Christian Dior Couture
Christian Dior Couture est une entreprise française de mode appartenant à LVMH.
Christian Dior Couture | |
Logo de Dior | |
Décorations de Noël de la boutique Dior, avenue Montaigne à Paris. | |
Création | 8 octobre 1946 création de la société Christian Dior |
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Dates clés | 1961 immatriculation de la société Christian Dior Couture[1] |
Fondateurs | Marcel Boussac Christian Dior |
Personnages clés | Yves Saint Laurent Marc Bohan Gianfranco Ferré John Galliano Raf Simons Sidney Toledano Maria Grazia Chiuri |
Forme juridique | SA Ã conseil d'administration |
Action | Euronext (CDI) |
Siège social | Paris France |
Direction | Delphine Arnault (PDG)[2] |
Actionnaires | Financière Agache et Le Peigné : 97,5 % (2021) |
Activité | Mode, joaillerie, horlogerie |
Produits | Collections haute couture, prêt à porter, joaillerie, horlogerie |
Société mère | LVMH → Christian Dior SE → Agache SE |
Sociétés sœurs | John Galliano SA (appartient à Christian Dior Couture) |
Filiales | Parfums Christian Dior) |
SIREN | 582110987[3] |
Site web | www.dior.com |
Chiffre d'affaires | 2,96Mds d'euros (2021)[1] |
Héritage du couturier Christian Dior, bénéficiant du label « haute couture » elle trouve ses origines en 1946, fondée par Marcel Boussac.
Il faut distinguer donc, sous des appellations proches, le holding Christian Dior SE propriétaire de LVMH SE, (Parfums Christian Dior SA appartient à 100 % à LVMH SE[4]), et Christian Dior Couture propriété à 100 % du holding de trois sociétés différentes, séparées, mais imbriquées. Christian Dior Couture est intégrée à LVMH en 2017 par un montage financier selon lequel le groupe de luxe achète Dior Couture pour 6,5 milliards d'euros, cette somme servant à la famille Arnault pour se renforcer au sein de LVMH[4] - [5] - [6].
Histoire
Débuts
Créée le 8 octobre 1946, l'entreprise est inaugurée le 9 décembre suivant[7]. Elle est fondée par le couturier Christian Dior avec la participation de Marcel Boussac qui investit 60 millions de francs et lui accorde une maison de couture à son nom, au 30, avenue Montaigne dans un hôtel particulier[N 1]. Il se lance ainsi dans la mode et la haute couture.
Le New Look
Le 12 février 1947, Christian Dior présente son premier défilé de mode, conçu en collaboration avec son équipe, dont Pierre Cardin, alors premier tailleur. La collection redessine la silhouette féminine, dont la ligne va à l’encontre de celle qui prévalait avant-guerre : taille cintrée, poitrine haute et ronde, épaules étroites, jambes couvertes[N 2] jusqu’à 40 cm au-dessus du sol. Le tailleur Bar[8] est le modèle phare de la collection printemps-été de 1947[N 3].
Il reste possible de distinguer trois grandes périodes dans le style de Christian Dior : la première est marquée par l’influence du New Look, surnom donné à la toute première collection, présentée en 1947. La deuxième, qui s’étend de 1950 à 1953, est caractérisée par des courbes moins voluptueuses, où la taille et les hanches sont moins marquées. La dernière correspond à la ligne H de 1954, où la taille semble disparaître et où les courbes sont sensiblement gommées, dans une esthétique qui rappelle le style des années 1920[9].
Christian Dior lance, en même temps que sa maison de couture et sa première collection, une société de parfum, financée, elle aussi, par Boussac. La première fragrance, lancée en édition limitée en 1947, s’appelle Miss Dior.
Christian Dior part pour les États-Unis pour recevoir l’Oscar qui lui est décerné par la maison Neiman Marcus pour sa première collection. Le couturier développe dans ce pays ses premières créations en prêt-à -porter à partir de 1948[10].
