Fléchy
Fléchy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Fléchy | |||||
L'Ă©glise Saint-Fuscien | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Jean-Christophe Vitte 2020-2026 |
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Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60237 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Fléchissois, Fléchissoises | ||||
Population municipale |
88 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 39âČ 35âł nord, 2° 13âČ 59âł est | ||||
Altitude | Min. 99 m Max. 169 m |
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Superficie | 4,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
LĂ©gislatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Ses habitants sont appelés les Fléchissois et les Fléchissoises[1].
GĂ©ographie
Description
Louis Graves dĂ©crivait en 1843 ce village-rue picardsituĂ© dans un creux de vallĂ©es comme une « petite commune Ă territoire ovalaire appuyĂ© vers l'ouest aux coteaux boisĂ©s du canton de CrĂšvecĆur, Ă pentes tendant Ă l'est vers la vallĂ©e de la Noye. La superficie est tourmentĂ©e, dĂ©couverte[2] ». Elle est situĂ©e Ă 26 km au sud-ouest d'Amiens et Ă 30 km au nord-est de Beauvais.
L'autoroute A16 limite à l'ouest le territoire communal, et le village est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 1.
Communes limitrophes
La commune jouxte Bonneuil au nord, Esquennoy à l'est, Villers-Vicomte au sud, Cormeilles , Blancfossé à l'ouest.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[9] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 656,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă 23 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Fléchy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (99,3 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (99,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (90,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,9 %), forĂȘts (0,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[22].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 45, alors qu'il Ă©tait de 46 en 2014 et de 49 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 75,6 % étaient des résidences principales, 8,9 % des résidences secondaires et 15,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fléchy en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,9 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,5 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].
Toponymie
Le village s'est appelĂ© Flecciae en 1230, FlĂ©chie, Fleschies, Flechyes en 1278, Flechies (FleceiĆ)[2].
Histoire
Antiquité
Des vestiges de tuiles romaines, des médailles et des constructions souterraines ont été découvertes au lieu-dit le dessus de la fosse Beauroy[2].
Temps modernes
Un moulin à vent était signalé à Fléchy en 1776, visible depuis Esquennoy[23].
Le village a été détruit à plusieurs reprises par des incendies. L'un d'eux, survenu en 1773, consuma les trois-quarts du village et détruisit l'accÚs à des muches (souterrains-refuges) situées Rue blanche, protégées par une porte garnie de meurtriÚres[2].
Ăpoque contemporaine
Au milieu du XIXe siÚcle, la population vivait des travaux agricoles et de la confection des étoffes de laine, et disposait déjà d'une école. Une carriÚre et un moulin à vent étaient exploités dans la commune[2].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements Ă©lectoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fiin 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales..
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[25], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en octobre 2015 un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[26], et notamment celle de CrĂšvecĆur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[27].
AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[28], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [29].
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[36].
En 2020, la commune comptait 88 habitants[Note 7], en diminution de 8,33 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 31,5 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 29,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 52 hommes pour 40 femmes, soit un taux de 56,52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Fuscien-et-Saint-Gentier, datĂ©e de 1568 et bĂątie dâun seul jet en pierres crayeuses bien appareillĂ©es, situĂ©e en retrait de la Rue principale, sur une petite butte[40].
Ă l'intĂ©rieur se trouvent des lambris du XVIe siĂšcle. Un groupe sculptĂ© en chĂȘne du dĂ©but du XVIe siĂšcle reprĂ©sentant saint Julien l'Hospitalier et sainte Basilisse transportant saint Jacques dans une barque[41] ainsi qu'une statue d'une Vierge Ă l'Enfant en calcaire, de la fin du XVe siĂšcle[42] sont classĂ©s monuments historiques. - Chapelle des Brabans, reconstruite en 1786 dans le cimetiĂšre. On y trouva sous l'ancienne porte une pierre creuse contenant une monnaie d'argent au millĂ©sime do 1555[2].
- Calvaire, à l'intersection entre la route départementale 34 et la rue Blanche.
- Calvaire, rue principale, face à l'église, avec son socle sculpté.
- Puits-fontaine, prĂšs de ce calvaire
- Le puits fontaine
- la pompe du puits-fontaine
- La base sculptée du calvaire
- L'Ă©glise Saint-Fuscien
Personnalités liées à la commune
Le nom de certains seigneur de Fléchy nous est parvenu :
- Jean de Francastel, écuyer, qui vend les dßmes payées par les villageois à l'Abbaye de Chaalis paren avril 1277[2].
- La maison de Lameth, qui possédait la seigneurie à la fin de l'Ancien Régime[2].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- statistique de Fléchy sur le site de l'Insee
- « Dossier complet : Commune de Fléchy (60237) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Fléchy », MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Fléchy » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Fléchy » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fléchy - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fléchy - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entiÚre » (consulté le ).
Autres sources
- « Fléchy », Découvrir les communes de notre territoire, sur http://www.cc-oisepicarde.fr (consulté le ).
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , p. 70-71.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Fléchy et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Fléchy et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Louis Denis, Le conducteur français : Route de Paris à Amiens, Paris, Ribou, libraire, , 70 p. (lire en ligne), p. 52.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalitĂ© Ă fiscalitĂ© propre au », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers,â , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautĂ©s de communes est dĂ©finitive », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3417,â , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautĂ©s de communes ou dâagglomĂ©ration ont tous recueilli une majoritĂ© favorable ; ils pourront ainsi tous ĂȘtre conduits Ă leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3430,â , p. 17.
- « Les derniers vĆux du Sivom », Le Courrier picard,â (lire en ligne) « L'occasion de mettre Ă l'honneur huit maires du canton, Ă commencer par le vĂ©tĂ©ran, Jean Feuillet. Il est Ă©lu depuis 1971 et maire de FlĂ©chy depuis 1995. « La RĂ©publique n'a pas prĂ©vu de mĂ©dailles honorant 42 annĂ©es de mandat. » Le Sivom lui a donc offert un cadeau. L'Ă©lu cĂ©dera son fauteuil en mars ».
- Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le bonhomme picard du 2 avril 2008
- « Fléchy », Cartes de France (consulté le ).
- « Municipales : ces maires de lâOise ne sont jamais lĂ ... mais sont omniprĂ©sents : Chaque semaine, «Le Parisien» dresse le portrait dâun maire pas comme les autres en Ile-de-France et dans lâOise. Rencontre avec deux maires de lâOise, Jean-Christophe Vitte qui est chauffeur routier, Ă©lu Ă FlĂ©chy et Jean-Louis Castier, le maire de Quesnel-Aubry, qui travaille sur une exploitation agricole en Russie. », Le Parisien,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Répertoire national des maires » [csv], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de FlĂ©chy (60237) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- Dominique Vermand, « Fléchy, église Saint-Fuscien », DiocÚse : Amiens, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
- « Groupe sculpté : Saint Julien l'Hospitalier et sainte Basilisse transportant saint Jacques dans une barque », notice no PM60000789, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
- « Statue (petite nature) : Vierge à l'Enfant », notice no PM60000788, base Palissy, ministÚre français de la Culture.