Chaumot (Yonne)
Chaumot est une commune française située dans le département de l'Yonne et la région de Bourgogne-Franche-Comté, bien que n'appartenant pas historiquement à la Bourgogne, mais à la Champagne. Son clocher massif perché sur la Montagne marque l'entrée de la région naturelle du Gâtinais.
Chaumot | |||||
La Mairie de Chaumot depuis la place Saint-Louis | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Yonne | ||||
Arrondissement | Sens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Gâtinais en Bourgogne | ||||
Maire Mandat |
Sylvie Guilpain 2020-2026 |
||||
Code postal | 89500 | ||||
Code commune | 89094 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
703 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 47 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 04′ 54″ nord, 3° 13′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 90 m Max. 201 m |
||||
Superficie | 14,86 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Sens (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Villeneuve-sur-Yonne | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
| |||||
Liens | |||||
Site web | chaumot-yonne.fr | ||||
Géographie
Géologie et relief
Chaumot se trouve dans le canton de Villeneuve-sur-Yonne et le village domine les alentours sur une très haute colline dite la Montagne dont la pente sud est flanquée de falaises de craie percée de vinéees. Son point le plus haut est à 201 mètres (hameau du Moulin à Vent), le plus bas à 90 mètres (Préaux), au château d'eau à proximité du hameau de la Guetterie, sur un plateau datant de l'ère tertiaire, au sol gras rouge et gris à silex, avec des argiles jaunâtres et du sable blanc siliceux. La commune est parsemée de grands bois et autrefois d'arbres à cidre; dans le vallon-gorge, on voit à nu la craie blanche à silex, avec deux puits de 40 mètres de profondeur; les deux puits du village (sur le plateau) tarissent lorsque le temps est sec. Ils mesurent d'abord 16 mètres de profondeur pour atteindre 72 m dans la craie.
Des sols de grès sauvages se trouvent au lieu-dit des Pieds-Gras et aux Roux et des amas pauvres d'argile jaunâtre et de sable à Mardelin. D'anciennes marnières sont situées sur le plateau et dans le vallon. Elles servaient à amender les terres autrefois. Les côtes sont de terre rouge caillouteuse et crayeuse et avant la crise du phylloxéra à la fin du XIXe siècle étaient recouvertes de vignobles. La nature des sols se retrouve dans les constructions. En effet, traditionnellement les longères, fermes et anciennes maisons de vignerons sont construites en cailloux et grès sauvages avec des chemins en silex, aujourd'hui recouverts de macadam.
Hydrographie
Dans le vallon trois belles sources donnent naissance au ru de Chaumot. Elles alimentaient autrefois trois étangs au lieu d'un aujourd'hui. La source principale, dite la Fontaine-Rouge se trouve près du Moulin Neuf, entouré de grandes prairies sur un sol d'alluvions glaiseux d'un gris noirâtre ; un lac dit étang de 35 arpents (presque 18 hectares) se trouvait jadis aux Lagneaux, d'autres lacs plus petits, mais pas moins immenses se trouvaient à Mardelin : étang des Madeaux, à Tourneboules : étang des Tourneboules, aux Taffoireaux: étang des Taffoureux, les deux chapelets d'étangs aux Garangers : étangs des Garangères, mais aussi des étangs à proprement parler à la Fontaine-Rouge : étang des Préaux, et le chapelet d'étangs d'agrément de l'ancien château : le grand miroir d'eau des fontaines de Bourienne et son réservoir inférieur toujours existant où se situe le lavoir construit par Paul Delpech en 1736 sur l'emplacement d'un ancien moulin à eau, et en face duquel est l'actuel moulin de tournebride (XIXe s).
Une grande machine à roue et pompes hydrauliques construite par Paul Delpech en 1714 était derrière ce lavoir dans une cave à étages. Détruite en 1792 au moment du sac du château de Chaumot avant que ces éléments ne soient entreposés et vendus à Villeneuve-sur-Yonne, cet important dispositif de pompage des eaux des fontaines de Bourienne était destiné à alimenter en eau les jardins du château et le parc de Chaumot, en tout cinq imposants jets d'eau.
