Engelberg (grand cru)
Lâalsace grand cru engelberg[N 1], ou plus simplement lâengelberg, est un vin blanc français produit sur le lieu-dit lâEngelberg, situĂ© sur les communes de Dahlenheim et de Scharrachbergheim-Irmstett, dans le dĂ©partement du Bas-Rhin, en Alsace.
Engelberg | |
Vue de la plaine d'Alsace depuis le Scharrach. | |
DĂ©signation(s) | Engelberg |
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Appellation(s) principale(s) | alsace grand cru Engelberg[N 1] |
Type d'appellation(s) | AOC-AOP[1] |
Reconnue depuis | 1992[2] |
Pays | France |
RĂ©gion parente | vignoble d'Alsace |
Localisation | Bas-Rhin |
Climat | tempéré continental |
Ensoleillement (moyenne annuelle) |
1 637 heures par an en moyenne[3] |
Sol | calcaires |
Superficie plantée | 14 hectares en 2009[4] |
CĂ©pages dominants | gewurztraminer Rs, riesling B et pinot gris G[N 2] |
Vins produits | blancs |
Pieds Ă l'hectare | minimum 4 500 pieds Ă l'hectare[5] |
Rendement moyen Ă l'hectare | maximum 55 Ă 66 hectolitres par hectare[5] |
Il s'agit d'un des cinquante-et-un grands crus du vignoble d'Alsace, bĂ©nĂ©ficiant chacun d'une appellation mais partageant le mĂȘme cahier des charges alsace grand cru[5] (avec des contraintes plus rigoureuses que pour l'appellation alsace).
Histoire
Ă Dahlenheim et Scharrachbergheim, une charte cite pour la premiĂšre fois le vignoble de lâEngelberg en 884[N 3].
L'appellation alsace grand cru est reconnue par le décret du [6] mais le cru de l'Engelberg n'est pas parmi les vingt-cinq premiers sélectionnés : ses viticulteurs attendront le décret du [2] pour en faire partie. Il y a eu depuis quelques modifications : le décret du [7] rÚglemente les mentions vendanges tardives et sélection de grains nobles au sein de l'appellation ; et le décret du [8] réduit les rendements et donne la possibilité de modifier le cahier des charges de chaque dénomination (chaque cru) aprÚs avis du syndicat viticole local.
En octobre 2011, tous les grands crus d'Alsace passent du statut de dĂ©nominations gĂ©ographiques au sein d'une mĂȘme appellation Ă celle d'appellations partageant le mĂȘme cahier des charges[5].
Ătymologie
En allemand, le mot Engel signifie l'ange, tandis que Berg désigne la hauteur (colline ou montagne). Engelberg peut donc se traduire par le « mont de l'ange ».
Situation géographique
L'engelberg est produit en France, dans la région Alsace, plus précisément dans le département du Bas-Rhin, sur les communes de Dahlenheim et de Scharrachbergheim à 19 kilomÚtres à l'ouest de Strasbourg, juste au nord de Molsheim.
Sur la Route des vins d'Alsace, l'Engelberg se trouve presque à l'extrémité septentrionale, entre l'Altenberg de Bergbieten à l'ouest et l'Altenberg de Wolxheim au sud-est.
GĂ©ologie et orographie
Les vignes poussent sur des calcaires du Muschelkalk[4] - [9] - [10].
Climatologie
à l'ouest, les Vosges protÚgent le coteau du vent et de la pluie. Les vents d'ouest dominants perdent leur humidité sur le versant occidental des Vosges et parviennent en Alsace sous forme de foehn, secs et chauds. Les précipitations sont donc particuliÚrement faibles.
De ce fait, le climat est bien plus sec (Colmar, plus au sud, est la station la plus sÚche de France) et un peu plus chaud (avec une température annuelle moyenne plus haute de 1,5 °C) que ce qui serait attendu à cette latitude. Le climat est continental et sec avec des printemps chauds, des étés secs et ensoleillés, de longs automnes et des hivers froids.
