Breteil
Breteil est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 3 632 habitants[Note 1].
Breteil | |||||
L'Ă©glise Saint-Malo. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | Montfort Communauté | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Ozoux 2020-2026 |
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Code postal | 35160 | ||||
Code commune | 35040 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Breteillais | ||||
Population municipale |
3 632 hab. (2020 en augmentation de 4,46 % par rapport Ă 2014) | ||||
Densité | 247 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
21 956 hab. | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 08âČ 43âł nord, 1° 53âČ 55âł ouest | ||||
Altitude | 55 m Min. 26 m Max. 71 m |
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Superficie | 14,70 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Breteil (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montfort-sur-Meu | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.breteil.bzh | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Breteil fait partie du canton de Montfort-sur-Meu et dépend de l'arrondissement de Rennes. La commune s'étend sur 1 470 hectares.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
- Illenoo 2 Rennes - Montfort-sur-Meu - Gaël
- Gare de Breteil : c'est une halte SNCF sur la ligne Paris - Brest qui permet l'accÚs aux trains TER Bretagne[1]. Elle est inaugurée en 1980[2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[9] et qui se trouve Ă 16 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 12,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Breteil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Breteil, une unité urbaine monocommunale[17] de 3 584 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (89,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (51,4 %), terres arables (29,4 %), zones urbanisĂ©es (11,1 %), prairies (5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Britolio en 1122[24], Bretulium en 1152, Breteil en 1158, Breteill en 1185[25], Bretueil en 1380[24].
Dauzat et Rostaing expliquent ce nom par le nom d'homme gaulois conjectural *Brittus, suivi du terme *ialo, « clairiÚre, endroit »[26].
Le nom de la localité en gallo, langue régionale locale, est Beurteuil[27].
Histoire
La paroisse de Breteil est issue du dĂ©membrement de l'ancienne paroisse de Pleumeleuc, dĂšs 1122. c'est pendant cette annĂ©e-lĂ que l'Ă©vĂȘque d'Aleth consacra l'Ă©glise de Breteil aux moines bĂ©nĂ©dictins de Saint-Melaine de Rennes.
En 1152, le seigneur de Montfort-sur-Meu donna Ă l'abbaye Saint-Jacques de Montfort deux domaines agricole de Breteil. Il fit cette donation afin de participer aux bonnes Ćuvres des moines.
Dans le bourg mĂȘme de Breteil, un prĂȘtre appelĂ© Guillaume, donna une maison de Breteil Ă l'abbaye de Montfort-sur-Meu.
Raoul de Montfort, en 1120 compte dans la dot de sa fille pour son mariage avec le comte de la Riolaye, le chĂąteau de Breteil.
Comme partout en Bretagne et notamment en Haute-Bretagne, les paysans possĂšdent des terres, mais gĂ©nĂ©ralement de faible Ă©tendue. Les laboureurs qui ont une certaine aisance sont relativement minoritaires, les autres doivent Ă moins d'ĂȘtre fermier se louer comme journaliers et domestiques. Avec 167 domestiques pour 1271 habitants en 1774, ils sont proportionnellement moins nombreux que dans certaines paroisses voisines.
Le territoire de la paroisse dépend principalement de deux juridictions :
- juridiction de Breteil et la Riollais ;
- juridiction de la Touche Parthenay, Launay-Sinan et la Gautrais.
La capitation, le vingtiÚme et autres taxes étaient perçus par des collecteurs parcourant la paroisse divisée en quatre quartiers ou traits : le bourg, l'Abbaye, la Boulais et Painbay.
La RĂ©volution
Le 1er avril 1789, les habitants se rĂ©unissent pour la rĂ©daction du cahier de dolĂ©ances en prĂ©vision des prochains Ătats gĂ©nĂ©raux. 71 votants Ă©lisent Mathurin VitrĂ© de la Corbinais et NoĂ«l Legros pour participer Ă la prochaine rĂ©union du tiers-Ă©tat de la sĂ©nĂ©chaussĂ©e de Rennes.
En janvier 1791, aucun prĂȘtre ne prĂȘte serment Ă la Constitution civile du clergĂ© ; en 1792, avec la loi du 26 aoĂ»t et l'Ă©lection de François-Guy Martin comme curĂ© constitutionnel, ils sont contraints Ă l'exil ou Ă une clandestinitĂ© facilitĂ©e par le soutien des paysans.
