Champrond-en-GĂątine
Champrond-en-GĂątine [ÊÉÌpÊÉ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Eure-et-Loir, en rĂ©gion Centre-Val de Loire.
Champrond-en-GĂątine | |||||
L'Ă©glise Saint-Sauveur. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Nogent-le-Rotrou | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres de Perche | ||||
Maire Mandat |
Ăric Legros 2020-2026 |
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Code postal | 28240 | ||||
Code commune | 28071 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
702 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 24âČ 11âł nord, 1° 04âČ 35âł est | ||||
Altitude | Min. 207 m Max. 277 m |
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Superficie | 33,68 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Nogent-le-Rotrou | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | Site de la mairie | ||||
GĂ©ographie
Situation
- Champrond-en-GĂątine dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Champrond-en-GĂątine.
Communes limitrophes
Hydrographie
Sur la commune se trouve la source de la riviĂšre le Loir, affluent de la Sarthe, sous-affluent de la Loire.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Loupe_sapc », sur la commune de La Loupe, mise en service en 1996[7] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 735 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă 32 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 11 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,4 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spĂ©ciale (ZPS).
Dans les zones de ce rĂ©seau, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptĂ©e des habitats tout en tenant compte des exigences Ă©conomiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularitĂ©s rĂ©gionales et locales de chaque Ătat membre. Les activitĂ©s humaines ne sont pas interdites, dĂšs lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'Ă©tat de conservation favorable des habitats et des espĂšces concernĂ©s[14].
Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000[15] : « Arc forestier du Perche d'Eure-et-Loir » (Habitats), d'une superficie de 522 ha[16], lui-mĂȘme Ă©tant inclus dans le site « ForĂȘts et Ă©tangs du Perche » (Oiseaux), d'une superficie de 47 681 ha.
Urbanisme
Typologie
Champrond-en-Gùtine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (54,9 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (54,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (54,2 %), terres arables (40,5 %), prairies (2,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,5 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,7 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Champrond-en-GĂątine est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Loir, le ruisseau de l'Ătang Chaud, la VallĂ©e du Gros Caillou et la VallĂ©e de Reuse. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999[25] - [23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[26]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 61,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 315 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 288 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 91 %, Ă comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[23].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible dâavoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusquâĂ 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[29].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Campus Rotundus in Gastina en 1366[30], ce qui se traduit mot pour mot par « Champ Rond en Gùtine », Champrond en Gùtine au XVIIIe siÚcle[31].
Un rendez-vous de chasse perdu dans lâimmense forĂȘt du Perche, donna naissance Ă une agglomĂ©ration qui essarta un coin de bois, puis finit par dĂ©gager une vaste clairiĂšre quasi circulaire. Ce fut le « Champ Rond » oĂč sâimplanta le futur village.
« GĂątine » partage le mĂȘme radical que les termes gĂąter et l'ancien français gast « dĂ©sert, inculte ».
Histoire
Moyen Ăge
L'histoire de la commune du Xe siÚcle au XIIIe siÚcle, ainsi que celle de Friaize et de Montlandon, était intimement liée aux puissants barons de Chùteauneuf-en-Thymerais. Champrond constituait l'un de leurs principaux fiefs avant que leur lignée ne disparaisse et que leur baronnie dont le domaine couvrait l'ensemble du Thymerais ne soit démembrée.
La Révolution française
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Champrond-Marat[32].
Le loup chassé
Une battue faite dans la forĂȘt de Champrond-en-GĂątine, le 14 avril courant (1871), sous la direction de M. Brissonnet-Texier, rĂ©gisseur de M. le marquis d'Aligre, a produit un assez beau rĂ©sultat : deux loups mĂąles ont Ă©tĂ© tuĂ©s, l'un ĂągĂ© de deux ans, par M. Juillet, garde particulier, l'autre, dĂ©jĂ vieux de six ans, par M. Hamelin, garde-forestier[33].
Le variant de la Covid-19 apparu Ă Champrond-en-GĂątine
En mai 2021, dans une intervention sur la chaßne de l'IHU Méditerranée Infection, le professeur Raoult déclare que l'élevage de visons de Champrond-en-Gùtine est, à son avis, « la source de cette épidémie et c'est le variant le plus mortel dans le monde de la Covid-19, c'est le plus mortel chez nous et il s'est répandu dans toute l'Europe, c'est un vrai tueur, le pire des tueurs, le pire de ceux que l'on a eu ! »[34].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[38].
