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Candor

Candor est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Candor
Candor
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Delphine Valois
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60124
Démographie
Gentilé Candoriens, Candoriennes
Population
municipale
317 hab. (2020 en augmentation de 10,07 % par rapport à 2014)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 43″ nord, 2° 53′ 46″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 122 m
Superficie 8,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Candor
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Candor

    Géographie

    Description

    L'entrée du village

    Candor est un village picard du Noyonnais situé à {{Unité[9|km}} au nord-ouest de Noyon, 24 km au nord de Compiègne, 61 km au nord-est de Beauvais, 52 km au sud-est d'Amiens et à 36 km au sud-ouest de Saint-Quentin.

    Le territoire communal est limité au nord-est par l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934), qui relie Noyon à Amiens.

    Au milieu du XIXe siècle le territoire communal était décrit comme « de forme à peu près triangulaire (il) s'étend entre les bois d'Avricourt et les pentes de la montagne de Gagny: On y rencontre plusieurs sources qui coulent en ruisseaux pendant la mauvaise saison, et qui tarissent en été »[1] - [2]

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Plusieurs ruisseaux coulent sur son territoire et s’écoulent dans la Verse, un affluent de l'Oise en rive droite et donc un sous-affluent de la Seine[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 723 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 31 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,3 °C pour 1981-2010[14], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Candor est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,4 %), forêts (23 %), prairies (7,2 %), zones urbanisées (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Plusieurs hameaux se trouvent sur le territoire communal : Balny, Préfontaine, la ferme des sangliers, la ferme du moulin, ainsi que Grèdenville, partagé avec Catigny[1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 142, alors qu'il était de 132 en 2013 et de 121 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 85,6 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 10,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Candor en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,5 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Candor en 2018.
    Typologie Candor[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 85,6 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,2 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 10,2 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été désignée comme vers 1136 comme Candorro ou cantorum[1], puis Candeur, Candeure [2].

    Ce terme dériverait du gaulois duro, en latin durum, qui signifie “oppidum, forteresse, porte”[1].

    Histoire

    La route nationale est une ancienne voie romaine reliant Amiens à Soissons[1].

    Selon Louis Graves, « la paroisse de Candor était à la nomination du, prieur de Villeselve (canton de Guiscard), et rentra sous le patronage de l'abbé de Vézelais lorsque ce prieuré fut supprimé, vers 1621[1] ».

    En 1850, la commune disposait d'une école. On y fabriquait des toiles de chanvre et de coton , amis la plus grande part de la population vivait des activités agricoles et forestières[2].

    Un moulin à vent en bois mentionné en 1850 existait à l’emplacement de la ferme du moulin. Il a été détruit pendant la Première Guerre mondiale[1].

    Au début du XXe siècle, Candor comptait 25 exploitations agricoles[1].

    Première Guerre mondiale

    Au tout début de la Première Guerre mondiale, Candor est envahi par l'armée allemande dès le . Les hommes en âge de se battre restés au village sont faits prisonniers et déportés en Allemagne. Elle est libérée une première fois le au terme de l'Opération Alberich, et les habitants évacués La commune redevient française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict des autorités britanniques. Le village est alors le siège d'une scierie canadienne.

    Au terme de l'Offensive du Printemps 1918, Candor est à nouveau occupé par l'armée allemande avant d'être définitivement libéré le [23].

    Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Candor est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965[26] 2006[26] Raymond Bore Démissionnaire
    29 mai 2006[26] mai 2020 Hubert Akermann[27] Cadre de la fonction publique territoriale
    mai 2020[28] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Delphine Valois Professeure des écoles

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 317 habitants[Note 7], en augmentation de 10,07 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    499525579586604589585590592
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    544552523536493454458426425
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    429415399304288295276281277
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    265274265261258256246245270
    2015 2020 - - - - - - -
    292317-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 162 hommes pour 142 femmes, soit un taux de 53,29 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    7,1
    75-89 ans
    10,1
    14,8
    60-74 ans
    18,9
    20,7
    45-59 ans
    20,3
    24,3
    30-44 ans
    20,9
    12,4
    15-29 ans
    8,1
    20,7
    0-14 ans
    21,6
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin, dominée par un clocher-porche terminé par une flèche octogonale et charpente et ardoises de style néoclassique.. L'église a été largement refaite au XIXe siècle et restaurée après la Première Guerre mondiale, elle conserve quelques éléments anciens en grès et briques au niveau des fondations.
    La nef a des proportions remarquables qui donnent à l'ensemble un aspect monumental
    À l'intérieur se trouve un spectaculaire maître-autel à baldaquin. On peut noter une clôture de chœur et une chaire à prêcher, du XIXe siècle, en bois sculpté avec remplois plus anciens. À l’intérieur de l'église, un autel est dédié à sainte Brigide[34] - [1].

    • L'église
      L'église
    • Monument aux morts
      Monument aux morts

    Légende locale

    Une légende locale veut que Brigide, sainte irlandaise née en 455 à Fochart en Irlande et décédée vers 524 à Kildare, fondatrice du monastère de Kildare), serait morte dans les bois entre Candor et Avricourt, alors qu'il semble qu'elle ne se soit jamais rendue en France.

    Au XIXe siècle, plus de deux mille personnes venaient assister à la messe le jour de la sainte Brigide, le premier dimanche de mai. La statue de la sainte était l'objet d'un pèlerinage ayant pour objet de protéger les animaux[1].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Candor », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Candor », Les 48 communes, sur https://www.cc-pays-sources.fr (consulté le ).
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 46-47, sur Google Books.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Candor et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Candor et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. « Candor dans la Grande Guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
    24. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2098.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. C. D., « Hubert Akermann nouveau maire », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Candor », Cartes de France (consulté le ).
    28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Candor (60124) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    34. Dominique Vermand, « Candor, église Saint-Martin : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
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