Communes limitrophes
Égriselles-le-Bocage | Marsangy | Rousson | ||
Vernoy | N | |||
O Chaumot E | ||||
S | ||||
Piffonds | Bussy-le-Repos |
Urbanisme
Typologie
Chaumot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4] - [5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,7 %), forêts (14 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Toponymie
Chaumot se nommait Chaumoth et plus anciennement Calmottum : calm de kal et de calmis signifiant roche ou hauteur dénudée, ce qui s'accorde bien avec l'apparence du site. Les correspondances germanophone et italophone du prince François-Xavier de Saxe et son épouse la comtesse Claire Spinucci présentent parfois "Chaumote", indiquant ainsi la manière orale de prononcer Chaumot sous l'Ancien Régime.
Histoire
Cette commune, à l'origine trois fois moindre et morcelée, a été fondée à la Révolution française sur le regroupement de trois seigneuries : Chaumot, Mardelin et Préaux, qui avaient chacune leur château, prison, colombier, fiscalité, contributions directes et juridiction.
La seigneurie de Chaumot devint, de loin, la plus considérable. Le fermier général Paul Delpech de Chaumot fit reconstruire le château, puis ses héritiers le vendirent en 1771 au prince François-Xavier de Saxe, oncle de Louis XVI, Louis XVIII et Charles X.
Selon les travaux historiques de Mathieu Couty et de Patricia Colfort, la population de Chaumot (environ 350 habitants) fut dans son âge d'or à partir de 1771, et durant plusieurs années, à 25% germanophone grâce à la courte installation au château de Chaumot de la cour des princes et princesses de Saxe, qui comprenait "120 personnes et 60 chevaux".
Le château fut mis à sac sous la Révolution, puis rapidement dépecé et détruit sous l'Empire, en 1809. Mais son grand parc subsiste malgré la disparition des jardins.
Politique et administration
Les maires de Chaumot
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[11].
En 2020, la commune comptait 703 habitants[Note 3], en diminution de 9,06 % par rapport à 2014 (Yonne : −2,24 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Chaumot fut édifié au cours du Xe siècle et reconstruit à la moderne au XVIe siècle dans le creux du vallon, au sud-est du hameau des Vinées. La légende raconte que Saint Louis aurait fait jaillir de sa lance les trois sources du château.
Après avoir appartenu au prince François-Xavier de Saxe où il logeait sa cour et sa famille, oncle de Louis XVI, il fut détruit et pillé après la Terreur. Louis Jacques Thénard en avait déplacé les deux tourelles et les a rattachées à sa ferme ; il n'en reste qu'une seule. Il ne subsiste du château que ruines, aqueducs souterrains, parc, sources, traces de bassins et jardins, caves, quelques communs.
Deux princesses ont été baptisées dans la chapelle Sainte-Marie-Madeleine du château de Chaumot : Béatrix de Saxe épouse Rario-Sforza di Corleto en 1772, et Cunégonde de Saxe épouse Patrizi Naro Montoro en 1774.
- L'église Saint-Louis, dresse la masse imposante de son clocher au cœur du village, érigé par Paul Delpech de 1723 à 1725.
- Il existe (non à l'air libre) entre le village et les Vinées, une nécropole mérovingienne et carolingienne, située sur un terrain pentu et en bord de falaise, jadis recouverte par les vignes.
- Le lavoir, le mardelin, le tourne-bride, les caves du château, le moulin vieux en ruines et sa cascade, le moulin neuf ayant appartenu à l'actrice et danseuse Leslie Caron (dit moulin de la Fontaine-Rouge), le moulin de Tournebride et sa roue, les digues d'anciens étangs, les grandes sources l'étang et le parc, les bois du legs Thénard, la jardinerie et la serrurerie du château, le vieux café, le presbytère, la mairie et l'école. L'artiste Berthold Mahn avait sa dernière maison au hameau des Lorris où il finit ses jours.
- L'actuel n°32 rue Louise Thénard, place Saint Louis, abritait pendant l'occupation nazie une Ortskommandantur et ses officiers allemands logeant chez l'habitant, vis-à -vis la façade nord de l'église sur laquelle pendait un grand drapeau rouge avec croix gammée.
