Couffé
Couffé est une commune française de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Avant la Révolution française, c'était une paroisse bretonne, située dans le Pays nantais, un des pays historiques de Bretagne.
Couffé | |||||
L'église Saint-Pierre. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays d'Ancenis | ||||
Maire Mandat |
Daniel Pageau 2020-2026 |
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Code postal | 44521 | ||||
Code commune | 44048 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 541 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 64 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 31″ nord, 1° 17′ 29″ ouest | ||||
Altitude | Min. 7 m Max. 73 m |
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Superficie | 39,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nantes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ancenis | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.couffe.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés Coufféens et Coufféennes.
Géographie
Situation
Couffé est située à 9 km au nord-ouest d'Ancenis (commune nouvelle d'Ancenis-Saint-Géréon) et 35 km au nord-est de Nantes.
Géographie physique
Situé sur les sols acides du massif armoricain, Couffé possède des paysages de bocage (bocage de chêne pédonculé et de frêne, essentiellement) dont les principaux reliefs sont dus à la vallée du Hâvre et à ses affluents : le Donneau, affluent principal qui prend sa source au nord-est de Pannecé et traverse Teillé avant de rejoindre Couffé ; la Beusse, plus réduite et qui prend sa source à Mésanger à l'est ; ces deux cours d'eau se rejoignent dans le bourg de Couffé pour former le Hâvre ; la Loge au Moine et sa vallée encaissée qui rejoint le Hâvre par l'ouest, juste avant la commune d'Oudon.
Cette vallée encaissée offre des paysages préservées et une mosaïque d'habitats (boisements, coteaux secs, prairies inondables et autres milieux humides) qui abritent une grande richesse floristique et faunistique. La vallée du Hâvre est d'ailleurs reconnue comme une zone naturelle d'intérêt écologique et floristique et est intégrée dans le périmètre Natura 2000 de la Loire et de ses vallées annexes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ancenis », sur la commune d'Ancenis-Saint-Géréon, mise en service en 1964[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 781,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Couffé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
Morphologie urbaine
La commune est composée d'un bourg principal et d'autres lieux-dits, hameaux et écarts listés ci-dessous[19] :
- Bas Mauregard
- Bel-Air
- Bottereau
- Bougon
- Charbonneau
- Château de la Ville Jégu
- Haut Mauregard
- Ker Esther
- l'Aubrière
- l'Ousselière
- la Basse Poussaudière
- la Belorderie
- la Bénerie
- la Bézinière
- la Bigotière
- la Bitière
- la Boissenotière
- la Bourgonnière
- la Brosse
- la Butte
- la Chapellerie
- la Chaufferie
- la Chevalerie
- la Contrie
- la Coudraie
- la Coutume
- la Cribotière
- la Croix
- la Daudinière
- la Dorée
- la Favrie
- la Forge
- la Fournerie
- la Gallière
- la Galotinière
- la Gaubergère
- la Gazillardière
- la Gerbauderie
- la Grande Corbière
- la Gravelle
- la Grée
- la Gruère
- la Guillardière
- la Guinière
- la Haie Moreau
- la Hardetenière
- la Haute Poussaudière
- la Jounière
- la Lande
- la Landrouillère
- la Marière
- la Meslière
- la Métellerie
- la Monie
- la Noue
- la Pauvardière
- la Pérauderie
- la Pichaudière
- la Pinetière
- la Ramée
- la Renaudière
- la Richevardière
- la Rillouse
- la Rinière
- la Rivière
- la Roche
- la Roseraie
- la Rougeaudière
- la Route des Crêtes
- la Simonetière
- la Simonière
- la Taunière
- la Tessaudière
- la Tonduère
- la Tonneries
- la Tricotière
- la Veillarderie
- la Verdière
- la Véronnière
- Launay
- le Bas Cuette
- le Bas Vieux Couffé
- le Bois Brillant
- le Bois Brûlé
- le Bois de la Motte
- le Châtelier
- le Chêne Pierre
- le Chêne Tiennot
- le Haut Cuette
- le Haut Vieux Couffé
- le Jarrier
- le Moulin de la Tessaudière
- le Moulin de Saint-Philbert
- le Moulin du Pas
- le Pas
- le Rondier
- le Vigneau
- les Bernardières
- les Brousses
- les Champs Amelin
- les Chesneaux
- les Haies
- les Landreaux
- les Mazeries
- les Noues
- les Plantes
- les Sables
- les Thivières
- Moulin des Rochettes
- Saint-Joseph
- Saint-Philbert
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), prairies (22 %), forêts (3,2 %), zones urbanisées (2,3 %), cultures permanentes (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Coffe en 1287[22].
