Charles Bronson
Charles Dennis Buchinsky (en lituanien : Karolis Dionyzas Bučinskis), dit Charles Bronson /t͡ʃɑɹlz ˈbɹɑnsən/[1], est un acteur américain, né le [2] - [3] à Ehrenfeld (Pennsylvanie) et mort le à Los Angeles (Californie).
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Brownsville Cemetery (d) |
Nom de naissance |
Charles Dennis Buchinsky |
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Katrina Holden Bronson (en) (fille adoptive) |
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Western (en) |
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Films notables |
Avec son physique impressionnant et son visage dur, Charles Bronson fut souvent habitué à des rôles virils, dont quelques-uns sont entrés dans la légende[4]. Il reste pour des générations de cinéphiles un des Sept Mercenaires (1960), le roi du tunnel de La Grande Évasion (1963), un des Douze Salopards (1967), l'inoubliable homme à l'harmonica de Il était une fois dans l'Ouest (1968), et le Justicier dans la ville (1974).
Biographie
Famille et début au théâtre
Charles Dennis Buchinsky, futur Charles Bronson, est le onzième enfant de la famille catholique de Valteris P. Bučinskis (américanisé en Walter Buchinsky), né à Druskininkai (Lituanie), et de Mary Valinsky, née en Pennsylvanie. Les parents de Mary Valinsky (en lituanien : Marija Valinskis), citoyenne américaine de naissance, viennent de Lituanie comme son mari.
Charles Bronson est ainsi d'origine lituanienne. Toutefois un auteur polonais affirme que Buchinsky pourrait avoir de lointains ancêtres tatares du côté de son père, ce qu'il a confirmé lui-même d'une certaine manière en expliquant sa ressemblance avec les Indiens par « (ses) origines mongoles. Mongols et Indiens sont de la même race »[5]. En raison de cette présomption fondée seulement sur certaines de ses caractéristiques physiques, quelques livres des années 2010 ont également évoqué cette ascendance qui n'a jamais été mentionnée par lui-même.
Il est d'abord mineur de fond à 1 $ la tonne de charbon, puis mitrailleur de queue d'un bombardier pendant la Seconde Guerre mondiale. Démobilisé en février 1946, il part pour Philadelphie tenter sa chance et s'inscrit grâce au G.I. Bill l'année suivante dans une école de dessin ; il a alors 27 ans. Sur place, il se lie d'amitié avec un dénommé Jack Klugman, dont il partage l'appartement jusqu'en 1949.
Durant cette période, il entre dans la troupe de théâtre locale et joue des rôles secondaires dans diverses pièces. Il passe ainsi une audition avec Elia Kazan pour Un tramway nommé Désir de Tennessee Williams. Il est garçon de chaises à Atlantic City, où des acteurs de cinéma de passage dans les casinos de la ville lui conseillent, en raison de son physique, de tenter sa chance à Hollywood. En 1949, il épouse à Atlantic City Harriet Tendler, qu'il avait rencontrée au théâtre deux ans plus tôt, avant de partir pour la Californie. La même année, il est admis au célèbre théâtre de Pasadena, puis se fait remarquer dans La Grand'Route d'August Strindberg.
Son nom de scène « Bronson » est inspiré du Bronson Gate, le nom d'un portail d'entrée des Paramount Studios sur la Bronson Avenue[6].
Les premiers films
Celui qui garde son nom de Charles Buchinsky de 1951 à 1954, en 1951, Bronson obtient son premier rôle au cinéma, non crédité au générique, dans le film La marine est dans le lac d’Henry Hathaway. Son rôle est celui d'un marin polonais, Wascylewski. Avec son premier film, Bronson rencontre Gary Cooper. Ce dernier le conseille et lui sera une aide précieuse pour la suite de sa carrière.
