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La Chapelle-Thouarault

La Chapelle-Thouarault est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne. La commune, peuplée de 2 244 habitants[Note 1], est membre de Rennes Métropole.

La Chapelle-Thouarault
La Chapelle-Thouarault
L'église paroissiale Notre-Dame-de-Montual.
Blason de La Chapelle-Thouarault
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Régine Armand (SE)
2020-2026
Code postal 35590
Code commune 35065
Démographie
Gentilé Capelthouarains
Population
municipale
2 244 hab. (2020 en augmentation de 11,81 % par rapport à 2014en augmentation de 11,81 % par rapport à 2014)
Densité 294 hab./km2
Population
agglomération
395 710 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 07′ 28″ nord, 1° 51′ 56″ ouest
Altitude Min. 28 m
Max. 64 m
Superficie 7,64 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Rheu
(banlieue)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Rheu
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Chapelle-Thouarault
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La Chapelle-Thouarault
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La Chapelle-Thouarault
Liens
Site web www.lachapellethouarault.fr

    Géographie

    La commune se situe à une dizaine de kilomètres à l'ouest de la ville de Rennes. Cette proximité lui a permis de s'insérer dans la communauté d'agglomération de Rennes, Rennes district en 1970, devenue Rennes Métropole en 2000.

    Carte de la commune.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de La Chapelle-Thouarault
    Breteil Saint-Gilles
    La Chapelle-Thouarault L'Hermitage
    Cintré Mordelles

    Les communes limitrophes de La Chapelle-Thouarault sont, en commençant par le nord et en suivant le sens des aiguilles d'une montre : Saint-Gilles, L'Hermitage, Mordelles, Cintré et Breteil.

    Transports

    L'intercommunalité lui permet d'être desservie par les bus du réseau service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR), la ligne 53 lui permet de rejoindre le centre de l'agglomération en environ 30 minutes avec une fréquence importante et est complétée par une ligne express, la 153ex.

    La ligne 2 du réseau régional BreizhGo dessert une partie de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 702 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Thouarault est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine du Rheu, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[15] et 15 347 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,4 %), prairies (22,7 %), terres arables (17,7 %), zones urbanisées (8,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Mont Tual (XIVe siècle)[22] puis Notre-Dame de Montual (1555)[23].

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Bredual[24].

    Histoire

    La commune de La Chapelle-Thouarault a été créée en 1790, par démembrement de la commune de Mordelles[25].

    Héraldique

    Blason de Chapelle-Thouarault (La) Blason
    D'or à un portail d'église d'argent mouvant de la pointe, maçonné et ouvert de sable, pavillonné d'azur et sommé du clocher de l'église du lieu aussi d'argent, maçonné aussi de sable et couvert d'azur, à la bordure de gueules frettée d'argent.
    Détails
    Création de 1978.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Circonscriptions de rattachement

    La Chapelle-Thouarault appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton du Rheu depuis le redécoupage cantonal de 2014. Auparavant, elle était rattachée au canton de Montfort-sur-Meu.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux[26] (PS-NUPES). Elle appartenait à la circonscription de Montfort sous le Second Empire et la IIIe République puis à la 2e circonscription (Rennes-Sud) de 1958 à 1986.

    Intercommunalité

    La commune appartient à Rennes Métropole depuis sa création le . La Chapelle-Thouarault faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le .

    La Chapelle-Thouarault fait aussi partie du Pays de Rennes.

    Institutions judiciaires

    Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[27].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    février 1792 ? Jean Baptiste Dupont
    Les données manquantes sont à compléter.
    ? mars 1959 Constant Jan
    mars 1959 mars 1971 Jules Guillard Exploitant agricole
    mars 1971 mars 1983 Roger Beaulieu PS Instituteur et secrétaire de mairie
    Conseiller général du canton de Montfort-sur-Meu (1976 → 1988)
    mars 1983 juin 1995 Alfred Trinquart PS Employé de géomètre
    juin 1995 mars 2001 Robert Beaudrier DVG Enseignant
    mars 2001 26 mai 2020 Jean-François Bohuon DVG Enseignant
    26 mai 2020 En cours Régine Armand[28] SE Cadre commerciale
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 2 244 habitants[Note 8], en augmentation de 11,81 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    499414464594512518538591581
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    569552564577593618603582575
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    549541549462501464453458456
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    4194517921 5661 9751 9151 9661 9691 926
    2015 2020 - - - - - - -
    2 0702 244-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La Chapelle-Thouarault a une école (primaire et maternelle) qui est publique.

    L’école de La Chapelle-Thouarault est une école récente, les nouveaux bâtiments ont été inaugurés en .

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte plus de 107 bâtiments inventoriés mais aucun monument historique[33].

    • L'église Notre-Dame-de-Montual[34].
    • Le manoir de Champ Menguy (début du XVIIe siècle), bâti en terre[35].
    • Une des plus vieilles maisons du département se situe dans la commune. Elle daterait de 1520.

    Personnalités liées à la commune

    Plusieurs personnalités de la commune ont été distinguées. L'école publique, reconstruite et inaugurée en 2005 par le maire de la commune Jean-François Bohuon et le député Philippe Rouault porte le nom de Roger Beaulieu, ancien maire de La Chapelle-Thouarault et ancien directeur de l'école publique.

    C'est en qu'a été recueilli George C. Padgett, aviateur américain, aujourd'hui décédé, et caché à l'armée allemande dans la ferme de Jean Bohuon (père de l'ancien maire). Une plaque marquait jusqu'à peu le souvenir de cette cache sur les murs de la ferme, toujours existante. La place de la mairie a été baptisée du nom de l'aviateur.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Chapelle-Thouarault et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 du Le Rheu », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804), p. 340.
    23. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 43
    24. « Résultats concernant « Chapelle-Thouarault » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
    25. Jacky Bertonneau, Mordelles et la Chapelle Thouarault dans l'Histoire. Recueil de textes des érudits bretons, enrichis de statistiques et d'un plan., 35890 LAILLE, Chez l'auteur, s.d., p. 8-9.
    26. Elle remplace François André décédé en cours de mandat.
    27. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    28. « La Chapelle-Thouarault. Régine Armand officiellement élue maire », Ouest-France, (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Liste des notices de la commune », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Notice n°IA00130762 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 110.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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