AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Breuilaufa

Breuilaufa (prononcer [bÊĆ“jofa]; Lo BruĂšlh au Fag en occitan) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Vienne en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Breuilaufa
Breuilaufa
L'Ă©glise et l'ancienne commanderie.
Blason de Breuilaufa
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Bellac
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Franck Maitre
2020-2026
Code postal 87300
Code commune 87022
DĂ©mographie
Gentilé Breuilaufais
Population
municipale
117 hab. (2020 en diminution de 16,43 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 25 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 02â€Č 36″ nord, 1° 06â€Č 20″ est
Altitude Min. 236 m
Max. 315 m
Superficie 4,6 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bellac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Breuilaufa
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Breuilaufa
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Vienne
Breuilaufa
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Breuilaufa
Liens
Site web www.breuilaufa.fr

    Ses habitants sont appelés les Breuilaufais[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Situation de la commune de Breuilaufa en Haute-Vienne.

    C'est une petite commune du nord de la Haute-Vienne. Elle compte environ 154 habitants. On peut y voir une Ă©glise gothique comportant quelques Ă©lĂ©ments romans (chapiteaux du chƓur), principalement connue pour sa statue en cuivre dorĂ© en partie Ă©maillĂ© de la Vierge Ă  l'Enfant (de nouveau exposĂ©e dans l'Ă©glise depuis la rĂ©novation de celle-ci en 2012), ainsi qu'une commanderie des hospitaliers partiellement restaurĂ©e.

    Communes limitrophes de Breuilaufa[2]
    Berneuil
    Breuilaufa
    Vaulry Chamboret

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 943 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Nantiat », sur la commune de Nantiat, mise en service en 1996[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 122,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă  24 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,4 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Breuilaufa est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (91,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (57,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,8 %), terres arables (15,5 %), forĂȘts (8,4 %), zones urbanisĂ©es (0,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Breuilaufa est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Breuilaufa.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. 31,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Breuilaufa est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    D'aprĂšs certaines traditions, le nom Breuilaufa viendrait du breuil aux fĂ©es, soit la forĂȘt aux fĂ©es : on raconte que deux paysans ont vu un soir des fĂ©es dans la forĂȘt de la commune. Il est beaucoup plus probable qu'il s'agissait en fait du bois des hĂȘtres, brolium fagi.

    Ce nom viendrait du celte brogilo, petit bois, du latin brogilus, de l’occitan brolh, bruelh ainsi que de l’occitan fau et du latin fagum, le hĂȘtre. LittĂ©ralement ’’petit bois de hĂȘtres’’[27].

    La commune, trÚs petite, a vu son école communale fermée il y a quelques années, au profit de celles des communes voisines de Cieux, Chamboret et Vaulry.

    Les Hospitaliers

    Le village doit son existence Ă  l'installation d'une commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de JĂ©rusalem[28] qui construisirent probablement Ă  la fin du XIIe ou au XIIIe siĂšcle une Ă©glise et une demeure pour le commandeur, dont le manoir de la fin du Moyen Âge, existant encore Ă  cĂŽtĂ© de l'Ă©glise, est l'Ă©volution. Cette commanderie qui faisait partie de la langue d'Auvergne devint plus tard un membre de la commanderie du Palais (Limoges)[29] - [Note 9].

    Il y avait trois moulins dont le moulin banal dit du Pont et celui de La Doure, le troisiĂšme au cƓur du bourg Ă©tait affermĂ©. Le commandeur dĂ©tenait la haute, moyenne et basse justice, son autoritĂ© et les rentes et dĂźmes qu'il percevait s'Ă©tendaient aux paroisses et villages de Berneuil, Chamboret, Nantiat et Vaulry et sur l'ancien fief noble du Chatain (Chastaing). En 1587, le chĂąteau de la commanderie Ă©tait occupĂ© par des soldats protestants[31]. Dans le courant du XIIIe siĂšcle, l'Ă©glise fut dĂ©corĂ©e d'un ensemble d'objets en orfĂšvrerie de cuivre, Ă©maillĂ© ou non, fabriquĂ©s Ă  Limoges. Beaucoup Ă©taient encore conservĂ©s au XVIIe siĂšcle (pyxide, reliquaires, croix, chandeliers, etc.). Il ne reste aujourd'hui que l'extraordinaire Vierge Ă  L'Enfant en bois recouvert de cuivre dorĂ©, peut-ĂȘtre Ă  l'origine une vierge eucharistique, qui fut longtemps conservĂ©e en tant que statue de dĂ©votion.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? Baptiste Melon PCF
    2001 2008 Serge LĂ©ger
    2008 En cours Franck MaĂźtre[33]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[35].

