Bonneuil-les-Eaux
Bonneuil-les-Eaux est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Bonneuil-les-Eaux | |||||
La mairie-Ă©cole | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Nicole Cordier 2020-2026 |
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Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60082 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Bonneuillois, Bonneuilloises | ||||
Population municipale |
782 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 40âČ 43âł nord, 2° 14âČ 10âł est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 172 m |
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Superficie | 18,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
LĂ©gislatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.bonneuil-les-eaux.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Bonneuillois et les Bonneuilloises.
GĂ©ographie
Description
Bonneuil-les -Eaux est un village rural du Plateau picard, situé entre les vallées de la Selle et de la Noye.
La commune est située entre Beauvais et Amiens, aux confins de l'Oise et de la Somme, et est accessible par la sortie 16 de l'autoroute A16 ou la route nationale 1.
En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[1].
On décrivait le territoire communal en 1843 comme constitué d'un « plateau dont les pentes sont découpées en ravins el boisées en partie[2] ».
Communes voisines
- Au nord (et dans la Somme), Fransures, Lawarde-Mauger-l'Hortoy et Hallivillers ;
- Ă l'est, Paillart ;
- Au sud, Esquennoy et Fléchy au sud ;
- Au sud-ouest, Blancfossé ;
- Ă l'ouest, Croissy-sur-Celle et Gouy-les-Groseillers.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[9] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 656,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă 25 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Bonneuil-les-Eaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (93,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (90,8 %), zones urbanisĂ©es (3,8 %), forĂȘts (2,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[22].
Hameaux et Ă©carts
- La Folie
- La ferme de Montplaisir
Toponymie
Le lieu était désigné par les dénominations de Bonoglium, Nonioilum, Bonglium, Bonnoit, Bonnuel, Bonneuil-le-Plessis[23].
Histoire
Un vicus gallo-romain occupait le site, traversé par une voie romaine reliant Beauvais à Amiens[2].
La seigneurie appartenait au IXe siĂšcle au comte d'Amiens et passa par mariage au comte de Clermont au XIIe siĂšcle.
Bonneuil possĂšde un riche passĂ© historique. Cette petite commune rurale abrite une magnifique Ă©glise Ă la gĂ©omĂ©trie assez particuliĂšre. Ă cĂŽtĂ© de celle-ci, se trouvent les vestiges d'un prieurĂ©. Au cĆur du village se dresse Ă©galement une motte fĂ©odale du XIe siĂšcle, trĂšs bien conservĂ©e et qui fait l'objet de nombreuses Ă©tudes[24].
Le pape Léon III confirme la fondation de l'abbaye Notre-Dame, proche de la motte féodale.
Louis Graves indiquait « Ce lieu devint ensuite le centre d'une des quatre chùtellenies du comté de Breteuil, et passa au douziÚme siÚcle dans le comté de Clermont pur le maringe de Raoul I comte de Clermont, avec Alix fille de Valeran seigneur cle Breteuil. Les comtes y avaient un chùteau dont il est question dans une charte de 1118, concernant une donation faite par Valeran à l'abbaye de Saint-Quentin de Beauvais.
Les rois en détachÚrent sans doute quelque chose , car en 1218 Philippe-Auguste donna en fief à Robert de la Tournel!e, ce qui lui appartenait à Bonneuil, en considération de la cession de ses droits sur le comté de Clermont.
Louis XII avait accordĂ© Ă ce bourg devenu considĂ©rable par le passage de l'ancienne route de Picardie, lâĂ©tablissement d'un marchĂ©, pour la confirmation duquel Catherine de MĂ©dicis, comtesse de Clermont, obtint ou mois de septembre 1536 des lettres-patentes du roi Charles IX.
La chùtellenie fut engagée en 1569 avec le comté de Clermont au duc de Brunswick; mais au mois de mai 1688, lors du partage de la succession d'Anne de Montafié veuve du comte de Soissons, cette seigneurie fut distraite du comté et donnée à Marie d'Orléans, duchesse de Nemours, petite fille du comte. Celle-ci mourut en 1707 aprÚs avoir disposé de Bonneuil en faveur de Henri Louis de Bourbon , fils naturel de Louis de Bourbon comte de Soissons son oncle. Ln terre vint ensuite à la fille de ce dernier qui épousa ie duc de Luynes et de Chevreuse[2] ».
