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Christian Blanc

Christian Blanc, né le à Talence (Gironde), est un haut fonctionnaire, chef d'entreprise et homme politique français.

Christian Blanc
Illustration.
Christian Blanc en 2007.
Fonctions
Député français
–
(1 an, 10 mois et 14 jours)
RĂ©Ă©lection 10 juin 2007
Circonscription 3e des Yvelines
LĂ©gislature XIIIe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Groupe politique NC
Prédécesseur Colette Le Moal
Successeur Henri Guaino
–
(5 ans, 4 mois et 3 jours)
Élection 8 dĂ©cembre 2002 (partielle)
RĂ©Ă©lection 10 juin 2007
Circonscription 3e des Yvelines
LĂ©gislature XIIe et XIIIe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Groupe politique UDF (2002-2007) (apparenté)
NC (2007-2008)
Prédécesseur Anne-Marie Idrac
Successeur Colette Le Moal
SecrĂ©taire d'État chargĂ© du
DĂ©veloppement de la RĂ©gion capitale
–
(2 ans, 3 mois et 16 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement Fillon II
Prédécesseur Poste créé
Successeur Michel Mercier (indirectement)
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Talence (Gironde)
Nationalité française
Conjoint Virginie Calmels (1999-2004)
DiplÎmé de IEP de Bordeaux
Profession Haut fonctionnaire
Chef d'entreprise

Il est préfet des Hautes-Pyrénées en 1983 et préfet de Seine-et-Marne en 1985 puis il dirige en 1988 la mission du dialogue en Nouvelle-Calédonie qui se conclut par les accords de Matignon[1].

Il travaille dans le monde de l'entreprise, dirigeant la RATP (1989-1992), Air France (1993-1997) et la banque Merrill Lynch France (2000-2002)[1]. Il est également administrateur de Middle East Airlines (1998-1999), de Carrefour, de Capgemini (2004), de la Chancellerie des universités de Paris (1998-2001), de l'ONG Action contre la faim (ACF) et président du Comité de sélection pour le recrutement d'inspecteurs des finances au tour d'extérieur (2000)[1].

Proche de Michel Rocard, et d'Edgard Pisani, il fonde en 2001 le think tank « l’Ami public »[2] et en 2002, le mouvement politique Énergies dĂ©mocrates (2002-2007)[1]. Il est Ă©lu dĂ©putĂ© apparentĂ© UDF dans la 3e circonscription des Yvelines Ă  partir de 2002. Il rejoint le groupe parlementaire Nouveau Centre de 2002 Ă  2008[1].

Il entre au gouvernement le comme secrĂ©taire d'État chargĂ© du DĂ©veloppement de la rĂ©gion capitale et travaille sur le Grand Paris[1]. En , il est au centre d'une polĂ©mique sur des achats de cigares sur des fonds du ministĂšre. Il dĂ©missionne du gouvernement le [1]. Il reprend ensuite son siĂšge de dĂ©putĂ©. AprĂšs deux mandats lĂ©gislatifs, il ne se reprĂ©sente pas une nouvelle fois[3].

Biographie

Jeunesse et Ă©tudes

Christian Blanc est le fils de Marcel Blanc, rĂ©sistant, secrĂ©taire des Jeunesses socialistes clandestines de Gironde durant l'Occupation, franc-maçon haut gradĂ©, premier adjoint socialiste au maire de Bordeaux Ă  la LibĂ©ration et nĂ©gociant en fruits exotiques. Il effectue ses Ă©tudes Ă  Bordeaux, au lycĂ©e Montesquieu, puis intĂšgre l'Institut d'Ă©tudes politiques de Bordeaux. LaurĂ©at d'une bourse Zellidja en 1960[4] ; il est l'un des principaux responsables de l'Union nationale des Ă©tudiants de France (UNEF), oĂč il se lie avec Michel Rocard, et prĂ©side Ă  la fin de sa scolaritĂ© la Mutuelle nationale des Ă©tudiants de France (MNEF), de 1964 Ă  1965. À cette Ă©poque, il milite au sein du Front universitaire antifasciste en faveur de la paix en AlgĂ©rie[5]. InvitĂ© par Fidel Castro, il participe en compagnie de Marc Kravetz Ă  la ConfĂ©rence latino-amĂ©ricaine de solidaritĂ© Ă  Cuba pendant l'Ă©tĂ© 1967[6].

