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Catigny

Catigny est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Catigny
Catigny
L'Ă©glise.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement CompiĂšgne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Valérie Opat
2020-2026
Code postal 60640
Code commune 60132
DĂ©mographie
Population
municipale
185 hab. (2020 en diminution de 2,63 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 28 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 38â€Č 20″ nord, 2° 56â€Č 20″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 87 m
Superficie 6,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Noyon
LĂ©gislatives [6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Catigny
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Catigny

    GĂ©ographie

    Description

    Panorama du village.

    Catigny est un village rural picard du Noyonnais, dans l'Oise situĂ© Ă  km au nord-ouest de Noyon, 50 km Ă  l'ouest de Laon, 34 km au sud-ouest de Saint-Quentin, 26 km de Montdidier et 22 km au nord de CompiĂšgne.

    Le territoire communal est limité au sud-ouest par l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934), qui reprend le tracé d'une ancienne voie romaine, dite Chaussée Brunehaut.

    Au milieu du XIXe siÚcle, Louis Graves indiquait que la commune « est formée d'une pleine coupée par quelques plis de terrain, à l'est d'un coteau qui s étend sur les communes voisines ; on n'y trouve pas d'eau courante[1] ».

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Catigny est drainé par la MÚve, un affluent de la Verse et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

    Il est traversé par le Canal du Nord.

    La réalisation d'un port flucial sur le canal est prévu vers 2029 sur Sermaize er Catigny dans le cadre de la réalisation du canal Seine-Nord Europe[2] - [3] - [4].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 691 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de RibĂ©court-Dreslincourt, mise en service en 1976[11] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 738,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, dans le dĂ©partement de l'Aisne, mise en service en 1933 et Ă  28 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15] Ă  10,3 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  10,8 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Catigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (94 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (89,8 %), prairies (4,2 %), zones urbanisĂ©es (3,8 %), forĂȘts (2,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[24].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 87, alors qu'il Ă©tait de 82 en 2013 et de 77 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 94,3 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Catigny en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Catigny en 2018.
    Typologie Catigny[I 1] Oise[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 94,3 90,4 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 5,7 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été dénommée Cattigny, Cartigny, Guarteigny, Catigni, Cattigni, Catiny, Catheni et Catheny[1].

    Cette dénomination provient sans doute de Catiniacum, de Catinius et suffixe -acum, "domaine de Catinius"[25].

    Histoire

    L'ancienne gare.

    Louis Graves indiquait en 1850 que « l'Ă©glise de Catigny qui Ă©tait paroissiale, sous le titre de Saint-Martin, fut donnĂ©e en 1110 au chapitre de la cathĂ©drale par Baudry, cĂ©lĂšbre Ă©vĂȘque de Noyon ; elle n'est plus que simple succursale[1] ».

    Sous l'Ancien Régime, Catigny dépendait de la seigneurie de Beaulieu[1].

    La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe fugacement celle de Campagne, entre 1828 et 1832[26].

    En 1850, la commune était propriétaire d'une école et de quelques pùtures. La population était essentiellement occupée par les travaux agricoles, mais quelques ouvriers y fabriquaient du calicot[1].

    Le village a été desservi par la ligne de Bussy à Ercheu, un chemin de fer secondaire du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise. L'impasse de la gare rappelle aujourd'hui encore cette desserte ferroviaire qui a fonctionné de 1897 à 1953 et permettait de relier Noyon à Albert. L'emprise de la voie est occupée par des pavillons.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de CompiÚgne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixiÚme circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Guiscard[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intÚgre le canton de Noyon.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, créée en 1994.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Claude Bourlon
    mars 2008 2014[27] Bernard Bore
    2014[27] mars 2017[28] - [29] Alexandre Cavé UMP
    puis FN[30]
    Agriculteur
    Décédé en fonction
    2017 juillet 2020[31] Marie-Claire Aubert
    juillet 2020[32] En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Valerie Opat LR[33] Vice-prĂ©sidente de la CC du Pays Noyonnais (2020 → )

