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Avricourt (Oise)

Avricourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Avricourt
Avricourt (Oise)
L'église au milieu du cimetière.
Blason de Avricourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Roger Parzybut
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60035
Démographie
Gentilé Avricourtois, Avricourtoises
Population
municipale
245 hab. (2020 en diminution de 4,3 % par rapport à 2014)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 23″ nord, 2° 51′ 48″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 95 m
Superficie 7,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Avricourt
Géolocalisation sur la carte : France
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Avricourt
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Avricourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Avricourt

    Géographie

    Description

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes
    Entrée du village.

    Avricourt est un village rural picard de l'Oise situé à 13 km au nord-ouest de Noyon, 48 km au sud-est d'Amiens, 38 km au sud-ouest de Saint-Quentin et à 60 km au nord-est de Beauvais.

    Le territoire de la commune, limité au nord-est par le tracé de l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934), forme une plaine couverte de bois vers le sud.

    Communes limitrophes

    La RD 934 sépare la commune au nord de Margny-aux-Cerises et de Beaulieu-les-Fontaines

    Hydrographie

    L'Avre a l'une de ses deux sources dans les bois au sud du village et a donné son nom à la commune.

    L'Avre est le principal affluent gauche du fleuve côtier la Somme.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 699 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Avricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71 %), forêts (22,8 %), zones urbanisées (6,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 138, alors qu'il était de 122 en 2013 et de 120 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 79,7 % étaient des résidences principales, 5,7 % des résidences secondaires et 14,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,9 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Avricourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,7 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Avricourt en 2018.
    Typologie Avricourt[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 79,7 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,7 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 14,6 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été désignée comme Diviscort en 1210, puis Deviscort, Deniscort, Devicort, Denicourt. À partir du XVIIIe siècle : Auricourt ou Avricourt[21], et Avricourt en 1793[22].

    Le nom primitif de Diviscurt a été donné au début du XIIe siècle (charte de la fondation de l’église par Simon I de Vermandois, évêque de Noyon et Tournai) et désignerait une enceinte sacré[21]

    Cette désignation proviendrait d'un nom de personne suivi du suffixe court en latin « curtis » : « La ferme de Denis[21] ».

    Histoire

    Selon Émile Coët, sous Ancien Régime, « la terre d'Avricourt relevait de l'évéché de Noyon, qui l'avait érigée en mairie ; les vassaux devaient différents droits féodaux à l'évêque, entre autres : celui d'armoire qui se prélevait sur les jeunes mariés (propotestate exercendi carnalem copulationem cum uxore), le droit de Keut-a-court (couvertures) et celui de fouage [galette cuite)[23] ».

    En 1850, la commune disposait d'une école, de deux places publiques, et de cinq hectares de marais communaux[24].

    Lors de la Première Guerre mondiale, Avricourt est occupé par l'armée allemande dès le 30 août 1914. Une partie de ses habitants étant demeurée sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne.

    La commune est libérée le 18 mars 1917 à la suite du repli allemand « Alberich », mais les habitants ont été déplacés, les « bouches inutiles » vers Noyon, les autres à l'arrière des nouvelles lignes.

    La commune redevient ainsi française pendant une année mais demeure en zone avancée sous contrôle militaire strict. Le , trois jours après une offensive allemande au départ de Saint-Quentin, la commune est de nouveau envahie mais ses habitants ont eu le temps de fuir sur ordre d'évacuation de l'armée française et dans la crainte de vivre une nouvelle occupation[25].

    Avricourt est définitvement libérée le .

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[26] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [27].

    • Les destructions de la Première Guerre mondiale
    • Le village d'Avricourt, détruit par les allemands qui ont fait sauter les maisons.
      Les ruines du château
    • L'église (carte postale allemande de 1917)
      L'église (carte postale allemande de 1917)

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Lassigny[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Avricourt est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Fernand Léopold Balny d'Avricourt[28] Républicain Comte Balny d'Avricourt
    Secrétaire d'ambassade,
    Conseiller général de Lassigny (1871 → 1879)
    Chevalier de la Légion d'honneur
    Gaston Léopold Balny d'Avricourt[28]
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1962[29] Raoul Thomas
    avant 1981 Joseph Cavel
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Roger Parzybut DVG puis UMP Retraité
    Réélu pour le mandat 2014-2020[30] - [31]

