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Colonne de Juillet

La colonne de Juillet est une colonne élevée sur la place de la Bastille à Paris, entre 1835 et 1840 en commémoration des trois journées de la révolution de Juillet survenue en 1830, dite Les Trois Glorieuses, qui amenÚrent la chute de Charles X et du régime de la restauration, puis l'instauration de la monarchie de juillet, avec le rÚgne de Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, devenu roi des Français.

Colonne de Juillet
(Place de la Bastille)
Colonne de Juillet sur la place de la Bastille.
Présentation
Type
Destination initiale
Commémoration de la révolution de Juillet
Architecte
Construction
1835-1840
Hauteur
50,52 m
Patrimonialité
Site web
Localisation
Pays
RĂ©gion
Commune
Adresse
Coordonnées
48° 51â€Č 11″ N, 2° 22â€Č 09″ E
Carte

Sur une plaque, au bas de la colonne, il est Ă©crit :

« À la gloire des citoyens français qui s'armĂšrent et combattirent pour la dĂ©fense des libertĂ©s publiques dans les mĂ©morables journĂ©es des 27, 28, 29 juillet 1830. »

Le fût de la colonne porte le nom des victimes des journées révolutionnaires de juillet 1830 et le sommet est orné d'une sculpture en bronze doré d'Auguste Dumont : Le Génie de la Liberté. Enfin, la colonne est construite au-dessus d'une nécropole accueillant les corps de révolutionnaires tombés pendant les journées de juillet.

Les monuments prédécesseurs

La Guillotine de l'an II

En prairial de l'an II, pendant la Grande Terreur, la guillotine quitte la place de la RĂ©volution (place de la Concorde) pour s'installer sur le terrain en friche de la Bastille. Les habitants protestĂšrent et celle-ci ne put fonctionner que trois jours et faire tout de mĂȘme 75 victimes, avant d'ĂȘtre installĂ©e place du TrĂŽne-RenversĂ© (place de la Nation).

La Fontaine de la Régénération

La fontaine.

DĂšs le , il est dĂ©cidĂ© que l’emplacement de la Bastille formerait une place dite « de la LibertĂ© » et qu’une colonne y serait Ă©levĂ©e, mais on y installa d'abord la Fontaine de la RĂ©gĂ©nĂ©ration pour le , elle Ă©tait au cƓur de la fĂȘte de l'UnitĂ© et de l'IndivisibilitĂ© de la RĂ©publique. Cette fĂȘte rĂ©volutionnaire organisĂ©e par Jacques Louis David et conçue par HĂ©rault de SĂ©chelles, fut la plus importante des cĂ©rĂ©monies rĂ©volutionnaires. Un budget de deux millions lui fut allouĂ© par la Convention. Le parcours prĂ©vu pour le cortĂšge avait cinq « stations » symboliques de la RĂ©volution : du Champ de Mars Ă  la Bastille en passant par la place de la Concorde.

La fontaine commémorait la prise des Tuileries de 1792. Cette fontaine de style égyptien était une allégorie de la Nation, dont l'eau sortait des mamelles en deux jets recueillis dans un bassin. Elle fut attribuée au peintre et sculpteur néo classique Jacques-Louis David[1].

L'éléphant de Napoléon

L'éléphant.

Sous l'Empire, on projeta d'agrĂ©menter la place d'une grande fontaine, alimentĂ©e par le canal de l'Ourcq au cƓur des grands travaux entrepris alors pour alimenter Paris en eau potable. On imagina alors au-dessus de la fontaine une sculpture d'Ă©lĂ©phant militaire Ă  l'antique en bronze. L'Ă©lĂ©phant devait mesurer 16 mĂštres de long, 15 mĂštres de haut (24 mĂštres sur le socle de la fontaine). La premiĂšre pierre du socle fut posĂ©e le , par le ministre de l'intĂ©rieur, pour cĂ©lĂ©brer le quatriĂšme anniversaire du sacre de NapolĂ©on Ier. Un escalier en vis devait permettre de remonter Ă  l'intĂ©rieur de l'animal pour accĂ©der Ă  une plateforme d'observation amĂ©nagĂ©e en haut de sa tour. Jean-Antoine Alavoine reprit le travail de l'architecte Jacques Cellerier et planta le soubassement de la fontaine, qui est la base actuelle de la Colonne de Juillet. Il dressa au sud de la place une maquette grandeur nature, en bois et en plĂątre, qui subsista jusqu'en 1846.

