont été réalisés en 2018[39].
    • Ancien château (totalement disparu aujourd'hui).
    • Le sentier de grande randonnée de pays (GRP) Le tour du Noyonnais passe en limite sud du territoire communal.
    • L'église de Frétoy-le-Château.
      L'église de Frétoy-le-Château.
    • Le monument aux morts...
      Le monument aux morts...
    • ... et son Poilu
      ... et son Poilu

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 44-45.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Frétoy-le-Château et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Frétoy-le-Château et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Fretoy-le-Chateau dans la Grande guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
    24. « Frétoy-le-Château (Oise). Le château ancien Q.G de la division du prince Eitel Friedrich. [légende d'origine] », sur https://imagesdefense.gouv.fr (consulté le ).
    25. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    26. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
    27. « Les maires de Frétoy-le-Château », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    28. « À Frétoy-le-Château, Andrée Berton veut passer le relais », Courrier picard, « Andrée Berton, élue pour la première fois au conseil municipal en 1995 et maire depuis 2008, ne se représentera pas (...) L’élue souhaiterait passer le flambeau à Jean-Pierre Boileau, son adjoint depuis 12 ans ».
    29. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Frétoy-le-Château (60263) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    35. « Frétoy-le-Château devient la capitale régionale du parachutisme », Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    36. Noémie Dambrin, « Championnats de France des disciplines artistiques de parachute à Frétoy-le-Château : Du vendredi 30 juillet au samedi 31 juillet la Fédération Française de Parachutisme organise les championnats de France de Disciplines Artistiques à Fretoy-le-Chateau à l’aéroclub club Skydive Frétoy », Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    37. Dominique Vermand, « Frétoy-le-Château, église de la Nativité Notre-Dame : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    38. Site du centre de parachutisme Skydive Frétoy .
    39. Stephane Lebarber, « Les sauts en parachute repartent à la hausse à Frétoy-le-Château », Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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