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Chérencé-le-Héron

Chérencé-le-Héron est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 432 habitants[Note 1].

Chérencé-le-Héron
Chérencé-le-Héron
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Villedieu Intercom
Maire
Mandat
Joël Plaine
2020-2026
Code postal 50800
Code commune 50130
Démographie
Gentilé Chérencéens
Population
municipale
432 hab. (2020 en augmentation de 11,63 % par rapport à 2014)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 48′ 07″ nord, 1° 11′ 48″ ouest
Altitude Min. 129 m
Max. 226 m
Superficie 9,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villedieu-les-Poêles
Législatives Première circonscription
Localisation
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Chérencé-le-Héron
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Chérencé-le-Héron

    Géographie

    La commune est dans le sud du département de la Manche, au nord de l'Avranchin. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie la classe dans la partie sud de la « Manche centrale », caractérisée par un bocage fermé au faible relief[1]. Son bourg est à km au sud de Villedieu-les-Poêles et à 21 km au nord-est d'Avranches[2].

    La commune est parcourue du nord au sud par la route départementale no 999 (ancienne route nationale 799) qui traverse le bourg, le reliant à Villedieu-les-Poêles au nord et à Brécey au sud. La RD 209 en part vers le nord-ouest permettant de rejoindre Saultchevreuil-du-Tronchet par la RD 33 limitrophe. À l'ouest, la RD 486 relie la RD 209 au bourg de Rouffigny. Le sud du territoire est traversé par la RD 81 qui permet notamment de rejoindre Saint-Martin-le-Bouillant au sud-est. L'A84 est accessible à km au nord, près de Villedieu-les-Poêles (sorties 37 vers Rennes et 38 vers Caen).

    Le bourg de Chérencé est sur une ligne de partage des eaux. Les eaux de la moitié occidentale du territoire sont collectées par des premiers affluents de l'Airou, rivière du bassin de la Sienne, dont la Nouette qui est aussi considérée comme un bras de l'Airou[3]. La moitié orientale est dans le bassin de la Sée et est bordée par l'Anguille (appelé aussi le Bieu), affluent direct du fleuve côtier.

    Le point culminant (226 m) est le sommet d'une colline au nord du bourg. Le point le plus bas (129 m) correspond à la sortie du territoire de l'Anguille, au sud-est. La commune est bocagère.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 093 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coulouvray-Boisbenâtre », sur la commune de Coulouvray-Boisbenâtre, mise en service en 1988[12] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 378,3 mm pour la période 1981-2010[14].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 29 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[16] à 11,9 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Chérencé-le-Héron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [19] - [20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (57 %), zones agricoles hétérogènes (30,3 %), terres arables (9,5 %), zones urbanisées (2,9 %), forêts (0,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes de Carenceio en 1186[26], Charenceyo en 1369-1370[26] et Charencé en 1422[26].

    Il semble issu de l'anthroponyme gaulois[26] ou roman[27] Carantius ; la commune s'est également appelée Cherencey le Héron en 1889[28] - [29].

    L'ajout du déterminant -le-Héron est attesté dès le XIVe siècle. Il a été rendu nécessaire par la proximité (environ 17 km) d'un autre Chérencé, devenu par la suite Chérencé-le-Roussel. Le Héron s'écrivait autrefois le Hairon, ce nom devait être celui de l'Airou qui désigne la rivière qui prend sa source à l'est du territoire de la commune voisine de La Trinité[30].

    Le gentilé est Chérencéen[31].

    Histoire

    La paroisse eut pour seigneur Gabriel II de Montgommery (c.1560-1635), chef des protestants de l'Avranchin, également seigneur de Ducey[31].

    À la Révolution, Étienne Giroult (1756-1793), né à Chérencé-le-Héron, fut élu député à la première Assemblée législatives (1791 au ). Royaliste modéré, poursuivi comme contre-révolutionnaire, il se cacha dans le clocher de l'église du Mesnil-Garnier, d'où il tomba, mortellement[31].

    Politique et administration

    Liste des maires[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1830 1870 Pierre-Amand Lejamptel[32]
    1935 1960 Charles Dubreuil
    1960 1995 Roland Letellier
    juin 1995 mars 2001 Daniel Hamel SE Agriculteur
    mars 2001 mars 2008 Bernard Landrie SE Agriculteur retraité
    mars 2008 mars 2014 Philippe Clément SE Retraité (armée)
    mars 2014[33] mai 2020 Christophe Chaumont SE Artisan commerçant
    mai 2020[34] En cours Joël Plaine SE Artisan retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[34].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

    En 2020, la commune comptait 432 habitants[Note 9], en augmentation de 11,63 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Chérencé-le-Héron a compté jusqu'à 846 habitants en 1836.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    700582778818769846814760804
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    770801783784783716670651603
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    618604607582571581569557544
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    515493442345354409387381384
    2018 2020 - - - - - - -
    419432-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame (XVe – XIXe siècles)[31]. Elle abrite des fonts baptismaux (Moyen Âge), un bénitier en granit (XVe), pierre tombales (XVIIe) transformées en bénitier, statues de Jeanne d'Arc (XIXe), les tableaux de : l'Assomption (XVIIe) et sainte femme (XVIIe) et une verrière de Mazuet et Gérard Bourget[31]. L'église fut la possession de la commanderie de Villedieu puis de Fraslin de Husson, seigneur de Ducey et de Chérencé-le-Héron, marié à Clémence du Guesclin, sœur du connétable Bertrand du Guesclin. Revenue aux Montgommery, ces derniers y possédèrent un château dont seule la tradition a conservé le nom de Douves[31].
    • La nef de l’église Notre-Dame.
      La nef de l’église Notre-Dame.
    • L'ancien maitre-autel.
      L'ancien maitre-autel.
    Pour mémoire
    • Château de Douves, possession de la famille de Montgommery[31].

    Activité et manifestations

    • Fête communale en juillet.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 155

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. [PDF] « www.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 4.2.1 : La Manche centrale » (consulté le ).
    2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Airou (I7102000) » (consulté le ).
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Coulouvray-Boisbenâtre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Chérencé-le-Héron et Coulouvray-Boisbenâtre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Coulouvray-Boisbenâtre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Chérencé-le-Héron et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 208.
    27. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 94.
    28. Dictionnaire des communes, Éd. Berger-Levrault, 1968.
    29. Carte de la Manche, in Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1889.
    30. Revue de l'Avranchin et du pays de Granville, vol. 19 à 20, Includes Proceedings of the society and lists of members, , p. 277.
    31. Gautier 2014, p. 155.
    32. Annuaire du département de la Manche, 33e année, 1861, p 235.
    33. « Christophe Chaumont est élu maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    34. « Municipales à Chérencé-le-Héron. Joël Plaine nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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