AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Embryophyta

Les Embryophytes, rassemblent ce qu'on appelle les plantes terrestres. Elles constituent la super-division des Embryophyta, aussi dénommées Cormophytes (« plantes à tige », du latin cormus, tige ; du grec kormos, tronc) ou Archégoniates (végétaux dont le gamétange femelle est un archégone). Elles forment un groupe monophylétique, qui s'est développé parmi les chlorobiontes durant l'Úre du Paléozoïque et s'est adapté avec succÚs à la vie sur la terre ferme, qu'elles ont progressivement colonisée, la sortie des eaux étant d'abord le fait des bryophytes avec leur gamétophyte aérien et durable . Ce terme de plantes terrestres n'interdit pas que certaines d'entre elles se soient par la suite adaptées aux milieux aquatiques (à la maniÚre des cétacés chez les animaux) ou que leur fécondation reste en milieu aquatique[2].

Avec les algues vertes, ou chlorophytes lato sensu (groupe paraphylétique), elles constituent le rÚgne des plantes vertes et le clade des chlorobiontes caractérisé par l'association des chlorophylles a et b et l'amidon stocké dans les plastes[3].

Les embryophytes sont dĂ©finies par la prĂ©sence d'un embryon vĂ©gĂ©tal, structure multicellulaire qui se dĂ©veloppe aprĂšs la fĂ©condation Ă  partir du zygote et qui contient un pied ou suçoir, un suspenseur et une tĂȘte. Ce zygote ou Ɠuf dont le dĂ©veloppement est polarisĂ©, au moins des premiers stades, dĂ©pend des rĂ©serves du tissu mĂšre. De mĂȘme, l'embryon dĂ©pend au moins pour les premiers stades de dĂ©veloppement de rĂ©serves d'origine maternelle. C'est la tĂȘte de l'embryon qui se dĂ©veloppe en sporophyte avec racine, tige et feuille : le port plus ou moins Ă©rigĂ© dans l'air doit en effet vaincre le poids et la verticalitĂ© sĂ©pare les territoires Ă©clairĂ©s des zones d'ancrage et d'absorption. Ainsi, la conquĂȘte des terres implique la diffĂ©renciation en organes et tissus spĂ©cialisĂ©s, parfois renforcĂ©s par de la lignine et recouverts de cuticule, revĂȘtement hydrophobe[4].

Étymologie

Le terme Embryophytes vient du grec ancien έΌÎČρυόΜ (embriĂłn, « embryon »), et de φυτόΜ (phytĂłn, « vĂ©gĂ©tal »). Faisant rĂ©fĂ©rence Ă  l'embryon diploĂŻde (2n) pluricellulaire que les Embryophytes portent Ă  un moment de leur cycle de vie.

Synapomorphies

Cycle de vie des Embryophytes.

Les principales synapomorphies (caractÚres dérivés propres) à ce groupe sont :

Cycle de reproduction des Bryophytes

Marchantia polymorpha

Exemple du cycle de vie de Marchantia polymorpha, appartenant au taxon des marchantiophytes.

Phase gamétophytique[9]

Les spores sont tous identiques (homosporie). Ils sont donc, par dĂ©finition, indiffĂ©renciĂ©s. GrĂące Ă  la germination, un gamĂ©tophyte se met en place. Cet individu est haploĂŻde (Ă  n chromosome). Ce dernier, met en place des gamĂ©tanges (structures Ă  l’origine des gamĂštes) qui, par la suite, vont se diffĂ©rencier. À l'issue de la diffĂ©renciation, il y a un thalle mĂąle et un thalle femelle.

Le thalle mĂąle met en place des anthĂ©ridiophores sur lequel on retrouve les anthĂ©ridies (gamĂ©tanges mĂąles) regroupĂ©s sous forme de corbeilles. Chaque anthĂ©ridie possĂšde une assise cellulaire et Ă  l’intĂ©rieur, se situe le tissu spermatogĂšne. Parmi ces cellules, certaines sont nourriciĂšres et d’autres se diffĂ©rencient en spermatozoĂŻdes (gamĂštes mĂąles).

