Glageon
Glageon est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.
Glageon | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Avesnes-sur-Helpe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Avesnois | ||||
Maire Mandat |
Frédéric Bettignies 2020-2026 |
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Code postal | 59132 | ||||
Code commune | 59261 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Glageonnais | ||||
Population municipale |
1 751 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 149 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 03′ 25″ nord, 4° 04′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 168 m Max. 244 m |
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Superficie | 11,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Trélon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Fourmies (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Fourmies | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Glageon se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut) en plein cœur du parc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour ses prairies, son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».
Glageon fait partie administrativement de l'Avesnois, géologiquement des Ardennes, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.
La commune se trouve à 110 km de Lille (Préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique) ou Reims (Marne), à 55 km de Valenciennes, Mons (B) ou Charleroi (B) et à 14 km d'Avesnes-sur-Helpe (Sous-Préfecture). Glageon jouxte la ville de Fourmies.
La Belgique et l'Aisne se trouvent à 10 km.
La commune est le point d'arrivée de la Voie verte de l'Avesnois Glageon-Ferrière-la-Grande. Cette verte voie a une longueur de 30 km. Incluse dans la véloroute TransEuropéenne Paris-Moscou, elle se prolongera prochainement vers Hirson et l'Axe vert de la Thiérache.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 26 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 67 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Glageon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Trélon, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 4 663 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fourmies dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (45,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,5 %), prairies (43,7 %), zones urbanisées (6,5 %), mines, décharges et chantiers (4,1 %), terres arables (0,3 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Histoire
- Glageon est un ancien site gallo-romain et a connu une occupation mérovingienne. En 1862, à Couplevoie, ont été trouvées des sépultures renfermant des armes de l'époque gallo-romaine.
- 843 : avec le traité de Verdun, le partage de l'empire carolingien entre les trois petits-fils de Charlemagne octroie à Lothaire Ier, la Francie médiane qui comprend le Hainaut dont fait partie le village.
- 855 : avec le traité de Prüm qui partage la Francie médiane entre les trois fils de Lothaire I, le Hainaut est rattaché à la Lotharingie dont hérite Lothaire II.
- 870 : avec le traité de Meerssen après la mort de Lothaire II, une partie de la Lotharingie dont fait partie le Hainaut est rattachée à la Francie occidentale.
- 880 : avec le traité de Ribemont en 880, le Hainaut est rattaché à la Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire romain germanique en 962.
- D'après A. Desmasures Glageon se disait autrefois Glagon, Glangon, glan en celtique veut dire bord de l'étang, de la rivière et gon veut dire roche, hauteur. Glageon est la première commune de la Fagne, ici la pierre remplace peu à peu la brique.
- XIIe siècle : au milieu du XIIe siècle, un château-fort est construit par Nicolas d'Avesnes. Il était situé au lieudit des "Pâtures", juste derrière l'ancien cimetière. En 1186, Glageon est le siège d'une paroisse du décanat d'Avesnes. La paroisse était rattachée à l'Abbaye de Liessies.
- XIVe siècle : le village est séparé en 2 : Glageon-Avesnes (Pairie d'Avesnes) et Glageon-Maubeuge (Prévôté de Maubeuge), avec 2 maires et 2 groupes d'échevins jusqu'à la Révolution.
- XVIe siècle : le château est assiégé et détruit à plusieurs reprises. Il fut habité par Philippe de Stavèle (1508-1562), seigneur de Glageon, baron de Chaumont, ambassadeur de Marguerite de Parme auprès d'Élisabeth d'Angleterre, grand maître de l'artillerie du roi d'Espagne Charles Quint et chevalier de la toison d'or. Il vit se succéder des noms d'ennemis prestigieux, maigre consolation, les troupes de François Ier en 1543, Henry II en 1552 ; en 1554 c'est le tour du connétable de Montmorency, puis Turenne en 1637. Aujourd'hui, il ne reste plus de traces de cette place forte.
