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Eygalières

Eygalières est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Eygalières
Eygalières
La chapelle Saint-Sixte d'Eygalières.
Blason de Eygalières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Arles
Intercommunalité Communauté de communes Vallée des Baux-Alpilles
Maire
Mandat
Aline Pelissier
2020-2026
Code postal 13810
Code commune 13034
Démographie
Gentilé eygaliérois, eygaliéroise
Population
municipale
1 730 hab. (2020 en diminution de 2,7 % par rapport à 2014)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 39″ nord, 4° 57′ 00″ est
Altitude 20 m
Min. 12 m
Max. 300 m
Superficie 33,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Salon-de-Provence-1
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
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Eygalières
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Eygalières

    Géographie

    Situation

    Eygalières se trouve au pied des Alpilles, entre Orgon et Saint-Rémy-de-Provence. On accède à cette commune par la RD 24B.

    • Le village au pied des Alpilles

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat dans les Alpilles est considéré comme méditerranéen. Les hivers y sont doux et secs et les étés chauds et secs. La température moyenne maximale est observée en juillet et août (+29 °C), la température moyenne minimale en décembre et janvier (+3 °C)[1]. Le mois le plus pluvieux est janvier avec 7 jours de pluie en moyenne, contre 2 jours en juillet[1]. La région des Alpilles reçoit davantage de précipitations que le littoral de la Méditerranée : 500 mm/an en Camargue contre 600 Ã  700 mm/an pour les Alpilles.

    Les grandes gelées sont très rares, alors qu'elles étaient plus fréquentes au XIXe siècle, comme en témoignent les nombreux gels du Rhône, quasiment inconnus depuis le siècle dernier.

    Le mistral

    Le mistral y souffle violemment du nord ou du nord-ouest, particulièrement en hiver et au printemps. Le mistral souffle fortement 100 jours par an en moyenne et faiblement 83 jours, ce qui ne laisse que 182 jours sans vent par an[2].

    On distingue deux types de mistral : le « mistral blanc », qui dégage le ciel en totalité et accentue la luminosité, et le « mistral noir », plus rare, qui est accompagné de pluie.

    Données météorologiques

    Eygalières n'a pas de station météo, la plus proche est celle de Saint-Rémy-de-Provence[3]. Les données du tableau suivant sont approximatives.

    Relevé météorologique de Saint-Rémy-de-Provence
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 3 3,6 6 8,4 12,2 15,9 18,6 18,3 15 11,5 6,4 4,3 10,3
    Température moyenne (°C) 7 8 11 13,4 17,6 21,6 24,6 24,1 20,2 15,7 10,4 7,9 15,1
    Température maximale moyenne (°C) 11 12,4 16 18,5 23 27,3 30,6 30 25,5 20 14,4 11,5 20
    Précipitations (mm) 55,6 33,3 23 48,8 36,2 31,3 26,5 34,2 65,6 69,5 57,8 41,3 523,1
    Source : Relevé météo de Saint-Rémy-de-Provence[4]
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    11
    3
    55,6
    12,4
    3,6
    33,3
    16
    6
    23
    18,5
    8,4
    48,8
    23
    12,2
    36,2
    27,3
    15,9
    31,3
    30,6
    18,6
    26,5
    30
    18,3
    34,2
    25,5
    15
    65,6
    20
    11,5
    69,5
    14,4
    6,4
    57,8
    11,5
    4,3
    41,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Hydrographie

    Eygalières est arrosée par la Roubine de Tiran[5], rivière longue de 9,6 km, sous affluent du Rhône. Le gaudre de Romanin[6], sous-affluent du Rhône long de 9,3 km, coule également dans cette commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Eygalières est une commune rurale[Note 1] - [7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8] - [9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon, une agglomération inter-régionale regroupant 59 communes[10] et 455 711 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,1 %), forêts (24,9 %), cultures permanentes (5,8 %), zones urbanisées (5,1 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Toponymie

    La forme la plus ancienne est Aquileria, attestée en 1216. Le nom provençal du village est Eigaliero. Le village se trouvant sur un rocher, ce toponyme ne peut être lié au latin aqua (eau). Certains toponymistes suggèrent un thème latin oronymique - Eygalière nomme une montagne dans les Hautes-Alpes - lié à aquila (aigle)[17]. Cependant, il est à noter qu'en occitan le mot eigaliera signifie "conduite d'irrigation" et qu'en Drôme provençale Eygaliers se trouve dans une vallée.

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Un site archéologique nommé « tombe A. Meynier », au lieu-dit du Contras[18], a révélé une sépulture collective du Néolithique[19]. Le site de la Baume Farnet consiste en un habitat de la même période qui a été fouillé au début du XXe siècle[20].

    Lors de la seconde partie du premier âge du fer (VIIe – VIe siècles av. J.-C.), la population, jusqu'alors essentiellement nomade, se sédentarise et se met à construire en dur. Le castrum se structure à la manière d'un village avec ses rues et ses maisons adossées[21]. Le processus d'installation permanente est à mettre en parallèle avec l'intensification des échanges économiques avec les commerçants méditerranéens[21]. En échange de produits de luxe, les habitants des Alpilles produisent des céréales et passent d'un état d'autarcie à une économie d'échange[21].

