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Bussy (Oise)

Bussy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Bussy
Bussy (Oise)
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Pascal Dollé
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60117
Démographie
Gentilé Bussiens, Bussiennes
Population
municipale
310 hab. (2020 en diminution de 2,52 % par rapport à 2014)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 33″ nord, 2° 58′ 59″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 88 m
Superficie 3,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Bussy
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Bussy
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Bussy
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Bussy

    Géographie

    Description

    L'entrée du village.

    Bussy est aisément accessible par les anciennes routes nationales RN 334 et RN 32 (actuelles RD 934 et 932).

    Le territoire communal était décrit au milieu du XIXe siècle comme constitué d'une « plaine bornée par quelques mamelons, et qu'arrosent les eaux de la Verse et de la Mêve[1] ».

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le territoire communal est limité à l'ouest par la Verse, un affluent de l'Oise en rive droite et donc un sous-affluent de la Seine.

    La Mève limite le territoire au sud et conflue dans la Verse à l'intersection de Bussy, Beaurains-lès-Noyon et Genvry[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 699 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 26 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,3 °C pour 1981-2010[14], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Bussy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,9 %), forêts (25,6 %), zones urbanisées (6,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 120, alors qu'il était de 111 en 2013 et de 112 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 95 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,9 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bussy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,1 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Bussy en 2018.
    Typologie Bussy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 95 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,8 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 4,1 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été désignée comme Bucy ou Buci (Bucedrium)[1].

    Du latin buxus « buis » et du suffixe latin -utum ; « ensemble de buis »[23].

    Histoire

    Louis Graves indiquait que « ce lieu est ancien ; l'église en fut donnée vers 987.par Lindulphe, évêque de Noyon, à l'abbaye Saint-Éloi[1] ».

    La commune de Bussy, instituée par la Révolution française, absorbe fugacement de 1828 à 1832 celle de Sermaize[1] - [24].

    En 1850, Bussy était propriétaire d'un presbytère, d'une école et de pâtures. On y trouvait un moulin à eau, un moulin à vent et une cendrière. Certains habitants tissaient des toiles de coton[24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Guiscard[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Noyon

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Bussy est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Pierre Boulnois[26] Syndicaliste agricole
    Vice-président de la CC du Pays noyonnais ( ? → 2008)
    Chevalier de la Légion d'honneur
    mars 2008 mai 2020[27] Jean-Pierre Baros Secrétaire de mairie-instituteur retraité
    mai 2020[28] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Pascal Dollé Secrétaire administratif retraité
    Vice-président de la CC du Pays Noyonnais (2020[29] → )

    Équipements et services publics

    La mairie est réaménagée et une salle multi-activités est réalisée en 2020[30] - [31].

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Catigny, Sermaize, Campagne, Genvry et Beaurains-les-Noyon, un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) formé en 2021 par le regroupements de deux anciens syndicats, permettant d'offrir des services de cantine et d’accueil périscolaire à certaines communes qui en étaient jusqu'alors dépourvues et se protéger d’éventuelles fermetures de classes, les écoles de Sermaize et de Beaurains n’accueillant auparavant que 13 élèves chacune[32] - [33].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2020, la commune comptait 310 habitants[Note 8], en diminution de 2,52 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    215235278258531282256262245
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    227240235216223221199192218
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    191182184113140134136156154
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    138127121179225246282299311
    2015 2020 - - - - - - -
    324310-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Le pic de population constaté en 1831 correspond à la période où Bussy et Sermaize ont été fusionnées.

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 163 hommes pour 156 femmes, soit un taux de 51,1 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    5,1
    75-89 ans
    6,6
    13,9
    60-74 ans
    12,5
    22,2
    45-59 ans
    28,3
    15,2
    30-44 ans
    18,4
    22,2
    15-29 ans
    12,5
    21,5
    0-14 ans
    21,7
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Laurent date de 1849. De style néo-classique, elle est construite en briques et pierre sur soubassement de grès, et comprend une nef de quatre travées avec bas-côtés, terminée par un chœur à chevet plat. À l'intérieur, son volume est très dégagé supporté par des grandes arcades en cintre surbaissé retombant sur des piles circulaires légèrement galbées par l’intermédiaire de chapiteaux doriques. La façade est dotée d'un pignon triangulaire[39]

    Un graffiti représentant la Croix de lorraine et l'étoile de l'armée américaine et la date du a été gravé ce jour-là par un soldat américain ou par des résistants restés anonymes sur le porche d'un bâtiment à la sortie du village. Une plaque inaugurée en 2019 rappelle ce vestige des combats de la Libération de la France[40].

    Le sentier de grande randonnée de pays Tour du Noyonnais passe le long des limites est et sud de la commune.

    • Façade de l'église
      Façade de l'église
    • Intérieur de l'église
      Intérieur de l'église
    • Ancienne bascule.
      Ancienne bascule.
    • Le jeu d'arc
      Le jeu d'arc
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts

    Héraldique

    Bussy
    Blason de Bussy Blason
    De gueules à la fasce denchée d’argent, au nuage du même mouvant de la pointe, à l’arc d’or cordé de sable brochant en pal sur le tout, au chef échiqueté d’azur et d’or de deux tires.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bussy », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 38-39.
    2. Stéphane Lebarber, « Noyon va devenir le nouveau haut lieu oisien de la pêche à la truite », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bussy et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bussy et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 335.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. « Les maires de Bussy », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    26. « Pierre Boulnois, chevalier de la Légion d'honneur », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Le maire de Bussy décide de passer la main », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire en place depuis 2008, Jean-Pierre Baros, ne se représentera pas l’an prochain. Après deux mandats de premier magistrat et un autre d’adjoint, il entend, à 72 ans, privilégier sa vie personnelle (...) Le premier adjoint de Jean-Pierre Baros, Pascal Dollé, conduira la liste, en mars ».
    28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    29. Fanny Dollé, « Sandrine Dauchelle prend la tête du Pays Noyonnais : La maire de Noyon a encore battu d’une courte tête (dix voix d’écart) son seul adversaire déclaré, Patrick Deguise. Sandrine Dauchelle veut composer avec les élus ruraux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Bientôt une salle multi-activités à Bussy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Entre le souvenir et l’avenir à Bussy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’agrandissement de la nouvelle mairie se termine. Le maire de la commune, Jean-Pierre Baros, s’en réjouit : « La cuisine, la salle d’archives et la nouvelle salle de réceptions vont permettre de favoriser la vie associative et culturelle, et nous offrir un espace adapté aux besoins de notre beau village ».
    32. Stéphane Lebarber, « Dans le Noyonnais, le pari d’un mariage entre villages pour éviter les fermetures de classes : Six villages ont proposé la fusion de leurs regroupements scolaires pour que la présence des enfants profite à tous. La classe unique de l’école élémentaire de Catigny et la maternelle de Sermaize comptent respectivement 11 et 13 élèves », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. Stéphane Lebarber, « Dans six villages du Noyonnais, le regroupement scolaire XXL leur fait gagner des élèves : Le regroupement scolaire en vigueur depuis la rentrée de septembre fait déjà ses preuves, grâce notamment aux services de cantine et d’accueil périscolaire proposés dans certains villages qui en étaient auparavant privé », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bussy (60117) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    39. Dominique Vermand, « Bussy, église Saint-Laurent : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    40. « À Bussy, le graffiti de la Libération mis en lumière 75 ans après », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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