Villeneuve-de-Berg
Villeneuve-de-Berg est une ville française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes, à environ 15 kilomètres à l’est d’Aubenas et 25 kilomètres à l’ouest de Montélimar. Elle compte quelque 3 000 habitants appelés les Villeneuvois.
Villeneuve-de-Berg | |||||
La ville de Villeneuve-de-Berg. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
Département | Ardèche | ||||
Arrondissement | Largentière | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Berg et Coiron (siège) |
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Maire Mandat |
Sylvie Dubois 2020-2026 |
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Code postal | 07170 | ||||
Code commune | 07341 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | villeneuvois, villeneuvoise | ||||
Population municipale |
3 028 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 123 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 33′ 28″ nord, 4° 30′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 208 m Max. 494 m |
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Superficie | 24,61 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Villeneuve-de-Berg (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Aubenas (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Berg-Helvie | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Liens | |||||
Site web | villeneuvedeberg.fr | ||||
GĂ©ographie
Situation et description
Villeneuve-de-Berg est située à 325 m d'altitude, sur une éminence calcaire dominant la route reliant la vallée du Rhône (Viviers et Le Teil) au Puy-en-Velay via Aubenas.
Villeneuve-de-Berg est entourée au nord et à l'ouest par la vallée de la Claduègne qui coule depuis le plateau du Coiron basaltique qui domine au nord, à l'est par la montagne de Berg calcaire, et au sud par la vallée de l'Ibie qui naît sur son territoire.
Communes limitrophes
Villeneuve-de-Berg est limitrophe de sept communes[1], toutes situées dans le département de l'Ardèche et réparties géographiquement de la manière suivante :
GĂ©ologie et relief
La commune se situe dans la partie méridionale du plateau du Coiron, lequel forme un plateau basaltique s'étendant au Sud du Moyen-Vivarais.
Hydrographie
Le territoire communal est traversé par l'Ibie, rivière qui prend sa source dans la commune voisine de Saint-Jean-le-Centenier et parcourt 32,9 km[2] avant de rejoindre l'Ardèche à Vallon-Pont-d'Arc.
Urbanisme
Typologie
Villeneuve-de-Berg est une commune rurale[Note 1] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-de-Berg, une unité urbaine monocommunale[6] de 3 028 habitants en 2020, constituant une ville isolée[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aubenas, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9] - [10].
C’est aussi la commune la plus peuplée de la communauté de communes Berg et Coiron.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,1 %), forêts (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), zones urbanisées (9,3 %), cultures permanentes (4,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Histoire
La fondation de la bastide royale de Villeneuve-de-Berg
La fondation de la bastide royale de Villeneuve-de-Berg résulte d’un accord de paréage, conclu en 1284 entre le roi Philippe III le Hardi et Foulques, abbé du monastère cistercien de Mazan, dans la montagne vivaroise. C’est l’une des quatre bastides de la sénéchaussée de Beaucaire avec :
- Villeneuve-lès-Avignon, sur un village fortifié du monastère de Saint-André (1226) ;
- Aigues-Mortes (1240) ;
- Boucieu-le-Roi, dans le Haut-Vivarais (1292).
Sur ces quatre fondations, seule Villeneuve-de-Berg a pour origine un accord de paréage entre le roi et une abbaye cistercienne. On sait que le Languedoc oriental, ou méditerranéen, est passé dès l'époque du traité de Meaux-Paris (1229) sous la domination capétienne. Il était divisé en deux sénéchaussées, Carcassonne et Beaucaire.
Le pays de Berg est formé du bassin de la rivière Ibie et de ses affluents. Son confluent avec l’Ardèche se trouve en amont du pont d'Arc. Son peuplement est très ancien mais sa densité est restée très faible jusqu'au milieu du Moyen Âge. Il commença à se développer à partir du XIIe siècle. On connaît seulement trois lieux de peuplement antérieurs ou contemporains à cette période : Saint-Maurice-d'Ibie et Tournon-lès-Villeneuve, dit « le petit Tournon ». Saint-Andéol-de-Berg doit probablement son origine, vers l’époque où les cisterciens occupaient la région, à un donjon et à sa chapelle castrale, dépendances des seigneurs d'Alba.
Les abbayes cisterciennes possédaient généralement des exploitations éloignées de leur monastère et connues sous le nom de « granges ». La grange dite « de Berg » est mentionnée pour la première fois dans une bulle du pape Honorius III datée du et intitulée Religiosam vitam eligentibus, dite en français « privilège d’Honorius » (cartulaire de Mazan, no 9, folio 185-189 et Gallia christ.XVI, inst. p. 240). Compte tenu de sa position sur l’itinéraire de Mazan à Viviers et de l’étendue de son domaine, il est permis de penser que son implantation remonte à 1210, par transaction entre Raymond de Vogüè et l'abbè de Mazan.