Campbon possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Cófaé selon l'écriture ELG[23], ou Coufë selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [kufə][24]. La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Koufeg[22].
Histoire
Antiquité
Durant l’Antiquité , une voie romaine reliant Nantes à Angers passait par Couffé : « elle servait probablement de limite entre Couffé et Oudon. » Et d’ailleurs, au XVIIIe siècle, un berger à découvert dans un terrier, six jarres et une poterie qui contenaient quelques pièces de monnaie en argent et en bronze datant du IIIe siècle.
Moyen Âge et XVIe siècle
La première église a été construite, au VIe siècle au lieu-dit « la cure », bourg de l’époque entre le port Rayon, et le Vieux Couffé. L’église, dédiée a saint Pierre, et saint Paul s’appellera Saint-Pierre de Couffé. Et au XVIe siècle, les châtelains de la Roche, et de La Contrie décidèrent de déplacer le bourg et l’église entre les deux propriétés : c’est ainsi que naquit le bourg actuel de Couffé
La chapelle Saint-Symphorien est l'une des plus anciennes constructions de la commune datant du XVe siècle. Elle avait été construite par des moines pour une communauté de lépreux. Elle possède un chevet plat qui date du Xe siècle.
XIXe et XXe siècles
C’est Mme Mathilde de Yrigoyen, qui, la première, importa les premiers appareils, photographie, téléphone, et automobile au sein du village de Couffé, au début du XXe siècle. L’inauguration de l’éclairage électrique à la mairie, sur la voie publique, et dans certaines maisons a eu lieu le , au cours de la remise des prix du Comice Agricole Cantonal
En 1944, l'équipe de football est encadrée par l'abbé Tourneux. Dans les années 1970, M. Bernard de la Rochemacé est à l'origine de la mise en place d'un stade sportif.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee, Couffé fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie d'Ancenis. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[31]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 92 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 8 % dans des zones « très peu denses »[32].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2020, la commune comptait 2 541 habitants[Note 10], en augmentation de 3,5 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,0 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 310 hommes pour 1 246 femmes, soit un taux de 51,25 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le passage à gué du Pont Noyer
- L'église Saint-Pierre, peintures murales d'Albert Lemasson et de son frère Paul en 1925
- La chapelle Saint-Symphorien
- Le pont de la Gravelle
- La Roche
- Le rocher des Mainsberthes
- Château de la Villejégu
- Château de la Contrie
- Château de la Roche
- Château de Bougon
- Domaine de la Loge aux Moines
- 7 Moulins
- Château de la Contrie
- Statue de François-Athanase Charette de la Contrie.
- Grotte de Lourdes au château de la Villejégu.
Héraldique
Blasonnement :
Taillé de sinople à une couffe d'or et de gueules à deux clefs d'or passées en sautoir, une divise en barre ondée d'argent brochant sur la partition ; au chef cousu d'azur à la croix cannelée d'argent.
Commentaires : Armes parlantes (la couffe, panier de pêcheur, rappelle le nom de la ville). Blason conçu par Olivier Cruau. |
Personnalités liées à la commune
- le généralissime de l'armée catholique et royale François-Athanase Charette de La Contrie (1763-1796) ;
- Amy Brown (1783-1876), mère de deux filles naturelles de Charles Ferdinand d'Artois, morte au château de La Contrie
- Charles Athanase Marie de Charette de La Contrie (1796-1848), neveu du général breton et gendre d'Amy Brown, officier de cavalerie, pair de France
- Athanase Charles Marie de Charette de La Contrie (1832-1911), fils du pair de France, zouave pontifical
- la comtesse Mathilde de Yrigoyen (1902-1920).
- François-Athanase Charette de La Contrie (1763-1796)
- Les frères Charette de La Contrie, zouaves pontificaux
Voir aussi
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Réélu en 1959 et 1965.
- Réélu en 1977.
- Réélu en 1995 et 2001.
- Réélu en 2008.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Ancenis - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Couffé et Ancenis-Saint-Géréon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ancenis - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Couffé et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Couffé(44) », sur Géoportail (consulté le )
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
- « Un nouveau maire : M. Bernard Quignon », Ouest-France,‎ .
- « Louis Colas démissionne de son poste de maire », Ouest-France,‎ .
- « Couffé. Maire de 1989 à 2007, Louis Colas s’est éteint », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
- « Fernand Pageau, nouveau maire de la commune », Ouest-France,‎ .
- « Municipales à Couffé. Le maire Daniel Pageau et ses adjoints élus », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
- « Municipales. Couffé. Daniel Pageau conduira une liste aux municipales de 2020 », Ouest-France,‎ .
- « Commune de Couffé (44048) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Couffé (44048) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).