Histoire de la Colonne

La colonne des Trois Glorieuses

La construction de la colonne en 1837.
Inauguration de la colonne en 1840.
Autre image de l'inauguration.

Une ordonnance royale, du , a prescrit l'érection d'un monument funéraire en l'honneur des victimes des trois journées. Le , Louis-Philippe posa la premiÚre pierre de la Colonne, en l'honneur des Trois Glorieuses.

Inspirée par la colonne Trajane de Rome, elle fut dessinée par l'architecte Jean-Antoine Alavoine.
Les travaux ne commencĂšrent qu'en 1835, oĂč l'on procĂ©da Ă  la fonte des piĂšces en bronze. La dĂ©coration fut rĂ©alisĂ©e en 1839 par l'architecte Joseph-Louis Duc et la colonne fut terminĂ©e en 1840 pour cĂ©lĂ©brer les dix ans de la rĂ©volution[2].

La colonne de Juillet est d'ordre corinthien ; des inscriptions, des palmes, des couronnes d'immortelles, des rameaux de chĂȘne, les armes de la Ville, le coq gaulois et le lion, symbole astronomique du mois de juillet, ornent le piĂ©destal.
Sur le fût, divisé en trois parties, sont gravées en lettres d'or les noms des victimes. Le chapiteau supporte une statue exécutée par M. Dumont : c'est le génie de la Liberté tenant un flambeau d'une main, des fers brisés dans l'autre, et déployant ses ailes.
On monte deux cent quarante marches pour arriver au sommet.
Tout le bronze employĂ© prĂ©sente une masse de 179 500 kg. A partir du sol jusqu'au flambeau que tient la statue, le monument a 50,33 mĂštres de hauteur.

Pour son inauguration, le , le gouvernement français voulut cĂ©lĂ©brer en grande pompe le transfert des corps des rĂ©volutionnaires de 1830. Le ministre de l'IntĂ©rieur Charles de RĂ©musat commanda une symphonie Ă  Hector Berlioz qui composa la Grande symphonie funĂšbre et triomphale. Berlioz, en uniforme de la Garde Nationale et en marchant Ă  reculons, dirigea lui-mĂȘme une grande fanfare militaire de deux cents musiciens qu'il engagea pour accompagner le cortĂšge[3]. Une mĂ©daille commĂ©morative fut gravĂ©e pour l'occasion par Jean-Pierre Montagny (en)[4] - [5]. Une autre mĂ©daille fut gravĂ©e par François Augustin Caunois.

La révolution de 1848

Le trÎne de Louis-Philippe brûlé place de la Bastille le 25 février 1848.

Le durant la rĂ©volution de 1848, les Parisiens aprĂšs la fuite du roi Louis-Philippe promenĂšrent son trĂŽne des Tuileries Ă  la Bastille oĂč il fut finalement brĂ»lĂ© au pied de la Colonne de Juillet.

On y ajouta 196 dĂ©pouilles des victimes des Ă©meutes qui renversĂšrent Louis-Philippe[6].

La commune de Paris

ClichĂ© d'Édouard Baldus vers 1851-1870.
Colonne de Juillet Ă  la fin du XIXe siĂšcle.

Pendant le siĂšge de la capitale par les troupes prussiennes, de septembre 1870 Ă  la fin janvier 1871, la place de la Bastille et sa colonne demeurĂšrent des signes d'appartenance essentiels aux rĂ©publicains parisiens. Les 24, 25 et 26 fĂ©vrier 1871, alors que le gouvernement de la DĂ©fense nationale signait un armistice contraignant avec le chancelier Otto von Bismarck, la commĂ©moration de la rĂ©volution de 1848 et de la proclamation de la Seconde rĂ©publique le 24 fĂ©vrier 1848 rassembla plusieurs milliers de gardes nationaux[7]. La place Ă©minente de la colonne dans la sĂ©miotique rĂ©publicaine Ă©tait si grande qu'elle peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un facteur dĂ©terminant de l'Ă©pisode sanglant du 26 fĂ©vrier 1871. La prĂ©sence alors d'un agent de la sĂ»retĂ©, le brigadier Bernardin Vincenzini, pendant la cĂ©lĂ©bration, put ĂȘtre perçue comme une provocation. Il y fut victime d'un lynchage violent, puis mis Ă  mort par noyade[8].

