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Féron

Féron est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Féron
Féron
La mairie.
Blason de Féron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Avesnois
Maire
Mandat
Jean-François Baudry
2020-2026
Code postal 59610
Code commune 59229
Démographie
Population
municipale
546 hab. (2020 en diminution de 5,21 % par rapport à 2014)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 02′ 48″ nord, 4° 01′ 32″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 223 m
Superficie 13,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Fourmies
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fourmies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Féron

    Géographie

    Féron se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut) en plein cœur du parc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».

    En fait, Féron fait partie administrativement de l'Avesnois, géologiquement des Ardennes, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.

    La commune se trouve à 110 km de Lille (préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique) ou Reims (Marne), à 50 km de Valenciennes, de Mons (B) ou Charleroi (B), à 16 km d'Avesnes-sur-Helpe (sous-préfecture) et jouxte Fourmies.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 889 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fontaine-Vervins Man », sur la commune de Fontaine-lès-Vervins, mise en service en 1977[7] et qui se trouve à 23 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,1 °C et la hauteur de précipitations de 907,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 63 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Féron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fourmies, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (57,8 %), forêts (38,8 %), zones urbanisées (3,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    * Noms anciens : Ferwon, 1140, Cart. de l'abbaye de Liessies - Ferron, 1667, Cart. de l'abbaye de Liessies - Féron, 1186, J. de G. ann. du Hain., XII, 339 - Feron, 1247, Cart. de l'abbaye de Liessies - Fiéron, 1323, 3ème cart. du Hainaut.
    • Etymolgie : Le nom de la commune serait lié à l'exploitation passée de mines de fer et à l'industrie du fer.
    [réf. nécessaire]

    Histoire

    • 843 : avec le traité de Verdun, le partage de l'empire carolingien entre les trois petits fils de Charlemagne octroie à Lothaire I la Francie médiane qui comprend le Hainaut dont fait partie le village.
    • 855 : avec le traité de Prüm qui partage la Francie médiane entre les trois fils de Lothaire I, le Hainaut est rattaché à la Lotharingie dont hérite Lothaire II.
    • 870 : avec le traité de Meerssen après la mort de Lothaire II, une partie de la Lotharingie dont fait partie le Hainaut est rattachée à la Francie occidentale.
    • 880 : avec le traité de Ribemont en 880, le Hainaut fait partie de la Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire romain germanique en 962.
    • 1095 : la première mention du village de Féron figure dans l'acte de donation de Thierry d'Avesnes à l'abbaye de Liessies en 1095. Celle-ci développe l'industrie des forges.
    • 1581 : au lieu-dit Pont de Sains, est créée une forge par Philippe de Lallis, originaire de Glageon. Un premier château est élevé au XVIe siècle dont ne perdure que la porte d'accès constituée de deux tours.
    • 1627 : l'église fortifiée, succursale de Glageon, devient paroisse vers 1627. Sa tour a été surélevée en 1614 et munie de meurtrières. Le chÅ“ur actuel de l'église a été reconstruit en 1784.
    • 1747 : château du Pont de Sains : Philippe-Joseph-Emmanuel du Puis fait bâtir sur les lieux un château que Talleyrand rachète après les saisies révolutionnaires. La prince ajoute une aile en 1808 ainsi qu'un étage en 1829. À la fin du XIXe siècle, d'importants remaniements sont effectués par la famille de Castellane. Le château du Pont de Sains appartient désormais à l'association trélonaise La Maison des Enfants qui y a créé un Centre d'aide par le travail pour des adultes handicapés.
    • 1790 : Féron fait partie du canton d'ÉtrÅ“ungt qui regroupent également les communes de Floyon, Larouillies, Rainsars et Wignehies. Plus tard, le canton sera scindé entre celui d'Avesnes sud et Trélon. Féron fera partie du canton de Trélon.
    • 1791 : l'abbaye possède encore un fourneau situé au lieu-dit la Rue Heureuse.
    • 1860 : l'activité de forge cesse en 1860 à la suite d'un édit protégeant la forêt et de l'intérêt pour la houille.
    • Plans du cadastre napoléonien (1823 et 1885) de Féron : site internet des Archives départementales du Nord

    Héraldique

    Les armes de Féron se blasonnent ainsi :Écartelé : aux 1 et 4, d’argent à trois fasces de gueules ; aux 2 et 3, d’argent à trois doloires de gueules, les deux du chef adossées.

    Plusieurs villages de l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe possèdent les mêmes armoiries : Étrœungt, Féron, Lez-Fontaine, Ferrière-la-Grande, Rousies, Solre-le-Château et Solrinnes ainsi que Bermerain dans l'arrondissement de Cambrai parce qu'ils appartenaient à la famille de Croÿ-Renty. Autre coïncidence, cinq de ces villages sont arrosés par la Solre : Lez-Fontaine, Ferrière-la-Grande, Rousies, Solre-le-Château et Solrinnes.

    Politique et administration

    Maire en 1802-1803 : Jean Jos. Moutier[21].