La station météo de l'aéroport de Strasbourg Entzheim (150 mÚtres d'altitude) est la plus proche de Dahlenheim et de Scharrachbergheim, mais la station se trouve au bord du Rhin, en plaine. Ses valeurs climatiques de 1961 à 1990 sont :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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TempĂ©rature minimale moyenne (°C) | â1,7 | â0,9 | 1,6 | 4,6 | 8,6 | 11,7 | 13,4 | 13,1 | 10,3 | 6,5 | 2,1 | â0,7 | 5,7 |
Température moyenne (°C) | 0,9 | 2,5 | 6 | 9,6 | 13,8 | 17 | 19,1 | 18,6 | 15,5 | 10,6 | 5,2 | 1,9 | 10,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 3,5 | 5,8 | 10,4 | 14,6 | 19 | 22,2 | 24,7 | 24,2 | 20,8 | 14,7 | 8,2 | 4,5 | 14,4 |
Ensoleillement (h) | 42 | 78 | 122 | 161 | 197 | 212 | 240 | 215 | 168 | 101 | 58 | 43 | 1 637 |
Précipitations (mm) | 33,1 | 34,3 | 36,6 | 48 | 74,5 | 74,6 | 56,8 | 67,8 | 55,5 | 43 | 46,6 | 39,9 | 610,5 |
Vignoble
Présentation
Les parcelles de vigne sont à flanc de coteau, entre 250 et 300 mÚtres d'altitude, sur les pentes du mont Scharrach exposée plein sud, à l'ouest du village de Dahlenheim. L'aire plantée est de 14,80 hectares[11].
Encépagement
Les vins correspondant Ă l'appellation d'origine contrĂŽlĂ©e alsace grand cru suivie de la dĂ©nomination gĂ©ographique (nom de lieu-dit) Engelberg doivent ĂȘtre produits avec un des cĂ©pages suivants : riesling B[N 2], pinot gris G, gewurztraminer Rs ou un des muscats (muscat ottonel B, muscat blanc Ă petits grains B ou muscat rose Ă petits grains Rs).
Le gewurztraminer Rs (signifie « traminer aromatique » en allemand) est le cépage le plus cultivé sur l'Engelberg. C'est un cépage rose aux baies orange ou tirant vers le violet. Ce proche parent du savagnin B et du savagnin rose Rs (appelé en Alsace klevener de Heiligenstein) est plutÎt vigoureux, produit de gros rendements et donne de meilleurs résultats sur des sols marneux ou calcaires que sur des sols granitiques ou schisteux.
Le pinot gris G (appelĂ© Grauburgunder, « bourguignon gris » en allemand, « malvoisie » en Valais ou pinot grigio en Italie) est un cĂ©page fragile et de maturitĂ© assez prĂ©coce. Il est issu dâune mutation du pinot noir et est donc dâorigine bourguignonne, oĂč il est appelĂ© « pinot beurot ». Il donne de meilleurs rĂ©sultats sur des sols composĂ©s de cailloutis calcaires Ă condition d'ĂȘtre bien drainĂ©s grĂące Ă une exposition en coteau.
Le riesling B est peu cultivé sur l'Engelberg. C'est un cépage au débourrement et à la maturation tardives, nécessitant des coteaux bien exposés au soleil, dont les vendanges peuvent avoir lieu vers la mi-octobre. Par contre, il résiste bien aux gelées d'hiver.
Les muscats sont rarement cultivés, que ce soit sur l'ensemble du vignoble d'Alsace ou sur les parcelles classées comme grands crus. Le muscat blanc à petits grains B, appelé aussi « muscat d'Alsace », est originaire de GrÚce ; il est cultivé en Alsace depuis au moins le début du XVIe siÚcle. Il est plutÎt précoce. Le muscat ottonel B est plus récent, découvert au XIXe siÚcle dans la vallée de la Loire avant d'arriver en Alsace au milieu du siÚcle. L'ottonel est un hybride du chasselas, il est donc encore plus précoce que l'autre muscat.
- Grappes de gewurztraminer Rs.
- Grappes de pinot gris G.
- Grappes de riesling B.
- Grappes de muscat blanc Ă petits grains B.
Pratiques culturales
Les vignes sont conduites en hautain pour les protĂ©ger du gel, avec le feuillage palissĂ© en espalier ; la hauteur de feuillage palissĂ© ne peut ĂȘtre infĂ©rieure Ă 0,675 fois l'Ă©cartement entre les rangs. La taille de la vigne doit se faire en guyot simple ou double avec un maximum de dix yeux par mĂštre carrĂ© de surface au sol pour le cĂ©page gewurztraminer Rs et huit yeux par mĂštre carrĂ© de surface au sol pour les autres cĂ©pages.