    Politique de développement durable

    Le parc éolien de d’Avricourt, Candor et Écuvilly est un ensemble de 12 éoliennes mis en service en 2019 par Volkswind France pour le le fournisseur d’électricité SER, ce qui génère une recette fiscale importante pour les communes concernées. L'installation est censée produire assez d'électricité pour alimenter une ville de 24 000 habitants[32].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2020, la commune comptait 245 habitants[Note 7], en diminution de 4,3 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    228239284281307320317334306
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    288290316293295312311280260
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    257267243214221229232231258
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    205185174188195216253254264
    2015 2020 - - - - - - -
    254245-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 133 hommes pour 122 femmes, soit un taux de 52,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    0,9
    7,8
    75-89 ans
    9,4
    20,3
    60-74 ans
    27,4
    14,8
    45-59 ans
    14,5
    19,5
    30-44 ans
    17,9
    19,5
    15-29 ans
    11,1
    17,2
    0-14 ans
    18,8
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Éloi du XVIIIe siècle,, la seule du secteur à avoir survécu à la Bataille de Noyon lors de la Première Guerre mondiale. L'autel est inscrit[38]. Des opérations de rénovations sont programmées[39] ou en cours, notamment par l'organisation de chantiers de bénévoles par l'association « Concordia ».
    • Le château.
      En 1850, Louis Graves indiquait qu'il appartenait « à M. le comte de Lourencourt », et était « un bel édifice en briques et chaines de pierre, à haut pignon, qui a été construit en 1540 ; il est orné de deux tourelles et de deux pavillons ajoutés en 1758. On remarque sur la façade exposée au nord, au-dessus des fenêtres, cinq médaillons de ronde-bosse, représentant sans doute des portraits d'anciens seigneurs[24] » .
      Pendant la Première Guerre mondiale, cet édifice est rasé en 1917 par l'armée allemande. L'édifice actuel est une grande maison bourgeoise reconstruite avec les dommages de guerre, et il ne reste de l'ancien château qu'une partie des murs d’enceinte et un parc arboré en plein cœur du village[21].
    • Monument aux morts, le long de la Route Départementale RD 154[40]. Un monument aux morts allemand de la Première Guerre mondiale, édifié en souvenir des tués du 9e corps d'armée de réserve, a éxisté[41]
    • L(église
      L(église
    • Portail de l'église
      Portail de l'église
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    La famille Balny a acheté le titre de noblesse d'Avricourt en 1877[21].

    Héraldique

    Avricourt
    Blason de Avricourt Blason
    D'or à un sautoir d'azur, cantonné de 4 merlettes de gueules
    Détails
    Depuis 1975, les armoiries des Balny sont celles d’Avricour.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Comte Fernand Balny d'Avricourt, « Avricourt : Les fiefs, le château, les seigneurs, l'église, la commune, annales, statistiques », Bulletin de la Société historique de Compiègne,‎ , p. 152-203 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Avricourt », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Avricourt et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Avricourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Page de la communauté de communes, mentionnée en Liens externes.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 432 p. (lire en ligne), p. 177-181.
    24. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 42-43, sur Google Books.
    25. « Avricourt dans la Grande guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, mémorial 1914 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
    26. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    27. Journal officiel du 18 février 2021, p. 2098.
    28. Fernand Balny d'Avricourt, article mentionné en Bibliographie, p. 198.
    29. « Les maires de Avricourt », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    30. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Avricourt », Cartes de France (consulté le ).
    31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    32. « Les éoliennes poussent et ne font pas plaisir à tout le monde : Les douze premiers mâts du parc d’Avricourt, Candor et Écuvilly, près de Noyon fonctionnent depuis mars. Si là, ce parc est vu comme une aubaine financière par les communes, à quelques kilomètres, dans la Somme, la vision de l’éolien n’est pas la même », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Avricourt (60035) », (consulté le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    38. Dominique Vermand, « Avricourt, église Saint-Eloi : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    39. Alexis Bisson, « A Avricourt, 50 000 € pour restaurer la toiture d’une église « inclassable » : La municipalité doit encore trouver 20 000 € pour financer les travaux de l’édifice, qui n’est pas classé aux Monuments historiques », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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    42. Adrien-Paul Balny d'Avricourt
    43. Aviso-escorteur Balny
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