Catigny
Catigny est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Catigny | |||||
L'Ă©glise. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | CompiĂšgne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays Noyonnais | ||||
Maire Mandat |
Valérie Opat 2020-2026 |
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Code postal | 60640 | ||||
Code commune | 60132 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
185 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 38âČ 20âł nord, 2° 56âČ 20âł est | ||||
Altitude | Min. 45 m Max. 87 m |
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Superficie | 6,68 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Noyon (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Noyon | ||||
LĂ©gislatives | [6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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GĂ©ographie
Description
Catigny est un village rural picard du Noyonnais, dans l'Oise situé à 8 km au nord-ouest de Noyon, 50 km à l'ouest de Laon, 34 km au sud-ouest de Saint-Quentin, 26 km de Montdidier et 22 km au nord de CompiÚgne.
Le territoire communal est limité au sud-ouest par l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934), qui reprend le tracé d'une ancienne voie romaine, dite Chaussée Brunehaut.
Au milieu du XIXe siÚcle, Louis Graves indiquait que la commune « est formée d'une pleine coupée par quelques plis de terrain, à l'est d'un coteau qui s étend sur les communes voisines ; on n'y trouve pas d'eau courante[1] ».
Hydrographie
Catigny est drainé par la MÚve, un affluent de la Verse et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.
Il est traversé par le Canal du Nord.
La réalisation d'un port flucial sur le canal est prévu vers 2029 sur Sermaize er Catigny dans le cadre de la réalisation du canal Seine-Nord Europe[2] - [3] - [4].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de RibĂ©court-Dreslincourt, mise en service en 1976[11] et qui se trouve Ă 14 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 738,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, dans le dĂ©partement de l'Aisne, mise en service en 1933 et Ă 28 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15] Ă 10,3 °C pour 1981-2010[16], puis Ă 10,8 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Catigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (94 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (89,8 %), prairies (4,2 %), zones urbanisĂ©es (3,8 %), forĂȘts (2,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[24].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 87, alors qu'il Ă©tait de 82 en 2013 et de 77 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 94,3 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Catigny en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].
Toponymie
La localité a été dénommée Cattigny, Cartigny, Guarteigny, Catigni, Cattigni, Catiny, Catheni et Catheny[1].
Cette dénomination provient sans doute de Catiniacum, de Catinius et suffixe -acum, "domaine de Catinius"[25].
Histoire
Louis Graves indiquait en 1850 que « l'Ă©glise de Catigny qui Ă©tait paroissiale, sous le titre de Saint-Martin, fut donnĂ©e en 1110 au chapitre de la cathĂ©drale par Baudry, cĂ©lĂšbre Ă©vĂȘque de Noyon ; elle n'est plus que simple succursale[1] ».
Sous l'Ancien Régime, Catigny dépendait de la seigneurie de Beaulieu[1].
La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe fugacement celle de Campagne, entre 1828 et 1832[26].
En 1850, la commune était propriétaire d'une école et de quelques pùtures. La population était essentiellement occupée par les travaux agricoles, mais quelques ouvriers y fabriquaient du calicot[1].
Le village a été desservi par la ligne de Bussy à Ercheu, un chemin de fer secondaire du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise. L'impasse de la gare rappelle aujourd'hui encore cette desserte ferroviaire qui a fonctionné de 1897 à 1953 et permettait de relier Noyon à Albert. L'emprise de la voie est occupée par des pavillons.
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de CompiÚgne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixiÚme circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Guiscard[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intÚgre le canton de Noyon.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, créée en 1994.
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisĂ©s avec ceux de Bussy, Sermaize, Campagne, Genvry et Beaurains-les-Noyon par un regroupement pĂ©dagogique intercommunal (RPI) formĂ© en 2021 par le regroupements de deux anciens syndicats, permettant d'offrir des services de cantine et dâaccueil pĂ©riscolaire Ă certaines communes qui en Ă©taient jusqu'alors dĂ©pourvues et se protĂ©ger dâĂ©ventuelles fermetures de classes, les Ă©coles de Sermaize et de Beaurains nâaccueillant auparavant que 13 Ă©lĂšves chacune[34] - [35].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].
En 2020, la commune comptait 185 habitants[Note 8], en diminution de 2,63 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 34,1 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 25,7 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 97 hommes pour 94 femmes, soit un taux de 50,79 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Catigny (60132) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Catigny », MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Catigny » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Catigny » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Catigny - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Catigny - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
Autres sources
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de CompiÚgne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 39-40, sur Google Books.
- « Les habitants rejettent le port fluvial », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Selon les Ă©lus du village opposĂ©s au projet lors d'une rĂ©cente dĂ©libĂ©ration, le port et sa plate-forme auraient un impact nĂ©gatif sur ce territoire essentiellement agricole ».