- Autrefois célèbre pour sa carrière de marbre rose dont la pierre peut être admirée au château de Versailles dont les restaurations effectuées sous la Monarchie de juillet ou même postérieurement, ont largement utilisé le marbre de Glageon et de tout l'Avesnois.
- XVIIIe siècle : Son église dédiée à Saint Martin est du XVIIIème ; construite en 1714, l'église Saint-Martin de Glageon a été agrandie en 1785. En 1773, s'ouvre la mine de fer à Couplevoie.
- XIXe siècle : la commune accueille des usines de tissage et de peignage de la laine, une filature dirigée par la famille Boulanger, ainsi qu'une brasserie-malterie connue sous le nom de Bernard Lemaire, puis Bernard Champagne, puis Bernard. Située au 4 rue du Calvaire, on peut toujours apercevoir sur le toit le séchoir à houblon. La filature de laine Landousie a été fondée en 1889 par Auguste Landousie (1831-1900). Fortement dévastée pendant la Première guerre mondiale, la filature intègre ensuite le consortium de Fourmies (Société des filatures de laines peignées de la Région de Fourmies). Elle cesse son activité en 1980. La filature Hubinet fondée par Charles Louis Hubinet n'a pas non plus été épargnée par la Grande guerre. La filature a été incendiée en 1990 et transférée ensuite à Wignehies. La carrière commence à être exploitée et l'est toujours aujourd'hui. Les années 1850-1900 sont exceptionnelles pour le village qui bénéficie de l'arrivée du chemin de fer. Glageon était desservi par trois gares, celles de Trélon-Glageon et de Couplevoie sur la ligne de Maubeuge à Fourmies et celle de Féron-Glageon sur la ligne de Fives à Hirson. Ces trois gares, encore en fonctionnement en 1945, ont été fermées ultérieurement. La population augmente fortement.
- Première guerre mondiale : Les allemands arrivent dans le village de Glageon le mercredi (9h du matin). Le village se trouvera en zone occupée par les troupes Allemandes jusqu'au , date où le village est libéré par des troupes Françaises, 2 jours donc avant l'armistice.
- Plans du cadastre napoléonien (1823 et 1885) de Glageon : site internet des Archives départementales du Nord
Héraldique
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Les armes de Glageon se blasonnent ainsi :D’hermine à la bande de gueules.. |
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Politique et administration
Maire en 1802-1803 : Jean Brihaye père[24].
Maire en 1807 : Decamp[25].
Maire pour la période 2020-2026 : Frédéric Bettignies[27].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2020, la commune comptait 1 751 habitants[Note 8], en diminution de 4,11 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 900 hommes pour 882 femmes, soit un taux de 50,51 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin
- Le cimetière militaire britannique, russe et français situé au fond du cimetière communal.
- Église Saint-Martin
- Église Saint-Martin
- monument aux morts
- monument en l'honneur d'Emmanuel Brihaye
Personnalités liées à la commune
- Philippe de Stavele (de)[34] (° 1509 †1563), baron de Chaumont, seigneur de Glageon, ambassadeur de Marguerite de Parme, « gouverneur » des Pays-Bas espagnols, auprès d'Élisabeth Ire, reine d'Angleterre, chevalier de la Toison d'or (1555, brevet n°222) : la commune porte aujourd'hui ses armoiries.
- Benoît Duquesne, journaliste, a grandi à Glageon, ville dont son père a été maire pendant de nombreuses années.
- Marcel Cuvelier (1924), comédien, est né dans cette ville.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Glageon et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Glageon et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Trélon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fourmies », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur LillOnum Bibliothèque numérique, p. 132-133 (image 162-163)
- « Élection de maires », Le Courrier de Fourmies, no 3340,‎ , p. 18 (ISSN 0183-8415).
- « Mairie de Glageon 59132 - Nord - Adresses-Mairies.fr », sur www.adresses-mairies.fr (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Glageon (59261) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « roglo.eu », Philippe van Stavele (consulté le ).