Le village a souffert de la peste en 1668 et fut en partie dévasté par plusieurs incendies. De nombreuses muches issues de l'activité d'extraction de calcaire minent le village.
La commune, instituée par la Révolution française, a absorbé de 1825 à 1835 celle de Gouy-les-Groseillers[25]
L'ancienne usine de velours est aujourd'hui reconvertie.
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Breteuil[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la BrÚche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en octobre 2015 un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s[27], et notamment celle de CrĂšvecĆur-le-Grand (CCC) et celle des VallĂ©es de la BrĂšche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalitĂ© de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[28].
AprÚs avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[29], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [30].
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[39].
En 2020, la commune comptait 782 habitants[Note 8], en diminution de 4,52 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 35,1 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 27 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 386 hommes pour 410 femmes, soit un taux de 51,51 % de femmes, légÚrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Le village est le siÚge du fabricant d'accessoires de tennis de table, Cornilleau, créé en 1946 dans la commune et qui serait le leader mondial du secteur[43] - [44] - [45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Nicolas, fondĂ©e en tant quâĂ©glise du prieurĂ© cure, au dĂ©but du XIIe siĂšcle par lâabbĂ© de Breteuil Guillaume II. Elle dotĂ©e de trois chĆurs et d'une nef du XVIe siĂšcle.
L'un des chĆurs, celui du prieurĂ©, est dĂ©diĂ© Ă Saint Nicolas, le second , datant du XVIe siĂšcle est dĂ©diĂ© Ă Saint Joseph, et le troisiĂšme, paroissial est consacrĂ© Ă Notre-Dame[46] - [47].
Le faux transept, de style Renaissance, et la rose datent de 1570. Le clocher à tour carrée date du XIIIe siÚcle. L'église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1997[48].
Le coq du clocher a été restauré et béni à nouveau en février 2021[49] - Vestiges du prieuré Saint-Nicolas : Il est parfois qualifié d'abbaye. Une porte du XVIe siÚcle accole le mur du cimetiÚre entourant l'église Saint-Nicolas. Ce porche fait l'objet d'une inscription au titre monuments historiques depuis 1998[50].
- L'Ă©glise Saint-Nicolas vue du nord
- Façade est
- Façade sud
- DĂ©tail du transept
- Porche de l'ancien prieuré Saint-Nicolas.
- Motte fĂ©odale : Mesurant de 30 m de haut, elle est aujourd'hui le seul Ă©lĂ©ment subsistant de l'ancien chĂąteau. Le site, dont la mise en valeur a commencĂ© depuis peu d'annĂ©es (Ă©lagage et fauchage), a commencĂ© Ă ĂȘtre fouillĂ© en 2007.
- La motte féodale.
- La motte féodale
- Chapelle Saint-Roch : Construite en 1733 en mĂ©moire de l'Ă©pidĂ©mie de peste qui affecta le village de 1668 Ă 1669, elle se trouve dans le cimetiĂšre communal. Les pestifĂ©rĂ©s Ă©taient isolĂ©s dans une rue fermĂ©e par une barriĂšre et qui porte aujourd'hui le nom de « rue de la Barre ». La chapelle est le lieu d'un pĂšlerinage annuel cĂ©lĂ©brĂ© en souvenir de ce flĂ©au et au dĂ©vouement de Nicolas Choart de Buzenval, Ă©vĂȘque de Beauvais.
- Ancienne usine de velours, rue de l'Usine
Voir aussi
Bibliographie
- Didier Quenehen, « Le site castral de Bonneuil-les-Eaux (Oise) », Revue archĂ©ologique de Picardie, nos 1-2,â , p. 109-118 (ISSN 2104-3914, DOI https://doi.org/10.3406/pica.2005.2414, lire en ligne, consultĂ© le ), sur PersĂ©e.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site personnel sur lequel on trouvera l'histoire du village, des photos, des plans, des cartes postales ...