Haut fonctionnaire

GrĂące Ă  François Bloch-LainĂ©, il entre dans une filiale de la Caisse des dĂ©pĂŽts, puis devient chef de bureau au ministĂšre de la Jeunesse et des Sports oĂč il crĂ©e les bases de plein air et de loisir de la rĂ©gion parisienne[6]. En septembre 1974, il rejoint le parti socialiste oĂč il dirige de 1978 Ă  1980 le cabinet de Michel Rocard[6].

De 1981 à 1983, il est directeur de cabinet du commissaire européen Edgard Pisani, puis préfet, commissaire de la République des Hautes-Pyrénées, de 1983 à 1984[7]. Christian Blanc est ensuite secrétaire général de la Nouvelle-Calédonie auprÚs d'Edgard Pisani, alors délégué du gouvernement sur le territoire, puis préfet de Seine-et-Marne de 1985 à 1989[7].

En 1988, il retourne en Nouvelle-Calédonie[8] en tant que chef de la « Mission du dialogue »[9] envoyée par le gouvernement français dans le but de trouver une solution politique au conflit qui secoue l'ßle[10]. Il négocie les accords de Matignon, adoptés par référendum en novembre 1988[11] - [12].

Dirigeant d'entreprises

Christian Blanc prend ensuite, pendant trois ans, la présidence de l'entreprise publique RATP. Il entreprend alors une réforme en profondeur de l'entreprise. Il la décentralise, sépare le grade et la fonction et ramÚne à trois le nombre de niveaux hiérarchiques[13]. La presse[14] qualifie cette réforme de « big bang »[15].

Durant sa présidence, la décision de créer la ligne Meteor a été prise[16]. Il démissionne de son poste en 1992[17], lorsque le gouvernement refuse de le soutenir[18] pour instaurer le service minimum dans l'entreprise[19].

Il devient PDG d'Air France en 1993, alors que la société traverse une grave crise. Il participe au redressement de l'entreprise[20], en faisant notamment adopter un plan de sauvetage par référendum interne[21]. En 1997, il propose un nouveau plan de restructuration et de modernisation de la compagnie qui est refusé en bloc par les organisations syndicales du groupe. Christian Blanc demande alors l'arbitrage du gouvernement qui n'appuie pas clairement son projet. Faute du soutien du Premier ministre de l'époque Lionel Jospin et aprÚs un désaccord stratégique avec le ministre des Transports, Jean-Claude Gayssot, sur le rythme de la modernisation de l'entreprise aéronautique, il démissionne en 1997[19].

À la suite des recommandations de Jacques Chirac auprĂšs du milliardaire Rafiq Hariri, il devient conseiller du groupe aĂ©rien libanais Middle East Airlines en 1998-1999[22]. Il s'investit Ă©galement dans l'organisation non gouvernementale Action contre la faim dont il est administrateur entre 1999 et 2001, pĂ©riode pendant laquelle il prĂ©side deux startups : Skygate, qui dĂ©veloppe un rĂ©cepteur satellitaire de petite taille[23], et Harmonie. Il se retrouve Ă©galement Ă  la tĂȘte de la startup Karavel, qui rachete le site Promovacances[24].

Il est président de la banque d'affaires Merrill Lynch France entre 2000 et 2002. Alors qu'il se trouve au World Trade Center de New York le , il échappe aux attentats car il est sorti de l'immeuble pour fumer un cigare[19].

En septembre 2014, la compagnie aérienne tunisienne Syphax Airlines désigne Christian Blanc au poste de PDG[25], succédant au fondateur Mohamed Frikha qui se lance dans l'élection présidentielle tunisienne[26]. Deux mois plus tard, il est démis de ses fonctions, Syphax Airlines s'étant fait épingler par la direction générale de l'aviation civile tunisienne (DGAC) pour ne pas avoir effectué certaines procédures administratives nécessaires à l'embauche d'un dirigeant étranger[27].

DĂ©buts avec Michel Rocard

Christian Blanc en 2010.

Christian Blanc fait partie de l'équipe de Michel Rocard dans les années 1970, contribuant notamment à son élection à la mairie de Conflans-Sainte-Honorine[28]. D'aprÚs MichÚle Cotta, Christian Blanc entretient auprÚs des journalistes le sentiment de rupture entre Michel Rocard et le premier secrétaire du Parti socialiste, François Mitterrand[29].

Michel Rocard puis Édith Cresson lui ont proposĂ© d'intĂ©grer le gouvernement, mais il a refusĂ©, prĂ©fĂ©rant demeurer Ă  la RATP[14].