En 2020, la commune comptait 702 habitants[Note 8], en augmentation de 13,41 % par rapport Ă 2014 (Eure-et-Loir : â0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La tour d'Aligre
Au XIe siĂšcle, le comte du Perche fait construire un chĂąteau fort Ă Champrond-en-GĂątine ; les assauts de l'histoire l'ont anĂ©anti. En 1820, le marquis d'Aligre acquiert la grand'maison de Champrond, 159 hectares des forĂȘts de Champrond[16] et de la Magnane, la ferme du Valdon et la tour de Montlandon. Et c'est en 1876, que la filleule de la marquise d'Aligre fait Ă©difier l'actuelle tour d'Aligre, sur les soubassements de l'ancienne tour du chĂąteau fĂ©odal[40] - [41]. Avant la famille d'Aligre, les ruines appartenaient aux Gontaut-Biron.
« Câest ma mĂšre qui, filleule de la marquise dâAligre, a posĂ© en 1876, la premiĂšre pierre de la « Tour » de Champrond, propriĂ©tĂ© de la famille d'Aligre et dĂ©pendant du chĂąteau des Vaux.
Cette tour est situĂ©e sur les ruines d'un ancien chĂąteau fort qui aurait Ă©tĂ© bĂąti vers 1070 par le comte du Perche, seigneur de Champrond, et la base qui subsiste seule actuellement, est en maçonnerie si solide que la pioche aurait Ă©tĂ© impuissante Ă la dĂ©molir et qu'on dut y renoncer. Ma grand-mĂšre habita cette tour pendant plus de cinquante ans et câest lĂ que jâai passĂ© toutes mes vacances jusquâĂ ma dix-huitiĂšme annĂ©e.
Ă quelques centaines de mĂštres du bourg, sâĂ©tendent les grandes forĂȘts de Champrond et MontĂ©cot. »
â Docteur SimĂ©on Langlois, mĂ©decin en chef honoraire de lâadministration gĂ©nĂ©rale de lâAssistance Publique Ă Paris en 1973 - Un million de malades[42].
L'Ă©glise Saint-Sauveur
L'église Saint-Sauveur présente des éléments des XIIe, XVIIe et XIXe siÚcles.
Autres lieux et monuments
- Ătang et ancien lavoir du fossĂ© de Champrond
Arbre remarquable de France
Le chĂȘne du bois Landry « Les quatre FrĂšres », hauteur 31 m, circonfĂ©rence 7 m, bicentenaire est labellisĂ© « Arbre remarquable de France », privĂ©, en [43] - [44].
Personnalités liées à la commune
HĂ©raldique
Blason | ĂcartelĂ© : au 1) d'argent au village au naturel toiturĂ© de gueules, au 2) d'azur au gland d'or feuillĂ© de deux piĂšces de sinople en chevron, au 3) d'azur Ă l'Ă©pi de blĂ© d'or posĂ© en bande, au 4) d'argent aux cinq ondes alĂ©sĂ©es d'azur ; sur le tout d'argent aux trois chevrons de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Champrond-en-Gùtine sur le site de généalogie Perche-Gouët
- Champrond-en-Gùtine sur le site de l'Institut géographique national
- Fiche FR2400550 - Arc forestier du Perche d'Eure-et-Loir sur le réseau Natura 2000
- Fiche FR2512004 - ForĂȘts et Ă©tangs du Perche sur le rĂ©seau Natura 2000
Bases de données et dictionnaires
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Loupe_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Champrond-en-Gùtine et La Loupe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Loupe_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Champrond-en-Gùtine et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Champrond-en-Gùtine », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- A.D. 28-G 907.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Champrond-en-GĂątine », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
- Journal L'Union Agricole du 27 avril 1871
- « Covid-19, le professeur Raoult estime que l'élevage de visons d'Eure-et-Loir a engendré "un monstre, le pire des tueurs" / Actu Chartres », sur actu.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'Ătat (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- La tour d'Aligre sur le site de généalogie Perche-Gouët.
- La tour d'Aligre sur le site officiel de la commune.
- Langlois SimĂ©on, Un million de malades : mĂ©moires d'un mĂ©decinâŠ, Paris : la PensĂ©e universelle, 1977. BNF Notice n° : FRBNF34594554.
- Exposition « Arbres remarquĂ©s d'Eure-et-Loir », maison des Espaces Naturels d'Ăcluzelles, 2022.
- Carte de France interactive « Comment trouver les arbres labellisĂ©s par lâassociation ? », sur le site de l'association A.R.B.R.E.S., consultĂ© le 8 septembre 2022.
- Le Court Henri, Généalogie des branches normandes et percheronnes de la maison Du Buat, seigneurs, barons, comtes et marquis Du Buat, dressée sur documents authentiques, Lisieux : Impr. de E. Lerebour, 1885 (dépÎt 1900), In-4°, 68 p. BNF Notice n° : FRBNF34210468
- BNF Notice d'autoritĂ© personne nÂș : FRBNF12425692