Il ouvre des bureaux de relations publiques à travers le monde, organise des défilés dans plusieurs pays, et utilise la radio et la télévision pour faire connaître la marque. Il est le couturier de nombreuses stars, notamment Marlène Dietrich, Liz Taylor, Ava Gardner ou Marilyn Monroe. En 1957, sa maison assure plus de la moitié des exportations de la couture française, et Time Magazine le consacre à sa Une, posant avec ses ciseaux pour gaucher. Il met en place un système de licences, permettant à des fabricants d'accessoires de griffer leurs produits de son nom[11]. C’est de cette manière que sont lancés les bas Dior en 1949[12].
En onze ans, son activité s'étend dans quinze pays et assure l’emploi de plus de deux mille personnes. Pendant cette période, cent mille robes sont vendues[7].
Yves Saint Laurent
Au décès soudain de Christian Dior, en 1957, le jeune Yves Saint Laurent, âgé de vingt et un ans, et entré en 1955 au service de Christian Dior, reprend la direction artistique de la maison parisienne[13], Marc Bohan supervisant les créations Dior à Londres et New York à partir de 1958.
Yves Saint Laurent travaille avec Raymonde Zehnacker, Marguerite Carré, Mitzah Bricard, et Suzanne Luling, qui ont entouré Christian Dior depuis le début et dont la présence rassure le public[14]. La première collection d'Yves Saint Laurent, « Ligne Trapèze », est présentée le 30 janvier 1958[15]. "C’est un véritable triomphe"[15]
La réussite de cette opération de succession est saluée par Marcel Boussac qui déclare : « aucune maison de couture n’avait survécu à son fondateur »[16].
En 1960, Yves Saint Laurent est appelé sous les drapeaux et doit quitter son poste chez Dior.
Marc Bohan
Marc Bohan reprend l'entière responsabilité de la direction artistique et présente l'année suivante sa première collection « Slim Look ». Le style qu’il insuffle à la maison Dior s’inspire de la femme contemporaine, et plus particulièrement d’icônes comme Jackie Kennedy avec des robes qui ne corsètent plus la silhouette, mais la laissent libre de ses mouvements.
En 1967, Dior lance Baby Dior[15], puis Christian Dior Monsieur en 1970.
La même année, Marc Bohan créé la toile monogramme dite « toile oblique ». Ce motif en biais apparaît pour la toute première fois sur un sac rectangulaire de la collection haute couture printemps-été 1969, réalisé en toile jacquard appelée « tapisserie de Flandres », contrastée d’un cuir végétal.
En 1975, la Maison crée sa propre ligne d’horlogerie. Jusqu'en 1988, soit près de trois décennies, Marc Bohan veillera au respect scrupuleux des traditions d’élégance du maître. À son départ, la maison Dior demeure la première maison de couture de Paris et totalise 15 % de la clientèle de la haute couture, comptant parmi ses fidèles acheteuses de grands noms comme Liz Taylor et la famille de Monaco[17].
Gianfranco Ferré
Gianfranco Ferré, premier couturier de nationalité étrangère à intégrer Dior, présente sa première collection, à l’automne-hiver 1989. Il propose sa propre version du tailleur Bar et utilise des matières et des coupes chères à Christian Dior.
Le développement de Christian Dior s'accélère peu avant les années 1990, au moment où la société passe sous le contrôle de Bernard Arnault qui rachète en 1984, le groupe de textile Boussac Saint-Frères propriétaire de la marque Christian Dior[18] et en devient PDG en 1985. Devenu président du groupe LVMH - Moët Hennessy Louis Vuitton en 1988, il réunifie en 1989 les Parfums Christian Dior, anciennement propriété de Moët-Hennessy, et la couture, séparés depuis 1968, au sein du holding Christian Dior SE[N 4]. C’est lui également qui fait appel en 1996 au couturier John Galliano[N 5] , puis à Victoire de Castellane en 1998, pour la Haute Joaillerie, poursuivant l’idée de luxe global dont Christian Dior est à l’origine.