Personnalités liées à la commune
- Le prince régent Xavier de Saxe, duc de Saxe, prince de Pologne et de Lituanie, comte de Lusace né le au palais de Dresde, mort le au palais de Zabeltitz, fils de Frédéric-Auguste II de Saxe, roi de Pologne et de l'archiduchesse Marie-Josèphe d'Autriche, oncle des rois Louis XVI, Louis XVIII et Charles X, lieutenant-général des armées du roi de France, régent du royaume de Saxe de 1763 à 1768 pendant la minorité de son neveu le roi Frédéric-Auguste Ier de Saxe. Il vécut au château de Chaumot de 1771 à 1775, dont il fut le châtelain de 1771 à 1792 et de 1802 à 1806[14].
- La comtesse Claire de Spinucci, (en italien Chiara Spinucci) née le à Fermo, morte à Porto San Giorgio le avant le départ de son époux en Saxe, est la fille du comte Giuseppe Spinucci et de Béatrice Vecchi-Buratti, la sœur du cardinal Domenico Spinucci, et l'épouse morganatique du prince Le prince régent Xavier de Saxe. Elle vécut au château de Chaumot de 1771 à 1775[14].
- L’abbé Augustin de Barruel, né à Villeneuve-de-Berg le et mort à Paris le , est un prêtre jésuite, et essayiste polémiste catholique français. Il fut le précepteur des princes Louis de Saxe et Joseph de Saxe au château de Chaumot en 1774 et 1775[14].
- Le duc Victurnien de Mortemart, suzerain féodal de la seigneurie de Préaux à Chaumot[14].
- Casimir Pierre Périer, né le à Grenoble et mort le à Paris, est un banquier et homme d'État français, régent de la Banque de France, président du Conseil du à sa mort, due à l'épidémie de choléra de 1832[15]. Il fut propriétaire de l'ancien domaine du château de Chaumot de 1818 à 1831.
- Louis Jacques Thénard
- Berthold Mahn, artiste peintre, dessinateur, lithographe et illustrateur français, né à Villeneuve-sur-Yonne (Yonne) le [16] et mort à Chaumot le .
- Leslie Caron, (1931), actrice et danseuse franco-américaine, née le à Boulogne-Billancourt. Elle habita le Moulin Neuf de l'ancien domaine du château de Chaumot à partir de 1981[17].
Héraldique
Blason | Coupé émanché ondé de deux pièces et deux demi d'azur sur trois pièces d'argent, celle du milieu plus élevée, chaque émanché d'argent surmontée d'une fleur de lys au pied nourri du même, celle du chef surchargée d'une fleur de lys d'or ; l'argent chargé d'un tunnel de sinople mouvant de la pointe et surchargé d'un fer de moulin d'argent ; à deux têtes de dragon affrontées d'or mouvant des flancs et engoulant une divise de sable chargée d'un cœur d'or accosté de six besants du même ordonnés 2 et 1 de chaque côté, le tout brochant[18]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Victor Petit, Lithographie "Restes du Chaumot", dans Les Châteaux de France, par Victor Petit, 1840.
- Victor Petit, "Chaumot", dans Annuaire Historique du Département de l'Yonne, 1845.
- Jules Vernier, Correspondance inédite du prince Xavier de Saxe, connu en France sous le nom de Comte de Lusace, précédé d'une notice sur sa vie, Librairie historique et archéologique Dumoulin, 1874.
- Valérie d'Anglejan Chatillon, Deux éducations aristocratiques à la fin du XVIIIe siècle : les princes Louis et Joseph de Saxe, College royal de Navarre, 1981.
- Jacques Gyssels, Un inventaire du château de Chaumot en 1699, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuviennes n°9, 1986.
- Jean-Luc Dauphin, L’église Saint-Louis de Chaumot, les Amis du Vieux Villeneuve, Collection "Terres d'Histoire", 1986, réédition 1996.
- Mathieu Couty, Le château de Chaumot au temps de Xavier de Saxe: un domaine rural en Villeneuvien au crépuscule de l'Ancien Régime, Les Amis du Vieux Villeneuve, Collection "Terres d'Histoire", 1996.