Le presbytĂšre et l'habitation d'un acquĂ©reur des biens ecclĂ©siastiques sont saccagĂ©s le 18 mars 1793 par environ trois cents brigands qui seront appelĂ©s ensuite chouans. Les troubles suscitĂ©s par la levĂ©e en masse des 300 000 hommes durent plusieurs jours : le 19 mars, des femmes et enfants sonnent le tocsin en frappant les cloches Ă coups de marteau, les battants ayant Ă©tĂ© enlevĂ© la veille par la garde nationale de Montfort-sur-Meu. Sur les 22 soldats demandĂ©s pour former le contingent, il n'y eut que cinq volontaires. La garde nationale n'a besoin que de quelques coups de feu pour mettre les insurgĂ©s en dĂ©bandade ; une dizaine de Breteillais sont arrĂȘtĂ©s, la plupart sont relĂąchĂ©s le lendemain.
En 1794, la chouannerie se dĂ©veloppeâŠ, Jean (François) Ăveillard, fils de Jean Ăveillard et de Marie Bernard, Ă©poux de Marie DelanoĂ«, capitaine de la garde nationale, demeurant Ă la Herdrouais, est assassinĂ© le 31 dĂ©cembre en rĂ©sistant Ă des hommes masquĂ©s cherchant des armes. Un an plus tard, le , Marie Gallais, femme d'un autre Jean Ăveillard (fils de François et Anne- Marie Laval) et Anne (Mathurine) BerrĂ©e sa fille issue d'un premier mariage, demeurant Ă la Forge, subissent le mĂȘme sort. Ces derniers assassinats laissent Ă penser Ă une confusion des familles.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[31].
En 2020, la commune comptait 3 632 habitants[Note 8], en augmentation de 4,46 % par rapport Ă 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Tourisme
La gestion du tourisme de Breteil est confiée par Montfort Communauté à l'office de tourisme du pays de Montfort.
Culture locale et patrimoine
Monuments
- LâĂ©glise Saint-Malo dont la nef et le collatĂ©ral sud ont Ă©tĂ© Ă©difiĂ©s au XVIe siĂšcle, la charpente est datĂ©e par une inscription de 1503[34]. L'Ă©glise est remarquable par son porche pourvu d'une voĂ»te carĂ©nĂ©e.
- La chapelle de l'Abbaye appartenant Ă lâabbaye Saint-Jacques de Montfort-sur-Meu, est construite en schiste et poudingue.
- La chapelle de la Riolais semble remonter au XVIIe siĂšcle, mĂȘme si le fronton sculptĂ©, prĂ©sent au-dessus de la porte est, date plutĂŽt du XVe ou XVIe siĂšcle. Fait Ă©trange, cette chapelle n'est pas orientĂ©e, en effet, son cĆur est au sud.
Lieux
Le circuit de randonnĂ©e le pont Rozel est praticable toute l'annĂ©e, en toutes saisons. Le dĂ©part se fait place de l'Ăglise Ă Breteil.
HĂ©raldique
Blasonnement :
Dâazur Ă une hure de sanglier de sable, allumĂ©e et dĂ©fendue dâargent, accompagnĂ©e de trois gerbes de blĂ© dâor, liĂ©es aussi de sable. |
Voir aussi
Bibliographie
- Bertrand Monvoisin, Suzanne Berson, Breteil, une communautĂ© rurale sous la RĂ©volution, Ăditeur Commune de Breteil, 1990.
- Bertrand Monvoisin, "Breteil, une terre, une histoire." Ăditeur Commune de Breteil", 1990.
- Bertrand Monvoisin, "Breteil, une histoire des croix", 1995.
- Bertrand Monvoisin, "Breteil, d'un Millénaire à l'autre", 2000.
- Bertrand Monvoisin, "Breteil au temps de la Duchesse Anne, XVe-XVIe siĂšcles", 2003.
- Bertrand Monvoisin, "Breteil, son histoire, TOME I et II", 2011.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Inventaire préliminaire du Conseil régional
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020, légale en 2023.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Site Ter SNCF, Gare de Breteil lire (consulté le 01/11/2009).
- Site Breteil, dossier les vux 2009 lire (consulté le 01/11/2009).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Breteil et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Breteil », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Spézed, Coop Breizh, , 480 p. (OCLC 963221846), p. 334.
- « Etymologie et Histoire de Breteil », infobretagne (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 1 vol (XII-738-XXIII p.), p. 114.
- Erwan Vallerie, DiazezoĂč studi istorel an anvioĂč-parrez = TraitĂ© de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 32
- MinistÚre de l'Intérieur, 2014
- Le bureau communautaire, sur montfortcommunaute.bzh (consulté le 6 octobre 2020)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « http://inventaire-patrimoine.region-bretagne.fr/gertrude-diffusion/dossier/eglise-paroissiale-saint-malo/909f5151-ec18-4ec9-b110-8aa2ccca238a ».