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Dendrochronologie

Branche de la dendrologie, la dendrochronologie (du grec ancien ÎŽÎ­ÎœÎŽÏÎżÎœ, dendron, « arbre », Ï‡ÏÏŒÎœÎżÏ‚, khronos, « temps » et -λογία, -logie, « discours ») est une mĂ©thode scientifique permettant en particulier d'obtenir des datations de piĂšces de bois Ă  l’annĂ©e prĂšs en comptant et en analysant la morphologie des anneaux de croissance (ou cernes) des arbres. Elle permet Ă©galement de reconstituer les changements climatiques et environnementaux.

Observation d'un Ă©chantillon pour une Ă©tude dendrochronologique

Le botaniste bùlois Heinrich Zoller avait déjà publié dans les années 1950 une étude montrant et utilisant la présence de cernes annuels chez certaines herbacées. Il avait grùce à cela évalué l'ùge de plusieurs herbacées de végétation de steppe sÚche du Valais, mais ses travaux sont passés relativement inaperçus[1].

Principes

Foret utilisé pour le prélÚvement d'échantillons.

La dendrochronologie a Ă©tĂ© inventĂ©e et dĂ©veloppĂ©e au cours du XXe siĂšcle par A.E. Douglass, le fondateur du Laboratory of Tree-Ring Research de l’UniversitĂ© de l'Arizona. Plusieurs siĂšcles auparavant LĂ©onard de Vinci avait dĂ©jĂ  dĂ©crit le principe des cernes de croissance et leurs variations en fonction des conditions climatiques. L'AmĂ©ricain Edmund Schulman (1908-1958)[2] et le Suisse Fritz Schweingruber (en) (1935-2020) ont Ă©galement largement contribuĂ© au dĂ©veloppement scientifique de la discipline.

Sous des latitudes moyennes, les arbres poussent en produisant du bois lorsque les conditions climatiques sont favorables (du début du printemps à la fin de l'été). Au printemps, les cernes sont clairs car les vaisseaux conduisant la sÚve sont plus larges, ce qui permet des flux plus importants. L'analyse d'un échantillon de bois en repérant ses anneaux de croissance et en attribuant à chacun d'entre eux un millésime de formation, permet de déduire les conditions climatiques contemporaines à la vie de l'arbre.

En prenant des Ă©chantillons dans diffĂ©rents sites d'une mĂȘme rĂ©gion et ayant poussĂ© Ă  des Ă©poques diffĂ©rentes mais se recoupant, il est possible de recomposer une sĂ©quence sur plusieurs siĂšcles et de crĂ©er une chronologie de rĂ©fĂ©rence permettant de rĂ©aliser des Ă©tudes palĂ©o-climatiques. L'idĂ©al est bien sĂ»r d'avoir une tranche d'arbre multi-centenaire. La comparaison du profil de croissance d'un morceau de bois d'une Ă©poque indĂ©terminĂ©e avec cette chronologie de rĂ©fĂ©rence permet sa datation exacte Ă  l'annĂ©e prĂšs.

Cette propriété a permis d'établir des courbes de calibrage pour corriger les résultats de la datation par le carbone 14, qui supposait une concentration de carbone 14 constante dans l'atmosphÚre au cours des siÚcles alors que celle-ci a varié. Depuis quelques décennies, les datations par le carbone 14 sont calibrées et donc plus précises.

La dendrochronologie est une des meilleures méthodes de datation absolue utilisées en archéologie pour les périodes remontant jusqu'au Mésolithique (env. 7000 ans av. J.-C.), qui permet de dater des objets ou des sites (à Charavines, en IsÚre, dÚs 1974, un habitat néolithique fut le site français pionnier dans cette discipline[3]). Elle permet une datation trÚs précise, à l'année prÚs, mais nécessite que des éléments en bois de taille suffisante soient conservés et qu'il n'y ait pas de cernes manquants ou surnuméraires[4].