- « Le port fluvial de Catigny plĂ©biscitĂ© », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « L'Etat, dernier dĂ©cideur, aura du mal Ă faire fi de la volontĂ© des Ă©lus du Noyonnais. Ceux-ci viennent de donner leur prĂ©fĂ©rence pour le site du port fluvial Ă Catigny. Un choix qui Ă©vince le site numĂ©ro deux, celui de PorquĂ©ricourt-Sermaize-Lagny, et le numĂ©ro trois, celui de Beaurains-lĂšs-Noyon - PorquĂ©ricourt, aujourd'hui encore prĂ©fĂ©rĂ© par le dĂ©putĂ© (UMP) François-Michel Gonnot ».
- Stephane Lebarber, « Enfin des plans dĂ©finitifs pour le futur port de Noyon : Seize annĂ©es dâeffets dâannonce sur la superficie du projet de plateforme et le nombre dâemplois gĂ©nĂ©rĂ©s sâachĂšvent : les plans dĂ©finitifs, au bord du futur canal Seine-Nord, ont cette fois Ă©tĂ© entĂ©rinĂ©s », Le Parisien,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Catigny et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Catigny et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- « De nouvelles Ă©lections Ă Catigny », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Une seule liste avait Ă©tĂ© montĂ©e, avant le scrutin de mars 2014. Lors de la sĂ©ance dĂ©diĂ©e Ă lâĂ©lection du maire, quelques jours plus tard, les dĂ©bats avaient Ă©tĂ© houleux : Alexandre CavĂ© avait Ă©tĂ© Ă©lu par six voix contre cinq, face Ă lâĂ©dile prĂ©cĂ©dent, Bernard BorĂ© ».
- Alexis Bisson, « Catigny : le Front national pleure « le patriote » Alexandre CavĂ© », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne) « SupplĂ©ant de Michel Guiniot, le conseiller dĂ©partemental (FN) du canton de Noyon-Guiscard, Alexandre CavĂ©, Ă©lu maire en 2014 sous lâĂ©tiquette UMP, avait rejoint le parti frontiste dĂ©but 2015. Il avait alors claquĂ© la porte du parti dirigĂ© par Nicolas Sarkozy dans des conditions tumultueuses ».
- « Oise: Alexandre CavĂ©, maire Front national de Catigny, s'est donnĂ© la mort », France Soir,â (lire en ligne) « Il avait Ă©tĂ© poussĂ© vers la sortie, avec fracas, du parti de droite en 2015, avant de rejoindre le FN, et Ă©tait devenu le supplĂ©ant de Michel Guiniot, conseiller dĂ©partemental frontiste du canton de Noyon. ».
- « Communiqué de Presse du Front National », sur http://www.frontnational.com, (consulté le ).
- « Catigny 60640 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
- Fanny DollĂ©, « Sandrine Dauchelle prend la tĂȘte du Pays Noyonnais : La maire de Noyon a encore battu dâune courte tĂȘte (dix voix dâĂ©cart) son seul adversaire dĂ©clarĂ©, Patrick Deguise. Sandrine Dauchelle veut composer avec les Ă©lus ruraux », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « DĂ©partementales. Duo Pommier/Opat Ă Noyon et Leblanc Ă MĂ©ru pour les RĂ©publicains : La majoritĂ© a choisi ses deux candidats pour le canton de Noyon. Le LR a dĂ©signĂ© Bruno Pommier, premier adjoint Ă la mairie de Noyon, et ValĂ©rie Opat, maire de Catigny. A MĂ©ru, il y aura notamment FrĂ©dĂ©rique Leblanc », Oise Hebdo,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- StĂ©phane Lebarber, « Dans le Noyonnais, le pari dâun mariage entre villages pour Ă©viter les fermetures de classes : Six villages ont proposĂ© la fusion de leurs regroupements scolaires pour que la prĂ©sence des enfants profite Ă tous. La classe unique de lâĂ©cole Ă©lĂ©mentaire de Catigny et la maternelle de Sermaize comptent respectivement 11 et 13 Ă©lĂšves », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- StĂ©phane Lebarber, « Dans six villages du Noyonnais, le regroupement scolaire XXL leur fait gagner des Ă©lĂšves : Le regroupement scolaire en vigueur depuis la rentrĂ©e de septembre fait dĂ©jĂ ses preuves, grĂące notamment aux services de cantine et dâaccueil pĂ©riscolaire proposĂ©s dans certains villages qui en Ă©taient auparavant privĂ© », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Catigny (60132) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- Dominique Vermand, « Catigny, Ă©glise Saint-Martin : DiocĂšse : », sur Ăglises de l'Oise - art roman et gothique, (consultĂ© le ).