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Bonneuil-les-Eaux

Bonneuil-les-Eaux est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Bonneuil-les-Eaux
Bonneuil-les-Eaux
La mairie-Ă©cole
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Nicole Cordier
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60082
DĂ©mographie
Gentilé Bonneuillois, Bonneuilloises
Population
municipale
782 hab. (2020 en diminution de 4,52 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 43 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 40â€Č 43″ nord, 2° 14â€Č 10″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 172 m
Superficie 18,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
LĂ©gislatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Bonneuil-les-Eaux
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Bonneuil-les-Eaux
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Bonneuil-les-Eaux
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Bonneuil-les-Eaux
Liens
Site web www.bonneuil-les-eaux.fr/

    Ses habitants sont appelés les Bonneuillois et les Bonneuilloises.

    GĂ©ographie

    Description

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
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    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Bonneuil-les -Eaux est un village rural du Plateau picard, situé entre les vallées de la Selle et de la Noye.

    La commune est située entre Beauvais et Amiens, aux confins de l'Oise et de la Somme, et est accessible par la sortie Sortie 16 de l'autoroute A16 ou la route nationale 1.

    En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[1].

    On décrivait le territoire communal en 1843 comme constitué d'un « plateau dont les pentes sont découpées en ravins el boisées en partie[2] ».

    Communes voisines

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 752 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 656,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă  25 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    La rue de la Ville.

    Typologie

    Bonneuil-les-Eaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (93,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (90,8 %), zones urbanisĂ©es (3,8 %), forĂȘts (2,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Hameaux et Ă©carts

    • La Folie
    • La ferme de Montplaisir

    Toponymie

    Le lieu était désigné par les dénominations de Bonoglium, Nonioilum, Bonglium, Bonnoit, Bonnuel, Bonneuil-le-Plessis[23].

    Histoire

    Un vicus gallo-romain occupait le site, traversé par une voie romaine reliant Beauvais à Amiens[2].

    La seigneurie appartenait au IXe siĂšcle au comte d'Amiens et passa par mariage au comte de Clermont au XIIe siĂšcle.

    Bonneuil possĂšde un riche passĂ© historique. Cette petite commune rurale abrite une magnifique Ă©glise Ă  la gĂ©omĂ©trie assez particuliĂšre. À cĂŽtĂ© de celle-ci, se trouvent les vestiges d'un prieurĂ©. Au cƓur du village se dresse Ă©galement une motte fĂ©odale du XIe siĂšcle, trĂšs bien conservĂ©e et qui fait l'objet de nombreuses Ă©tudes[24].

    Le pape Léon III confirme la fondation de l'abbaye Notre-Dame, proche de la motte féodale.

    Louis Graves indiquait « Ce lieu devint ensuite le centre d'une des quatre chùtellenies du comté de Breteuil, et passa au douziÚme siÚcle dans le comté de Clermont pur le maringe de Raoul I comte de Clermont, avec Alix fille de Valeran seigneur cle Breteuil. Les comtes y avaient un chùteau dont il est question dans une charte de 1118, concernant une donation faite par Valeran à l'abbaye de Saint-Quentin de Beauvais.
    Les rois en détachÚrent sans doute quelque chose , car en 1218 Philippe-Auguste donna en fief à Robert de la Tournel!e, ce qui lui appartenait à Bonneuil, en considération de la cession de ses droits sur le comté de Clermont.
    Louis XII avait accordĂ© Ă  ce bourg devenu considĂ©rable par le passage de l'ancienne route de Picardie, l’établissement d'un marchĂ©, pour la confirmation duquel Catherine de MĂ©dicis, comtesse de Clermont, obtint ou mois de septembre 1536 des lettres-patentes du roi Charles IX.
    La chùtellenie fut engagée en 1569 avec le comté de Clermont au duc de Brunswick; mais au mois de mai 1688, lors du partage de la succession d'Anne de Montafié veuve du comte de Soissons, cette seigneurie fut distraite du comté et donnée à Marie d'Orléans, duchesse de Nemours, petite fille du comte. Celle-ci mourut en 1707 aprÚs avoir disposé de Bonneuil en faveur de Henri Louis de Bourbon , fils naturel de Louis de Bourbon comte de Soissons son oncle. Ln terre vint ensuite à la fille de ce dernier qui épousa ie duc de Luynes et de Chevreuse[2] ».

    Le village a souffert de la peste en 1668 et fut en partie dévasté par plusieurs incendies. De nombreuses muches issues de l'activité d'extraction de calcaire minent le village.

    La commune, instituée par la Révolution française, a absorbé de 1825 à 1835 celle de Gouy-les-Groseillers[25]

    L'ancienne usine de velours est aujourd'hui reconvertie.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Breteuil[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en octobre 2015 un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[27], et notamment celle de CrĂšvecƓur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[28].

    AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[29], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Jean LefĂšvre[31] DVD Commercial
    mars 2008 En cours
    (au 29 novembre 2020)
    Nicole Cordier DVD Retraitée de l'éducation nationale
    ConseillĂšre dĂ©partementale de Saint-Just-en-ChaussĂ©e (2015 → )
    Vice-prĂ©sidente de la CC VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (2014 → 2016)
    Vice-prĂ©sidente de la communautĂ© de communes de l'Oise picarde (2017 → 2020)
    RĂ©Ă©lue pour le mandat 2020-2026[32] - [33]
    Suppléante du député LR Victor Habert-Dassault

    Politique de développement durable

    La commune se dote en 2017-2019 d'un réseau d'assainissement des eaux usées, envisagé de longue date[34] - [35]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    La commune se dote d'un nouveau bùtiment pour le périscolaire en 2020/2021, construit en continuité du bùtiment de la mairie-école[36] - [37]

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[39].

    En 2020, la commune comptait 782 habitants[Note 8], en diminution de 4,52 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1451 2291 1461 2381 2731 1981 1651 1641 173
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1661 1371 0991 026952804830819853
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    848846857716719697613639636
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    658672686694745751797810821
    2018 2020 - - - - - - -
    796782-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  35,1 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 27 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 386 hommes pour 410 femmes, soit un taux de 51,51 % de femmes, légÚrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,0
    6,0
    75-89 ans
    6,8
    21,8
    60-74 ans
    18,5
    20,2
    45-59 ans
    18,3
    17,9
    30-44 ans
    19,5
    16,3
    15-29 ans
    12,2
    17,9
    0-14 ans
    23,7
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Économie

    Le village est le siÚge du fabricant d'accessoires de tennis de table, Cornilleau, créé en 1946 dans la commune et qui serait le leader mondial du secteur[43] - [44] - [45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Nicolas, fondĂ©e en tant qu’église du prieurĂ© cure, au dĂ©but du XIIe siĂšcle par l’abbĂ© de Breteuil Guillaume II. Elle dotĂ©e de trois chƓurs et d'une nef du XVIe siĂšcle.
      L'un des chƓurs, celui du prieurĂ©, est dĂ©diĂ© Ă  Saint Nicolas, le second , datant du XVIe siĂšcle est dĂ©diĂ© Ă  Saint Joseph, et le troisiĂšme, paroissial est consacrĂ© Ă  Notre-Dame[46] - [47].
      Le faux transept, de style Renaissance, et la rose datent de 1570. Le clocher à tour carrée date du XIIIe siÚcle. L'église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1997[48].
      Le coq du clocher a été restauré et béni à nouveau en février 2021[49]
    • Vestiges du prieurĂ© Saint-Nicolas : Il est parfois qualifiĂ© d'abbaye. Une porte du XVIe siĂšcle accole le mur du cimetiĂšre entourant l'Ă©glise Saint-Nicolas. Ce porche fait l'objet d'une inscription au titre monuments historiques depuis 1998[50].
    • L'Ă©glise-prieurĂ©
    • L'Ă©glise Saint-Nicolas vue du nord
      L'Ă©glise Saint-Nicolas vue du nord
    • Façade est
      Façade est
    • Façade sud
      Façade sud
    • DĂ©tail du transept
      DĂ©tail du transept
    • Porche de l'ancien prieurĂ© Saint-Nicolas.
      Porche de l'ancien prieuré Saint-Nicolas.
    • Motte fĂ©odale : Mesurant de 30 m de haut, elle est aujourd'hui le seul Ă©lĂ©ment subsistant de l'ancien chĂąteau. Le site, dont la mise en valeur a commencĂ© depuis peu d'annĂ©es (Ă©lagage et fauchage), a commencĂ© Ă  ĂȘtre fouillĂ© en 2007.
    • La motte fĂ©odale
    • La motte fĂ©odale.
      La motte féodale.
    • La motte fĂ©odale
      La motte féodale
    • Chapelle Saint-Roch : Construite en 1733 en mĂ©moire de l'Ă©pidĂ©mie de peste qui affecta le village de 1668 Ă  1669, elle se trouve dans le cimetiĂšre communal. Les pestifĂ©rĂ©s Ă©taient isolĂ©s dans une rue fermĂ©e par une barriĂšre et qui porte aujourd'hui le nom de « rue de la Barre ». La chapelle est le lieu d'un pĂšlerinage annuel cĂ©lĂ©brĂ© en souvenir de ce flĂ©au et au dĂ©vouement de Nicolas Choart de Buzenval, Ă©vĂȘque de Beauvais.
    • Ancienne usine de velours, rue de l'Usine
    • L'ancienne usine de velours

    La fanfare

    La fanfare de Bonneuil-les-Eaux, crĂ©Ă©e en 1842 par l’instituteur du village, Jean-Louis Piat, est la plus ancienne association de la commune avec ses 175 ans en 2017[51] - [52].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 40-44.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bonneuil-les-Eaux et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Bonneuil-les-Eaux et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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