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisĂ©s avec ceux de Bussy, Sermaize, Campagne, Genvry et Beaurains-les-Noyon par un regroupement pĂ©dagogique intercommunal (RPI) formĂ© en 2021 par le regroupements de deux anciens syndicats, permettant d'offrir des services de cantine et d’accueil pĂ©riscolaire Ă  certaines communes qui en Ă©taient jusqu'alors dĂ©pourvues et se protĂ©ger d’éventuelles fermetures de classes, les Ă©coles de Sermaize et de Beaurains n’accueillant auparavant que 13 Ă©lĂšves chacune[34] - [35].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 185 habitants[Note 8], en diminution de 2,63 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    288335370334502316327314305
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    299314285291280259228211207
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    199230266146161158162167169
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    186193181191199182192195197
    2018 2020 - - - - - - -
    191185-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  34,1 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 25,7 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 97 hommes pour 94 femmes, soit un taux de 50,79 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1,0
    90 ou +
    0,0
    5,2
    75-89 ans
    11,7
    17,5
    60-74 ans
    16,0
    23,7
    45-59 ans
    20,2
    17,5
    30-44 ans
    19,1
    13,4
    15-29 ans
    16,0
    21,6
    0-14 ans
    17,0
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Martin, du XIXe siĂšcle mais dont le chƓur Ă  chevet plat est celui de l'Ă©difice antĂ©rieur qui semble dater du XIIIe siĂšcle[41]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Catigny », MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Guiscard, arrondissement de CompiÚgne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 100 p. (lire en ligne), p. 39-40, sur Google Books.
    2. « Les habitants rejettent le port fluvial », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Selon les Ă©lus du village opposĂ©s au projet lors d'une rĂ©cente dĂ©libĂ©ration, le port et sa plate-forme auraient un impact nĂ©gatif sur ce territoire essentiellement agricole ».
    3. « Le port fluvial de Catigny plĂ©biscitĂ© », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « L'Etat, dernier dĂ©cideur, aura du mal Ă  faire fi de la volontĂ© des Ă©lus du Noyonnais. Ceux-ci viennent de donner leur prĂ©fĂ©rence pour le site du port fluvial Ă  Catigny. Un choix qui Ă©vince le site numĂ©ro deux, celui de PorquĂ©ricourt-Sermaize-Lagny, et le numĂ©ro trois, celui de Beaurains-lĂšs-Noyon - PorquĂ©ricourt, aujourd'hui encore prĂ©fĂ©rĂ© par le dĂ©putĂ© (UMP) François-Michel Gonnot ».
    4. Stephane Lebarber, « Enfin des plans dĂ©finitifs pour le futur port de Noyon : Seize annĂ©es d’effets d’annonce sur la superficie du projet de plateforme et le nombre d’emplois gĂ©nĂ©rĂ©s s’achĂšvent : les plans dĂ©finitifs, au bord du futur canal Seine-Nord, ont cette fois Ă©tĂ© entĂ©rinĂ©s », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    11. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Catigny et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Catigny et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    25. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    27. « De nouvelles Ă©lections Ă  Catigny », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Une seule liste avait Ă©tĂ© montĂ©e, avant le scrutin de mars 2014. Lors de la sĂ©ance dĂ©diĂ©e Ă  l’élection du maire, quelques jours plus tard, les dĂ©bats avaient Ă©tĂ© houleux : Alexandre CavĂ© avait Ă©tĂ© Ă©lu par six voix contre cinq, face Ă  l’édile prĂ©cĂ©dent, Bernard BorĂ© ».
    28. Alexis Bisson, « Catigny : le Front national pleure « le patriote » Alexandre CavĂ© », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne) « SupplĂ©ant de Michel Guiniot, le conseiller dĂ©partemental (FN) du canton de Noyon-Guiscard, Alexandre CavĂ©, Ă©lu maire en 2014 sous l’étiquette UMP, avait rejoint le parti frontiste dĂ©but 2015. Il avait alors claquĂ© la porte du parti dirigĂ© par Nicolas Sarkozy dans des conditions tumultueuses ».
    29. « Oise: Alexandre CavĂ©, maire Front national de Catigny, s'est donnĂ© la mort », France Soir,‎ (lire en ligne) « Il avait Ă©tĂ© poussĂ© vers la sortie, avec fracas, du parti de droite en 2015, avant de rejoindre le FN, et Ă©tait devenu le supplĂ©ant de Michel Guiniot, conseiller dĂ©partemental frontiste du canton de Noyon. ».
    30. « Communiqué de Presse du Front National », sur http://www.frontnational.com, (consulté le ).
    31. « Catigny 60640 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    32. Fanny DollĂ©, « Sandrine Dauchelle prend la tĂȘte du Pays Noyonnais : La maire de Noyon a encore battu d’une courte tĂȘte (dix voix d’écart) son seul adversaire dĂ©clarĂ©, Patrick Deguise. Sandrine Dauchelle veut composer avec les Ă©lus ruraux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    33. « DĂ©partementales. Duo Pommier/Opat Ă  Noyon et Leblanc Ă  MĂ©ru pour les RĂ©publicains : La majoritĂ© a choisi ses deux candidats pour le canton de Noyon. Le LR a dĂ©signĂ© Bruno Pommier, premier adjoint Ă  la mairie de Noyon, et ValĂ©rie Opat, maire de Catigny. A MĂ©ru, il y aura notamment FrĂ©dĂ©rique Leblanc », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    34. StĂ©phane Lebarber, « Dans le Noyonnais, le pari d’un mariage entre villages pour Ă©viter les fermetures de classes : Six villages ont proposĂ© la fusion de leurs regroupements scolaires pour que la prĂ©sence des enfants profite Ă  tous. La classe unique de l’école Ă©lĂ©mentaire de Catigny et la maternelle de Sermaize comptent respectivement 11 et 13 Ă©lĂšves », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    35. StĂ©phane Lebarber, « Dans six villages du Noyonnais, le regroupement scolaire XXL leur fait gagner des Ă©lĂšves : Le regroupement scolaire en vigueur depuis la rentrĂ©e de septembre fait dĂ©jĂ  ses preuves, grĂące notamment aux services de cantine et d’accueil pĂ©riscolaire proposĂ©s dans certains villages qui en Ă©taient auparavant privĂ© », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Catigny (60132) », (consultĂ© le ).
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
    41. Dominique Vermand, « Catigny, Ă©glise Saint-Martin : DiocĂšse : », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consultĂ© le ).
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