    Politique et administration

    Listes des maires

    De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

    De 1799 à 1848, la constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

    Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

    De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.

    Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.

    Titulaires de la fonction de maire d’Eygalières
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Félix Pélissier (d)[22] - [23]
    ( - )
    31 ans
    René Fontès[24] - [25]
    ( - )

    (mort en cours de mandat)
    11 ans et 8 jours indépendant
    Bernard Wibaux (d)1 an
    Aline Pelissier (d)
    (née le )
    En cours3 ans, 1 mois et 11 jours

    Intercommunalité

    Eygalières est une des dix communes de la communauté de communes Vallée des Baux-Alpilles.

    Environnement

    Le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés est assuré dans le cadre des missions de la communauté de communes Vallée des Baux-Alpilles[26].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2020, la commune comptait 1 730 habitants[Note 2], en diminution de 2,7 % par rapport à 2014 (Bouches-du-Rhône : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0301 1001 1621 3171 4141 3201 3851 3961 471
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5051 5001 4431 3981 3551 2871 2701 2441 244
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2631 2071 1631 0601 1721 1411 1591 1131 033
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 2511 2331 2841 4271 5941 8511 9001 9551 772
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 7781 7401 730------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 41,7 % la même année, alors qu'il est de 26,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 864 hommes pour 926 femmes, soit un taux de 51,73 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,24 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,4
    90 ou +
    3,8
    13,7
    75-89 ans
    16,1
    24,3
    60-74 ans
    23,9
    23,8
    45-59 ans
    22,4
    10,7
    30-44 ans
    12,3
    13,8
    15-29 ans
    9,6
    12,2
    0-14 ans
    11,9
    Pyramide des âges du département des Bouches-du-Rhône en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,8
    7,3
    75-89 ans
    9,6
    16
    60-74 ans
    16,9
    19,8
    45-59 ans
    19,7
    18,8
    30-44 ans
    18,5
    18,6
    15-29 ans
    16,9
    18,8
    0-14 ans
    16,6

    Enseignement

    La commune d'Eygalières possède une crèche, (la crèche Li petouset) ainsi qu'une école primaire mixte et une maternelle mixte, les deux étant reliées dans un même domaine près du stade municipal.

    Sports

    Plusieurs clubs sportifs se trouvent à Eygalières, un centre équestre, un tennis club et un club de football. Des tournois de boules sont organisés.

    Les cyclistes apprécient l'ascension du pas de la Figuière sur la D25A en direction de Aureille.

    Cultes

    Le culte catholique est représenté par les paroisses de Saint-Rémy-de-Provence, Eygalières, Mollégès, Saint-Andiol, Plan-d'Orgon, Verquières et Cabannes qui sont regroupées en un ensemble pastoral[33].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 18 212 €, ce qui plaçait Eygalières au 11 821e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[34].

    Agriculture

    La commune a son terroir classé en AOC et produit des vins Coteaux-des-baux-en-provence[35]. Cette AOC a été reconnue par un décret du pour les vins rouges et rosés. D'abord classé VDQS par un arrêté du dans le cadre des Coteaux-d'aix-en-provence, un second décret daté du permit l’utilisation de la dénomination générique « Les Baux de Provence » reconnaissant l’identité spécifique de ce vignoble de la région des Baux concernant sept communes du massif des Alpilles. Sa production est de 15 500 hectolitres par an dont 75 % en rouge et 25 % en rosé[36].

    Oliviers dans les Alpilles
    Vincent van Gogh, juin 1889
    Huile sur toile.

    Le vin de pays des Alpilles est un vin de pays de zone, au nord des Bouches-du-Rhône qui a vocation à labelliser, après dégustation, les vins ne pouvant postuler à l'appellation d'origine coteaux-des-baux-de-provence. Jusqu'en 2000, il portait le nom de vin de pays de la Petite Crau. La production est d'environ 6 000 hectolitres par an. Son vignoble, installé sur un plateau caillouteux, est limité, au nord, par la Durance et au sud, par les Alpilles[37].

    La commune produit de l'huile d'olive de la vallée des Baux-de-Provence est protégée par une appellation d'origine contrôlée (AOC) depuis un décret pris par l'INAO, le . Les variétés d'olives qui entrent dans son élaboration sont la salonenque, la beruguette, la grossane et la verdale des Bouches-du-Rhône[38]. Elle produit aussi des olives cassées et des olives noires qui relèvent du même décret de l'INAO. Les variétés d'olives cassées proposées à la commercialisation sont la salonenque et la beruguette. Pour les olives noires la seule variété acceptée est la grossane[39] - [40].

    Une entreprise industrielle importante, Richel Group, producteur de serres horticoles et de matériel destiné à l'agriculture, a son siège sur la commune.