AprĂšs le 18 mars, et l'installation de la Commune Ă©lue Ă  partir du 28 du mĂȘme mois, le lieu et son monument demeurĂšrent "le cƓur du Paris populaire", oĂč continuĂšrent de se rĂ©unir gardes nationaux fĂ©dĂ©rĂ©s et chalands pour des rĂ©unions ou des manifestations[9]. SituĂ©e au carrefour des quartiers les plus communalistes de la capitale, la Bastille fut un des points stratĂ©giques oĂč les armĂ©es du gouvernement de Thiers firent face Ă  une rĂ©sistance farouche, lors de la "Semaine sanglante".

Des écrivains "versaillais", aprÚs les événements[10], tentÚrent de discréditer l'action des fédérés, et plus généralement celle des partisans de la Commune, dans une lutte mémorielle intense qui structura durablement le souvenir du dernier épisode révolutionnaire français du XIXe siÚcle[11].

Certains affirmĂšrent que les Parisiens insurgĂ©s tentĂšrent de dĂ©truire la colonne. Ces sources, reprises par des historiens comme Henri Guillemin mais aussi des commentateurs comme LorĂ nt Deutsch avec son MĂ©tronome, allĂ©guĂšrent que des tirs d'obus, depuis les hauteurs de Montmartre, visĂšrent dĂ©libĂ©rĂ©ment cet "autel de la RĂ©publique"[12]. De rĂ©centes dĂ©couvertes documentaires, aux archives des Sapeurs pompiers de Paris, notamment, accrĂ©ditent une tentative de destruction par l'acheminement sous la base de la colonne, via le canal Saint-Martin , d'une barge chargĂ©e de combustible et d'explosifs [13]. La manƓuvre malheureuse n'aurait eu pour effet que de consumer les ossements solennellement dĂ©posĂ©s lĂ .

Cependant, certains doutent fortement de la véracité des tirs au canon. Toujours est-il que le caractÚre unanime de l'amour populaire porté à la colonne n'est pas une évidence universelle.

Époque contemporaine

Inscrite une premiĂšre fois en 1926, la colonne fut classĂ©e au titre des monuments historiques par arrĂȘtĂ© du 29 septembre 1995[14]. Ce classement inclut la colonne elle-mĂȘme ainsi que les amĂ©nagements funĂ©raires souterrains, les soubassements, la grille de clĂŽture et les petits pavillons d'entrĂ©e attenants[14]

Description physique

Le Génie de la Liberté.

La hauteur totale de l'Ă©difice est de 50,52 m. en comptant l'ensemble de la structure qui enjambe le canal.

  • La voĂ»te ogivale, enjambant le Canal Saint-Martin, Ă©tait destinĂ©e Ă  la Fontaine de l'ÉlĂ©phant, et renferme les anciens caveaux bĂątis afin de renfermer les canalisations ; ceux-ci furent affectĂ©s aux restes des 504 victimes des journĂ©es rĂ©volutionnaires de juillet 1830 transfĂ©rĂ©es depuis le Jardin de l'Infante, et environ 200 dĂ©pouilles de la rĂ©volution de 1848. Des momies, ramenĂ©es de la Campagne d'Égypte, qui s'abĂźmaient dans les sous-sols du musĂ©e du Louvre, ont Ă©tĂ© enterrĂ©es dans les jardins de la bibliothĂšque nationale, au Louvre, au mĂȘme endroit que les corps des insurgĂ©s de 1830 et transfĂ©rĂ©es par erreur ; ainsi, plusieurs momies Ă©gyptiennes reposent toujours sous la Colonne de Juillet[15] - [16] - [17] - [18].
  • Premier soubassement en marbre rouge, circulaire
  • DeuxiĂšme soubassement en marbre blanc, circulaire et haut de 3 mĂštres. Sur sa corniche: 24 tĂȘtes de lions dont la gueule ouverte dĂ©charge les eaux de pluie.
  • TroisiĂšme soubassement carrĂ©, en marbre blanc, porte 24 mĂ©daillons circulaires reprĂ©sentant : la Croix de Juillet, une tĂȘte de MĂ©duse, la Charte de 1830 et la balance de la justice.
  • Le socle de la colonne est en bronze. Il est surmontĂ© de quatre coqs gaulois, placĂ©s aux angles, et comporte une sculpture de lion par Antoine-Louis Barye.
  • Le fĂ»t de la colonne est en bronze, d'une hauteur de 23 mĂštres, et est formĂ© de 21 tambours cylindriques. Quatre colliers divisent le fĂ»t en trois parties symbolisant les Trois Glorieuses, et oĂč sont gravĂ©s les noms des 504 victimes des journĂ©es rĂ©volutionnaires de juillet. Sur ces colliers sont 16 tĂȘtes de lions, qui Ă©clairent l'intĂ©rieur de la colonne.
  • Chapiteau composite, avec au milieu de chacun des cĂŽtĂ©s du tailloir une tĂȘte de lion surmontant un petit GĂ©nie qui orne la corbeille du chapiteau.
  • La balustrade qui sertit le tailloir entoure un lanternon que surmonte une boule, portant elle-mĂȘme Le GĂ©nie de la LibertĂ©.
  • Le GĂ©nie de la LibertĂ© reprĂ©sente « la LibertĂ© qui s’envole en brisant ses fers et semant la lumiĂšre ». Il est nu, le pied gauche posĂ© sur la sphĂšre, la jambe droite levĂ©e, les ailes dĂ©ployĂ©es, une Ă©toile sur le front. Il tient dans la main gauche une chaĂźne brisĂ©e, et de la droite le flambeau de la civilisation. Cette sculpture en bronze dorĂ© a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e par Auguste Dumont[19]
Le socle de la Colonne

