Gouy-les-Groseillers
Gouy-les-Groseillers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Gouyens et les Gouyennes.
Gouy-les-Groseillers | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Benoît Minard 2022-2026 |
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Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60283 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gouyens, Gouyennes | ||||
Population municipale |
16 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 5,2 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 41′ 40″ nord, 2° 13′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 107 m Max. 166 m |
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Superficie | 3,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | 1re circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://gouy-les-groseillers.fr | ||||
Géographie
Localisation
Gouy-les-Groseillers est un petit village rural picard de l'Oise dont le territoire, à -peu-près triangulaire est limitrophe du département de la Somme. Il est situé à 23 km au sud d'Amiens et 32 km au nord de Beauvais.
L'autoroute A16 limite le territoire communal à l'est, mais l'accès le plus proche est la sortie de Bosquel.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Bonneuil-les-Eaux, Croissy-sur-Celle, Fransures et Rogy.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Gouy-les-Groseillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (100 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 9, alors qu'il était de 10 en 2013 et de 12 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 89 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 11 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gouy-les-Groseillers en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante et de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (88,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Gaudiacus en 1034; Gouy-les-Groseilliers; Goy, Gouy-les-Gresellier[21].
Voir Gouy
Histoire
Antiquité
Une voie romaine reliant Beauvais à Amiens par Cormeilles, dite Chaussée Brunehaut, passait à Gouy-les-Groseillers[22]. Des sarcophages antiques y ont été retrouvés[21].
Moyen Âge
La seigneurie et le patronage de la cure sont donnés en 1042 par les comtes Thibaut et Étienne de Champagne au chapitre d'Amiens ; malgré son petit territoire, c'était l'une des plus riches du diocèse. Cependant l'abbaye de Saint-Fuscien percevait les dîmes[21].
Hugues de Wavignies, chevalier, légue vers 1202 à l'abbaye de Froidmont le bois de Groselier pour être défriché, ce que les moines exécutèrent en 1224 et 1246[21].
Temps modernes
Un prieuré dépendant de l'abbaye Saint-Germer-de-Fly était mentionné en 1630[23].
Révolution française et Empire
La commune, constituée lors de la Révolution française, est fugacement rattachée à Bonneuil-les-Eaux de 1825 à 1835, avant de recouvrer son autonomie[24] - [25].
Époque contemporaine
En 1930, le préfet décide de rouvrir l'école communale, fermée depuis un quart de siècle. Le journal Paris-Soir qui communique l'information mentionne que « le nombre des élèves ne doit pas être très élevé car Gouy-les-Groseillers est la plus petite école de tout le département. Elle compte 32 habitants et 12 électeurs[26] ».
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[28], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[29].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[30], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise Picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [31].
Politique locale
Le village est la commune de l'Oise qui a le plus voté pour Marine Le Pen lors du second tour de l'élection présidentielle française de 2017, avec 80,95% des suffrages exprimés[32].
Lors du second tour de élection présidentielle française de 2022, Marine Le Pen a recueilli 9 voix (69,23 % des suffrages exprimés), devançant ainsi le candidat élu Emmanuel Macron, qui a recueilli 4 voix (30,77 %). Lors de ce scrutin, 39,13 % des électeurs se sont abstenus[33].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2020, la commune comptait 16 habitants[Note 8], en diminution de 50 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
La commune, avec ses 16 habitants en 2022, est considérée comme la moins peuplée du département de l'Oise[40].
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 46,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 13 hommes pour 13 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Léger, en pierre crayeuse, constituée d'une courte nef du XVIIe siècle séparée du chœur du XVIe siècle par un cintre brisé. L'église se termine par une abside à trois pans.
Les fonts baptismaux, en pierre décorée d’une manière frustre de « godons » (cornets) et de doubles colonnettes aux angles, datant du XIIIe siècle, sont classés monument historique[43] - [44].
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Gouy-les-Groseillers (60283) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « Gouy-les-Groseillers » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Gouy-les-Groseillers - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Gouy-les-Groseillers - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Gouy-les-Groseillers et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gouy-les-Groseillers et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne [PDF]).
- Louis Graves, « Essai sur les voies romaines du département de l'Oise », Bulletin munumental, ou collection de mémoires et de renseignements pour servir à la confection d'une statistique des monuments de la France, classés chronologiquement, t. 6,‎ , p. 113-155 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Ch. M. Galisset, Corps du droit français : ou Recueil complet des lois, décrets, ordonnances, arrêtés, sénatus-consultes, règlemens, avis du conseil d'État, publiés depuis 1789, t. 5, Paris, Beauvais ainé;, éditeur, , 996 p. (lire en ligne), p. 316, sur Gallica.
- « Réouverture de l'école de Gouy-les-Groseillers », Paris-Soir, édition de Paris, no 2291,‎ , p. 2 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
- Mickaël Sizine, Vincent Gautronneau et Elie Julien, « L’élection présidentielle révèle une Oise à deux visages », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Commune de Gouy-les-Groseillers », Résultats de l'élection présidentielle 2022, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Deux conseillers de moins à Gouy-les-Groseillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En 2014, Alain Bourguignon, le maire, ne rempile pas. Tout comme au moins deux conseillers ».
- « Je ne compte pas mon temps » : Luc Ventre, maire de Gouy-les-Groseillers, la plus petite commune de l'Oise », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Fraîchement élu à la tête de la plus petite commune du département (25 habitants) [...] Agé de 58 ans, Luc Ventre s'est installé à Gouy-les-Groseillers en 2001 ».
- Maxime Piquet, « Un nouveau maire pour Gouy-les-Groseillers et ses seize habitants : Maire de la plus petite commune de l’Oise depuis 2014, Luc Ventre a démissionné suite à son déménagement. C’est Benoît Minard, 35 ans, qui lui succède », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Steeve Vatelin, « Comment se gère Gouy-les-Groseillers, la plus petite commune de l’Oise ? : Comment fonctionne une commune de 16 habitants ? Luc Ventre, maire de ce village situé au nord du département, l’a expliqué la semaine dernière à Noura Kihal-Flégeau, la sous-préfète de l’arrondissement », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gouy-les-Groseillers (60283) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « fonts baptismaux de l'église Saint-Léger », notice no PM60000879, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Dominique Vermand, « Gouy-les-Groseillers, église Saint-Léger », Diocèse : Amiens, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).