Accueil🇫🇷Chercher

Convention pour une alternative progressiste

La Convention pour une alternative progressiste (CAP) est une petite organisation politique française fondée en 1994 et dissoute en 2009.

Convention pour une alternative progressiste
Image illustrative de l’article Convention pour une alternative progressiste
Logotype officiel.
Présentation
Leader Jean-Pierre Brard
Fondation 1994
Disparition 2009
Positionnement Gauche[1] Ă  extrĂŞme gauche[1]
Idéologie Socialisme[1]
Progressisme
Communisme
Couleurs rouge

Créée en 1994 par le rassemblement de quelques personnalités et militants issus de différentes organisations, principalement du Parti communiste français (notamment les refondateurs Charles Fiterman, Marcel Rigout, Jean-Pierre Brard le rénovateur Gilbert Wasserman), mais aussi du Parti socialiste, du Mouvement des citoyens de Jean-Pierre Chevènement, de la Ligue communiste révolutionnaire ; elle était présente dans quelques régions.

Aujourd'hui, deux mouvements issus de la CAP sont toujours actifs : Alternative démocratie socialisme dans la Haute-Vienne et Gauche citoyenne dans le Val-de-Marne.

Histoire

Origines

Au début des années 1980, le Parti communiste français voit sont influence à gauche diminuée au profit du Parti socialiste (15,35 % à l'élection présidentielle de 1981 et 11,20 % aux européennes de 1984). Cependant, Georges Marchais refuse de remettre la ligne du parti en question et continue de soutenir officiellement le régime soviétique.

À partir du 25e congrès de 1985, une opposition interne se forme autour de Pierre Juquin, Marcel Rigout, Félix Damette ou bien Gilbert Wasserman et regroupe des dirigeants du comité central, des députés et des maires de grandes villes.

Trois courants vont se former autour de ces personnalités et seront à l'origine de la Convention pour une alternative progressiste : les « rénovateurs », les « reconstructeurs » et les « refondateurs ».

Communistes rénovateurs

Pierre Juquin.

Cette opposition commence à se structurer en 1987 avec la création du Collectif de coordination des Rénovateurs communistes par Gilbert Wasserman. Ce collectif soutient la candidature de Pierre Juquin (exclu du PCF) lors de l'élection présidentielle de 1988 contre celle d'André Lajoinie, désigné par le parti. Cette candidature dissidente rassemble le soutien de plusieurs mouvements de gauche et d'extrême-gauche :

Au premier tour de l'élection présidentielle, Pierre Juquin n'obtient que 2,10 % contre 6,76 % pour André Lajoinie.

Désormais exclus du PCF, les membres du Collectif de coordination des Rénovateurs communistes fondent le Mouvement des rénovateurs communistes (MRC), en novembre 1988.

Cependant, une minorité participe à la création de la Nouvelle gauche pour le socialisme, l'écologie et l'autogestion qui rassemble les anciens comités de soutien de Pierre Juquin, la FGA et le PAC. Cette Nouvelle gauche fusionnera en 1989 avec la majorité du PSU pour former l'Alternative rouge et verte.

Aux élections européennes de 1989, le MRC présente la liste Europe rénovateurs menée par Claude Llabres, qui n'obtient que 0,41 % des voix.

Communistes reconstructeurs

À la suite du mauvais résultat d'André Lajoinie à l'élection présidentielle de 1988, les opposants de Georges Marchais souhaitent changer la ligne politique du PCF avec « un fonctionnement nouveau, pour un centralisme démocratique digne de ce nom ». Claude Poperen et Marcel Rigout, notamment, créent ainsi Initiative pour la reconstruction communiste en mai 1988.

Pour les municipales de 1989, plusieurs maires sortants « communistes reconstructeurs » ne sont pas investis par le PCF (Gaston Viens à Orly et Robert Jarry au Mans) ; réélus contre des listes communistes, ils sont exclus du parti.