En effet, le comptage des cernes est une procĂ©dure rudimentaire qui est souvent Ă  l'origine d'une sous-estimation. En effet, chez de nombreuses espĂšces, l'arbre peut, certaines annĂ©es, ne pas former de bois sur tout ou partie de sa circonfĂ©rence (d'oĂč un cerne partiellement ou totalement absent), en raison d'un hiver rigoureux, combinĂ© ou non Ă  un printemps tardif, ou consĂ©cutivement Ă  une dĂ©foliation sĂ©vĂšre. Plus rarement, l’arbre peut fabriquer plusieurs cernes (cernes doubles ou faux cernes) dans une annĂ©e, par exemple Ă  la suite de l'installation prĂ©coce de la sĂ©cheresse estivale (cas de la rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne), lorsque le cambium Ă©labore des Ă©lĂ©ments de bois final, puis, Ă  la faveur d'une amĂ©lioration des conditions mĂ©tĂ©orologiques estivales, produire Ă  nouveau des Ă©lĂ©ments de bois initial, avant de produire en fin de saison de croissance le bois final normal. De plus, le premier cerne formĂ© par chaque arbre se trouve gĂ©nĂ©ralement au niveau du collet racinaire de l'arbre, sous le niveau du sol. Pour identifier ces cernes manquants ou surnumĂ©raires, afin d'obtenir un Ăąge exact, les dendrochronologues utilisent l'interdatation (appelĂ©e aussi synchronisation), « qui consiste Ă  dater prĂ©cisĂ©ment chaque cerne. Elle nĂ©cessite de mesurer leur largeur, au lieu de simplement les compter. On compare ensuite la sĂ©rie des largeurs mesurĂ©es Ă  une sĂ©rie de rĂ©fĂ©rences que l’on sait complĂšte, sans cernes manquants, Ă©tablie pour la mĂȘme espĂšce et dans la mĂȘme rĂ©gion »[5].

Dendrochronologie et paléoenvironnement

Section de tronc d'un chĂȘne pĂ©donculĂ© (Quercus robur) apparemment ĂągĂ© de 21 ans.

Des analyses microchimiques de chaque cerne permettent de déterminer les concentrations de certains polluants dans l'environnement (plomb par exemple) pour les années et décennies antérieures (tant que le bois reste en bon état et qu'il n'a pas subi de contamination secondaire).

L'analyse dendrochronologique apporte Ă©galement des indices sur la pluviomĂ©trie et la tempĂ©rature qu'il faisait au moment oĂč l'arbre produisait un cerne. Les donnĂ©es sont pondĂ©rĂ©es par l'analyse de nombreux arbres pour gommer certains artefacts, par exemple liĂ©s Ă  des attaques de certains insectes dĂ©foliateurs (qui peuvent stopper la croissance d'un arbre jusqu'Ă  5 ans durant par des attaques rĂ©pĂ©tĂ©es). Ce principe est Ă  la base d'une sous-discipline de la dendrochronologie, la dendroclimatologie. De mĂȘme en prĂ©sence de certains mammifĂšres (bisons, cervidĂ©s) qui Ă©corcent partiellement les arbres, la croissance des cernes peut ĂȘtre provisoirement modifiĂ©e le temps de la cicatrisation.

La comprĂ©hension des Ă©volutions passĂ©es — face aux changements climatiques notamment — peut Ă©clairer le prĂ©sent et le futur des forĂȘts. Ainsi les satellites montrent un allongement de la saison de vĂ©gĂ©tation dans le nord de l'hĂ©misphĂšre Nord, mais l'Ă©tude des cernes de l'Ă©pinette blanche en Alaska et des teneurs du bois en isotopes du carbone montrent (sur 90 ans) que la croissance radiale des arbres a — dans cette rĂ©gion — Ă©tĂ© ralentie quand il faisait plus chaud (et trop sec ?), ce qui est contraire Ă  ce qu'attendaient nombre d'experts, et qui doit faire rĂ©viser les thĂ©ories sur la capacitĂ© de la forĂȘt borĂ©ale Ă  stocker plus de carbone si le rĂ©chauffement se poursuit[6].

Dendrochronologie appliquée à certaines herbacées (vivaces)

La dendrochronologie a pu montrer qu'un plan d'alchémille des alpes peut au moins vivre jusqu'à 40 ans.

Les herbacĂ©es dicotylĂ©dones peuvent vivre jusqu'Ă  plusieurs dĂ©cennies et leurs racines (ou tiges quand elles sont pĂ©rennes) sont Ă©galement porteuses de cernes de croissance parce que les vaisseaux de sĂšve sont plus Ă©pais au printemps qu’en fin d'Ă©tĂ©[1].

