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Chamborand

Chamborand est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine. Les habitants de Chamborand sont les "Chamborantais", Chamborand s'écrivant autrefois "Chamborant".

Chamborand
Chamborand
Paysage aux environs de Chamborand
Blason de Chamborand
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes de Bénévent-Grand-Bourg
Maire
Mandat
Jean-François Lebon
2020-2026
Code postal 23240
Code commune 23047
DĂ©mographie
Population
municipale
242 hab. (2020 en diminution de 1,63 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 22 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 09â€Č 24″ nord, 1° 34â€Č 23″ est
Altitude Min. 340 m
Max. 479 m
Superficie 11,18 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction La Souterraine
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Grand-Bourg
LĂ©gislatives Circonscription unique
Localisation
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Chamborand
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Chamborand

    GĂ©ographie

    Le territoire de la commune est traversé par le Peyroux, affluent de La Gartempe.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 001 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Benevent_sapc », sur la commune de BĂ©nĂ©vent-l'Abbaye, mise en service en 1996[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 027,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le dĂ©partement de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et Ă  42 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  11,4 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Chamborand est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de la Souterraine, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (78,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (78,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (43,9 %), prairies (34,2 %), forĂȘts (21,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Chamborand est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chamborand.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 34,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (33,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 182 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 39 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 21 %, Ă  comparer aux 25 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Chamborand est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[24].

    Histoire

    La mine d’or de La Petite-Faye

    Le gisement aurifĂšre de La Petite-Faye est exploitĂ© par les Gaulois LĂ©movices. L’exploitation de la mine d'or s’arrĂȘte aprĂšs la conquĂȘte romaine[25]. Elle reprend Ă  l’époque mĂ©rovingienne, contemporaine de l’orfĂšvre saint Éloi, Ă©vĂȘque de Noyon mais originaire de Chaptelat. À cette Ă©poque, l’extraction d’or est probablement le fait de mineurs-paysans. La derniĂšre Ă©poque d'exploitation de ce gisement date des annĂ©es 1950[26].

    Moyen Âge

    Famille de Moras

    Le chùteau et ses dépendances échurent en 1566 à la famille de Moras, barons d'extraction Napolitaine.

    Fabien de Morra (ou de Moras), lĂ©gataire de son pĂšre par son testament du 15 avril 1555. Comme son frĂšre CĂ©sar, il obtint des lettres de naturalitĂ© française le 20 juillet 1565, aprĂšs avoir Ă©tĂ© reconnu noble par lettres de 1565. Avec son frĂšre CĂ©sar, il acquit par contrat du 22 (ou 2) septembre 1566, la part qu’Antoine Faulcon, chevalier, seigneur des LĂšzes et Françoise Chauvet sa femme, avaient obtenu en la terre de Chamborant (Creuse) par suite du partage que firent entre eux les hĂ©ritiers de Chamborant le 7 juillet 1559.

    Françoise avait reçu le tiers de la terre de Chamborant avec le chĂąteau et « le vol du chapon ». CĂ©sar et sa femme acquirent peu aprĂšs de Louise Chauvet et de Charles d’Eschizadour son mari, la portion qui leur Ă©tait Ă©chue. Le 19 avril 1593, sa femme et lui cĂ©dĂšrent Ă  leurs quatre fils Antoine, Horace, Gaspard et Charles des droits sur cette terre auxquels prĂ©tendait Guy Brachet, seigneur de Peyrusse.

    Il rendit hommage pour Chamborant le 13 septembre 1595 Ă  Paul de CouhĂ© seigneur de la Roche-Agait, vicomte de Bridiers. En 1597, il tenait en confidence l’abbaye de BĂ©nĂ©vent (Creuse). Le 9 mars 1598 dans une transaction, CĂ©sar, frĂšre de DĂšce alors mort, confirma les aliĂ©nations qu’il avait dĂ©jĂ  faites, entre autres la pension due Ă  ladite abbaye au titre de la commanderie de Lascroux (Le Grand-Bourg, Creuse). Le conflit entre les abbĂ©s de BĂ©nĂ©vent et la famille de Moras commencĂ© avec l’abbĂ© Paul PĂ©lisson, se continua avec Jean-Baptiste de la Croix de Saint-Vallier, Ă©vĂȘque de QuĂ©bec (Canada), seigneur abbĂ© de BĂ©nĂ©vent. La mĂȘme annĂ©e 1598, CĂ©sar reçut quittance de Philippe Roussel, abbĂ© de BĂ©nĂ©vent « de tous les revenus qu’il pouvait avoir perçus de ladite abbaye de BĂ©nĂ©vent.» Le 27 septembre 1598, il acheta le quart des dĂźmes de la paroisse de Chamborant aux auteurs de Francois-LĂ©onard de Bony, chevalier, seigneur de Ventenat (en ChĂąteauponsac Haute-Vienne).