Cette discipline autoritaire envers l'opposition interne, poussera les Reconstructeurs Ă  quitter le PCF au sein de l'Association de recherches et d'initiatives pour l'autogestion et le socialisme (ARIAS).

Plusieurs mouvements post-communistes à rayonnement local, voient le jour durant cette même période comme le Mouvement de la gauche progressiste dans la Sarthe ou Initiative démocratique de gauche dans l'Aisne.

En 1991, au moment de la dislocation de l'URSS, les reconstructeurs de l'ARIAS et les rénovateurs du MRC fusionnent pour former Alternative pour la démocratie et le socialisme. Ce nouveau parti, participe aux élections régionales de 1992 où il obtient 4 élus : Marcel Rigout, Jacques Jouve et André Leycure (liste ADS - 7,44 %) dans le Limousin ; Martial Bourquin (liste commune ADS-AREV - 6,30 %) en Franche-Comté.

Communistes refondateurs

Encore membres du PCF, les anciens ministres Anicet Le Pors et Charles Fiterman fondent en 1990 le courant Refondation afin de « refonder une identité communiste moderne et pour une entente démocratique des forces de progrès ». De même, Guy Hermier, Jack Ralite et Patrick Braouezec créent le courant Futurs, prônant une alliance de la gauche non socialiste (PCF, mouvements alternatifs ou sociaux et écologistes) autour d'un « pôle de radicalité ».

Lors des élections européennes de 1994, Anicet Le Pors participe à la liste « L'autre politique » de Jean-Pierre Chevènement (MDC), qui rassemble des personnalités du Parti socialiste, féministes, radicaux et gaullistes opposés au Traité de Maastricht. Cette liste obtiendra 2,54 % (contre 6,89 % pour la liste PCF).

Une partie de ces Refondateurs resteront membres du PCF au sein de l'Association des communistes unitaires, surtout implantée en Seine-Saint-Denis et animée par Pierre Zarka et Patrick Braouezec. Ils quitteront à leur tour le parti en 2010, pour rejoindre la FASE.

Création de la CAP

Les 15 et 16 octobre 1994, la Convention pour une alternative progressiste est créée et rassemble des personnalités et militants issus de différentes organisations de gauche post-communiste et d'extrême-gauche :

Gilbert Wasserman (ADS) est élu coordinateur national, Thérèse Rabatel (Refondation) et Bernard Ravenel (ex-PSU) porte-paroles et Roland Mérieux, trésorier.

Dès l'origine, la CAP se divise rapidement en deux grandes tendances :

  • une veut faire de la CAP le creuset du rassemblement de la « gauche de la gauche » et entend conserver un statut de confĂ©dĂ©ration de forces disparates ;
  • l'autre s'inscrit au contraire au cĹ“ur de la gauche parlementaire de gouvernement, et cherche Ă  construire « la synthèse du meilleur de la gauche avec le meilleur de l'Ă©cologie » dans un parti de type nouveau.

Rapprochement avec les Ă©cologistes

Lors de l'élection présidentielle de 1995, la CAP décide de soutenir la candidature de Dominique Voynet (Les Verts) qui reçoit le soutien d'autres organisations écologistes et de la gauche alternative : Alternative rouge et verte, Écologie autrement (dissidents de Génération écologie) et Écologie et fraternité (courant de GÉ de Yves Piétrasanta). Les jeunes de la CAP et des Verts étaient d'ailleurs regroupés dans le même mouvement de jeunesse appelé Chiche!.

Ce soutien à la candidate écologiste a mené à quelques dissensions au sein de la CAP. Tandis que la LCR se retire du mouvement, Guy Hermier et son courant Futurs décide de rester au PCF. Dominique Voynet obtiendra 3,32 % au 1er tour de l'élection présidentielle.

En 1996, Charles Fiterman participe au nom de la CAP aux Journées d'été des Verts, où est lancé le processus de la « gauche plurielle », aux côtés de Dominique Voynet, Lionel Jospin et Robert Hue.

En 1997, la CAP participe aux élections législatives de 1997, et obtient des scores modestes ; seul Jean-Pierre Brard, apparenté communiste, est réélu député sous sa nouvelle étiquette dans une circonscription historiquement communiste.