Quant au thalle femelle, les archĂ©gones (gamĂ©tanges femelles) sont regroupĂ©s dans des structures appelĂ©es : archĂ©goniophores. Chaque archĂ©gone est composĂ© d’un oosphĂšre, d’une paroi (assise cellulaire) et des cellules du col. Ces derniĂšres se dĂ©gradent et permettent ainsi aux spermatozoĂŻdes d’aller fĂ©conder l’oosphĂšre (le gamĂšte femelle). Il s’agit d’une fĂ©condation par zoĂŻdogamie (c’est-Ă -dire nĂ©cessitant la prĂ©sence d’eau).

Phase sporophytique[10]

À l’issue de la fĂ©condation, il y a un zygote (Ă  2n chromosomes) prĂ©sent Ă  l’intĂ©rieur de l’archĂ©gone du cycle prĂ©cĂ©dent. Il s’ensuit plusieurs divisions cellulaires aboutissant sur le sporophyte. C’est un individu parasite trĂšs petit avec un suçoir. En effet, il est non chlorophyllien et puise ses ressources dans l’archĂ©gone du cycle prĂ©cĂ©dent. Il dispose d’un tissu sporogĂšne. DiffĂ©rentes cellules de ce tissu vont ĂȘtre Ă  l’origine des Ă©latĂšres (elles restent diploĂŻdes) et ont le rĂŽle d’aider Ă  l’expulsion des spores. D’autres sont des cellules “mĂšres” qui vont subir la mĂ©iose et ĂȘtre Ă  l’origine d’une tĂ©trade de spores (cellules haploĂŻdes). Les spores germent afin de donner le gamĂ©tophyte. Le cycle est ainsi terminĂ© et une nouvelle gĂ©nĂ©ration dĂ©bute.  

Caractéristiques

Les caractéristiques de ce cycle sont donc :

  • Phase gamĂ©tophytique est dominante
  • FĂ©condation par zoĂŻdogamie
  • DissĂ©mination par les spores

Évolution et dĂ©veloppement

Multiples sorties des eaux au sein de plusieurs groupes d'organismes vivants.
Évolution des principales structures, fonctions et des plans d'organisation chez les plantes. Les Embryophytes possĂšdent des caractĂšres communs : plasmodesmes, mitoses qui favorisent le dĂ©veloppement de thalles plus importants puis de parenchymes qui assurent une meilleure thermorĂ©gulation et l'homĂ©ohydrie[11] ; flavonoĂŻdes qui les protĂšgent contre la photo-oxydation ; cuticule cireuse et spores entourĂ©es d’une paroi imprĂ©gnĂ©e de sporopollĂ©nine qui prĂ©viennent de la dĂ©shydratation par la transpiration[12] ; lignine assurant le port dressĂ© et armant les vaisseaux conducteurs, Ă©mergence Ă©volutive de la phase diploĂŻde dominante, le sporophyte, et rĂ©duction progressive du gamĂ©tophyte qui s'accompagne d'une protection de plus en plus grande de la phase haploĂŻde) qui ont contribuĂ© Ă  la conquĂȘte du milieu terrestre[13].
Arbre phylogénétique des embryophytes

Dans la classification phénétique classique, les botanistes classent les Embryophytes en trois groupes :

Ptéridophytes (Pteridophytina) et Spermatophytes (Spermatophytina) sont les deux sous-embranchements de l'embranchement des Trachéophytes (Tracheophyta). Les Bryophytes (Bryophyta) forment aussi un embranchement dont les trois sous-embranchements sont les hépatiques (Hepaticae), les anthocérotes (Anthocerotae) et les mousses au sens large (Musci). Cependant cette classification, toujours valide pour les évolutionnistes[14], n'est pas acceptée par les cladistes puisque Bryophytes et Ptéridophytes correspondent à des ensembles paraphylétiques[15].

La phylogĂ©nĂ©tique molĂ©culaire suggĂšre que les plantes terrestres forment un groupe monophylĂ©tique qui a divergĂ© des algues vertes il y a prĂšs de 700 millions d'annĂ©es[16]. Ces premiĂšres plantes sont caractĂ©risĂ©es par un gamĂ©tophyte dominant colonisateur et un sporophyte dressĂ© pour la dispersion. À cette pĂ©riode, la couche d’ozone est bien installĂ©e. La filtration des UV est suffisante et elle permet la vie hors de l’eau. Il y a donc une corrĂ©lation entre la composition de la couche d’ozone et la colonisation des plantes vertes sur Terre (Embryophytes). L’ancĂȘtre commun des Embryophytes est donc apparu il y a 480 millions d’annĂ©es (il y a ensuite une recolonisation des eaux douces par certains Embryophytes au fil du temps).

