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Boucé (Orne)

BoucĂ© est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Orne en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 598 habitants[Note 1] (les BoucĂ©ens).

Boucé
Boucé (Orne)
L'Ă©glise Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Orne
Arrondissement Argentan
Intercommunalité CC Argentan Intercom
Maire
Mandat
Brigitte Messager
2020-2026
Code postal 61570
Code commune 61055
DĂ©mographie
Gentilé Boucéens
Population
municipale
598 hab. (2020 en diminution de 3,55 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 29 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 38â€Č 48″ nord, 0° 05â€Č 25″ ouest
Altitude Min. 172 m
Max. 268 m
Superficie 20,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Argentan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Magny-le-DĂ©sert
LĂ©gislatives 3e circonscription de l'Orne
Localisation
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Boucé
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Boucé
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Boucé
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Boucé

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.
    Carte avec les communes environnantes.

    La commune est aux confins du pays d'Houlme, du pays d'Andaine, de la campagne d'Alençon et de la plaine d'Argentan. Son bourg est Ă  8,5 km au sud d'ÉcouchĂ©, Ă  10 km Ă  l'est de RĂąnes, Ă  10 km au nord-est de Carrouges, Ă  12 km au sud-ouest d'Argentan et Ă  22 km Ă  l'ouest de SĂ©es[1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 813 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Argentan », sur la commune d'Argentan, mise en service en 1994[10] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 694,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et Ă  28 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă  10,9 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Boucé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argentan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (96,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (57,5 %), prairies (38,5 %), forĂȘts (2,1 %), zones urbanisĂ©es (1,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Boceio vers 1080[24].

    Il y a dĂ©bat sur l'origine du toponyme. Albert Dauzat y dĂ©cĂšle un anthroponyme latin : Buccius ou Buttius[25], tandis que RenĂ© Lepelley le considĂšre issu du substantif latin buxus, « buis Â»[26].

    L'étymologie est similaire à celle d'autres communes ornaises telles Boissy-Maugis, Boissei-la-Lande et Boëcé[27].

    Histoire

    Du XVIe siĂšcle jusqu'Ă  la fin du XIXe, des seigneurs bas-normands (les de Nocey, puis les de Gastey, Ă  Boucey) construisirent et exploitĂšrent des ateliers mĂ©tallurgiques (comme dans une dizaine d'autres sites ornais dont Carrouges, Le Champ-de-la-Pierre, RĂąnes
). Avec la RĂ©volution de 1789, la majoritĂ© des biens de la noblesse et du haut clergĂ© furent saisis par la nation. Dans ces biens nationaux, les ateliers mĂ©tallurgiques furent souvent vendus par l'État — avec des conditions financiĂšres avantageuses — Ă  une classe de gens (l'Ă©lite du tiers Ă©tat) dĂ©cidĂ©s Ă  faire fortune Ă  leurs risques et pĂ©rils (connus comme « maĂźtres de forges Â» Ă  leur compte et non plus comme avant pour le compte d'un maĂźtre propriĂ©taire). En ce qui concerne les travailleurs manuels (ou man-Ɠuvres), l'activitĂ© mĂ©tallurgique traditionnelle essaya de perdurer. En ce qui concerne le site de Boucey — entre 1770 et 1820 — les forges de Boucey employaient une centaine d'hommes qui y trouvaient le gagne-pain de leur famille : certains — dans les mois d'hiver — s'activaient au haut fourneau (approvisionnĂ© en minerai de fer tirĂ© des carriĂšres de RĂąnes - Saint-Brice et en charbon de bois produit en forĂȘt d'Écouves) ; d'autres faisaient fonctionner les forges (qui utilisaient la force motrice de la riviĂšre la Cance). La production annuelle de 150 Ă  200 tonnes de fer Ă©taient vendus, au moment des foires en particulier, pour ĂȘtre transformĂ©s dans d'autres ateliers spĂ©cialisĂ©s de la rĂ©gion en outils, d'ustensiles
 Mais le XIXe siĂšcle allait connaĂźtre — aprĂšs la rĂ©volution politique amorcