Accueil🇫🇷Chercher

Fréniches

Fréniches est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France entre Noyon (Oise) et Ham (Somme).

Fréniches
Fréniches
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Christophe Doisy
2020-2026
Code postal 60640
Code commune 60255
Démographie
Population
municipale
332 hab. (2020 en diminution de 5,68 % par rapport à 2014)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 19″ nord, 3° 00′ 17″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 110 m
Superficie 5,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fréniches
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fréniches
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Fréniches
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Fréniches

    Géographie

    Description

    Entrée du village.

    Fréniches est un village picard du Noyonnais situé dans le nord de l'Oise et limitrophe du département de la Somme, à 10 km à vol d'oiseau au nord de Noyon, 31 km à l'est de Montdidier et 16 km de Roye, 12 km au sud-est de Nesle, 10 km au sud-ouest de Ham et 29 km de Saint-Quentin, et 22 km à l'ouest de Tergnier.

    Il est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 32 (actuelle RD 932).

    La superficie de la commune est de 5,96 km2.

    En 1850, Louis Graves décrivait le territoire communal comme « très boisé et coupé par différents ravins, dont. la direction générale a lieu vers le sud-est. Le village, placé au centre, est formé d'habitations agglomérées, disposées en quatre rues principales[1] ».

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est drainée par plusieurs ruisseaux, dont le Ru du Vieux Saint-Nicolas, le Ru de l'Abbaye et le Marais Quentinval. On y compte également plusieurs mares et étangs.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 708 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chauny », sur la commune de Chauny, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 724,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 22 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Fréniches est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,9 %), forêts (8,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones urbanisées (7,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Le territoire communal compte plusieurs fermes isolées, la Ferme de Fréniches et celle de Bois-Brulé, déjà mentionnées au XIXe siècle[22]. et représentées sur des cartes postales du début du XXe siècle, ainsi que la ferme du Rouvrel.

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 178, alors qu'il était de 175 en 2014 et de 150 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 77,6 % étaient des résidences principales, 10,6 % des résidences secondaires et 11,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fréniches en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,6 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,4 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Fréniches en 2019.
    Typologie Fréniches[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 77,6 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 10,6 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 11,8 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été dénommée Freniche, Fresniches, Frenisches (Frenisciæ, Fresnischa)[1].

    Histoire

    Moyen Âge

    Le couvent de Sainte-Marie de Soissons, propriétaire de la terre de Fréniche, la cède en 1125, à Raoul de Nesle, qui l'intègre dans la seigneurie de Nesle[22].

    Fréniches est protégé par un château-fort important, où le roi Philippe le Bel dort le , lorsqu'il se rend de Paris en Flandre. Les restes de ce château sont détruits au début du XIXe siècle[1].

    Temps modernes

    Selon Louis Graves, « Fréniches était une des quatre baronnies qui dépendaient du marquisat de Nesle; elle lui fut réunie en janvier 1545, lors de l'érection de ce marquisat en faveur de Louis de Saint-Maure, comte de Nesle et de Joigny[1] ».

    Sous l'Ancien Régime, la paroisse relevait du bailliage de Chauny, de l'élection de Noyon et de l'intendance de Soissons[22]. Au spirituel, elle relevait du diocèse de Noyon et du doyenné de Noyon[23].

    Époque contemporaine

    En 1850, Fréniches dispose d'une école, d'un jeu d'arc et de pâtures communales. On y fabrique des toiles et des sabots et la plupart des habitants sont dos bûcherons ou des cultivateurs[1].

    • Fréniches au tout début du XXe siècle
    • La ferme de Fréniches
      La ferme de Fréniches
    • La ferme de Fréniches
      La ferme de Fréniches
    • Carrefour du calvaire
      Carrefour du calvaire
    • Ferme du Bois-Brûlé
      Ferme du Bois-Brûlé

    Première Guerre mondiale

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[24] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [25].