Pour pouvoir survivre en milieu terrestre, de nombreuses adaptations des plantes ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es au niveau de l'appareil vĂ©gĂ©tatif et reproducteur, visant essentiellement Ă  faire face Ă  l'absence d'eau et Ă  croĂźtre dans le milieu aĂ©rien en luttant contre l'attraction terrestre. Chez les plantes terrestres, on remarque que le sporophyte pousse verticalement pour maximiser la dispersion en milieu aĂ©rien (plus haut plus loin) : le thalle s'est progressivement transformĂ© en cormus possĂ©dant des tissus spĂ©cialisĂ©s et bien diffĂ©renciĂ©s. La forme cylindrique de ces axes dressĂ©s permet de diminuer la surface du vĂ©gĂ©tal en contact avec l'atmosphĂšre terrestre dessĂ©chante. Afin de permettre la croissance de vĂ©gĂ©taux de plus en plus hauts la mise en place d'un systĂšme racinaire efficace et d'un systĂšme de double circulation (xylĂšme (sĂšve brute) et phloĂšme (sĂšve Ă©laborĂ©e)) permettant d'irriguer toutes les parties de la plante est nĂ©cessaire pour assurer des apports d'eau suffisants. Les axes se sont ensuite diffĂ©renciĂ©s pour former diffĂ©rents organes vĂ©gĂ©tatifs : tiges, feuilles, racines mais Ă©galement reproducteurs Ă  enveloppe pluricellulaire. On trouve ainsi les sporanges et gamĂ©tanges qui protĂšgent les cellules reproductrices (les spores et gamĂštes). Il existe Ă©galement plusieurs autres structures de protection afin de lutter contre les conditions hostiles du milieu terrestre : les spores dissĂ©minĂ©es par le vent sont protĂ©gĂ©es de la dessiccation par une Ă©paisse paroi imprĂ©gnĂ©e de sporopollĂ©nine, le zygote, issu de la fĂ©condation reste enfermĂ© et protĂ©gĂ© au dĂ©but de son dĂ©veloppement dans le gamĂ©tange femelle (ou archĂ©gone) oĂč se dĂ©veloppera le jeune embryon[17].

Aux alentours de 420-430 jusqu’à 400 millions d’annĂ©es, on observe l’apparition d’organismes avec polysporangie. Les polysporangiĂ©s produisent plusieurs sporanges par sporophyte. Le sporophyte devient donc gĂ©nĂ©ration dominante avec la prĂ©sence d’axes rampants et d’axes dressĂ©s : c’est l’apparition des PtĂ©ridophytes au Silurien. Les PtĂ©ridophytes sont des plantes vasculaires (TrachĂ©ophytes). Cependant, les premiers PtĂ©ridophytes n’étaient pas vascularisĂ©s. Aglaophyton est un PtĂ©ridophyte avec des hyphes de champignons, ce sont les premiĂšres plantes mycorhizĂ©es qui permettent une meilleure colonisation terrestre.

Les TrachĂ©ophytes ont des tissus conducteurs. Les plus vieux sont les Lycopodes, apparus Ă  la fin du Silurien, avec des formes herbacĂ©es (axes rampants et axes dressĂ©s) et des formes arborescentes au carbonifĂšre. Les plantes vasculaires Ă  spores libres se diversifient au DĂ©vonien. Au DĂ©vonien, on trouve l’apparition des plantes Ă  ovules aux alentours de 360 millions d’annĂ©es. Ces Angiospermes sont issues des Progymnospermes qui se reproduisaient par des spores libres et avaient un tronc avec du bois. Le tronc est apparu avant l’ovule. Archaeopteris forme les premiĂšres grandes forĂȘts de la fin du DĂ©vonien. Les plantes Ă  ovules apparaissent dans les sous bois des forĂȘts.