John Galliano
John Galliano organise de spectaculaires défilés pour Dior[19]. La première robe qu’il dessine, bleue, coupée en biais, est pour la princesse Diana, qui la porte lors de l'inauguration de l’exposition des 50 ans de la marque Dior au Metropolitan Museum of Art de New York en décembre 1996[N 6]. Galliano développe les accessoires. Il fait référence aux codes de Christian Dior tels que la palette de couleurs, l'imprimé panthère, les fleurs, ou encore les illustrations de René Gruau[20]. La collection automne-hiver 2007-2008 comprend notamment la robe rouge Sirène. D'autres défilés ont marqué son passage, comme celui de 1997 appelé le « nouveau New Look » ou celui de 1999 intitulé « Clochards », inspiré par les SDF[21]. Après quelques saisons marquées par la tendance du « porno chic », John Galliano fait défiler pour sa propre marque des nains et des obèses au milieu des mannequins comme « hommage à la différence ».
La réussite de la marque durant cette période est aussi liée aux créations de maroquinerie et d'accessoires. Une des créations les plus connues est le sac « Saddle ». Créé en 2003, ce petit sac en forme de selle de cheval décliné dans de nombreuses matières est un grand succès dans les années 2000. La déclinaison « Gaucho » du Saddle inspirée des gardiens de troupeaux des plaines sud-américaines est également un succès commercial. Le Saddle, retiré de la vente en 2009, réapparaîtra en 2018[22].
John Galliano réinvente également la classique toile « oblique » de 1967 sous de nombreuses formes et matières (maroquinerie, prêt à porter, accessoires, articles de sport...). Les créations de Galliano contribuent au rayonnement renouvelé et au développement de Dior à l'international.
A la fin des années 2000, les collections de maroquineries sont principalement axées autour du motif « cannage ».
À la suite de ses déboires judiciaires, John Galliano est remercié le 1er mars 2011. Entre sa première collection en 1997 et la dernière, le chiffre d'affaires de Christian Dior Couture est multiplié par quatre[23].
Raf Simons
Le Belge Raf Simons, précédemment en poste chez Jil Sander, est annoncé le comme le nouveau directeur artistique[24] - [N 7]. Son premier défilé revient à la silhouette New Look reprise de manière très structurée. Les lignes A et H sont aussi à l’honneur, tout comme le rose et le rouge, couleurs privilégiées de Christian Dior, ou encore la coupe corolle des jupes, dans des robes bustier. Le décor du défilé, constitué de murs tapissés de fleurs, évoque le jardin de Granville où a grandi Christian Dior. Raf Simons ajoute à la collection plusieurs touches contemporaines, comme un pantalon cigarette noir qui contraste avec les nombreuses robes, des matières métallisées et des coupes asymétriques.
S’inspirant tour à tour des « femmes-fleurs » imaginées par Christian Dior[25] - [26], de la passion du couturier pour l’art[27] ou des clientes de la maison[28] - [29], Raf Simmons s'inspire de plusieurs périodes historiques, du XVIIIe siècle[30] à l’époque de la conquête spatiale[31] et aux années 1970, et de l’atmosphère des différentes villes où se déroulent les défilés Dior : New York[32] pour la collection croisière 2015 ou Tokyo pour la collection Esprit Dior Tokyo 2015[33].
Le , Raf Simons annonce son départ de Dior, après trois ans de collaboration avec la marque française.
Maria Grazia Chiuri
Le 8 juillet 2016, Maria Grazia Chiuri est nommée directrice artistique de la marque à la place de Raf Simons[34].
Première femme à la direction artistique de la maison Dior, féministe[35], Maria Grazia Chiuri présente son premier défilé pour Dior le 30 septembre 2016. La créatrice puise son inspiration dans les archives de la maison Dior en réinventant notamment la toile « oblique » créée par Marc Bohan en 1967 et absente des collections depuis 2009. Le travail de Maria Grazia trouve son équilibre entre respect des traditions et esprit contemporain. La toile oblique réinventée par M.G. est en tout point identique à celle des années 1970 et la créatrice redonne vie à de grands classiques de la maroquinerie Dior utilisant le motif sur des articles plus contemporains.
Créé en 2017, le sac « Dior Book Tote » est la première création originale de maroquinerie de l'artiste. Ce grand cabas en toile marque par sa singularité.