Des essais rĂ©cents rĂ©alisĂ©s dans des champs en Suisse[7] ont montrĂ© qu’il s’agit bien de vĂ©ritables cernes annuels, mĂȘme s'ils sont plus fins que ceux des arbres et plus difficiles Ă  observer car ne mesurant que de 0,04 Ă  0,5 millimĂštre de large. L'Ă©tude[8] par Fritz Schweingruber de sections de racines pivotantes de saxifrages faux aĂŻzoons (Saxifraga aizoides) a permis de trouver des individus de 22 ans[1]. Un Ăąge de 19 ans a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© pour une campanule Ă  feuilles de cranson (Campanula cochleariifolia). Des pieds-de-chat Ă©taient ĂągĂ©s de dix ans (Antennaria dioica) alors que certaines bruyĂšres (Erica carnea) avaient atteint les 70 ans[1].

La dendrochronologie des herbacĂ©es pourra aider Ă  mieux comprendre rĂ©trospectivement la dynamique des populations de communautĂ©s vĂ©gĂ©tales et l'Ăąge de certaines plantes qu'on ignorait jusqu'ici, notamment pour des espĂšces menacĂ©es ou au contraire invasives. Dater l'apparition et l’expansion d’une espĂšce invasive dans diffĂ©rents types d'habitat peut permettre d'affiner des scĂ©narios de progression future.

La largeur des cernes est également un indicateur jugé fiable des conditions locales et temporelles de bonne ou mauvaise croissance de la végétation, les plantes réagissant de maniÚre plus marquée à la plupart des aléas que les arbres dont les racines plongent plus profondément dans le sol[1].

Études sur la dendrochronologie

En France

Pour ĂȘtre vraiment significatif, un prĂ©lĂšvement (par exemple dans une maison en pan de bois ou dans une charpente) doit s’effectuer par lots, en Ă©chantillonnage reprĂ©sentatif. Dans les chĂąteaux, les Ă©glises et autres Ă©difices, les prĂ©lĂšvements de bois sur les poutres des diffĂ©rents ensembles peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©s par carottage de cinq millimĂštres de diamĂštre. Le fait que les laboratoires fournissent un rapport d’analyse dĂ©taillĂ© dans un dĂ©lai de deux Ă  trois mois permet aux gĂ©ologues, prĂ©historiens, historiens, historiens d’art, restaurateurs d’art ou architectes, d’orienter leurs travaux et de rĂ©aliser la mise en valeur des rĂ©sultats dans leur contexte[9].

Depuis 1993, le Centre de recherches sur les monuments historiques[10] mĂšne une politique d’analyses de dendrochronologie pour prĂ©ciser ou confirmer les datations des charpentes, des pans de bois et des menuiseries Ă©tudiĂ©es par le service. Ces analyses ont permis d’établir des jalons chronologiques des mises en Ɠuvre et sont une aide prĂ©cieuse pour dater les Ă©lĂ©ments architecturaux en bois. Analyses de dendrochronologie des charpentes de Chinon (Indre-et-loire), de Puiseaux (Loiret) et de Bourges menĂ©es par le Centre de recherches sur les monuments historiques dans le cadre d’actions de datation des charpentes.