Les plantes vascularisĂ©es produisent des spores qui germent pour donner un gamĂ©tophyte bisexuĂ© qui aprĂšs fĂ©condation conduira Ă  la formation d’un embryon. Les Progymnospermes hĂ©tĂ©rosporĂ©s et hĂ©tĂ©rosporangie donnent les spermatozoĂŻdes. Le microsporange, c’est-Ă -dire le sac pollinique, produit le grain de pollen et le mĂ©gasporange produit 4 spores. Dans le sporange, il y a un mĂ©gaprothalle (nucelle) dont la pĂ©riphĂ©rie constitue le tĂ©gument.

Les Euphyllophytes possĂšdent de vraies feuilles, que l’on appelle des mĂ©gaphylles (= rameaux latĂ©raux transformĂ©s avec du limbe). On y trouve les fougĂšres, les prĂȘles et les plantes Ă  ovules. Les fougĂšres et les plantes Ă  ovules sont apparues Ă  peu prĂšs au mĂȘme moment mais de maniĂšre sĂ©parĂ©e. Les plantes Ă  ovules viennent des Progymnospermes. Les Angiospermes arrivent au crĂ©tacĂ©. Les Gymnospermes sont paraphylĂ©tiques[18].

Les Trachéophytes sont tous polysporangiophytes. Quant aux Mousses et Hépatiques, ce sont des unisporangiés. Les Euphyllophytes, les fougÚres et les prÚles, sont des monilophytes. Les Gymnospermes sont paraphylétiques et les Angiospermes sont monophylétiques. Les Cycas sont les Gymnospermes les plus vieux (CarbonifÚres), puis sont apparus les Ginkgos (Permien secondaire), les Géophytes et les Angiospermes[19] (Mésozoïque).

Phylogénie

Jusque vers 2010, les donnĂ©es phylogĂ©nĂ©tiques semblaient indiquer que le groupe le plus proche des embryophytes Ă©tait un groupe d'algues vertes, les charophytes, et plus particuliĂšrement les coleochaetales[20]. Comme ces algues ne prĂ©sentent aucun signe d'adaptation Ă  la vie hors des ocĂ©ans, on pensait alors que la conquĂȘte du milieu terrestre s'Ă©tait rĂ©alisĂ©e au sein du groupe des embryophytes[21].

Entre 2012 et 2018, ce sont les zygnĂ©matophycĂ©es, un groupe d'algues relativement peu Ă©tudiĂ©, qui se sont rĂ©vĂ©lĂ©es les plus proches des embryophytes[21]. Fin 2019, le sĂ©quençage des gĂ©nomes de diffĂ©rentes espĂšces des deux groupes (ainsi que d'autres vĂ©gĂ©taux) a montrĂ© que les embryophytes et les zygnĂ©matophycĂ©es ont notamment en commun deux gĂšnes qui interviennent dans la rĂ©sistance Ă  la dessication, dĂ©nommĂ©s PYL et GRAS. On en dĂ©duit que le dernier ancĂȘtre commun des deux groupes Ă©tait dĂ©jĂ  adaptĂ© Ă  un mode de vie terrestre. Comme PYL et GRAS sont trĂšs frĂ©quents dans les bactĂ©ries du sol, il est probable que cet ancĂȘtre commun (ou l'un de ses ascendants) les a acquis par transfert horizontal depuis certaines de ces bactĂ©ries[21] - [22].

Systématique

Classification

Liste des divisions selon ITIS (25 juin 2018)[23] :

Liste des sous-classes selon la classification phylogénétique APG III (2009)[1] :

Selon Paleobiology Database (25 juin 2018)[24] :