Député et rapprochement avec la droite

Briguant un siĂšge de dĂ©putĂ© dans la 3e circonscription de Paris lors des Ă©lections lĂ©gislatives de 2002, sous l'Ă©tiquette « Énergies dĂ©mocrates », il recueille 9,63 % des voix[30]. Six mois plus tard, Christian Blanc se prĂ©sente Ă  une Ă©lection lĂ©gislative partielle, provoquĂ©e par la dĂ©mission d'Anne-Marie Idrac, nommĂ©e Ă  la prĂ©sidence de la RATP, dans la 3e circonscription des Yvelines. Élu au premier tour, il rejoint le groupe UDF Ă  l'AssemblĂ©e nationale, en tant qu'apparentĂ©.

En 2003, le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin lui confie une mission sur le dĂ©veloppement Ă©conomique. Six mois plus tard, il remet un rapport intitulĂ© Pour un Ă©cosystĂšme de la croissance[31], dans lequel il recommande entre autres la crĂ©ation de pĂŽles de compĂ©titivitĂ©. Cette recommandation sera suivie d'effets puisque le gouvernement lance un appel Ă  projets visant Ă  crĂ©er de tels pĂŽles dĂšs octobre 2004. En revanche, les rĂ©formes de l'organisation de l'UniversitĂ© et de la Recherche publique qu'il prĂ©conise dans ce mĂȘme rapport ne seront pas mises en Ɠuvre.

Il appelle Ă  la dĂ©mission de Jacques Chirac en 2006, pour « accĂ©lĂ©rer les rĂ©formes » et en finir avec l'« immobilisme »[32]. La mĂȘme annĂ©e, il lance avec Alain Lambert (UMP) et Jean-Marie Bockel (PS) un « comitĂ© d’action pour la modernisation de la France », en faveur d'une modernisation « globale et cohĂ©rente » de l'Ă©conomie et de la sociĂ©tĂ© française, en insistant sur le « pĂ©ril de la dette » et sur la nĂ©cessitĂ© de la croissance[33]. Il participe Ă  la Commission PĂ©bereau, qui chiffre la dette publique française Ă  2 000 milliards d'euros[34].

Christian Blanc apporte son soutien Ă  Nicolas Sarkozy au premier tour de l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 2007[35] et rejoint le Parti social libĂ©ral europĂ©en (futur Nouveau Centre) au moment des Ă©lections lĂ©gislatives, lors desquelles il est rĂ©Ă©lu au premier tour, avec le soutien de l'UMP[36]. Entre 2002 et 2007, il est prĂ©sident du mouvement politique « Énergies dĂ©mocrates » et fondateur d'« Énergies 2007 », mouvements favorables Ă  la rĂ©forme de l'État et Ă  une intĂ©gration europĂ©enne plus poussĂ©e.

Vice-président du Nouveau Centre au sein de son organisation provisoire, il se présente aux élections municipales de 2008 au Chesnay contre le maire sortant divers droite, Philippe Brillault. Dans le cadre d'une triangulaire, sa liste réunit 36,28 % suffrages exprimés, devancée par celle du maire sortant.

SecrĂ©taire d'État au Grand Paris et affaires judiciaires (2008-2010)

NommĂ© secrĂ©taire d'État chargĂ© du DĂ©veloppement de la rĂ©gion capitale le , Christian Blanc cĂšde son siĂšge de dĂ©putĂ© Ă  sa supplĂ©ante, Colette Le Moal. Il est chargĂ© du projet de loi sur le « Grand Paris », votĂ© en mai 2010, qui prĂ©voit notamment un rĂ©seau de mĂ©tro automatique autour de Paris.

En , aprĂšs avoir mis fin aux fonctions de son chef de cabinet, il dĂ©couvre des allĂ©gations sur sa situation fiscale dans Le Canard enchaĂźnĂ©[37]. L'hebdomadaire satirique rĂ©vĂšle peu de temps aprĂšs que Christian Blanc a fait acheter sur le budget de son secrĂ©tariat d'État pour 12 000 € de cigares en dix mois, information largement reprise par la presse[38].

Christian Blanc dĂ©clare soupçonner son ancien chef de cabinet Guillaume Jublot, licenciĂ© fin mai 2010, d'avoir fourni ces informations au Canard enchaĂźnĂ©[39]. Il rembourse 3 500 euros correspondant, selon ses dires, Ă  sa « consommation personnelle ». Selon le communiquĂ© officiel, Christian Blanc et François Fillon, Premier ministre Ă  l'Ă©poque, « ont convenu ensemble qu'il Ă©tait opportun que M. Blanc honore la totalitĂ© de la dĂ©pense sur ses deniers personnels ». Christian Blanc rembourse donc finalement l'intĂ©gralitĂ© de la somme[40].

