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Beaurains-lès-Noyon

Beaurains-lès-Noyon est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Beaurains-lès-Noyon
Beaurains-lès-Noyon
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Daniel Hardier
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60055
Démographie
Gentilé Beaurainois, Beaurainoises
Population
municipale
340 hab. (2020 en augmentation de 3,34 % par rapport à 2014)
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 41″ nord, 2° 58′ 25″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 74 m
Superficie 3,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Beaurains-lès-Noyon
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Beaurains-lès-Noyon
Liens
Site web http://www.beaurains-les-noyon.fr/

    Géographie

    Entrée du village.

    Beaurains-lès-Noyon est un village périurbain picard du Noyonnais jouxtant Noyon et situé à 36 km au nord-ouest de Soissons, 24 km au nord-est de Compiègne, 66 km au nord-est de Beauvais et 35 km ai sud-ouest de Saint-Quentin.

    Le territoire communal est limité à l(ouest par le tracé de l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934 Amiens - Soissons).

    Communes limitrophes

    Rose des vents Bussy Genvry Rose des vents
    Sermaize N
    O Beaurains-lès-Noyon E
    S
    Porquericourt Noyon

    Hydrographie

    Le canal du nord à Beaurains-lès-Noyon.

    Plusieurs bvras de la Verse drainent le territoire communal. La Verse est un affluent de l'Oise en rive droite et donc un sous-affluent de la Seine.

    La commune est traversée du nord-ouest au sud-est par le Canal du Nord sur une longueur d'environ 5 km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 692 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Beaurains-lès-Noyon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,5 %), forêts (27 %), zones urbanisées (12,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), prairies (1,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 152, alors qu'il était de 128 en 2013 et de 117 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 92,1 % étaient des résidences principales, 2,6 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,9 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beaurains-lès-Noyon en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (96,6 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Beaurains-lès-Noyon en 2018.
    Typologie Beaurains-lès-Noyon[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 92,1 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,6 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 5,3 7,1 8,2

    Toponymie

    Le nom de Beaurains dérive du latin Bello Ramo (beau bois)[21].

    Histoire

    Au Moyen Âge, les droits de banalité des moulins situés sur la Verse sont vendus au roi Philippe le Bel par Gauthier de Thourotte en 1292 ; l'évêché de Noyon les reprit en vertu du retrait féodal, avec les droits de pêche, à la condition de curer la rivière en amont, jusqu'aux aulnois du seigneur de Beaurains[21].

    Le 17 août 1522 a lieu sur la place de Beaurains la revue d'une compagnie de cinq cents hommes de pied, commandés par Jehan de Castille, écuyer. Cette revue fut passée par Louis de Laverdin, chevalier, seigneur de Bonnay[21].

    Sous l'Ancien Régime, la paroisse faisait partie du bailliage et de l'élection de Noyon[21].

    Émile Coët indique « on a exploité pendant longtemps à Beaurains des dépôts de cendres noires, pyriteuses que l'on répandait sur les terres pour les fertiliser[21] ».

    La commune, instituée par la Révolution française, est fusionnée de 1828 à 1832 à celle de Genvry[21].

    Au milieu du XIXe siècle, la cendrière n'était plus exploitée, et on comptait un moulin à vent dans la commune[22].

    Le village est considéré comme très largement détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[23] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [24].

    .

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Noyon[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Noyon

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Beaurains-lès-Noyon est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Georges Leclere DVD
    mars 2008 En cours
    (au 24 janvier 2021[26])
    Daniel Hardier Réélu pour le mandat 2014-2020[27]

    Équipements et services publics

    La commune s'est dotée d'une nouvelle mairie, accessible aux personnes handicapées, ce qui a permis d'aménager dans les anciens locaux une salle pour les associations et les nouvelles activités périscolaires[28].

    Enseignement

    Les enfants de la commune étaient scolarisés avec ceux de Genvry et de Bussy dans le cadre d'un Regroupement pédagogique intercommunal 'RPI), qui a fusionné en 2021 avec celui organisé par Catigny, Sermaize et Campagne. Ce regroupement a permis d'offrir aux 93 élèves scolarisés en 2021-2022 des services de cantine et d’accueil périscolaire et de réduire les risques de fermetures de classes[29] - [30]. L'école de Beaurains accueille désormais la classe de CE2.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 340 habitants[Note 8], en augmentation de 3,34 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    184212209205176182187185189
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    188197199205171165164183176
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    167194137158145144182170194
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    193233234284264280284296338
    2020 - - - - - - - -
    340--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 171 hommes pour 167 femmes, soit un taux de 50,59 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,2
    7,6
    75-89 ans
    4,2
    19,9
    60-74 ans
    22,8
    21,6
    45-59 ans
    21,6
    15,8
    30-44 ans
    18,6
    17,0
    15-29 ans
    13,2
    18,1
    0-14 ans
    18,6
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Le monument aux morts sur monté d'une croix latine.
    L'église St-Germain.