Aux élections régionales de 1998, la CAP obtient 4 élus : Jacques Jouve (ADS), Michel Fourgeaud (ADS) sur la liste de la Gauche plurielle dans le Limousin ; Martial Bourquin sur la liste de la Gauche plurielle en Franche-Comté ; Gilles Meurice (Mouvement Rouge et Vert) sur liste Tous ensemble À Gauche (LCR-CAP) en Bretagne.

Éparpillement et maintien

En 1998, le parti qui n'a pas atteint une masse critique se vide de ses militants qui rejoignent des partis plus susceptibles de gagner des Ă©lections (comme Charles Fiterman qui rejoint le PS) :

  • Une partie importante des militants de la CAP rejoint Les Verts, en mĂŞme temps que le mouvement Convergences Ă©cologie solidaritĂ© de NoĂ«l Mamère.
  • Une minoritĂ© de la CAP, animĂ©e par Roland MĂ©rieux, participe Ă  la formation des Alternatifs avec les militants de l'Alternative rouge et verte qui n'ont pas rejoint Les Verts.
  • Gilbert Wasserman continue Ă  animer la revue de la CAP Confluences tout en lançant la revue Mouvements.

Après quatre années d'existence, la CAP a perdu sa dynamique nationale et ne persistera que par ses antennes locales. Elle est présente dans plusieurs régions françaises, essentiellement dans la Haute-Vienne et dans le Val-de-Marne où le parti possède quelques élus locaux. Après les élections régionales de 2004 et municipales de 2008, la CAP compte 6 maires (Orly, Arcueil, Saint-Junien, Veyrac, Arnac-la-Poste, Champsac), 2 conseillers régionaux (en Limousin[2] et en Île-de-France[3]), 7 conseillers généraux et de nombreux conseillers municipaux.

Logo de la FASE.

En 2008 plusieurs mouvements issus de la CAP se sont retrouvés au sein de la Fédération pour une alternative sociale et écologique, aux côtés de l'Association des communistes unitaires (Patrick Braouezec, Jacqueline Fraysse ou François Asensi) et d'élus de la gauche citoyenne (Patrick Jarry, Clémentine Autain ou Claire Villiers). Cette fédération reprend les principes de la CAP, de regrouper toute la « gauche alternative » en dépassant le clivage des partis.

Le 26 mars 2009, le parti est déclaré dissout au JO Associations[1].

Lors des élections législatives de juin 2012, Jean-Pierre Brard, seul député venant de la CAP, perd son siège.

En 2013, la FASE fusionnera au sein du Front de gauche, avec Les Alternatifs et des mouvements issus du NPA (Gauche anticapitaliste et Convergences et alternative) pour former Ensemble !.

HĂ©ritage de la CAP

Alternative démocratie socialisme

Logo de ADS.

Malgré la dissolution de la CAP en 2009, Alternative démocratie socialisme de Marcel Rigout est restée bien implantée dans le Haute-Vienne. D'abord proche du PS (comme à Limoges ou au conseil régional), ADS s'est rapprochée du PCF et du Front de gauche à la fin des années 2000.

Lors des élections européennes de juin 2009, ADS participe au Front de gauche et obtient la deuxième place de la liste dans la circonscription Auvergne-Centre-Limousin. Son représentant sur cette liste est Patrick Charles, adjoint au maire de Limoges[4].

Pour les régionales de 2010, le mouvement décide de repartir avec le PS (2 élus ADS siègent avec les socialistes au conseil régional du Limousin). À l'issue des élections, Bernard Beaubreuil est élu.

En 2011, le mouvement avait encore 6 conseillers généraux formant un groupe commun avec les 5 élus communistes. Mais le redécoupage des cantons de 2015 et le vieillissement de ses représentants ont mené à une baisse de son influence dans les années 2010.