    En 2020, la commune comptait 117 habitants[Note 10], en diminution de 16,43 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    207201216208203225210240253
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    224189188190220263269255257
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    266218210195193177184163140
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1141051007588117127140148
    2014 2019 2020 - - - - - -
    140120117------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©difice date du XIIIe siĂšcle. Des chapiteaux datant peut-ĂȘtre du XIIe siĂšcle sont rĂ©employĂ©s dans le chƓur, seule partie voĂ»tĂ©e. La voĂ»te de la nef s'est en effet Ă©croulĂ© avec une partie du clocher au XVIIe siĂšcle et n'a jamais Ă©tĂ© reconstruite. Cet accident explique les remaniements du clocher mur et de la façade occidentale.
    L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1978[38].

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Breuilaufa se blasonnent ainsi :

    D'or aux trois hĂȘtres terrassĂ©s de sinople, au chef de la Religion.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • J.-F. Boyer et V. Notin, « L’église hospitaliĂšre de Breuilaufa et "l’image de Notre-Dame en bosse de bronze dorĂ© fort biau" », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique du Limousin, t. 130,‎ , p. 55-90 (prĂ©sentation en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. D'aprĂšs l'archiviste de la Haute-Vienne Maurice Ardant, Breuilaufa a aussi fait partie des membres de Morterolles[30]
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sur GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Nantiat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Breuilaufa et Nantiat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Nantiat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Breuilaufa et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Breuilaufa », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    27. http://www.nieuletalentoursenlimousin.fr/le-musee/notre-territoire/toponymie/nouvel-article-186.html
    28. Jean-Marc Roger, « La réforme de l'HÎpital par Jean XXII : Le démembrement des prieurés de Saint-Gilles et de France (21 juillet 1317) », dans Helen Nicholson, On the Margins of Crusading : The Military Orders, the Papacy and the christian world, Ashgate, , 4e éd., 224 p. (ISBN 978-1-4094-3217-3, présentation en ligne), p. 109 (note 51)
      En 1310, le frÚre Aimery MarchÚs ou Marchais était commandeur des maisons de l'HÎpital de Bourganeuf et de Breuilaufa : « religioso viro, fratre Aymerico March. preceptore domorum Hospitalis Sancti Johannis Jherosolimitani de Burgo novo et Brolhio Ffagi ».
      .
    29. Marie-Claire Pontier, « Inventaire analytique des archives dĂ©partementales de la Haute-Vienne: 39 H - Fonds des Commanderies de l’ordre de Malte (1195-1791) », sur www.archives.haute-vienne.fr, (consultĂ© le )
      Au moins depuis 1447 oĂč on trouve frĂšre Louis Mancarius, commandeur du Palais, de Breuilaufa et de Puybonnieux (39 H 27).
      .
    30. Maurice Ardant (archiviste), « Chevaliers Hospitaliers de Saint-Jean de JĂ©rusalem, de Rhodes et de Malte », Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique du Limousin, t. IX,‎ , p. 166 (lire en ligne).
    31. Louis-Augustin VayssiĂšre, « L’Ordre de Saint-Jean de JĂ©rusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocĂšse de Limoges », Bulletin de la SociĂ©tĂ© des lettres, sciences et arts de la CorrĂšze,‎ , p. 109-110, lire en ligne sur Gallica.
    32. (fr) « Les maires de la commune sur francegenweb.org » (consulté le ).
    33. (fr)[PDF]Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Eglise de la Décollation de Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00100257, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    39. « Statuette : Vierge à l'Enfant », notice no PM78000771, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    40. « Dolmens n° 3 et 4 de la Betoulle », notice no PA00100256, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    41. Mairie de Breuilaufa, « Les anciennes mines de Vaulry », sur breuilaufa.fr (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.