Artistes et architectes en rapport avec la colonne de Juillet

Anecdotes

La piĂšce de dix francs.
  • L'Ɠuvre originale du GĂ©nie de la LibertĂ© a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en 1833, avant la commande publique faite Ă  Auguste Dumont pour la Colonne de Juillet. La sculpture rĂ©alisĂ©e en plĂątre en demi grandeur est exposĂ©e au musĂ©e de Semur-en-Auxois[20]. Une reproduction du GĂ©nie de la LibertĂ© est exposĂ©e au MusĂ©e du Louvre, et fut rĂ©alisĂ©e en fonte d'aprĂšs le modĂšle en plĂątre en 1885, aprĂšs la mort de l'artiste [19].
  • Au Mexique, la Columna de la Independencia (Colonne de l'IndĂ©pendance), surnommĂ©e Ángel de la Independencia (Ange de l'IndĂ©pendance), construite en 1910 Ă  Mexico pour cĂ©lĂ©brer les hĂ©ros de l'indĂ©pendance mexicaine, est une copie quasi-conforme de la Colonne de Juillet, surplombĂ©e par son GĂ©nie de la Bastille (ici, un Ange de l'IndĂ©pendance).
  • La derniĂšre piĂšce de dix francs, Dix francs GĂ©nie de la Bastille, reprĂ©sente donc le GĂ©nie de la LibertĂ©. La piĂšce a Ă©tĂ© produite entre 1988 et 2001[21].
  • Le premier suicidĂ© saute de la colonne un an aprĂšs son inauguration en 1841[22]. Le 20 avril 1887, L. Broch, 21 ans, se jette lui aussi du haut de la colonne et meurt[23].

La Colonne de Juillet dans la littérature et au cinéma

Littérature

  • Dans les MisĂ©rables de Victor Hugo, Gavroche habite dans l'Ă©lĂ©phant de la Bastille. Et on y voit la Colonne de Juillet : « Ce tuyau de poĂȘle, qu’on a baptisĂ© d’un nom sonore et nommĂ© la colonne de Juillet, ce monument manquĂ© d’une rĂ©volution avortĂ©e, Ă©tait encore enveloppĂ© en 1832 d’une immense chemise en charpente que nous regrettons pour notre part, et d’un vaste enclos en planches, qui achevait d’isoler l’élĂ©phant. » (Tome IV, Livre 6, Chapitre 2, « OĂč le petit Gavroche tire parti de NapolĂ©on le Grand[24] »)
  • Dans Le gĂ©nie de la Bastille (Les Dames du Faubourg tome III), Jean Diwo raconte l’histoire du Faubourg Saint-Antoine Ă  l’époque de l’érection de la colonne. Il rend ses personnages tĂ©moins de sa construction et en commente largement le contexte historique.