En 1280, les habitants de Saint-Andéol-de-Berg pillèrent la grange cistercienne de Berg et tuèrent l'un de ses moines. Pour Marius Ribon, « ce drame accéléra la fondation de la Bastide de Villeneuve-de-Berg, en 1284 »[13].
Pour Jean Moulin, « il faut chercher la cause de cette fondation dans l'évolution interne des cisterciens et dans la politique expansionniste des Capétiens, à la suite de leur mainmise sur le Languedoc oriental », mais « il reste vrai cependant que l'événement de 1280 contribua largement à précipiter le processus déjà engagé »[14].
Villeneuve-de-Berg naquit par conséquent de la convergence des intérêts d'un pouvoir royal soucieux de faire pénétrer l'influence capétienne dans les principautés du Midi, et d'une communauté de moines déterminés à sauvegarder leurs ressources, fût-ce au prix d'un partage de souveraineté. C’est ainsi que le 12 et le , l’abbé cistercien de Mazan et le Sénéchal de Beaucaire, représentant du roi, signèrent devant notaire une charte de paréage, concrétisant la fondation en pays de Berg d’une Ville Neuve, en co-seigneurie [15].
Villeneuve-de-Berg était située au Moyen Âge sur un itinéraire reliant Viviers à la moyenne vallée de l’Ardèche (avec Aubenas) et au Massif central (Le Puy). Ce site permettait donc de contrôler le trafic entre la façade rhodanienne du Bas-Vivarais et son arrière-pays. En prenant pied sur cet itinéraire, les Capétiens, par l’entremise de leur sénéchal de Beaucaire, exerçaient une pression sur les évêques de Viviers pour les forcer à reconnaître leur suzeraineté.
Les Temps modernes
Du début des persécutions contre les protestants sous François Ier jusqu'au siège de Privas (1629), Villeneuve-de-Berg eut à connaître des périodes difficiles, notamment en mars 1573 lors d'un massacre de catholiques, et en 1628-1629, lors du passage des troupes de Louis XIII. Ce sont les protestants qui sont majoritaires et gèrent la ville, du début des guerres de religion en 1561 à 1621[16].
Le château voisin de Mirabel servit de refuge aux protestants. Il contrôlait le passage vers Privas et vers la vallée du Rhône puis la Suisse[17].
En 1621, le maréchal de Montmorency fait le siège de Villeneuve-de-Berg et s'empare de la ville. Le temple est détruit, et après l'édit d'Alès, le culte protestant ne peut avoir lieu qu'au Pradel, fief des Serres. La communauté protestante, qui représentait environ un quart de la population, continue de prospérer[16]. En 1685, peu avant la révocation de l'édit de Nantes, une troupe occupe tous les lieux protestants. En quelques jours, cette dragonnade tue 160 à 200 protestants[18].
Villeneuve n'a jamais joué un rôle majeur dans l’économie du Bas-Vivarais, rôle dévolu à Aubenas. Cependant la création d'un lieu de peuplement doté d'avantages fiscaux et la présence d'un tribunal (bailliage) royal, puis, au XVIIIe siècle, d'une sénéchaussée et d'une direction des eaux et forêts, contribua à créer une bourgeoisie et une noblesse qui prirent le relais des cisterciens dans la mise en valeur du pays de Berg.
Au XVIIIe siècle, l’administration royale entreprit de moderniser le réseau routier. Le tracé des itinéraires médiévaux fut largement remanié. La conséquence pour Villeneuve fut de bouleverser son schéma urbain. La voie principale, d'est en ouest, la Grand'rue, fut abandonnée au profit d'un axe nord-sud, qui fit disparaître ce qui restait de l’ancien fort.
Les agrandissements de l’église et la création des hôtels particuliers ont donné à la ville l’aspect qu'elle a conservé dans ses grandes lignes jusqu'à aujourd'hui.
Révolution française
Ă€ la RĂ©volution, Villeneuve-de-Berg tenta de garder un rĂ´le administratif, et devient chef-lieu de district, mais ne le resta que du au .
Époque contemporaine
Le , plus de 10 000 personnes sont venues y manifester leur opposition à l'exploitation possible du gaz de schiste en Ardèche[19] - [20].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2020, la commune comptait 3 028 habitants[Note 3], en augmentation de 3,45 % par rapport à 2014 (Ardèche : +2,15 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
MĂ©dias
La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :
- Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et diffusé à Privas depuis 1999. Il couvre l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
- Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition d'Aubenas - Privas Vallée du Rhône.
Économie
L'économie de cette ville est principalement basée sur le tourisme et un ensemble de petits commerces.