    Il existe de trÚs nombreux descendants de la famille de Moras (Morra) en France et en Amérique (Canada, Amérique du Sud).

    HĂ©raldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    D’or au lion de sable armĂ© et lampassĂ© de gueules.

    Politique et administration

    RĂ©gion

    Le Limousin est l'une des 26 rĂ©gions françaises, et est composĂ© des trois dĂ©partements : CorrĂšze, Creuse et Haute-Vienne. SituĂ© presque en totalitĂ© sur le Massif central, au 1er janvier 2005, il regroupait 724 243 habitants sur prĂšs de 17 000 km2. Ses habitants sont appelĂ©s les Limousins.

    Jean-Paul Denanot est président du Conseil régional du Limousin depuis 2004.

    DĂ©partement

    Le département a été créé à la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789, essentiellement à partir de l'ancienne province de la Marche. Ses habitants sont appelés les Creusois. Les conseillers généraux sont élus dans le cadre des cantons pour une durée 6 ans. Dans la Creuse, il y a 27 cantons et donc 27 conseillers généraux. Ces derniers élisent en leur sein le président du conseil général de la Creuse. Depuis 2001, c'est Jean-Jacques Lozach, conseiller général de Bourganeuf, qui en est le président.

    Le conseiller général du canton de Le Grand-Bourg est Didier Bardet (PS) depuis 2011.

    Circonscription

    Chamborand appartenait à la 1re circonscription composée des cantons de Bénévent-l'Abbaye, Bonnat, Bourganeuf, Dun-le-Palestel, Le Grand-Bourg, Guéret-Nord, Guéret-Sud-Est, Guéret-Sud-Ouest, Saint-Vaury et La Souterraine jusqu'aux élections de juin 2012.

    Depuis le redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010, la Creuse ne comporte plus qu'une seule circonscription. Lors des élections législatives françaises de 2012, Michel Vergnier qui était le député (PS) de la 1re circonscription depuis 1997 a été élu député de la Creuse face à Jean Auclair qui était le député (UMP) de la deuxiÚme circonscription.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1981 ? Marcel Pateyron PCF
    avant 1995 2007 André Bouteille
    mars 2008 2013 Thomas Bernard[27] (décédé)
    2013 En cours Jean-François Lebon DVD Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[29].

    En 2020, la commune comptait 242 habitants[Note 7], en diminution de 1,63 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    473513493664592614590626632
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    596634700732760797791793744
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    748768724637593524504430387
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    381310283277266237235234243
    2018 2020 - - - - - - -
    240242-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Donjon inscrit au titre des monuments historiques en 1939[32].
    • ChĂąteau (propriĂ©tĂ© privĂ©e)
    • Église Saint-Martial de Chamborand
    • Etang de la Chaise: Il s'Ă©tend au pied du donjon, et du hameau de La Chaise.
    • Ancienne mine d'or : elle est situĂ©e prĂšs du hameau de La petite Faye[33], elle a fonctionnĂ© jusqu'en 1962, actuellement, il ne reste que de vieux bĂątiments ruinĂ©s, c'est une propriĂ©tĂ© privĂ©e.
    • Donjon
      Donjon
    • Autre face du donjon
      Autre face du donjon
    • Chamborand vu de l'Ă©tang de La Chaise
      Chamborand vu de l'Ă©tang de La Chaise
    • Vaches limousines
      Vaches limousines

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Notes

      Références

      1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
      2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
      5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
      6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      7. « Station Météo-France Benevent_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      8. « Orthodromie entre Chamborand et Bénévent-l'Abbaye », sur fr.distance.to (consulté le ).
      9. « Station Météo-France Benevent_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      10. « Orthodromie entre Chamborand et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
      11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
      16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
      19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
      20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Chamborand », sur Géorisques (consulté le )
      21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
      22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
      23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chamborand », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
      24. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
      25. Béatrice Cauuet, L'Or des Celtes du Limousin, Limoges : Culture et patrimoine en Limousin, coll. Archéologie, 2004, (ISBN 2-911167-37-6), op. cit., p. 33.
      26. Cauuet, op. cit., p. 35.
      27. Source : préfecture de la Creuse
      28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
      31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      32. Notice no PA00100034, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
      33. http://sigminesfrance.brgm.fr/telechargement/gites_inventaire/La_Petite-Faye.pdf

      Voir aussi

      Article(s) connexe(s)

      Liens externes

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