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Germain. Celle-ci a été de 1686 à la Révolution française, le siège d’un petit prieuré cure desservi par un chanoine de l’Abbaye de Prémontré. De nos jours, l'église présente un portail armorié aux armes de l'abbaye. La nef a été fortement remaniée au XVIIe siècle La sacrystie et le choeur ont été très remaniés après les destructions de la Première Guerre mondiale.
      La cuve baptismale porte la date de 1678 et le nom de son donateur, Nicolas Cocquel, prieur de Saint-Crépin d’Offémont[36].

    Personnalités liées à la commune

    Le nom de certains seigneurs de Beaurains nous est parvenu[21]. . :

    • Guy et Raoul de Beaurains sont, cités dans un acte de 1200; comme petits-fils de Simon de Béthancourt, et de Marguerite sa femme. Ils approuvent la donation que fait Simon à l'Abbaye Notre-Dame d'Ourscamp ;
    • Jehan de Beaurains, chevalier lègue en 1276 aux frères d'Ourscamp, un muid de blé à prendre sur sa terre de Beaurains.;
    • Pierre de Beaurains , chevalier, est cité également dans le cartulaire d'Ourscamp, comme seigneur du lieu.
    • Gabriel d'Aussy, chevalier est seigneur de Beraurains en 1545 ; sa fille Françoise épouse en 1547, Guy des Marets auquel elle apporte en dot la seigneurie de Beaurains.
    • Guy Des Marest, écuyer, seigneur du Plessier-Saint-Nicaise et donc de Beaurains, est maréchal-des-logis de la compagnie de monseigneur de Piennes ;
    • Son fils François Des Marest, écuyer, est seigneur de Beaurains ; il légue à la fabrique de l'église de Beaurains, une rente annuelle de trois livres à la charge d'un obit solennel ;
    • Louis Des Marets, fils de François, seigneur de Beaurains et de la Motte, est assassiné près de la Sole-Saint-Martin, le 31 janvier 1653, laissant pour lui succéder son fils Claude, mort subitement en 1702
    • Jacques-Armand Des Marets, neuvième enfant de Claude, chevalier, est seigneur de Beaurains, capitaine au régiment de Pertoi. Il meurt le 21 septembre 1742 est fut inhumé dans le chÅ“ur de l'église, près de Jean Des Marets et de Madeleine de Longueval, épouse de Charles, vet décédée en 1662.
    • Armand-Emmanuel Des Marets, né en 1723, est seigneur de Beaurains, chevalier de Saint-Louis et chef de brigade du corps royal d'artillerie. Sous la Terreur, il est arrêté et enfermé dans le château de Chantilly, avec sa femme Claude-Félicité de Bichoufftz et ses deux filles. Des Marets est remis en liberté après l'exécution de Robespierre, et rentre dans son château de Beaurains, où il meurt le 8 octobre 1815.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • H. Lhomond, « Notes historiques sur Beaurains-lès-Noyon : Lectures faites aux séances des 28 juillet 1932 et 1er juin 1933 », Société historique, archéologique et scientifique de Noyon, Comptes-rendus et mémoires, t. XXX,‎ , p. 62-91 (lire en ligne [PDF], consulté le ).

    Articles connexes

    Liens externes

    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Beaurains-lès-Noyon et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Beaurains-lès-Noyon et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 235-238, sur Gallica.
    22. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Noyon, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 231 p. (lire en ligne), p. 55-57, sur Google Books.
    23. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    24. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Cécile Wachez, « Les terrains vendus en direct par les communes, un bon filon dans le Noyonnais : Dix des 15 parcelles proposées par la Ville de Noyon ont trouvé preneurs, sous le Mont Saint-Siméon. La mairie de Porquéricourt a elle aussi réussi son opération », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À Beaurains-les-Noyon, l’initiative est en revanche couronnée de succès : sur les 12 parcelles mises en vente à partir de 2009, il n’en reste plus que trois de disponibles ».
    27. « Beaurains-lès-Noyon », Cartes de France (consulté le ).
    28. « La nouvelle mairie », À la Une, sur http://www.beaurains-les-noyon.fr (consulté le ).
    29. Stephane Lebarber, « Dans le Noyonnais, le pari d’un mariage entre villages pour éviter les fermetures de classes : Six villages ont proposé la fusion de leurs regroupements scolaires pour que la présence des enfants profite à tous. La classe unique de l’école élémentaire de Catigny et la maternelle de Sermaize comptent respectivement 11 et 13 élèves », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    30. Stephane Lebarber, « Dans six villages du Noyonnais, le regroupement scolaire XXL leur fait gagner des élèves : Le regroupement scolaire en vigueur depuis la rentrée de septembre fait déjà ses preuves, grâce notamment aux services de cantine et d’accueil périscolaire proposés dans certains villages qui en étaient auparavant privé », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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