À la suite du redécoupage des régions, ADS présente deux candidats (Annie Dardilhac et Hervé Beaudet) sur la liste du Front de gauche aux régionales de 2015 en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes. Si elle a eu un assez bon résultat en Haute-Vienne (7,87 %), cette liste n'obtient au niveau régional que 4,85 % et ne peut donc pas fusionner avec la liste socialiste pour le 2e tour. Le mouvement n'est alors plus représenté au conseil régional.

Pierre Allard, conseiller départemental et maire de Saint-Junien (président actuel d'ADS), s'est présenté aux élections législatives de 2017, soutenu par le PCF, où il a obtenu 12,24 % au 1er tour et 45,41 % au 2e tour face à Jean-Baptiste Djebbari (LREM).

Gauche citoyenne

Logo de la Gauche citoyenne.

En 2009, des élus du Val-de-Marne issus de la CAP créent la Gauche citoyenne du Val-de-Marne qui regroupe plusieurs associations politiques, principalement implantées dans les communes ouest du département. À sa création, le mouvement est représenté par 4 élus au conseil général : Daniel Breuiller (CAP) à Arcueil, Christine Janodet (CAP) à Orly, Jacques Perreux (ex-PCF) à Vitry-sur-Seine et Joseph Rossignol (PG) à Boissy-Saint-Léger.

Alors qu'en Haute-Vienne ADS s'est rapprochée des communistes, la Gauche citoyenne se tourne plutôt vers les écologistes et leur nouveau mouvement, Europe Écologie Les Verts. Plusieurs membres de GC comme les conseillers généraux Daniel Breuiller et Jacques Perreux, y adhèrent en 2009 tout en restant membre de la Gauche citoyenne.

Après avoir été candidate sur la liste de Daniel Cohn-Bendit aux élections européennes de 2009, Françoise Diehlmann est élue en 2010 conseillère régionale d’Île-de-France sur la liste Europe Écologie et siège dans le groupe écologiste. Elle se représenta en 2015 sur la liste EELV d'Emmanuelle Cosse en position non-éligible.

D'autres mouvements éponymes existent dans l'ancienne ceinture rouge, créés par des élus ayant quitté le PCF dans les années 2000 comme le Mouvement de la gauche citoyenne de Seine-Saint-Denis[5] à Romainville, le Rassemblement de la gauche citoyenne[6] à Montreuil ou la Gauche citoyenne de Nanterre[7] créée par Patrick Jarry en 2010 et dissoute le 6 février 2021.

Gauche alternative Ă©cologique et citoyenne

À l'occasion des élections municipales de 1995, des élus proches de la CAP et de l'AREV forment à Lyon et dans son agglomération le groupe Gauche alternative écologique et citoyenne (GAEC). Ils comptent alors 12 élus et 4 conseillers municipaux à Lyon. Le groupe de la communauté urbaine comprend également Maurice Charrier, maire de Vaulx-en-Velin[8]. Le groupe se situe dans la majorité municipale à la suite de la victoire de Gérard Collomb en 2001 ; il est notamment représenté par les élus Yves Fournel et Thérèse Rabatel.

Les élus du GAEC appellent à voter José Bové aux élections présidentielles de 2007[9] puis Jean-Luc Mélenchon aux présidentielles de 2012[10].

Lors des élections municipales de 2014, le groupe fusionne avec d'anciens élus communistes favorables à l'alliance avec Gérard Collomb dès le premier tour et créent le groupe Lyon Gauche Solidaires[11]. Cependant, il s'oppose à l'alliance de Gérard Collomb avec Les Républicains lors des élections municipales de 2020, et ne comptent plus aucun élu à la suite de ces élections[12].