Son deuxième film, Le peuple accuse O'Hara, permet à Bronson de rencontrer le réalisateur John Sturges, qui saura se souvenir de l'acteur neuf ans plus tard lors du film Les Sept Mercenaires. Poursuivant les rôles, Bronson termine l'année avec Dans la gueule du loup où il incarne un docker musclé. En 1952, il fait des apparitions non créditées dans Gosses des bas-fonds, Zone de combat. Dans Mademoiselle Gagne-Tout, il joue le rôle d'un boxer et homme de main et où il est crédité pour la première fois sous le nom de Charles Buchinsky. Il est aussi crédité, sous son nom, dans Mes six forçats. Toujours en 1952, il apparaît comme non crédité au générique dans Courrier diplomatique, dans Je retourne chez maman et dans Duel dans la forêt.
Charles Bronson a tourné plus de 150 films pour la télévision, entre 1952 et 1998, dont notamment :
- Man with a Camera (1958-1960), Empire (1962),
- Les Voyages de Jaimie McPheeters (1964),
- Tel père... tel flic ! (1996-1998).
En tant qu'artiste invité, l'acteur apparaît souvent en boxeur (M Squad avec Lee Marvin, Playhouse 90, Roy Rogers, One Step Beyond) ou en méchant de western (Bonanza, Rawhide avec Clint Eastwood, Have Gun - Will Travel, Gunsmoke). Il a également interprété un rôle de soldat pacifiste dans la série La Quatrième Dimension (épisode Two, avec Elizabeth Montgomery), et de gangster gitan dans Les Incorruptibles (épisode The Death Tree ). Mais il est aussi quelquefois le partenaire du héros : Le Fugitif, Le Virginien.
La consécration par le western
Sa carrière de cinéma décolle au début des années soixante, notamment grâce à son rôle de Bernardo O'Reilly, un bûcheron irlando-mexicain engagé par Chris Adams (Yul Brynner) pour aider les habitants d'un petit village du Mexique fréquemment attaqué par une troupe de bandits mexicains, dans Les Sept Mercenaires de John Sturges.
Trois ans plus tard, John Sturges lui propose de jouer dans La Grande Évasion, mais au grand dam de Charles Bronson, las d'être cantonné au second plan, il propose le rôle principal à un autre des mercenaires : Steve McQueen[4].
En 1964, Sergio Leone lui propose d'être « L'homme sans nom » dans Pour une poignée de dollars, film qui ouvre la célèbre « Trilogie du dollar » du réalisateur italien. Un rôle-titre pour un film qui allait connaître le succès que l'on sait... sauf que Sergio Leone n'a pas encore conquis le monde et que Charles Bronson est trop cher pour le budget du film[4]. Une première occasion manquée.
En 1967, il interprète à contre-cœur Joseph T. Wladislaw dans Les Douze Salopards, un film de guerre américain signé Robert Aldrich.
En 1968, il incarne le rôle qui fait toujours sa célébrité aujourd'hui, celui de « l'Homme à l’harmonica », dans le chef-d'œuvre de Sergio Leone Il était une fois dans l'Ouest. Mais ce dernier rôle ne lui était pourtant pas destiné à l'origine. Le réalisateur italien souhaite en effet reformer son trio gagnant de Le Bon, la Brute et le Truand. Problème : Clint Eastwood refuse. Sergio Leone envisage de confier ce rôle du mutique cowboy à Warren Beatty, Terence Stamp, et même à Jean-Paul Belmondo. C'est finalement bien Charles Bronson qui est choisi[4].
Cette même année, le 5 octobre 1968, il épouse l'actrice anglaise Jill Ireland avec laquelle il vit jusqu'au décès de celle-ci, victime d'un cancer du sein le 18 mai 1990 et avec qui il tourne de nombreux films.
En 1971, il interprète Link Stuart, un hors-la-loi qui s'associe à un samouraï (Toshirô Mifune) pour livrer bataille contre son ancien bras droit (Alain Delon), dans Soleil rouge de Terence Young.
Le succès mondial : un justicier en quatre films
Consacré en Europe par Sergio Leone et René Clément (Le Passager de la pluie), Bronson trouve le succès aux États-Unis en 1974, grâce à Un justicier dans la ville, à l'âge de 52 ans.