    Maire en 1807 : Fontaine[22].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 2001 Edgar Lobet Exploitant agricole retraité
    Mars 2001 En cours
    (au 4 avril 2014)
    Jean-François Baudry Ingénieur
    Réélu pour le mandat 2014-2020[23]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

    En 2020, la commune comptait 546 habitants[Note 8], en diminution de 5,21 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 792547584566589639655634630
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    620655654601586540570547557
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    566531520469486520471454473
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    487489468526558519522564568
    2020 - - - - - - - -
    546--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 273 hommes pour 294 femmes, soit un taux de 51,85 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,3
    7,8
    75-89 ans
    7,7
    19,0
    60-74 ans
    16,7
    23,4
    45-59 ans
    23,2
    16,7
    30-44 ans
    18,3
    15,5
    15-29 ans
    16,5
    17,2
    0-14 ans
    17,4
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Les Féron'Arts

    Les Féron'Arts: le festival à coucher dehors !

    Tous les deux ans, à la mi-août, Féron se met en festival.

    En 1978, naissaient "Les Féronades", festival de musique, danse, théâtre, arts plastiques et artisanat d’art. : 6 éditions et 10 ans d’existence ont fait de cet événement un lieu de rencontres culturelles et artistiques au nord de Paris, accueillant de nombreux artistes et artisans qui, par leur présence, ont contribué à donner à Féron un attrait considérable et le renom qu’on lui connaît.

    En 1996, dans la continuité des Féronades, c’est sur une impulsion nouvelle que naît l’association Féron’arts, qui a initié depuis une stratégie permanente de développement culturel qui trouve son point d’expression lors de son festival biennal : les Féron’Arts.

    L’esprit du festival : « partager le beau, l’émotion et l’imaginaire ».

    Le détour d’une rue, l’entrebâillement d’une porte de grange, les gradins d’un chapiteau, l’intérieur d’une église, s’offrent alors comme de véritables lieux de découvertes et de rencontres artistiques insolites et imprévues.

    Le village devient pour quelques jours un parc d’"Arts-tractions", avec entre autres particularités l’accès gratuit aux lieux d’exposition et une tarification très faible rendant accessible à tous le spectacle vivant.

    Manifestation éclectique destinée à toucher l’ensemble de la population du territoire et accueillant des artistes venus d’horizons multiples, les Féron’Arts se veulent avant tout le lieu et l’époque d’une réconciliation entre l’art et le public, entre tous les arts et tous les publics.

    Féron : l’Art et la Matière : une stratégie permanente de développement culturel

    Si les Féronades étaient un important rendez-vous culturel, les Féron’Arts ont initié depuis leur création une stratégie permanente de développement culturel.

    Porté par l’association, Féron passe ainsi du statut de village où s’organisait une manifestation culturelle tous les deux ans de rayonnement régional et transfrontalier à celui de « Féron, l’Art et la Matière », projet territorial dynamique au cœur de la stratégie culturelle du pays de Sambre Avesnois.

    Tout au long de l’année, Féron’arts c’est :

    Un travail de proximité mis en place avec les communes partenaires • des ateliers d’écriture permanents pour renforcer le travail d’appropriation de l’Art • des ateliers cirque dans les communes partenaires avant le festival • l’édition d’un recueil d’écrits d’écoliers, fédérant plusieurs actions d’écritures mises en place sur le territoire • un partenariat large et toujours grandissant avec les communes du canton, avec le public scolaire Un espace de découverte • un coup de projecteur sur les artistes originaires de l’Avesnois ayant acquis une notoriété en dehors du territoire • une programmation à la recherche d’artistes en devenir un soutien à la création artistique • des commandes de créations artistiques • l’accompagnement de résidences d’artistes

    Lieux et monuments

    • Église fortifiée Saint-Martin.
    • Calvaire du cimetière.
    • Château du Pont-de-Sains de la fin du XVIe siècle
    • Temple de l'Amour du XIXe siècle
    • Nombreuses chapelles; la chapelle Lejeune date de 1643
    • Monument aux morts
    • Fontaine ferrugineuse du début du XIXe siècle
    • Église fortifiée Saint-Martin
      Église fortifiée Saint-Martin
    • Monument aux morts devant l'église
      Monument aux morts devant l'église
    • Calvaire du cimetière
      Calvaire du cimetière
    • Château du Pont-de-Sains
      Château du Pont-de-Sains
    • Nombreuses chapelles sur le territoire de la commune; la chapelle Lejeune à La Coquelette date de 1643 et porte l'inscription occis par l'ennemi.
    • Chapelle Lejeune (occis par l'ennemi 1643
      Chapelle Lejeune (occis par l'ennemi 1643
    • Chapelle Sts.Michel,Joseph,Camille,N.D. de Lourdes
      Chapelle Sts.Michel,Joseph,Camille,N.D. de Lourdes
    • Chapelle à l'ouest du Brison Barbet
      Chapelle à l'ouest du Brison Barbet
    • Chapelle au Trou de Féron
      Chapelle au Trou de Féron
    • Chapelle St.joseph à La Masure.
      Chapelle St.joseph à La Masure.
    • Chapelle Sts Léonard et Courgon, sur la D220
      Chapelle Sts Léonard et Courgon, sur la D220

    Personnalités liées à la commune

    Cultes

    Féron fait partie de la paroisse Sainte-Claire en Avesnois (diocèse de Cambrai) [30] - [31]

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Fontaine-Vervins Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Féron et Fontaine-lès-Vervins », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Fontaine-Vervins Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Féron et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fourmies », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
    22. « Annuaire statistique département du nord année 1807 », p. 130-131.
    23. « Élection de maires », Le Courrier de Fourmies, no 3340,‎ , p. 18 (ISSN 0183-8415).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Féron (59229) », (consulté le ).
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    30. Site du diocèse de Cambrai
    31. site internet de la paroisse
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