Élus

Conseillers régionaux

ÉlectionsRégionsÉlusÉtiquetteListe
1992LimousinMarcel RigoutADSAlternative démocratie socialisme
Jacques JouveADS
André LeycureADS
Franche-ComtéMartial BourquinADSADS - AREV
1998BretagneGilles MeuriceCAP (MRV)Tous ensemble Ă  Gauche (LCR - ADS)
LimousinJacques JouveCAP (ADS)Gauche plurielle
André LeycureCAP (ADS)
Franche-ComtéMartial BourquinCAP (ADS)Gauche plurielle
2004LimousinJacqueline Lhomme-LĂ©omentCAP (ADS)Union de la gauche
Michel FourgeaudCAP (ADS)
2010Île-de-FranceFrançoise DiehlmannEÉ-GCEurope Écologie - Les Verts
LimousinBernard BeaubreuilADSUnion de la gauche

Conseillers généraux / départementaux

ÉlectionsDépartementsCantonsÉlusÉtiquetteGroupes politiques
1994Haute-VienneEymoutiersAndré LeycureADSCommuniste - ADS
Magnac-LavalMichel PonchutADS
Oradour-sur-VayresGuy BaudrierADS
Saint-Junien-EstRoland MazoinADS
Saint-Junien-OuestAndré DemeryADS
Saint-MathieuMarcel DarcyADS
Val-de-MarneArcueilMarcel TrigonADSCommuniste
OrlyGaston ViensADS
1998Haute-VienneEymoutiersMichel PonchutCAP (ADS)Communiste - ADS
Magnac-LavalMichel PonchutCAP (ADS)
Oradour-sur-VayresGuy BaudrierCAP (ADS)
Saint-Junien-EstRoland MazoinCAP (ADS)
Saint-Junien-OuestAndré DemeryCAP (ADS)
Saint-MathieuMarcel DarcyCAP (ADS)
Saint-Sulpice-les-FeuillesJean-Pierre DrieuxCAP (ADS)
Val-de-MarneArcueilMarcel TrigonCAPCommuniste
OrlyGaston ViensCAP
2001Haute-VienneEymoutiersMichel PonchutCAP (ADS)Communiste - ADS
Magnac-LavalMichel PonchutCAP (ADS)
Oradour-sur-VayresGuy BaudrierCAP (ADS)
Saint-Junien-EstRoland MazoinCAP (ADS)
Saint-Junien-OuestPierre AllardCAP (ADS)
Saint-MathieuClaude PauliatCAP (ADS)
Saint-Sulpice-les-FeuillesJean-Pierre DrieuxCAP (ADS)
Val-de-MarneArcueilMarcel TrigonCAPCommuniste
2004Haute-VienneEymoutiersMichel PonchutCAP (ADS)Communiste - ADS
Magnac-LavalMichel PonchutCAP (ADS)
Oradour-sur-VayresGuy BaudrierCAP (ADS)
Saint-Junien-OuestPierre AllardCAP (ADS)
Saint-MathieuClaude PauliatCAP (ADS)
Saint-Sulpice-les-FeuillesJean-Pierre DrieuxCAP (ADS)
Val-de-MarneArcueilDaniel BreuillerCAPCommuniste
2008Haute-VienneChâteauneuf-la-ForêtThierry LafargeADSCommuniste - ADS
EymoutiersMichel PonchutADS
Magnac-LavalJean-Claude FauvetADS
Oradour-sur-VayresGuy BaudrierADS
Saint-Junien-OuestPierre AllardADS
Saint-MathieuClaude PauliatADS
Saint-Sulpice-les-FeuillesJean-Pierre DrieuxADS
Val-de-MarneArcueilDaniel BreuillerGCGauche citoyenne
Boissy-Saint-LĂ©gerJoseph RossignolPG-GC
OrlyChristine JanodetGC
Vitry-sur-Seine-OuestJacques PerreuxGC
2011Haute-VienneChâteauneuf-la-ForêtThierry LafargeADSADS - Terre de Gauche
EymoutiersMichel PonchutADS
Oradour-sur-VayresGuy BaudrierADS
Saint-Junien-OuestPierre AllardADS
Saint-MathieuClaude PauliatADS
Saint-Sulpice-les-FeuillesJean-Pierre DrieuxADS
Val-de-MarneArcueilDaniel BreuillerEELV-GCGauche citoyenne - Europe Écologie Les Verts
Boissy-Saint-LĂ©gerJoseph RossignolPG-GC
OrlyChristine JanodetGC
Vitry-sur-Seine-OuestJacques PerreuxEELV-GC
2015Haute-VienneEymoutiersThierry LafargeADSADS/PC
Jacqueline Lhomme-LĂ©omentADS
Saint-JunienPierre AllardADS
Val-de-MarneArcueilDaniel Breuiller (2015-2015)EELV-GCGauche citoyenne - Europe Écologie Les Verts
OrlyChristine JanodetGC