Il n'est pourtant pas le premier choix du réalisateur : Jack Lemmon, Henry Fonda et Georges C. Scott sont tour à tour sollicités. Et lorsque Michael Winner se décide à demander à Charles Bronson d'interpréter le rôle-titre, c'est au tour du romancier, Brian Garfield, de s'y opposer. Pour couronner le tout, Charles Bronson lui-même a de gros doutes sur son personnage : « Le rôle était décrit comme un minable comptable new-yorkais, à la Dustin Hoffman. Le réalisateur Michael Winner m’a convaincu qu’il en ferait un architecte plus viril et que nous ferions tous un paquet de fric[4]. » Le succès est tel qu'il tourne quatre suites à ce film de Michael Winner, au fil des années, jusqu'à L'Ultime combat (1994), qui est le dernier film de l'acteur.
Archie Cash, le héros de la bande dessinée, a été volontairement dessiné sous les traits de l'acteur américain Charles Bronson[7] qui joue dans ses films un rôle similaire de justicier.
Mort
Atteint de la maladie d'Alzheimer, il meurt d'une pneumonie aiguë, le à Los Angeles[8], à l'âge de quatre-vingt-un ans.
Vie privée
Marié trois fois – avec Harriet Tendler, Jill Ireland puis Kim Weeks –, il est le père de six enfants[9].
L'éternel Indien
Charles Bronson devint l'un des « Indiens » les plus célèbres de Hollywood. Robert C. Cumbow dans son ouvrage The Films of Sergio Leone, indique que le physique typé de l'acteur, avec ses cheveux noirs épais, son visage buriné et bronzé, et ses yeux bleu-vert, le destinait naturellement, d'après les conceptions d'Hollywood, à incarner des caractères ethniquement marqués[10].
Dans le film proindien Bronco apache de Robert Aldrich, Bronson joue un Apache ayant trahi les siens. Il incarne le fameux Captain Jack dans le film de Delmer Daves : L'Aigle solitaire. Il incarne ensuite un chef dans Le Jugement des flèches, de Samuel Fuller. Dans La Bataille de San Sebastian d’Henri Verneuil, il incarne un métis haineux opposé à l'invasion de son territoire. Entretemps, en 1959, dans le film de guerre La Proie des vautours, il incarne un militaire métis qu'un autre soldat primairement raciste ne cesse de taquiner en l'appelant « grand-chef peau-rouge ».
Dans Les Sept Mercenaires il est un tireur d'élite mexicano-irlandais, Bernardo O'Reilly : « Irlandais par mon père, Mexicain par ma mère, moi au milieu » s'y définit-il.
Sergio Leone exploite cette « ambivalence ethnique[10] » pour le rôle de Harmonica, le tueur silencieux d'Il était une fois dans l'Ouest, où le flashback le montre sous les traits d'un jeune latino aux yeux marron[10]. Mais c'est explicitement sous les traits d'un Mexicain à part entière que Charles Bronson apparaît en 1968 dans Pancho Villa, Rodolfo Fierro, lieutenant du célèbre chef révolutionnaire interprété ici par Yul Brynner.
Enfin, en 1972, il incarne un Apache vengeur dans Les Collines de la terreur de Michael Winner. L'année suivante il interprète, dans Chino, un éleveur de chevaux rejeté par sa communauté en raison de ses origines amérindiennes.