    • Fréniches en 1917
    • Cantonnement de nos troupiers vainqueurs Noter le toit détruit.
      Cantonnement de nos troupiers vainqueurs
      Noter le toit détruit.
    • Entonnoir de mine, rue de Libermont
      Entonnoir de mine, rue de Libermont

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Guiscard[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Fréniches est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 sous le statut de SIVOM, puis communauté de communes en 1994 sous le nom de communauté de communes de la haute vallée de l’Oise, et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1962 Roger Depinois 
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 James Gosse
    mars 2008 2014[28] Graziella Segoni-Monteiro Enseignante
    2014[29] En cours
    (au 13 septembre 2020)
    Christophe Doisy Menuisier / ébéniste
    Réélu pour le mandar 2020-2026[30]

    Équipements et services publics

    Culture

    Corentin Soleilhavoup et l'associatuon Yapluk’A, ont rénové une maison en 2020 afin d'y aménager un tiers-lieu de spectacles de musique et comédie, d’accueil d’artistes en résidence, voire d’ateliers de partage de savoir-faire[31] - [32] - [33].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2020, la commune comptait 332 habitants[Note 8], en diminution de 5,68 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    206386452443466481506463467
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    434445414405406394392407405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    412397370297334282245249245
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    214223213208220252286294325
    2015 2020 - - - - - - -
    347332-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune.

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 179 hommes pour 164 femmes, soit un taux de 52,19 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,3
    5,2
    75-89 ans
    5,7
    9,2
    60-74 ans
    8,8
    24,9
    45-59 ans
    20,1
    22,5
    30-44 ans
    26,4
    16,2
    15-29 ans
    15,7
    21,4
    0-14 ans
    22,0
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Manifestations culturelles et festivités

    La 4e édition du festival des Arts de la rue « les Mots en l’air[39] » organisée par l’association Yapluk’A a eu lieu en juillet 2022[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église de l’Assomption Notre-Dame, constituée d'une haute nef en grès longue de trois travées romanes, et qui date de la fin du XIIe siècle, et d'un chÅ“ur d'une travée, terminé par une abside à cinq pans, construit après la nef en grès et briques. Des courts bas-côtés en brique ont été rajoutés aux XVIe et XVIIe siècles.
      À l'intérieur se trouvent deux petits autels secondaires du XVIIIe siècle et l’ancien retable du maître autel, de la même époque, et comportant une représentation de l’Assomption de la Vierge, maintenant installé au-dessus de l’arc triomphal[41]
    • Le monument aux morts
    • L'église.
      L'église.
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Fréniches », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 43-44, sur Google Livres.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Chauny - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Fréniches et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Chauny - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Fréniches et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 132-133.
    23. Carte diocèse : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8441694m/f1.item.zoom
    24. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    25. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. « Les maires de Fréniches », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    28. « Le maire ne se représente pas : Après plusieurs mois de réflexion, sa décision est prise : élue maire en 2008, Graziella Segoni-Monteiro a décidé de ne pas se représenter aux élections municipales de mars 2014 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après un mandat de conseillère municipale effectué à Muirancourt, puis deux autres à Fréniches, également en tant que conseillère, puis de première magistrate, Graziella Ségoni-Monteiro a donc décidé de raccrocher l'écharpe ».
    29. « Fréniches », Cartes de France (consulté le ).
    30. « À Fréniches, Christophe Doisy veut conserver la mairie », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « « citation française »C’est en 2014 qu’il avait été élu premier magistrat, après avoir effectué deux mandats d’adjoint et de conseiller municipal. Il succédait alors à Graziella Segoni-Monteiro ».
    31. S. L. B., « La maison de spectacles à Fréniches bientôt prête à s’animer », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. Marielle Martinez, « Ils cultivent les arts et la joie de vivre depuis Fréniches : Ce village de 360 âmes est en train de se doter d’un tiers lieu à vocation artistique et artisanale. Une initiative montée par « une bande d’artistes », avec la coopération des gens des alentours », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. « À Fréniches, la salle créée par l’association Yapluk’A démarre ses spectacles », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fréniches (60255) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    39. Site du festival.
    40. « Les arts de la rue reviennent à Fréniches ce week-end des 9 et 10 juillet », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    41. Dominique Vermand, « Fréniches, église de l’Assomption Notre-Dame : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.