Le , son ancien collaborateur, Guillaume Jublot annonce porter plainte pour diffamation contre Christian Blanc pour ses accusations concernant l'affaire des cigares. Le , le tribunal correctionnel de Paris condamne Christian Blanc pour avoir diffamé son chef de cabinet[41].

Mis en difficulté au sein du gouvernement par cette affaire[42], il annonce sa démission du gouvernement le [43]. Le lendemain, dans une interview pour L'Express, il déclare que sa décision de démission « remonte à quelque temps déjà, cela devait se faire en juillet, ce fut le 4 juillet »[44].

L'opposition et une partie de la presse analysent cet Ă©vĂ©nement comme une manƓuvre visant Ă  faire baisser la pression mĂ©diatique dans l'affaire Woerth-Bettencourt[45] - [46]. L'UMP dĂ©ment un tel lien[47]. Les fonctions occupĂ©es par Christian Blanc sont transfĂ©rĂ©es Ă  Michel Mercier, ministre de l'Espace rural et de l'AmĂ©nagement du territoire[48].

Il retrouve automatiquement son mandat de député un mois aprÚs son départ du gouvernement, le [49]. Il décide de ne pas se représenter aux élections législatives de 2012.

En 2015, il publie aux éditions Odile Jacob Paris Ville monde, livre dans lequel il explique sa stratégie pour permettre à la France de retrouver sa place dans l'économie mondiale[50].

Vie privée

Il vit en couple durant cinq ans avec Virginie Calmels, qu'il avait embauchée en tant que directrice financiÚre à Skygate[51].