Filmographie
Années 1950
- 1951 : La marine est dans le lac (You're in the Navy now) (comme Charles Buchinsky)
- 1951 : Le peuple accuse O'Hara (The people against O'Hara) (comme Charles Buchinsky)
- 1951 : Dans la gueule du loup (The Mob) (comme Charles Buchinski)
- 1952 : Je retourne chez maman (The marrying kind) de George Cukor (comme Charles Buchinsky)
- 1952 : Duel dans la forêt (Red skies of Montana) de Joseph M. Newman (comme Charles Buchinsky)
- 1952 : Mes six forçats (My Six Convicts) de Hugo Fregonese (comme Charles Buchinsky)
- 1952 : Courrier diplomatique (Diplomatic Courier) de Henry Hathaway (comme Charles Buchinsky)
- 1952 : Mademoiselle gagne tout (Pat and Mike) de George Cukor (comme Charles Buchinsky)
- 1952 : Gosses des bas-fonds (Bloodhounds of Broadway) d'Harmon Jones (comme Charles Buchinsky)
- 1953 : Le Clown (The Clown) de Robert Z. Leonard (comme Charles Buchinsky)
- 1953 : L'Homme au masque de cire (House of Wax) d'André de Toth (comme Charles Buchinsky)
- 1953 : La Belle du Pacifique (Miss Sadie Thompson) de Curtis Bernhardt (comme Charles Buchinsky)
- 1953 : Chasse au gang (Crime Wave) d'André de Toth (comme Charles Buchinsky)
- 1953 : Tennessee Champ (Tennessee Champ) de Fred M. Wilcox (comme Charles Buchinsky)
- 1954 : Le Cavalier traqué (Riding Shotgun) d'André de Toth (comme Charles Buchinsky)
- 1954 : Bronco apache (Apache) de Robert Aldrich (comme Charles Buchinsky)
- 1954 : Vera Cruz de Robert Aldrich (comme Charles Buchinsky)
- 1954 : L'Aigle solitaire (Drum Beat) de Delmer Daves
- 1955 : Le Pacte des tueurs (Big House U.S.A.) de Howard W. Koch
- 1955 : Dix Hommes pour l'Enfer (Target Zero) de Harmon Jones
- 1956 : L'Homme de nulle part (Jubal) de Delmer Daves
- 1956 : Explosion (Explosion) de Don Weis
- 1957 : Le Jugement des flèches (Run of the Arrow) de Samuel Fuller
- 1958 : Syndicat du crime (Gang War) de Gene Fowler Jr
- 1958 : Confessions d'un tueur (Showdown at Boothill) de Gene Fowler Jr
- 1958 : Mitraillette Kelly (Machine-Gun Kelly) de Roger Corman
- 1958 : Dix, rue Frederick (Ten North Frederick) de Philip Dunne
- 1958 : L'Enfer des humains (When Hell Broke Loose) de Kenneth G. Crane
- 1959 : La Proie des vautours (Never so Few) de John Sturges
Années 1960
- 1960 : Les Sept Mercenaires (The Magnificent Seven) de John Sturges
- 1961 : Le Maître du monde (Master of the World) de William Witney
- 1961 : Tonnerre apache (A Thunder of Drums) de Joseph M. Newman
- 1961 : X-15 (X-15) de Richard Donner
- 1962 : Un direct au cœur (Kid Galahad) de Phil Karlson
- 1962 : This Rugged Land (This Rugged Land) de Arthur Hiller
- 1963 : La Grande Évasion (The Great Escape) de John Sturges
- 1963 : Quatre du Texas (Four for Texas) de Robert Aldrich
- 1964 : Le Californien (Guns of Diablo) de Boris Sagal
- 1965 : Le Chevalier des sables (The Sandpiper) de Vincente Minnelli
- 1965 : La Bataille des Ardennes (Battle of the Bulge) de Ken Annakin
- 1966 : Propriété interdite (This Property Is Condemned), de Sydney Pollack
- 1967 : Les Douze Salopards (The Dirty Dozen) de Robert Aldrich
- 1968 : La Bataille de San Sebastian (Guns for San Sebastian) d'Henri Verneuil
- 1968 : Pancho Villa (Villa Rides) de Buzz Kulik
- 1968 : Adieu l'ami (Honor Among Thieves) de Jean Herman
- 1968 : Il était une fois dans l'Ouest (Once Upon a Time in the West) de Sergio Leone