En 2018, c'est au tour du sac « Saddle » d'être réinventé par Maria Grazia Chiuri. D'abord imaginé en toile oblique, le sac est vite décliné en de nombreux cuirs et couleurs. La qualité de fabrication du sac est en tout point supérieure à celle du « Saddle » commercialisé de 2003 à 2009.
Dynamisme et développement à l’international
En 1996, Dior possède 160 boutiques à travers le monde et plus de 230[N 8] en 2011[36]. En 2012, est ouvert à Taipei (Taïwan) le plus grand point de vente à l'enseigne Dior, avec une surface de vente proche de 1 800 m2.
En 2000, le chiffre d’affaires de Christian Dior Couture s'établissait à 296 millions d’euros ; en 2010, il passe à 826 millions d’euros[23] pour la Couture, et est toujours en progression.
Dans les années 2000 et 2010, Dior diversifie ses produits, notamment vers la joaillerie et l'hologerie.
Victoire de Castellane dirige la joaillerie. Les lignes Joaillerie ou Horlogerie prennent une importance grandissante, à l'image de la montre « D de Dior » sortie en 2003, de la première montre homme « Chiffre Rouge » en 2004, ou de « Dior Christal » en 2005[37]. La « Dior VIII » est lancée en 2011.
Les parfums sont aussi des produits essentiels de la marque Dior. Le parfumeur créateur exclusif de Dior est François Demachy.
Depuis mars 2018, Kim Jones dirige la ligne homme à la place de Kris Van Assche, succédant à Kris Van Assche qui l'avait dirigée pendant onze ans.
Sidney Toledano[38], est le PDG de Christian Dior Couture.
En 2023, Delphine Arnault est nommée Présidente-directrice générale[39] et Olivier Bialobos Directeur général adjoint[40].
Critique
Dior a provoqué à plusieurs reprises des scandales liés au racisme, à l'appropriation culturelle et à d'autres types de comportements sans tact envers les groupes vulnérables. La marque a notamment été accusée de racisme culturel dans les années 2000, 2010[41] et 2022[42].
Filiales
Montres Dior est géré depuis 2008 sous la forme d’une coentreprise entre le groupe d’activités Montres et Joaillerie de LVMH et Christian Dior Couture[43] et que l’activité Dior Joaillerie fait partie de Christian Dior Couture. La société Parfums Christian Dior est une filiale à 100 % du groupe LVMH[44]. Les activités Dior Homme et Baby Dior font partie de Christian Dior Couture.
Production
En 2018, Dior obtient un score de 0 % de transparence sur la traçabilité et sa politique sociale et environnementale au Fashion Transparency Index élaboré par Fashion Revolution (en), soit l'un des plus bas des 150 entreprises du textile les plus importantes à l'échelle mondiale[45].
Quelques égéries publicitaires
Au lancement de l'entreprise
- Germaine Louise Bricard, née Neustadt, dite Mitzah[N 9] (1946-).
Autres
- Gisele Bündchen (2004 et 2009)[46]
- Sharon Stone : produits de beauté (2005), et horlogerie (2007) ligne Christal[47]
- Rihanna : campagne « Secret Garden IV » en 2015 puis mannequin et créatrice pour une paire de lunettes de soleil en 2016
Maroquinerie
- Marion Cotillard : Lady Dior (sacs), depuis 2008[48]
- Mila Kunis : Miss Dior (sacs), campagne de publicité 2012[49]
- Jennifer Lawrence : Miss Dior et Be Dior (sacs) campagne 2013[50]
Joaillerie et Parfumerie
- Emilia Clarke : Rose des vents campagne 2015
- Johnny Depp : parfums - Dior Sauvage - depuis 2015[51]
- Orelsan : parfums - Gris Dior - campagne 2023
Notes et références
Notes de contenu
- De nos jours, le siège est toujours situé à cette même adresse.
- Les robes créées par Christian Dior en 1947 sont plus longues que celles qui étaient à la mode les années précédentes. En effet, depuis le début de la Seconde Guerre mondiale la mode s’était adaptée à la pénurie de tissu en raccourcissant les longueurs des jupes.
- Collection printemps-été présentée le 12 février.