La charge maximale moyenne à la parcelle est fixée à 10 000 kilogrammes de raisin par hectare[5].
Rendements
La limite de rendement de l'ensemble de l'appellation alsace grand cru est fixée à 55 hectolitres par hectare, avec un rendement butoir à 66 hectolitres par hectare[5], ce qui est trÚs inférieur aux 80 hectolitres autorisés par l'appellation alsace.
Le rendement réel de l'ensemble de l'appellation (les 51 crus alsaciens) est de 50 hectolitres par hectare en moyenne pour l'année 2009[N 4]. Bien que ce soit trÚs en dessous des rendements moyens du vignoble d'Alsace, il s'agit d'un rendement dans la moyenne française.
Les grands crus d'Alsace doivent ĂȘtre obligatoirement vendangĂ©s Ă la main.
Vins
Titres alcoométriques
Les raisins récoltés doivent présenter un titre alcoométrique volumique naturel moyen minimum de 12,5 % vol. pour les cépages pinot gris G et gewurztraminer Rs et de 11 % vol. pour le riesling B[N 2] et les muscats. Les vins issus d'un assemblage présentent un titre alcoométrique volumique naturel moyen minimum de 12 % vol.
Ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ© Ă bonne maturitĂ© tout lot unitaire de vendanges prĂ©sentant une richesse en sucre infĂ©rieure Ă 193 grammes par litre de moĂ»t pour les cĂ©pages pinot gris G et gewurztraminer Rs et Ă 168 grammes par litre de moĂ»t pour les autres cĂ©pages. Lorsqu'une autorisation d'enrichissement est accordĂ©e, l'augmentation du titre alcoomĂ©trique volumique naturel moyen minimum ne peut dĂ©passer 1,5 % vol.
Sur l'avis du syndicat des producteurs du cru, le comité régional d'experts des vins d'Alsace peut proposer annuellement au comité national des vins et eaux-de-vie de l'Institut national des appellations d'origine, pour la dénomination et pour chaque cépage, un titre alcoométrique naturel moyen minimum supérieur et une richesse en sucre des lots unitaires supérieure à ceux susvisés, ainsi qu'un taux d'enrichissement maximum inférieur au taux susvisé.
Vendanges tardives et grains nobles
Les vendanges tardives dĂ©signent des vins faits Ă partir de raisins dont la rĂ©colte a Ă©tĂ© retardĂ©e pour les obtenir en surmaturitĂ©, d'oĂč des vins riches en sucre et en alcool, aux goĂ»ts plus puissants, et souvent moelleux. Selon la lĂ©gislation, le moĂ»t doit avoir au moins 243 grammes de sucre par litre si c'est du gewurztraminer ou du pinot gris (soit 14,4 % vol. d'alcool potentiel), ou au moins 220 grammes de sucre par litre si c'est du riesling ou un muscat (soit 13,1 % vol. d'alcool potentiel) ; aucune chaptalisation n'est permise.
Quant à une sélection de grains nobles, il s'agit d'un vin fait à partir de raisins récoltés par tris sélectifs successifs des grains atteints de pourriture noble (le champignon Botrytis cinerea), ce qui donne des vins encore plus concentrés, plus sucrés, liquoreux. Selon la législation, le moût doit avoir au moins 279 grammes de sucre par litre si c'est du gewurztraminer ou du pinot gris (soit 16,6 % vol. d'alcool potentiel), ou au moins 256 grammes de sucre par litre si c'est du riesling ou un muscat (soit 15,2 % vol. d'alcool potentiel). Là -aussi aucune chaptalisation n'est permise[12] - [13].
Vinification et Ă©levage
Les grands crus d'Alsace doivent ĂȘtre obligatoirement rĂ©coltĂ©s manuellement. Le jour de la vendange, Ă l'arrivĂ©e au chai, le raisin est foulĂ© et pressĂ© pour sĂ©parer le moĂ»t du marc de raisin. Pour ce travail, les pressoirs pneumatiques remplacent progressivement les pressoirs horizontaux Ă plateau. Puis le moĂ»t est mis en cuve pour le dĂ©bourbage, qui est le soutirage du jus sans les bourbes, soit par filtrage, soit par dĂ©cantation en attendant qu'elles se dĂ©posent au fond de la cuve.