- 1969 : L'Ange et le Démon (Twinky) de Richard Donner
Années 1970
- 1970 : La Cité de la violence (Citta Violenta) de Sergio Sollima
- 1970 : De la part des copains (Cold Sweat) de Terence Young
- 1970 : Les Baroudeurs (You can't Win'Em All) de Peter Collinson
- 1970 : Le Passager de la pluie (Rider On The Rain) de René Clément
- 1971 : Quelqu'un derrière la porte de Nicolas Gessner
- 1971 : Soleil rouge (Red Sun) de Terence Young
- 1972 : Le Solitaire de l'Ouest (Bull of the West) de Paul Stanley et Jerry Hopper
- 1972 : Les Collines de la terreur (Chato's land) de Michael Winner
- 1972 : Le Flingueur (The Mechanic) de Michael Winner
- 1972 : Cosa Nostra (Joe Valachi : I segreti di Cosa Nostra) de Terence Young
- 1973 : Le Cercle noir (The Stone Killer) de Michael Winner
- 1974 : Il était une fois deux salopards de Samuel Fuller et Charles S. Dubin
- 1974 : Chino (Valdez II Mezzosangue) de John Sturges
- 1974 : Un justicier dans la ville (Death Wish) de Michael Winner
- 1974 : Mister Majestyk (Mister Majestyk) de Richard Fleischer
- 1975 : Le Bagarreur (Hard Times - The Street fighter) de Walter Hill
- 1975 : L'Évadé (Breakout) de Tom Gries
- 1975 : Le Solitaire de Fort Humboldt (Breakheart Pass) de Tom Gries
- 1976 : C'est arrivé entre midi et trois heures (From Noon Till Three) de Frank D. Gilroy
- 1976 : Monsieur St. Ives (St. Ives) de J. Lee Thompson
- 1977 : Raid sur Entebbe (Raid on Entebbe) de Irvin Kershner
- 1977 : Le Bison blanc (The White Buffalo) de J. Lee Thompson
- 1977 : Un espion de trop (Telefon) de Don Siegel
- 1979 : Avec les compliments de Charlie (Love and Bullets) de Stuart Rosenberg
Années 1980
- 1980 : Cabo Blanco de J. Lee Thompson
- 1981 : Chicanos, chasseur de têtes (Borderline) de Jerrold Freedman
- 1981 : Chasse à mort (Death hunt) de Peter Hunt
- 1982 : Un justicier dans la ville 2 (Death Wish II) de Michael Winner
- 1983 : Le Justicier de minuit (Ten To Midnight) de J. Lee Thompson
- 1984 : L'Enfer de la violence de J. Lee Thompson
- 1985 : Le Justicier de New York (Death Wish III) de Michael Winner
- 1986 : La Loi de Murphy de J. Lee Thompson
- 1987 : Protection rapprochée (Assassination) de Peter Hunt
- 1987 : Acte de Vengeance (Act of Vengeance) de John Mackenzie
- 1987 : Le justicier braque les dealers (Death Wish IV) de J. Lee Thompson
- 1988 : Le Messager de la mort de J. Lee Thompson
- 1989 : Kinjite, sujets tabous, de J. Lee Thompson
Années 1990
- 1991 : The Indian Runner de Sean Penn
- 1993 : La Classe américaine ou Le Grand Détournement
- 1994 : Le Justicier : L'Ultime Combat (Death Wish V: The Face of Death) d'Allan A. Goldstein
Années 1950
- 1952 : Bill Backer, USA, saison 1 épisode 1 (Koblen) et épisode 5 (Alpine Assignment) : Un espion tchèque / Wilhelm
- 1952 : The Red Skelton Show, émission (Fancy Footwork) : Perky
- 1952 : The Roy Rogers Show, saison 2 épisode 8 (The Knockout) : Willie Killer Conley
- 1952-1953 : The Doctor, saison 1 épisode 10 (The Guest) et épisode 22 (Take the Odds) : Joe Langan / rôle sans nom
- 1953 : Chevron Theatre, saison 2 épisode 1 (Island of Stone) et épisode 6 (Adventure in Java) : rôles sans nom
- 1953 : Schlitz Playhouse of Stars, saison 3 épisode 6 (The Long Shot) : Sergent Roy Smith
- 1953 : Four Star Playhouse, saison 2 épisode 5 (The Witness) : Frank Dana
- 1954 : Waterfront, saison 2 épisode 14 (Trestle Point) : Danny Cook alias Bob Hayden