La mission de la recherche et de la technologie[11], en liaison avec les directions patrimoniales du ministĂšre, a pour sa part commandĂ© une Ă©tude sur l’organisation de la dendrochronologie en France et les conditions d’intervention des organismes fournissant des datations par la dendrochronologie aux archĂ©ologues, historiens, chercheurs, architectes, chargĂ©s de la conservation du patrimoine culturel. En effet, un nombre croissant de laboratoires publics et privĂ©s se disputent non sans heurts l’exercice de la dendrochronologie, mĂ©thode de datation spĂ©cifique au bois basĂ©e sur l’analyse comparative des cernes de croissance. Il est Ă  noter que ce sont l’expĂ©rience et la richesse des rĂ©fĂ©rences accumulĂ©es qui sont dĂ©terminantes pour la qualitĂ© de cette mĂ©thode, alors que le matĂ©riel nĂ©cessaire est simple et n’exige pas de lourds investissements. Cette Ă©tude avait pour objectif de comprendre cette situation de concurrence entre ces laboratoires, prĂ©judiciable aux services du ministĂšre, qui en sont les principaux commanditaires. Il s’agissait d’apprĂ©cier et de comparer les performances, au sens le plus Ă©tendu du terme, des laboratoires en France et en Europe ; afin d’évaluer le caractĂšre stratĂ©gique de la dendrochronologie et ses applications notamment en matiĂšre de datation, d’authentification, d’expertise, de conservation et de valorisation du matĂ©riau bois dans le patrimoine culturel ; Ă©galement d’apprĂ©cier la dimension du marchĂ© de la dendrochronologie en France, de prĂ©voir son Ă©volution et les moyens d’y faire face si possible en dĂ©veloppant le recours Ă  des moyens nationaux. Il y a quelques annĂ©es la datation par dendrochronologie n’intĂ©ressait que la recherche archĂ©ologique. Il s’y ajoute aujourd’hui de maniĂšre presque Ă©gale en nombre d’échantillons datĂ©s par an, l’étude du bĂąti (monuments historiques, sites etc) et l'Ă©tude/expertise d'Ɠuvres d'art[12]. La mĂ©thode et ses possibilitĂ©s sont encore mal connues des architectes et le recours Ă  la dendrochronologie lors des Ă©tudes prĂ©alables est encore accessoire[13].

Au Québec

Les longues sĂ©ries dendrochronologiques ayant pu ĂȘtre reconstituĂ©es Ă  ce jour au QuĂ©bec sont principalement constituĂ©es d'Ă©pinette noire Ă  la limite nordique de la forĂȘt borĂ©ale ainsi que de thuya occidental, de pin blanc et de pruche du Canada plus au sud dans les forĂȘts borĂ©ale et tempĂ©rĂ©e.

Plusieurs groupes et associations Ɠuvrent Ă  la construction de longues sĂ©ries dendrochronologiques. À MontrĂ©al, le Groupe de Recherche en Dendrochronologie Historique (GRDH), OSBL basĂ©e Ă  l'UniversitĂ© de MontrĂ©al, a effectuĂ© de nombreuses analyses dendrochronologiques sur des piĂšces de bois provenant de maisons anciennes, de sites archĂ©ologiques et d'arbres vivants. Les travaux du groupe ont menĂ© Ă  la crĂ©ation depuis 2002 de chronologies de rĂ©fĂ©rence pour la ville de QuĂ©bec, l'Île d'OrlĂ©ans, MontrĂ©al ou encore l'Outaouais[14]. À QuĂ©bec, le Centre d'Ă©tudes nordiques a construit plusieurs chronologies, notamment dans la rĂ©gion de QuĂ©bec et dans le Bas-Saint-Laurent. Enfin, plus au nord, le laboratoire de dendroĂ©cologie de la forĂȘt d'enseignement et de recherche du lac Duparquet (FERLD), liĂ©e Ă  l'UniversitĂ© du QuĂ©bec en Abitibi-TĂ©miscamingue, est un acteur incontournable de la dendrochronologie au QuĂ©bec. Cette station de recherche se concentre principalement sur l'Ă©tude de la forĂȘt borĂ©ale.