- C'est en 1995 que l'activité couture est définitivement apportée comme une filiale, propriété à 100 % de la holding, qui prend alors l’appellation de « Christian Dior Couture ».
- Rapidement, Galliano deviendra le directeur artistique de la totalité des lignes femmes de Dior : la haute couture et le prêt-à -porter, la maroquinerie et les chaussures, la lingerie et les maillots de bain, la publicité, et même les vitrines des boutiques.
- Elle porte cette robe en 1997. Auparavant, la princesse Diana avait fait du sac Lady Dior un objet culte en le portant en 1995.
- L'annonce est faite en février 2012 pendant la Fashion Week de Milan, annonce officialisée par sa prise de fonction le 9 avril ; il prend la responsabilité des collections de haute couture, du prêt à porter et des accessoires féminins.
- Le 230e magasin a ouvert fin 2011 au Maroc, Ã Casablanca.
- Germaine Louise Neustadt ou Neustadtl, surnommée Mitzah (aussi orthographié Mitza ou Mizza), née à Paris le 12 novembre 1900, mannequin, assistante et égérie de haute-couture.
Fille de Max Neustadt (1867-), employé de banque originaire de Vienne (Autriche) et d'Agnès Sussman, elle est naturalisée française en 1907, en même temps que son père (Décrêt de naturalisation française no 81,525, septembre 1907). Successivement employée par Jacques Doucet et Molyneux (1930-1940), elle entre dans la toute jeune maison Christian Dior en 1946 (Christian Dior, Christian Dior et moi, Vuibert, 2011) où elle prend la direction de la chapellerie. Dior la présente comme « [son] assistante » ; bien plus tard elle sera qualifiée de « muse ».
Mariée en premières noces (1923) avec Alexandre Bianu ou Biano, banquier roumain, futur diplomate à Paris, remarie (1930, l'identité de l’élu demeurant inconnue), elle épouse en troisièmes noces (1941) l’homme d’affaire Hubert Bricard (Justine Picardie, Miss Dior : Muse et résistante, Flammarion, Paris, 2021).
Références
- https://www.pappers.fr/entreprise/christian-dior-couture-612035832
- https://fr.investing.com/news/stock-market-news/lvmh-beccari-nomme-pdg-de-vuitton-delphine-arnault-pdg-de-dior-couture-2145427
- Système national d'identification et du répertoire des entreprises et de leurs établissements, (base de données)
- « Luxe : LVMH absorbe la prestigieuse maison Dior », sur Le Point, (consulté le ).
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- Élodie Bousquet, « Jennifer Lawrence, nouvelle égérie Miss Dior », Styles, sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le )
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Voir aussi
Bibliographie
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- Caroline Bongrand et Florence Müller (préf. Irina Antonova), Inspiration Dior : [exposition, Moscou, Musée des beaux-arts Pouchkine, 26 avril-24 juillet 2011], Paris, Éditions de La Martinière, , 322 p. (ISBN 978-2-7324-4623-3, présentation en ligne)
- [image] Ingrid Sischy et Fabien Baron (trad. de l'anglais), Dior Couture : Patrick Demarchelier, New York/Paris/Milan, Rizzoli International publication, , 240 p. (ISBN 978-0-8478-3768-7, présentation en ligne)
- (en) Kate Betts, American Dior, Éditions Assouline, , 168 p. (ISBN 978-2-7594-0487-2, présentation en ligne)
- Françoise Giroud (photogr. Sacha Van Dorssen), Dior, Paris, Les Éditions du Regard, (1re éd. avril 1987), 323 p. (ISBN 978-2-903370-32-9, lire en ligne)
- Christian Dior, Collectif, Dior : 60 années hautes en couleurs, Versailles, Artlys, , 126 p. (lire en ligne)
- Jérôme Hanover, Star en Dior, Rizzoli, , 231 p.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Ressource relative aux beaux-arts :
- Ressource relative à la mode :
- (en) Europeana Fashion
- Ressource relative aux organisations :
- « Les égéries à la rescousse de Dior » L'Express Styles, 13 janvier 2012
- [image] « 1947-2012 : Dior en sept créateurs », Obsession, sur nouvelobs.com, Le Nouvel Observateur, (consulté le )