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Coadout

Coadout [kwadut] (Koadoud en breton) est une commune française située dans le département des CÎtes-d'Armor, en région Bretagne.

Coadout
Coadout
L'Ă©glise Saint-Iltud.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Guingamp-Paimpol Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Pierre Giuntini
2020-2026
Code postal 22970
Code commune 22040
DĂ©mographie
Population
municipale
567 hab. (2020 en diminution de 1,22 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 58 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 31â€Č 05″ nord, 3° 11â€Č 13″ ouest
Altitude 160 m
Min. 74 m
Max. 245 m
Superficie 9,73 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Guingamp
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Callac
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Coadout
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Coadout

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes de Coadout
    GrĂąces
    Moustéru Coadout Ploumagoar
    Bourbriac Saint-Adrien

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 952 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 15,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Plouisy », sur la commune de Plouisy, mise en service en 1971[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 950,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă  25 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Coadout est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guingamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (62,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (62,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (51,4 %), forĂȘts (34 %), prairies (7,1 %), terres arables (4,3 %), zones urbanisĂ©es (3,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Coatnouët au XIIe siÚcle, Coitbout en 1434[21].

    Le toponyme est formé du breton koat (bois) et du second élément, variante de bot (résidence)[21].

    Histoire

    Moyen Âge

    La paroisse de Coadout, enclavĂ©e dans l'Ă©vĂȘchĂ© de TrĂ©guier, faisait partie du doyennĂ© de Lanmeur relevant de l'Ă©vĂȘchĂ© de Dol et Ă©tait sous le vocable de saint Iltud. Elle avait comme trĂšve Magoar.

    Les guerres du XXe siĂšcle

    Le monument aux morts porte les noms de 43 soldats morts pour la Patrie[22] :

    Un soldat originaire de Coadout, François Thomas[23], du 11e groupe spĂ©cial, a Ă©tĂ© fusillĂ© pour l'exemple le Ă  Oujda (Maroc) pour « voies de fait et outrages Ă  l'occasion du service envers ses supĂ©rieurs et rĂ©bellion envers la force armĂ©e »[24].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1981 ? Raymond Gensane PCF
    avant 1995 ? Jean-Pierre Giuntini PS
    mars 2001 octobre 2012 Yvon Philippe PS Retraité
    novembre 2012 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Jean-Pierre Giuntini [25]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    PS Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[27].

    En 2020, la commune comptait 567 habitants[Note 8], en diminution de 1,22 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    386315406429554525520609587
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    538551570540604627580627625
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    625600608588542512487442409
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    369331299401483497518556581
    2020 - - - - - - - -
    567--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Iltud (XVIIe siĂšcle). Ce fut Ă  l'origine une chapelle au XIIe siĂšcle.

    Manoir du bois de la Roche

    On ne possĂšde que trĂšs peu de documents sur l'origine de ce chĂąteau. Les vestiges qu'il en reste, en particulier ses trois tours, indiquent clairement qu'il s'agissait d'autre chose que d'un simple manoir. Il existe des vestiges de fondation qui nous prĂ©sentent ce chĂąteau comme un corps de bĂątiments d'environ soixante-dix mĂštres de façade et qui prolongeait l'habitation actuelle jusqu'au mur d'enceinte, vers le nord. On peut d'ailleurs apercevoir encore, de nos jours, des traces de cabinets d'aisance insĂ©rĂ©es dans la muraille elle-mĂȘme, telle qu'il en Ă©tait la coutume au Moyen Âge.

    Les « communs Â» de style Renaissance, ainsi que des pierres de rĂ©cupĂ©ration insĂ©rĂ©es dans la construction rĂ©cente laisse entendre que l'ensemble avait une certaine importance.

    Les tours nous ramÚnent au plus tÎt au XIIIe siÚcle et il existe une ferme (à l'ouest) dont le magnifique porche d'entrée recÚle une charpente qui laisserait entendre que des Compagnons du Devoir sont passés par là, tant le travail est précis et complexe. Mais aucun document n'en précise les détails.

    Le corps de bĂątiment rectangulaire, accotĂ© aux tours, et qui donne cette impression de manoir, date de 1910. Il fait suite Ă  un autre bĂątiment de mĂȘme volume qui a Ă©tĂ© dĂ©truit par le feu. Cette construction, dont il reste de nombreuses reproductions, Ă©tait un vĂ©ritable castelet d'opĂ©rette avec crĂ©neaux et terrasses, empruntĂ©s, vraisemblablement au chĂąteau prĂ©cĂ©dent.

    Pour ceux qui aiment l'architecture, il est intéressant de demander à visiter l'intérieur actuel pour étudier les difficultés qu'ont eues les reconstructeurs à joindre intelligemment les différents niveaux du bùtiment actuel aux tours plus anciennes et dont les hauteurs sous plafond diffÚrent. C'est aussi l'occasion de voir utiliser pour la premiÚre fois le ciment, tant leur fut intolérable de voir partir en fumée les poutres de bois.

    Ce chùteau est lié aux familles de Roscerf et du Liscouët :

    • Yves de Roscerf, nĂ© vers 1470, dĂ©cĂ©dĂ© vers 1505, seigneur du Bois de la Roche en Coadout, chambellan du duc François II de Bretagne, puis d'Anne de Bretagne. Son chĂąteau du Bois de la Roche fut brĂ»lĂ© par Pierre de Rohan, en 1489, pour se venger de la prise de Quintin pendant la guerre franco-bretonne. MariĂ© avec Marguerite de Kersauzon ;
    • Anne de Roscerf, nĂ©e vers 1495, dĂ©cĂ©dĂ©e en 1548, se marie avant septembre 1513 avec Alain II du LiscouĂ«t. Dame du Bois de la Roche ;
    • Charles du LiscouĂ«t, nĂ© vers 1520, dĂ©cĂ©dĂ© avant 1579, mariĂ© en 1553 avec Françoise de la BouexiĂšre ;
    • Yves du LiscouĂ«t, nĂ© en 1553 au LiscouĂ«t en Boqueho, dĂ©cĂ©dĂ© le Ă  Crozon, fut un redoutable chef de guerre pendant les guerres de la Ligue.

    Personnalités liées à la commune

    Photos

    • Église Saint-Iltud.
      Église Saint-Iltud.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Plouisy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Coadout et Plouisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Plouisy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Coadout et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 64, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 » (consulté le ).
    22. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    23. NĂ© en 1885 Ă  Coadout
    24. Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
    25. « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'État (consultĂ© le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Liens externes

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