- 1954-1955 : Treasury Men in Action, saison 5 épisode 10 (The Case of the Escaped Convict), épisode 25 (The Case of the Deadly Dilemma) et épisode 36 (The Case of the Shot in the Dark) : Ollie Blake / Frankie Ames / Vince Sanderson
- 1954-1956 : Medic, saison 1 épisode 6 (My Brother Joe) et saison 2 épisode 18 (Who Search for Truth) : Docteur John Bircher / Alexis St. Martin
- 1955 : The Joe Palooka Story, saison 1 épisode 2 (Two Rings for Eddie) et épisode 10 (The Neutral Corner) : Eddie Crane
- 1955 : Lux Video Theatre, saison 5 épisode 25 (A Bell for Adano) : Sergent Borth
- 1955 : The Man Behind the Badge, saison 2 épisode 7 (The Case of the Invisible Mark) : Ralph
- 1955 : The Public Defender, saison 2 épisode 30 (Cornered) : Nobby Bullaid
- 1955 : Stage 7, saison 1 épisode 4 (Debt of Honor) et épisode 18 (The Time of Day) : Murray Forman / Jerry Donn
- 1955 : The Pepsi Cola Playhouse, saison 2 épisode 37 (Woman in the Mine) : Joe Krossen
- 1955 : Luke and the Tenderfoot, saison 1 épisode 2 (The John Wesley Hardin Story) : John Wesley Hardin
- 1955 : Cavalcade of America, saison 4 épisode 6 (A Chain of Hearts) : John Stanizewski
- 1956 : Have Camera Will Travel de William A. Seiter (téléfilm) : Reese
- 1956 : Warner Bros. Presents, saison 1 épisode 28 (Explosion) et épisode 34 (Deep Freeze) : Brodsky / Vic
- 1956 : Telephone Time, saison 2 épisode 6 (She Sette Her Little Foot) : rôle sans nom
- 1956 : Wire Service, saison 1 épisode 10 (The Avengers) : Sam Adams
- 1956-1958 : Gunsmoke, saison 1 épisode 28 (The Killer) et saison 4 épisode 8 (Lost Rifle) : Crego / Ben Tiple
- 1956 : Crusader, saison 1 episode 3 et 20 : Mike Brod
- 1957 : Studio 57, saison 3 épisode 15 (Outpost) : Dawson
- 1957 : The Sheriff of Cochise, saison 1 épisode 18 (Apache Kid) : Zenogalache
- 1957 : The O. Henry Playhouse, saison 1 épisode 4 (Two Renegades) : Barney O'Keefe
- 1957 : The Millionaire, saison 3 épisode 25 (Millionaire Jerry Bell) : Jerry Bell
- 1957 : Hey, Jeannie !, saison 1 épisode 24 (Jeannie the Policewoman) : Rocky Harman
- 1957 : Those Whiting Girls, saison 2 épisode 3 (Family Skelton) : Martin Carroll
- 1957 : Richard Diamond, saison 1 épisode 10 (The Pete Rocco Case) : Dan Rocco
- 1957 : Colt .45 (en), saison 1 épisode 9 (Young Gun) : Danny Gordon
- 1957 : Suspicion, saison 1 épisode 12 (Doomsday) : Cal
- 1957 : Studio One, saison 10 épisodes 12 et 13 (No Deadly Medicine: Part 1 and 2) : Cal
- 1958-1960 : Man with a Camera - saison unique, 29 épisodes : Mike Kovac
- 1958 : The Court of Last Resort, saison 1 épisode 15 (The Steve Hrdilka Case) : Steve Hrdlika
- 1958 : M Squad, saison 1 épisode 30 (The Fight) : Eddie Loder
- 1958 : Sugarfoot, saison 1 épisode 12 (Man Wanted) et épisode 19 (The Bullet and the Cross) : Sandy Randall / Cliff Raven
- 1958 : The Walter Winchell Files, saison 2 épisode 6 (Fight Night) : Eggers
- 1958 : Tales of Wells Fargo, saison 3 épisode 6 (Butch Cassidy) : Butch Cassidy
- 1959 : U.S. Marshal, saison 1 épisode 16 (Pursuit) : Soldat Ravenal
Années 1960
- 1961 : La Quatrième Dimension (The Twilight Zone) - saison 3, épisode 1 : Deux (Two) : L'homme
- 1962 : Les Incorruptibles (The Untouchables) - saison 3, épisode 16 : L’Arbre de la mort (The Death Tree) : Janos Colescou
- 1963-1964 : Les Voyages de Jaimie McPheeters (The Travels of Jaimie McPheeters), saison unique, 13 épisodes : Link Murdock