    Tourisme

    Hormis l'agriculture, l'économie la plus facilement identifiable autour du massif des Alpilles est liée au tourisme. Même les producteurs viticoles et oléicoles semblent tenir compte du développement du tourisme et de plus en plus de domaines proposent de la dégustation, voire dans certains cas de véritables cours d'initiation à l'œnologie.

    On peut considérer trois principales sortes de tourisme dans les Alpilles. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche (les Baux-de-Provence, Glanum, etc.) ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des chemins de randonnées.

    Culture et patrimoine

    Monuments

    Personnalités liées à la commune

    Ils y ont une maison :

    Héraldique

    Blason d'Eygalières

    Blason choisi par le maire d'Eygalières Jean Roque en 1855 en signe de fidélité au Second Empire et toujours utilisé par la commune[46] :
    D'azur à l'aigle impériale d'or posée sur un rocher du même, mouvant des flancs et de la pointe et chargé en pointe de l'inscription « AQVILARVM RVPES » en lettres capitales de sable ordonnées en orle[47].

    Blason historique[46] :
    D'argent, à un gril de sable, le manche en bas.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Climat à Maussane-les-Alpilles, commune limitrophe, holidaycheck.fr.
    2. « Le climat », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, H. Bruneton, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, p. 23-24.
    3. « Station météo la plus proche : Saint-Rémy-de-Provence », MSN Météo
    4. « Relevé météo de Saint-Rémy-de-Provence », MSN Météo
    5. Fiche de la Roubine du Tiran sur le site du SANDRE
    6. Fiche du Gaudre de Romanin sur le site du SANDRE
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 d'Avignon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1783.
    18. R. Monjardin, « La Tombe A. Meynier, commune d'Eygalières, Bouches-du-Rhône », in « La collection Jacques Latour, ancien conservateur des musées d'Arles », Bulletin de la société préhistorique française, 1965, vol. 2, p. 412-420.
    19. « La Préhistoire des Alpilles », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, G. Sauzade, op. cit., p. 136.
    20. « Les Alpilles et la Montagnette », Carte archéologique de la Gaule, t. 13/2, 1999, p. 138.
    21. Y. Marcadal, « Les oppida des Alpilles », in Les Alpilles, op. cit, p. 146.
    22. « Eygalières : disparition du maire emblématique Félix Pélissier », La Provence,  : « Félix Pélissier a été maire de 1978 à 2008. Félix Pélissier, l'ancien maire d'Eygalières qui a exercé ce mandat pendant trois décennies, est décédé à l'âge de 92 ans. Ses obsèques ont eu lieu hier, dans un village endeuillé et en présence de nombreux élus du territoire. »
    23. nécrologie, (genre littéraire)
    24. M. C., « Bouches-du-Rhône: René Fontès, maire d'Eygalières et ancien président de l'AS Montferrand, est mort », 20 minutes,  : « René Fontès, maire d’Eygalières dans les Bouches-du-Rhône et ancien dirigeant du club de rugby de Clermont-Ferrand de 2004 à 2013, est décédé brutalement à 77 ans, annonce l’ASM dimanche. »
    25. C. V., « Bouches-du-Rhône : décès soudain de René Fontès, maire d'Eygalières, cet après-midi à la suite d'un malaise cardiaque », La Provence,  : « Le maire d'Eygalières René Fontès est décédé cet après-midi à l'âge de 77 ans, des suites d'un malaise cardiaque. »
    26. http://www.aspic.interieur.gouv.fr/Aspic2/asvixGroupementHTML.php?idGrpt=74&style=doc&x=1288173399
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Eygalières (13034) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département des Bouches-du-Rhône (13) », (consulté le ).
    33. « Site du groupement paroissial », sur upsaintremy.free.fr.
    34. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur site de l'Insee (consulté le ).
    35. Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
    36. Coteaux-des-baux-de-provence (AOC) sur le site de l'Institut National des Appellations d'Origine
    37. Louis Menjucq, président de l'ANIVIT (sous la direction de), Vins de pays de France, éd. Romain Pages, Saint-Cloud, 1991, (ISBN 2908878151), p. 86.
    38. Huile d'olive de la vallée des Baux-de-Provence AOC
    39. Olives cassées de la vallée des Baux-de-Provence AOC
    40. Olives noires de la vallée des Baux-de-Provence AOC
    41. Notice no PA00081243, base Mérimée, ministère français de la Culture
    42. Notice no PA00081245, base Mérimée, ministère français de la Culture
    43. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    44. « Eglise de Roquemartine (ancienne) », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    45. Notice no PA00081246, base Mérimée, ministère français de la Culture
    46. « Journal », sur Mairie d'Eygalières (consulté le )
    47. « EYGALIERES », sur Armorial de France (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Les Alpilles. Encyclopédie d'une montagne provençale, divers auteurs, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, (ISBN 978-2906162976).
    • « Les Alpilles et la Montagnette », Carte archéologique de la Gaule, t. 13/2, 1999, p. 136-140, (ISBN 978-2877540599).

    Articles connexes

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