La fermentation alcoolique dĂ©bute sous l'action de levures indigĂšnes ou de levures sĂ©lectionnĂ©es introduites lors du levurage : cette opĂ©ration transforme le sucre du raisin en alcool. La maĂźtrise de la tempĂ©rature de fermentation par un systĂšme de rĂ©frigĂ©ration permet d'exprimer le potentiel aromatique du produit. La fermentation achevĂ©e au bout d'un mois, le vin est soutirĂ© afin d'Ă©liminer les lies. La fermentation malolactique n'est gĂ©nĂ©ralement pas rĂ©alisĂ©e, bloquĂ©e par un sulfitage pour conserver son aciditĂ© au vin. Ce dernier peut ĂȘtre stockĂ© en cuve pour le prĂ©parer Ă l'embouteillage ou Ă©levĂ© en barrique ou foudres de bois de chĂȘne.
Le vin est soutiré, puis généralement de nouveau filtré avant le conditionnement en bouteilles[14].
Ăconomie
Type de bouteilles
Les vins d'Alsace doivent ĂȘtre mis en bouteille uniquement dans des flĂ»tes, c'est-Ă -dire des bouteilles du type « vin du Rhin » de 75 centilitres, rĂšglementĂ©es par plusieurs dĂ©crets[15].
Mentions
Dans tout le vignoble d'Alsace, les vins sont le plus souvent identifiĂ©s par leur(s) cĂ©page(s) : riesling, gewurztraminer, etc. Cette mention domine l'Ă©tiquette mĂȘme si elle est facultative.
Lors de la crĂ©ation de l'appellation alsace grand cru, le but Ă©tait clairement de valoriser le terroir. La mention du cĂ©page n'y est pas obligatoire et il est possible de mettre le nom de la dĂ©nomination en caractĂšres plus grands que celui du cĂ©page. Donc plusieurs mentions sur l'Ă©tiquette de la bouteille sont possibles, soit simplement le nom de l'appellation et de la dĂ©nomination gĂ©ographique (alsace grand cru Engelberg), soit avec en plus une mention de cĂ©page (riesling, pinot gris, gewurztraminer ou muscat), Ă laquelle peut ĂȘtre rajoutĂ©e la mention sĂ©lection de grains nobles ou vendanges tardives, ainsi que le nom d'un lieu-dit au sein de la dĂ©nomination :
- alsace grand cru Engelberg ;
- alsace grand cru Engelberg riesling ;
- alsace grand cru Engelberg gewurztraminer ;
- alsace grand cru Engelberg pinot gris ;
- alsace grand cru Engelberg muscat ;
- alsace grand cru Engelberg vendanges tardives riesling ;
- alsace grand cru Engelberg vendanges tardives gewurztraminer ;
- alsace grand cru Engelberg vendanges tardives pinot gris ;
- alsace grand cru Engelberg vendanges tardives muscat ;
- alsace grand cru Engelberg sélection de grains nobles riesling ;
- alsace grand cru Engelberg sélection de grains nobles gewurztraminer ;
- alsace grand cru Engelberg sélection de grains nobles pinot gris ;
- alsace grand cru Engelberg sélection de grains nobles muscat.
Notes et références
Notes
- Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine.
- Le code international d'écriture des cépages mentionne de signaler la couleur du raisin : B = blanc, N = noir, Rs = rose, G = gris.
- Il fut, trois siÚcles plus tard, propriété du Chapitre canonial de la Collégiale de Strasbourg.
- Le rendement s'obtient en divisant la production par la surface cultivée, soit en 2009 : 43278 / 850 = 50,91 hectolitres par hectare. Source : Le Guide Hachette des vins 2011, éditions Hachette, Paris, 2010 (ISBN 978-2-01-237681-6).
Références
- « Alsace grand cru Engelberg », sur www.inao.gouv.fr, MinistÚre de l'agriculture. Institut national de l'origine et de la qualité, (consulté le ).