- 1965 : Combat ! (Combat): Valesques
- 1965 : Rawhide (Rawhide) : Del Lingman (Saison 8 épis 10 "Duel at Daybreak", Charles Bronson avec Clint Eastwood)
- 1965 : La Grande Vallée (The Big Valley), saison 1, épisode 9 : Enterrés vivants (Earthquake !) : Tate
- 1965 : Le Virginien , saison 4 épisode 8 : Nobility of kings : Justin
Années 1990
- 1991 : Le Messager de l'espoir (Yes, Virginia, there is a Santa Claus) de Charles Jarrott (téléfilm) : Francis Church
- 1993 : Le Loup de mer (The Sea Wolf) de Michael Anderson (téléfilm) : Capitaine Wolf Larsen
- 1993 : Donato père et fille (Donato and Daughter) de Rod Holcomb (téléfilm) : Sergent Mike Donato
- 1995 : Tel père... tel flic ! (A Family of Cops) de Ted Kotcheff (téléfilm) : Commissaire Paul Fein
- 1995 : 100 years of the Hollywood Western de Jack Hatey, Jr (Documentaire) : Lui-même
- 1997 : Le justicier braque la mafia (Family of Cops 2) de David Greene (téléfilm) : Commissaire Paul Fein
- 1999 : Le justicier reprend les armes, aussi connu sous le titre Preuve contre vérité[11], (Family of Cops 3) de Sheldon Larry (téléfilm) : Commissaire Paul Fein
Voix françaises
En France, Charles Bronson n'avait pas de voix française attitrée. Dans les années 1960, 1970 et 1980, il fut principalement doublé par Claude Bertrand, Marcel Bozzuffi et Edmond Bernard.
Notes et références
- Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
- cinefiches.com, « Charles Bronson », (consulté le )
- Philippe Setbon, Bronson, PAC, Paris, 1983, p. 13.
- Maïlys Gelin, « Charles Bronson aurait eu 100 ans aujourd'hui », sur Profession Audio|Visuel,
- Lors d'une interview, l'acteur a affirmé qu'il jouait facilement des rôles d'Indien car il était d'origine mongole et que ce peuple avait des similitudes avec les Indiens d'Amérique.Stefan Bratkowski, Najkrótsza Historia Polski (The Shortest History of Poland), KAW, Varsovie, 1999, p. 9.
- (no) Astrid Meland, « Charles Bronson er død », sur Dagbladet, .
- Anecdote de la série sur hippopolivre
- (en) Autopsyfiles, « Death certificate of Charles Bronson : Certificat de décès de Charles Bronson » [PDF], sur autopsyfiles.org, (consulté le ).
- « Charles Bronson est mort », sur Nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le ).
- Robert C. Cumbow, The Films of Sergio Leone, p. 128.
- « Family of Cops III : Le justicier reprend les armes », sur notreCinema.com (consulté le )
Annexes
Bibliographie
- Philippe Setbon, Bronson, Paris, PAC, , 2e éd., 234 p. (ISBN 978-2-85336-220-7)
- Alexandre Raveleau, Petit dictionnaire du western : les films, les réalisateurs, les acteurs en 250 entrées, Paris, Hors collection, , 320 p. (ISBN 978-2-258-11292-6, BNF 44294310), p. 45-46
Documentaire
- Charles Bronson, le génie du mâle, documentaire de Jean Lauritano (2019)
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Ciné-Ressources
- Unifrance
- (en) AllMovie
- (de + en) Filmportal
- (pl) Filmweb.pl
- (en) IMDb
- (en) Rotten Tomatoes
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- (en) Metacritic
- Ressource relative à la musique :
- (en) Muziekweb
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (en) Find a grave
- New publication with private photos of the shooting & documents of 2nd unit cameraman Walter Riml
- Photos of the filming The Great Escape, Steve McQueen on the set