Au cinéma

  • Une scĂšne du film Le Viager (1973) oĂč Louis Martinet et la famille Galipeau montent sur le balcon en haut de la colonne en 1949. Cet accĂšs est aujourd'hui fermĂ© au public.
  • Lors de la sĂ©quence du cauchemar de Chacun cherche son chat de CĂ©dric Klapisch, l'hĂ©roĂŻne se retrouve au sommet de la Colonne de Juillet.
  • Lors de la sĂ©quence du collage parisien de Shepard Fairey dans Faites le mur !, la Colonne apparaĂźt subrepticement, ce qui permet de situer le lieu d'intervention de l'artiste.
  • Le film Les Chansons d'amour (2007) de Christophe HonorĂ© contient une chanson d'Alex Beaupain intitulĂ©e « La Bastille », qui Ă©voque le GĂ©nie de la LibertĂ© sous la pluie de Paris.

AccĂšs

  • La restauration de l'Ă©difice, dĂ©butĂ©e en 2018 (dans le cadre du rĂ©amĂ©nagement de la place de la Bastille), s'achĂšve le 23 octobre 2021. Depuis cette date, il est possible de visiter son sous-sol, de dĂ©couvrir sa nĂ©cropole et d'avoir accĂšs Ă  la base de l'escalier situĂ© Ă  l'intĂ©rieur de la colonne (ce qui Ă©tait impossible depuis 35 ans environ). Cependant, les 240 marches de l'escalier et la plateforme situĂ©e au sommet de la colonne restent fermĂ©es au public pour des raisons de sĂ©curitĂ©.
  • Ce site est desservi par la station de mĂ©tro Bastille.

Voir aussi

Bibliographie

  • Inauguration de la colonne de juillet 1830. Programme de la cĂ©rĂ©monie funĂšbre du 28 juillet 1840 et description du char funĂ©raire, imprimerie de H. Fournier, Paris, 1840 (lire en ligne)

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. (en) « Piasa », sur piasa.fr (consulté le ).
  2. Marcel Banassat, PARIS AUX CENT VILLAGES, Editions BEREP. Paris. Avril 1979.
  3. « Symphonie FunÚbre et Triomphale », sur hberlioz.com (consulté le ).
  4. « multicollec.net/2-me-h/2h1-02.
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
  5. « multicollec.net/2-me-h/2h1-03.
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
  6. « Une colonne pour la place de la Bastille », sur Colonne de Juillet, place de la Bastille (consulté le )
  7. Jacques Rougerie, La Commune de 1871, Paris, Gallimard, coll. « Découvertes histoire », , p. 20.
  8. Quentin Deluermoz, Policiers dans la ville. La construction d'un ordre public Ă  Paris (1854-1914), Paris, Publications de la Sorbonne, , p. 151-153.
  9. Jacques Rougerie, « L'espace populaire parisien en 1871 », Bulletin de l'Institut d'Histoire Ă©conomique et sociale de l'UniversitĂ© de Paris I Recherches et Travaux, no 5,‎ 1977. (lire en ligne, consultĂ© le )
  10. Sur la question, lire Paul Lidsky, Les Ă©crivains contre la Commune, Paris, La DĂ©couverte, 2010 1977, 196 p.
  11. Éric Fournier, "La Commune n'est pas morte". Les usages politiques du passĂ© de 1871 Ă  nos jours, Paris, Libertalia, , 174 p.
  12. Quentin Deluermoz, Op. cit., p. 153.
  13. Archives de la BSPP, rapports d'interventions des mois de mai et juin 1871 (dossier manuscrit non coté) - Paris
  14. « Colonne commémorative dite Colonne de Juillet », notice no PA00086253, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
  15. « Question », sur guichetdusavoir.org (consulté le ).
  16. 2011 AFP, « La Bastille: histoires de momies, de Sade et d'Ă©lĂ©phant », La DĂ©pĂȘche,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  17. « La place de la Bastille et l’étonnante histoire des momies de la colonne de
 », sur anecdotrip.com (consultĂ© le ).
  18. « Paris ZigZag », sur Paris ZigZag / Insolite & Secret (consulté le ).
  19. « 404 », sur louvre.fr (consulté le ).
  20. « ville-semur-en-auxois.fr/semur
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
  21. « monnaiedeparis.fr/fonds_doc/f1
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
  22. « Tricher au scrabble », sur Ecrits Vains (consulté le ).
  23. Archives de la Préfecture de Police de Paris, Registre de la Morgue 1887, n°242.
  24. http://www2b.ac-lille.fr/weblettres/productions/heros/gavroche_dans_elephant.htm
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