- Décret du 17 décembre 1992 relatif à l'appellation d'origine contrÎlée "alsace grand cru", publié au JORF du 19 décembre 1992, consultable sur le site legifrance.gouv.fr.
- « Archives climatologiques mensuelles de Strasbourg-Entzheim de 1961 à 1990 », sur http://www.infoclimat.fr/.
- Collectif, Le guide Hachette des vins 2011 : des vins pour tous les goût, à tous les prix, Paris, Hachette livre, , 1402 p. (ISBN 978-2-01-237681-6), p. 116.
- [PDF] Direction gĂ©nĂ©rale des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires, « Cahier des charges de l'appellation », sur http://agriculture.gouv.fr/, homologuĂ© par le « dĂ©cret no 2011-1373 du 25 octobre 2011 modifiant l'ordonnance n° 45-2675 du 2 novembre 1945 relative Ă la dĂ©finition des appellations d'origine contrĂŽlĂ©es des vins d'Alsace et homologuant les cahiers des charges des appellations d'origine contrĂŽlĂ©es « Alsace » ou « Vin d'Alsace » et « CrĂ©mant d'Alsace » et des cinquante et une appellations « Alsace grand cru » », JORF, no 0251,â , p. 18196.
- Décret du 23 novembre 1983 relatif à l'appellation d'origine contrÎlée alsace grand cru, publié au JORF du 29 novembre 1983, consultable sur le site legifrance.gouv.fr.
- Décret du 1er mars 1984 relatif aux appellations d'origine contrÎlées alsace et alsace grand cru, publié au JORF du 7 mars 1984, consultable sur le site legifrance.gouv.fr.
- Décret du 24 janvier 2001 relatif à l'appellation d'origine contrÎlée alsace grand cru, consultable sur le site legifrance.gouv.fr.
- Notice de la carte du BRGM [PDF]no 271 (Molsheim), disponible sur le site infoterre.brgm.fr.
- « Carte géologique centrée sur l'Engelberg » sur Géoportail.
- [PDF] « Fiche de présentation de l'engelberg », sur http://www.vinsalsace.com/.
- Décret du 1er mars 1984 modifié relatif aux appellations d'origine contrÎlées alsace et alsace grand cru, sur le site www.inao.gouv.fr.
- [PDF] « Fiche sur les vendanges tardives et les sélections de grains nobles », sur http://www.vinsalsace.com/.
- « La vinification en blanc », sur http://www.vinsalsace.com/ (consulté le ).
- DĂ©cret no 55.673 du 20 mai 1955 sur l'emploi de la bouteille type vin du Rhin, arrĂȘtĂ© du 13 mai 1959 et dĂ©cret no 63-295 du 19 mars 1963 relatif aux caractĂ©ristiques des bouteilles susceptibles de servir de rĂ©cipients mesures dans le commerce de certains liquides, consultables sur le site www.legifrance.gouv.fr.
Voir aussi
Bibliographie
- Vignoble d'Alsace, Ă©ditions BenoĂźt France et CIVA, Paris, 2007, carte 88 x 55 cm au 1/120000 (ISBN 978-2-84354-158-2).
- Vins d'Alsace : carte touristique, Institut géographique nationale, Paris, 2006, carte 96 x 66 cm au 1/125000 (ISBN 978-2-7585-0182-4).
- Serge Dubs et Denis Rizenthaler, Les grands crus d'Alsace, Ă©ditions Serpenoise, Metz, 2002, 288 pages (ISBN 2-87692-567-2).
- Claude Muller, Les Vins d'Alsace, histoire d'un vignoble, Ă©ditions Coprur, Strasbourg, 1999, 192 pages (ISBN 2-84208-008-4).
- Le vignoble d'Alsace : la route des vins, Mitra productions, Illkirch, 1995, carte 90 x 34 cm au 1/180000 (BNF 40658287).
- Guide des grands crus d'Alsace, Centre d'information des vins d'Alsace, Colmar, 1994, 50 pages (BNF 36691659).
- Bernadette Burn et Gilles Schmidt, Alsace, clos et grands crus, collection Le Grand Bernard des vins de France, Ă©ditions Jacques Legrand, Paris, 1989, 190 pages (ISBN 2-905969-24-5).