Maires

ÉlectionsDépartementsCommunesÉlusÉtiquette
1995Haute-VienneArnac-la-PosteJean-Pierre DrieuxCAP (ADS)
ChampsacGuy BaudrierCAP (ADS)
La Chapelle-MontbrandeixMarcel DarcyCAP (ADS)
Saint-JunienRoland MazoinCAP (ADS)
Saint-Maurice-les-BroussesGeorges DargentolleCAP (ADS)
Seine-Saint-DenisMontreuilJean-Pierre BrardCAP
Val-de-MarneArcueilMarcel TrigonCAP
OrlyGaston ViensCAP
2001Haute-VienneArnac-la-PosteJean-Pierre DrieuxCAP (ADS)
ChampsacGuy BaudrierCAP (ADS)
La Chapelle-MontbrandeixMarcel DarcyCAP (ADS)
Saint-JunienPierre AllardCAP (ADS)
Saint-Maurice-les-BroussesGeorges DargentolleCAP (ADS)
Seine-Saint-DenisMontreuilJean-Pierre BrardCAP
Val-de-MarneArcueilDaniel BreuillerCAP
OrlyGaston ViensCAP
2008Haute-VienneArnac-la-PosteJean-Pierre DrieuxADS
ChampsacGuy BaudrierADS
JaverdatAnnie DardilhacADS
Saint-JunienPierre AllardADS
Saint-Maurice-les-BroussesGeorges DargentolleADS
Val-de-MarneArcueilDaniel BreuillerGC
Limeil-BrévannesJoseph RossignolPG-GC
OrlyGaston Viens (2008-2009)
Christine Janodet (2009-2014)
CAP
GC
2014Haute-VienneChampsacGuy BaudrierADS
JaverdatAnnie DardilhacADS
Saint-JunienPierre AllardADS
Saint-Maurice-les-BroussesGeorges DargentolleADS
Val-de-MarneArcueilDaniel Breuiller (2014-2015)EELV-GC
OrlyChristine JanodetGC

Notes et références

  1. Laurent de Boissieu, « Convention pour une Alternative Progressiste (CAP) », France Politique,‎ (lire en ligne).
  2. Jacqueline Lhomme-Leomment, Ă©lue de Haute-Vienne sur la liste PS.
  3. Françoise Diehlmann, conseillère régionale d'Île-de-France (Hauts-de-Seine), élue en mars 2010 sur les listes Europe Écologie Les Verts.
  4. « Patrick Charles en seconde position sur la liste du Front de Gauche », ADS Infos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Blog du Mouvement de la gauche citoyenne de Saine-Saint-Denis.
  6. Blog du Rassemblement de la gauche citoyenne.
  7. Site internet de la Gauche citoyenne de Nanterre.
  8. « Rhône-Alpes. Le maire de Vaulx-en-Velin abandonne son siège en avril 2009 », sur La Gazette des Communes (consulté le ).
  9. Raphaël Ruffier-Fossoul, « Ils roulent pour Bové », sur lyoncapitale.fr, (consulté le ).
  10. « 1er tour présidentielles 2012, la réaction du GAEC Lyon (Gauche Alternative) », sur lyftvnews.com (consulté le ).
  11. Fabien Fournier, « Les communistes pro-Collomb s'unissent au Gaec », sur lyoncapitale.fr, (consulté le ).
  12. « Lyon : quatre adjoints de Gérard Collomb démissionnent après son alliance avec Les Républicains », sur BFMTV (consulté le ).

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.