- Mathieu Couty, Chaumot, 1775 : scandale au château, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuvienne n°24, 1996.
- Guillaume Cardascia, Les terrasses de Chaumot, ou les rêves de Xavier de Saxe, un oncle maternel de Louis XVI, Editions Tarmeye, 2002.
- Etienne Meunier, Notes pour servir à l'histoire des seigneurs de Chaumot de 1493 à 1634, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuviennes n° 36.
- Jacques Gyssels et Mathieu Couty, De quelques aménagements au château de Chaumot, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuviennes n°40, 2009.
- Jim Serre Djouhri, Le savant et les chenilles : Chaumot 1838-1839, les Amis du Vieux Villeneuve, Etudes villeneuviennes n°44, 2011.
- Jim Serre Djouhri, préface de Jacques Gyssels, Le château de Chaumot en Champagne au temps de Paul Delpech, financier général de Paris en Limagne : un grand domaine féodal au XVIIIe siècle avant le prince Xavier de Saxe, Edition Jim Serre Djouhri, 2021.
- Recherches et conservation des ouvrages de la bibliothèque du prince Xavier de Saxe à la Bibliothèque Mazarine (Paris)
- Recherches et conservation des archives de Xavier de Saxe, aux Archives Départementales de l'Aube (Troyes)
- Colloques et travaux universitaires actuels :
- Christian Terraux, Correspondance et réseaux d'une maison princière dans l'Europe du XVIIIe siècle, Université Paris-Sorbonne, 2005.
- Patricia Colfort, Le château de Chaumot à la veille de la Révolution française, Université de Reims Champagne-Ardenne, 2006.
- Vincent Dupanier, Les résidences de Xavier de Saxe : un prince allemand en France (1758-1791), Université Paris Nanterre, 2019.
- D'Allemagne en Champagne : Xavier de Saxe (1730-1806), seigneur de Pont-sur-Seine, actes du colloque, 6 et , textes réunis par Jean-Luc Liez, Troyes, Communauté de l'agglomération troyenne (CAT) et Archives de l'Aube, 2008. Programme
- Colloque à Chemnitz en et exposition au Schlossbergmuseum de Chemnitz à l'automne 2009. Catalogue de l'exposition : Die Gesellschaft des Fürsten. Prinz Xaver von Sachsen und seine Zeit. Programme
- Exposition à l'Université de Reims Champagne-Ardenne (Bibliothèque universitaire Robert de Sorbon), du au : Sur les traces de Xavier de Saxe (1730-1806) : un prince européen en Champagne
- Consulter la correspondance de Xavier de Saxe sur Gallica
- Fonds Xavier de Saxe sur le site des Archives de l'Aube
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Chaumot sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sens », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Patricia Colfort, Le Château de Chaumot à la veille de la Révolution française, Université de Reims Champagne-Ardenne, 2006, p.172.
- Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 15 décembre 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Mathieu Couty, Le château de Chaumot au temps de Xavier de Saxe : un domaine rural en Villeneuvien au crépuscule de l'Ancien Régime, Villeneuve-sur-Yonne, Amis du Vieux Villeneuve-sur-Yonne, Société Historique, Archéologique, Artistique et Culturelle du canton de Villeneuve-sur-Yonne, , 128 p.
- dir. Benoît Yvert, Premiers ministres et présidents du Conseil depuis 1815 : Histoire et dictionnaire raisonné, Perrin, , 730 p., p. 99
- On le donne souvent à tort comme étant né en 1893, probablement à cause de références bibliographiques non vérifiées. Par ex. dans
RKDartists.
Le 25 décembre 1881 est la date qui figure dans la notice d'autorité du catalogue général de la BnF - Jim Serre Djouhri, "De Hollywood au Moulin Neuf, dans les pas de l'actrice Leslie Caron", Bulletin des Etudes Villeneuviennes n °57, Société Historique, Archéologique, Artistique et Culturelle des Amis du Vieux Villeneuve-sur-Yonne, 2022.
- « Chaumot (Yonne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).