- Site personnel consacré à l'Oise du Nord-ouest historique et archéologique
- « Dossier complet : Commune de Bonneuil-les-Eaux », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Bonneuil-les-eaux », Ma commune, MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Bonneuil-les-Eaux sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 40-44.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bonneuil-les-Eaux et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bonneuil-les-Eaux et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Hebdomadaire Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers du .
- Didier Quenehen, « Le site castral de Bonneuil-les-Eaux (Oise) », Revue archĂ©ologique de Picardie, nos 1-2,â , p. 109-118 (ISSN 2104-3914, DOI https://doi.org/10.3406/pica.2005.2414, lire en ligne, consultĂ© le ), sur PersĂ©e.
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- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3430,â , p. 17.
- S. G., « Bonneuil-les-Eaux : Disparition - Jean LefĂšvre, ancien maire », Le Bonhomme picard, no 3136,â , p. 19.
- RĂ©Ă©lue pour le mandat 2014-2020 : « Les maires dĂ©jĂ en place », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3283,â , p. 19.
- Sylvie Godin, « Bonneuil-les-Eaux : un nouveau mandat pour Nicole Cordier », Le Bonhomme picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Jean-Claude CrĂ©pin, « Lâassainissement de Bonneuil-les-Eaux, câest parti : Le chantier, attendu depuis une douzaine dâannĂ©es, va commencer. », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « La station dâĂ©puration de Bonneuil-les-Eaux inaugurĂ©e : Les foyers sont raccordĂ©s porgressivement au nouvel Ă©quipement, qui utilise des roseaux pour filtrer lâeau », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Steeve Vatelin, « Une cantine et le pĂ©riscolaire en projet Ă Bonneuil-les-Eaux », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « En attendant le nouveau pĂ©riscolaire, la salle du conseil municipal de Bonneuil-les-Eaux est transformĂ©e en dortoir », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bonneuil-les-Eaux (60082) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- « Cornilleau, leader du tennis de table », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Sylvie Godin, « Le Made in Picardie s'exporte bien : Cornilleau, leader europĂ©en de la table de ping-pong : L'entreprise crĂ©Ă©e en 1946 n'a jamais quittĂ© Bonneuil-les-Eaux, d'oĂč partent des tables de ping-pong livrĂ©es dans 80 pays. Prochain objectif : conquĂ©rir les USA. », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3432,â , p. 40.
- Carlos Da Silva, « Le Made in France booste lâactivitĂ© de Cornilleau Ă Bonneuil-les-Eaux : Le leader mondial de la table de ping-pong a enregistrĂ© une hausse de ses ventes supĂ©rieure Ă 20 % en 2020 », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Ăglise Saint-Nicolas et Notre-Dame de Bonneuil-les-Eaux », Art, culture & foi, Eglise catholique dans l'Oise (consultĂ© le ).
- Dominique Vernand, « Bonneuil-les-Eaux, Ă©glise Saint-Nicolas et Notre-Dame (PrieurĂ©-cure) », DiocĂšse : Beauvais, Ăglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consultĂ© le ).
- « église Saint-Nicolas », notice no PA60000003, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Le coq du clocher de Bonneuil-les-Eaux bĂ©ni comme il y a 44 ans : Les fidĂšles se sont rĂ©unis dans lâĂ©glise Saint-Nicolas de Bonneuil-les-Eaux, tout en respectant les gestes barriĂšres », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Prieuré Saint-Nicolas », notice no PA60000013, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « La fanfare de Bonneuil rĂ©sonne depuis 1842 », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3477,â , p. 18.
- « La fanfare de Bonneuil a fĂȘtĂ© ses 175 ans : Plusieurs de ses membres ont Ă©tĂ© Ă©galement rĂ©compensĂ©s pour leur longĂ©vitĂ© musicale », Le Courrier picard,â (lire en ligne, consultĂ© le ).