DĂ©tail des mandats et fonctions

Publications

Notes et références

  1. « Christian Blanc », Who's Who (consulté le ).
  2. « France: présidentielle 2002 - Christian Blanc entre dans le débat politique », Radio France internationale (consulté le ).
  3. François Desplans, « Christian Blanc ne se représentera pas aux Angles », France Bleu, .
  4. « Cérémonies annuelles, Cérémonie 2008 », sur Fondation Zellidja, via web.archive.org (consulté le ).
  5. « Rappel historique : 1960-1962 », sur esu-psu-unef.com, (consulté le ).
  6. Michel Faure, « L'inclassable Christian Blanc », L'Express, 4 novembre 1993.
  7. « Biographie de Christian Blanc », LCI (consulté le ).
  8. « La dĂ©lĂ©gation restreinte du FLNKS a rencontrĂ© « par courtoisie » la mission dirigĂ©e par Christian Blanc », LibĂ©ration,‎ , p. 4.
  9. « Christian Blanc, le faiseur de miracles », La Vie, no 2250,‎ , p. 20.
  10. « Christian Blanc n’a qu’un seul credo : « la solidaritĂ© des gens positifs » », L'Express,‎ , p. 20 et 21.
  11. « Christian Blanc : l’artisan de la rĂ©conciliation », Le Figaro,‎ .
  12. « M. Christian Blanc (Chef de la mission du dialogue) : ‘L’espĂ©rance est atteinte’ », AFP,‎ .
  13. « Christian Blanc : la croisade du premier PDG de la RATP », Le Figaro,‎ :
    « Le prĂ©sident de la RATP joue l’épreuve de force contre les syndicats. Il est dĂ©terminĂ© Ă  moderniser la RĂ©gie en brisant certains tabous. »
  14. « La RATP dans la tornade Blanc », Le Monde,‎ (lire en ligne) :
    « La RĂ©gie des transports parisiens Ă©tait tombĂ©e en dĂ©liquescence. Christian Blanc son PDG, lui applique une mĂ©decine de cheval. Les syndicats se rebiffent. L’usager n’en profite pas encore. »
  15. « Le Big Bang de la RATP », L'Entreprise,‎ .
  16. François Lamarre, « MĂ©tĂ©or : harmonie en sous-sol », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  17. « RATP : comment on a lĂąchĂ© Christian Blanc », Le Nouvel Observateur,‎ .
  18. « RATP : le chantier inachevĂ© de Christian Blanc », La Tribune,‎ .
  19. « Le cigare qui avait sauvĂ© Christian Blanc », LibĂ©ration,‎ (lire en ligne).
  20. Jean Watin-Augouard, Histoires de marques, Ă©ditions d'organisation (ISBN 2708126571), p. 28.
  21. Denis Fainsilber, « L'arme du rĂ©fĂ©rendum Ă  Air France : le prĂ©cĂ©dent Christian Blanc », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  22. Denis Fainsilber, « Christian Blanc installe un de ses proches aux commandes de Middle East Airlines », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  23. Pascal Riche, « Christian Blanc. En Hollande, l'ex-PDG d'Air France pilote un projet dans les nouvelles technologies », LibĂ©ration,‎ (lire en ligne).
  24. Jean-Jacques Manceau, « Karavel, la start-up gagnante de Christian Blanc », L'Expansion-L'Express,‎ (lire en ligne).
  25. « Syphax Airlines : Christian Blanc, ex-PDG d'Air France, va piloter la compagnie », sur Tourmag.com, (consulté le ).
  26. François Duclos, « Syphax Airlines enrÎle Christian Blanc, réduit Montréal », sur Ait-journal.fr, (consulté le ).
  27. « Syphax Airlines: Mohamed Ghelala remplace Christian Blanc », sur Webmanagercenter.com, (consulté le ).
  28. MichĂšle Cotta, Cahiers secrets de la Ve RĂ©publique, tome II (1977-1986), Ă©ditions Fayard, 2008, p. 195.
  29. MichĂšle Cotta, Cahiers secrets de la Ve RĂ©publique, tome II (1977-1986), Fayard, 2008, p. 192.
  30. Élections lĂ©gislatives de 2002 - rĂ©sultats dans la 3e circonscription de Paris, MinistĂšre de l'IntĂ©rieur.
  31. Pour un Ă©cosystĂšme de la croissance, mai 2004.
  32. « Partez M. le président, Le Monde, 14 janvier 2006.
  33. « Rencontre avec Christian Blanc, dĂ©putĂ© prĂ©sident du mouvement Énergies 2007 », Bondy Blog, 18 dĂ©cembre 2006.
  34. [PDF] Rapport de la commission PĂ©bereau.
  35. « Christian Blanc : Je choisis Sarkozy », Le Figaro, 25 janvier 2007.
  36. Élections lĂ©gislatives de 2007 - rĂ©sultats dans la 3e circonscription des Yvelines sur le site du ministĂšre de l'IntĂ©rieur.
  37. « Epinglé par le Canard, Blanc s'explique sur sa feuille d'impÎts », LCI-TF1, 9 juin 2010.
  38. « Blanc a reçu 12.000 € de cigares », AFP-Le Figaro, 16 juin 2010.
  39. « Christian Blanc se dĂ©fend : “Comment j'ai Ă©tĂ© trahi” », Le Figaro, 22 juin 2010.
  40. «Fillon exige de Christian Blanc qu’il rembourse ses achats de cigares», France Info, 23 juin 2010.
  41. « Affaires des cigares : Christian Blanc condamnĂ© pour diffamation », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  42. (en) French officials resign amid spending scandals, Los Angeles Times, 5 juillet 2010.
  43. « Joyandet et Blanc quittent le gouvernement », Le Figaro, 5 juillet 2010.
  44. « Christian Blanc : "Je rĂ©tablirai les faits" », L'Express,‎ :
    « Avez-vous le sentiment d’avoir Ă©tĂ© sacrifiĂ© par le gouvernement ? Pas du tout. J’ai estimĂ© en mon Ăąme et conscience qu’il fallait dĂ©missionner. Ma dĂ©cision remonte Ă  quelque temps dĂ©jĂ . Cela devait se faire en juillet, ce fut le 4 juillet. C’était le meilleur moment pour le prĂ©sident de la RĂ©publique, c’est ainsi. Toute cette affaire a Ă©tĂ© volontairement exagĂ©rĂ©e. Avant, les cigares avaient une dimension romantique. Aujourd’hui, ils sont synonymes de puissance et d’arrogance. En revanche, le sexe ou la cocaĂŻne, personne ne s’y intĂ©resse. J’ai Ă©tĂ© victime d’un guet-apens et je le prouverai. »
  45. « Blanc/Joyandet, simples fusibles ? », Le Journal du dimanche, 4 juillet 2010.
  46. « AprÚs les démissions de Blanc et Joyandet, Woerth peut-il tenir ? », Le Monde, 5 juillet 2010.
  47. DĂ©missions de Blanc et Joyandet : "pourquoi l'ÉlysĂ©e couvre Woerth ?", TF1 News, 4 juillet 2010.
  48. « Le secrĂ©taire d'État abandonne le chantier du Grand Paris au milieu du guĂ© », Les Échos, 5 juillet 2010.
  49. « Christian Blanc retourne Ă  l’AssemblĂ©e nationale », Le Parisien, 6 aoĂ»t 2010.
  50. « Paris, ville-monde, de Christian Blanc (Ă©d. Odile Jacob) », Le Journal du Grand Paris,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  51. Guy Dutheil, « Virginie Calmels : la dame de fer de la télé », sur lemonde.fr, (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

Article connexe

Liens externes

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