Notes et références

  1. (en) Angiosperm Phylogeny Group, « An update of the Angiosperm Phylogeny Group classification for the orders and families of flowering plants: APG III », Botanical Journal of the Linnean Society, Wiley-Blackwell, Linnean Society of London et OUP, vol. 161, no 2,‎ , p. 105–121 (ISSN 0024-4074 et 1095-8339, DOI 10.1111/J.1095-8339.2009.00996.X)
  2. Michel Godron, Écologie et Ă©volution du monde vivant. Volume 1, L'Harmattan, , p. 170
  3. (en) Michael G. Simpson, Plant Systematics, Academic Press, , p. 5
  4. Jean-Claude Roland, Hayat El Maarouf Bouteau, François Bouteau, Atlas de biologie végétale, Dunod, , p. 122.
  5. Guillaume Lecointre et Hervé Le Guyader, Classification phylogénétique du vivant, t. 1, 4e éd., Paris, Belin, , 583 p. (ISBN 978-2-7011-8294-0)
  6. Yves Tourte, Michel Bordonneau, Max Henry et Catherine Tourte, Le monde des végétaux. Organisation, physiologie et génomique, Dunod, (lire en ligne), p. 48
  7. (en) H. Bernstein, G.S. Byers et R.E. Michod, « Evolution of sexual reproduction: Importance of DNA repair, complementation, and variation », The American Naturalist, vol. 117, no 4,‎ , p. 537–549 (DOI 10.1086/283734).
  8. (en) R.E. Michod et T.W. Gayley, « Masking of mutations and the evolution of sex », The American Naturalist, vol. 139, no 4,‎ , p. 706–734 (DOI 10.1086/285354).
  9. Phase gamétophytique
  10. Phase sporophytique
  11. Le milieu terrestre étant beaucoup moins tamponné thermiquement que la mer (écarts de température rapides et de grande amplitude), il impose des contraintes hydriques et thermiques supplémentaires.
  12. Les Trachéophytes sont des plantes homéohydres grùce à la présence de racines et de vaisseaux conducteurs. Les Bryophytes ne possÚdent pas ces caractÚres et adoptent une autre stratégie de résistance au stress hydrique, la poïkilohydrie : comme les lichens, leur teneur en eau varie suivant les variations d'hygrométrie de l'environnement extérieur, de 10 à 90 % de leur poids frais, car ces végétaux sont incapables de contrÎler la perte en eau de leurs cellules et se déshydratent facilement par toute leur surface. Elles restent pour beaucoup inféodées aux milieux humides, mais de nombreuses espÚces sont aussi pionniÚres des milieux secs grùce à une stratégie d'évitement, l'anhydrobiose. Robert Gorenflot, Biologie végétale, Masson, , p. 213
  13. (en) Zoe Popper et al., « Evolution and diversity of plant cell walls: from algae to flowering plants », Annual Review of Plant Biology, vol. 62, no 1,‎ , p. 567-590 (DOI 10.1146/annurev-arplant-042110-103809)
  14. Damien Aubert, Classer le vivant : les perspectives de la systématique évolutionniste moderne (ISBN 978-2-340-01773-3 et 2-340-01773-4, OCLC 992798346, lire en ligne)
  15. Futura, « Embryophyte », sur Futura (consulté le )
  16. (en) YL Qiu, JD Palmer, « Phylogeny of early land plants: insights from genes and genomes », Trends Plant Sci., vol. 4, no 1,‎ , p. 26-30 (DOI 10.1016/s1360-1385(98)01361-2.).
  17. « Évolution et caractĂ©ristiques-Origine et adaptation au milieu terrestre », sur uel.unisciel.fr (consultĂ© le )
  18. Gerard Cusset, Botanique : Les Embryophytes, Elsevier Masson, , 512 p.
  19. « Classification des vĂ©gĂ©taux — Site des ressources d'ACCES pour enseigner la Science de la Vie et de la Terre », sur acces.ens-lyon.fr (consultĂ© le )
  20. (en) Douglas E. Soltis, Pamela Soltis, J.J. Doyle, Molecular Systematics of Plants II : DNA Sequencing, Springer, , p. 530
  21. Coraline Madec, « Sortie des eaux des vĂ©gĂ©taux : un scĂ©nario revisitĂ© », Pour la science, no 507,‎ , p. 8.
  22. (en) Shifeng Cheng, Wenfei Xian, Yuan Fu, Birger Marin, Jean Keller et al., « Genomes of Subaerial Zygnematophyceae Provide Insights into Land Plant Evolution », Cell, vol. 179, no 5,‎ , p. 1057-1067, article no e14 (DOI 10.1016/j.cell.2019.10.019).
  23. Integrated Taxonomic Information System (ITIS), www.itis.gov, CC0 https://doi.org/10.5066/F7KH0KBK, consulté le 25 juin 2018
  24. Fossilworks Paleobiology Database, consulté le 25 juin 2018

Voir aussi

Références taxinomiques

Bibliographie

  • GĂ©rard Cusset, Botanique: les embryophytes, Masson, .

Articles connexes

Liens externes


Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.