Champtocé-sur-Loire
Champtocé-sur-Loire est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Champtocé-sur-Loire | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Loire Layon Aubance | ||||
Maire Mandat |
Valérie Lévêque 2020-2026 |
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Code postal | 49123 | ||||
Code commune | 49068 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Champtocéens | ||||
Population municipale |
1 855 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 50 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 24′ 45″ nord, 0° 51′ 43″ ouest | ||||
Altitude | 73 m Min. 11 m Max. 83 m |
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Superficie | 36,76 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chalonnes-sur-Loire | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | « www.champtoce.fr » | ||||
Géographie
Localisation
Commune angevine de la rive droite (nord) de la Loire, Champtocé-sur-Loire se trouve à l'ouest de Saint-Georges-sur-Loire, sur les routes D 219, Villemoisan / Montjean-sur-Loire, et N 23, Ingrandes / Saint-Georges-sur-Loire (route nationale Angers Nantes)[1]. L'Autoroute A11 passe au nord de la commune, donnant un accès à la zone Anjou Acti-Parc qui comprend plusieurs entreprises (technologie, bâtiment, etc.).
Hydrographie
Une boire (bras de la Loire), la boire de Champtocé, alimentée par les eaux de la Romme, rejoint le fleuve à Ingrandes. Elle était autrefois navigable, et permettait également le flottage du bois et l'approvisionnement du château de Champtocé.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Pommeraye », sur la commune de Mauges-sur-Loire, mise en service en 1980[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 670,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 63 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Champtocé-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,9 %), terres arables (28,6 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), forêts (3,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,2 %), zones urbanisées (1,9 %), eaux continentales[Note 7] (1,6 %), zones humides intérieures (0,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %)[20].
L'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie et héraldique
Toponymie
Formes anciennes : Cantonsciacus vers 1015, Chantoce en 1190, Champtocé au XVe siècle. De Cantucius, nom d'homme gallo-romain[22] - [23].
Gentilé : Champtocéens[22].
Héraldique
Blasonnement :
D'or à la croix de sable.
Commentaires : Il s'agit des armes de Gilles de Rais, natif de Champtocé-sur-Loire, dont il fut le seigneur. Ces armes sont elles-mêmes celles de sa baronnie de Retz, en Bretagne[24]. |
Histoire
On suppose que la terre se trouve au Xe siècle entre les mains du compte d'Anjou et qu'une citadelle défend déjà le passage de la Loire[25]. Un château fort est en place au moins dès le XIe siècle, précédant probablement l'église qui semble avoir été fondée par des religieux de Saint-Florent-le-Vieil. Les chapelles y sont nombreuses, dont la plus ancienne est fondée avant la fin du XIIe siècle par Maurice de Craon[26].
Au début du XVe siècle, Marie de Craon, dont la famille possède la terre, épouse Guy de Laval, baron de Rais, seigneur de Blaison et de Chemillé. La terre passe alors dans les mains des seigneurs de Laval. De leur union naissent Gilles, baptisé dans la chapelle du château, et René de Rais[25].
Gilles de Montmorency-Laval, plus connu sous le nom de Gilles de Rais, qui exerce de nombreuses turpitudes dans la région, vend la terre au duc de Bretagne malgré les protestations du roi de France et de René d'Anjou. Le château est rendu plus tard, au milieu du XVe, à Prigent de Coëtivy, qui a épousé la fille de Gilles de Rais. Dès cette époque le château de Champtocé est passablement délabré, qui subit les guerres franco-bretonnes[25].
Le château reste habité jusqu'au milieu du XVIIe siècle[25].
55 habitants perdent la vie durant la Première Guerre mondiale et 10 lors de la Seconde Guerre mondiale[23].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes Loire-Layon-Aubance. Jusqu'en 2016 elle était intégrée à l'intercommunalité Loire-Layon qui regroupait 10 communes[29] et qui faisait partie de la structure administrative d'aménagement du territoire Pays de Loire en Layon[30].
Autres circonscriptions
Jusqu'en 2014, Champtocé-sur-Loire fait partie du canton de Saint-Georges-sur-Loire et de l'arrondissement d'Angers[31]. Ce canton compte alors dix communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Chalonnes-sur-Loire, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[32].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].
En 2020, la commune comptait 1 855 habitants[Note 8], en diminution de 1,01 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 909 hommes pour 961 femmes, soit un taux de 51,39 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Sur 129 établissements présents sur la commune à fin 2010, 24 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 9 % du secteur de l'industrie, 17 % du secteur de la construction, 42 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[39].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Trois châteaux de Champtocé sont inventoriés aux Monuments historiques :
- Le château de Beauchesne, construit au XVIIIe siècle, inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du [40].
- Le château de Lancrau, des XVe et XIXe siècles, inscrit partiellement (chapelle) au titre des Monuments historiques par arrêté du [41].
- Le château médiéval, dit de Gilles de Rais, dont les restes sont inscrits Monument historique par arrêté du [42].
On y trouve également les châteaux Le Pin et Vaubciseau[23].
La commune compte d'autres monuments historiques[43] :
- Le dolmen du Champ-du-Ruisseau, classé Monument historique par décret du [44] ;
- Le dolmen de la Romme, inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du [45] ;
- L'église Saint-Pierre, construite au XIVe siècle et au XVIe siècle, inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté du [46] ;
Le dolmen de la Boire de Champtocé, jusqu'alors totalement inconnu, a été révélé par la sécheresse de 1976 en Europe[47].
D'autre part, les jardins du château du Pin bénéficient du label jardin remarquable[48].
- Pont sur la Romme devant le château de Champtocé.
- L'église Saint-Pierre.
- La rivière Romme s'écoulant devant le château de Champtocé.
- Vue partielle de la Boire de Champtocé.
Personnalités liées à la commune
- Gilles de Rais, seigneur de Champtocé au XVe siècle[25].
- Pierre Delaunay (1870-1915), peintre né à Champtocé.
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 634-637.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Champtocé-sur-Loire (49), consulté le 17 décembre 2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Pommeraye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Champtocé-sur-Loire et Mauges-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Pommeraye - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Champtocé-sur-Loire et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 50.
- Célestin Port 1965, p. 634.
- L'armorial des villes et des villages de France.
- Célestin Port 1965, p. 636.
- Célestin Port 1965, p. 635.
- Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
- « Champtocé-sur-Loire. Valérie Lévêque enfile à nouveau l'écharpe tricolore », sur Ouest-France, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI de Loire Layon (244900833), consulté le 4 août 2013.
- Insee, Observation sociale du territoire du Pays de Loire en Layon, février 2007.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Champtocé-sur-Loire, consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Champtocé-sur-Loire (49068) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Champtocé-sur-Loire (49), consultées le 16 décembre 2012.
- « Chateau de Beauchesne », notice no PA00109015, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chateau de Lancrau », notice no PA00109017, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Gilles de Rays (restes) », notice no PA00109016, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Base Mérimée pour Champtocé-sur-Loire.
- « Dolmen (lieu-dit Champ du Ruisseau) », notice no PA00109018, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen de la Romme », notice no PA00109440, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise », notice no PA00109021, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Michel Gruet, Guy Collin et Alain Braguier, « Le dolmen immergé de la boire de Champtocé (Maine-et-Loire) », Bulletin de la Société préhistorique française, t. 75-1, , p. 24-28 (lire en ligne).
- Présentation des jardins sur le site du comité des Parcs et Jardins de France.