Culture locale et patrimoine
Personnalités liées à la commune
- Olivier de Serres (1539-1619), père de l’agronomie ;
- Jean de Serres (1540-1598), pasteur calviniste, humaniste et historiographe français, frère du précédent ;
- Jacques Besson (1540-1576), mathématicien et ingénieur du roi, pasteur protestant à Villeneuve-de-Berg ;
- Antoine Court (1696-1760), pasteur protestant et historien ;
- Jean Veyren (1704-1788), dit Vivarais, maître serrurier et ferronnier d'art ;
- Augustin Barruel (1741-1820), écrivain et polémiste ;
- Louis-Alexandre de Launay (1753-1812), diplomate, Ă©crivain ;
- François Lejeune (1770-1799), général de brigade, participe à la campagne d'Égypte ;
- Edmond Largier (1873-1953), homme politique, député et conseiller général ;
- Pierre Cornet (1911-1996), homme politique, député-maire de Villeneuve-de-Berg ;
HĂ©raldique
Blason | Parti : au 1er d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au 2e d'azur à la crosse contournée d'or[25]. |
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Détails | Conflit héraldique : le blasonnement mentionne trois fleurs de lys ; la représentation n’en montre que deux. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Annexes
Bibliographie
- Joannis Columbi, Opuscula Varia, Lugduni, , p. 559.Territoire de Berg, Saint-Andéol-de-Berg, Villeneuve-de-Berg
- Abbé Cheniivesse, Olivier de Serres et les Massacres du à Villeneuve-de-Berg, Valence, Imprimerie Jules Cèas et fils, .
- Abbé Mollier, Recherches historiques sur Villeneuve-de-Berg, Avignon, Aubanel frères, .
- Marius Ribon, Saint-Andéol-de-Berg - Notice historique, Aubenas, Habauzit, .
- Jean Volane (Auguste Bourret), L. Gout et J. Roux, Histoire de l'Ardèche (Vivarais & Helvie), Valence, Éditions E.& R., .Texte original de 1908.
- Albert Grimaud, Histoire de Villeneuve-de-Berg, Aubenas, Habauzit, .
- Jean Moulin, Habitat et communications dans le pays de Berg, Valence, La Fontaine, .
- Revue de la Société des Enfants et Amis de Villeneuve-de-Berg[26] (revue annuelle fondée en 1921, distinguée en 1973 par l'Académie des Sciences Morales et Politiques de l'Institut de France - rapport d'Edmond Giscard d'Estaing).
- Pierre Ribon, Voyage en Basse-Ardèche, Valence, Éditions E. & R. La Bouquinerie, .
- Jean Ribon, Reflets de l'Ardèche, Valence, Éditions E. & R. La Bouquinerie, .
- Jean Régné, Premiète ètape de la pénètration capétienne en Vivarais, la fondation de Villeneuve de Berg, Paris, Imprimerie nationale, .
- Revue du Vivarais.
- Association Mémoire d'Ardèche et temps présent.
- Pierre Ribon, Une Bastide Occitane : Villeneuve-de-Berg (Villanova-dé-Berco) - Habitants, maisons, rues lieudits, Valence, Éditions E. & R. La Bouquinerie, .
- Odette Gros et André-Charles Gros (préf. Aurélien André), Le compagnon Jean Veyren « Vivarais » artiste-serrurier au XVIIIe siècle en Picardie, Chomérac, Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, , 112 p. (SUDOC 199593957, présentation en ligne).
Articles connexes
- Liste des communes de l'Ardèche
- Saint-Andéol-de-Berg
- Étymologies de Bergoïata et de Berg dans l'Ardèche
- Bourg-Saint-Andéol
- Berg
- Histoire
- Généralité de Toulouse
- Sénéchaussée de Villeneuve-de-Berg
- Parlement de Toulouse
- Languedoc
- États de Languedoc
- Pays d'Ă©tats
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Carte de Villeneuve-de-Berg sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le ). Couches « Photographies aériennes », « Carte IGN » et « Admin Express » activées.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Ibie (V5050540) » (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Villeneuve-de-Berg », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Marius Ribon, Saint-Andéol-de-Berg - Notice historique, 1938.
- Jean Moulin, Habitat et communications dans le pays de Berg, 2000.
- Jean Régné: La première étape de la pénétration capètienne en Vivarais| Imprimerie Nationale|. 1914
- Maurice Boulle, « Antoine Court, Villeneuvois de naissance et restaurateur du protestantisme français au XVIIIe (1695-1760). Homme d'un terroir, homme de son temps en son temps, homme d'aujourd'hui ? », Études drômoises, Association universitaire d'études drômoises, no 64,‎ , p. 3 (ISSN 0240-3994).
- « Le Vivarais protestant », sur medarus.org (consulté le ).
- Boulle, op. cit., p. 4.
- Recherches d'un gisement de gaz de schiste en Ardèche méridionale - Le Projet de GDF-Suez [PDF].
- Arthur Nazaret, « De l’eau dans le gaz », JDD, (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Blason de Villeneuve-de-Berg »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur labanquedublason2.com.
- Site de la société des Enfants et Amis de Villeneuve-de-Berg.