Références

  1. Page de waldwissen.net relative aux cernes de croissance chez les herbacées
  2. (en) « Biographie d'Edmund Schulman », sur foresthistory.org, (consulté le )
  3. « Le néolithique à Charavines », sur aimebocquet.com (consulté le )
  4. François Djindjian, Manuel d'archéologie, Paris, Armand Colin, , 15 p., Chapitre 6 - La datation absolue, p. 273 - 288
  5. Jean-Luc Dupouey, « Le plus vieil arbre », Revue forestiĂšre française, vol. LXII, no 6,‎ , p. 675
  6. Valerie A. Barber, Glenn Patrick Juday and Bruce P. Finney, 2000, « Reduced growth of Alaskan white spruce in the twentieth century from temperature-induced drought stress », Nature, 405, 668-673.
  7. Les essais en champs ont Ă©tĂ© conduits par Hansjörg Dietz et Georg von Arx de l’Institut de gĂ©obotanique Ă  l’EPF de Zurich
  8. Schweingruber F.H., Poschlod P., 2005: Growth Rings in Herbs and Shrubs: life span, age determination and stem anatomy. For. Snow Landsc. Res. 79, 3: 195-415.
  9. René Dinkel, L'Encyclopédie du patrimoine (Monuments historiques, Patrimoine bùti et naturel - Protection, restauration, réglementation. Doctrines - Techniques : Pratiques), Paris, éditions Les Encyclopédies du patrimoine, , 1512 p. (ISBN 2-911200-00-4)
    Notice : Dendrochronologie p. 653
  10. Collectif, Maisons Ă  pans de bois, Ă©tudes de structures, vol. 6 : XV-XVIe siĂšcles, Normandie – Alsace, Paris, Direction de l’Architecture, MinistĂšre des Affaires Culturelles, Centre de Recherches sur les Monuments Historiques
    Planches D 6160 à 6183 – 6158 à 6159
  11. « ActualitĂ© de la Recherche : Étude sur la dendrochronologie en France », Culture et Recherche, vol. 57,‎ , p. 9 (lire en ligne)
  12. D Pousset, C. Locatellie et A. Heginbotham, « Du dĂ©veloppement de mĂ©thodes non intrusives pour l’étude dendrochronologique du mobilier Ă  l’expertise de cabinets Renaissance », TechnĂš, vol. 29,‎ , p. 31-36 (lire en ligne)
  13. J. Vin, G-N. Lambert, L. Langouet, P. Lanos et C. Oberlin, La datation en Laboratoire, Paris, Ă©d. Errance, , 192 p.
  14. « Réalisations », sur Groupe de Recherche en Dendrochronologie Historique (GRDH) (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Astrade L, Miramont C (2010), Panorama de la dendrochronologie en France. Actes du colloque « Panorama de la dendrochronologie en France », Digne-les-Bains, 8-10 octobre 2009, Coll. Edytem, 216 p.
  • Briand C.H; Brazer S.E; Harter-Dennis J.M (2006), Tree rings and the aging of trees: A controversy in 19th century America. Tree-Ring Res., 62 (2), 51−65.
  • Djindjian F. (2011), « Chapitre 6 - La Chronologie absolue », Manuel d'ArchĂ©ologie, Paris, Armand Colin, « U », p. 273 - 288.
  • Filion L (dir.), Payette S (dir.) (2010), La DendroĂ©cologie. Principes, mĂ©thodes et applications. QuĂ©bec, Presses de l'UniversitĂ© Laval, 772 p.
  • Guibal F (1996), « Remarques sur quelques difficultĂ©s propres Ă  la dendrochronologie en France mĂ©diterranĂ©enne », Revue d'archĂ©omĂ©trie, SupplĂ©ment Colloque d'archĂ©omĂ©trie 1995, PĂ©rigueux, p. 39-43.
  • Kaennel M., Schweingruber F.H. (Compilers) (1995), Multilingual glossary of dendrochronology. Terms and definitions in English, German, French, Spanish, Italian, Portuguese, and Russian. Birmensdorf; Berne, Stuttgart, Vienna, Swiss Federal Institute for Forest, Snow and Landscape Research; Haupt. 467 p. Glossaire en ligne
  • Lavier C, Perrier P, Vincenot S & Lambert G (1988), « Pratique de la dendrochronologie », Histoire et Mesure, III, 3, p. 279-308. Article en ligne
  • Munaut A.V (1979), « La Dendrochronologie », Bulletin de l'Association française pour l'Ă©tude du quaternaire, vol. 16, no 16-1-2, p. 65-74. Article en ligne
  • Lebourgeois F, Merian P (2012), Principes et mĂ©thodes de la dendrochronologie. Nancy, UMR INRA-ENGREF 1092, Laboratoire d'Étude des Ressources FOrĂȘt-Bois. Manuel en ligne
  • Schweingruber F.H (1996), Tree Rings and Environment: Dendroecology; Swiss Federal Institute for Forest, Snow and Landscape Research and Paul Haupt Verlag.: Bern, Switzerland.
  • Smith K.T (2008), An organismal view of dendrochronology. Dendrochronologia, 26 (3), 185−193.
  • Georges Servant, Christian Orcel, Jean-Olivier Guilhot et Christian Dormoy, « Le donjon d’Esplantas par la dendrochronologie », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,‎

Revues scientifiques

  • Tree-Ring Research (anciennement Tree-Ring Bulletin)
  • Dendrochronologia

Articles connexes

Liens externes

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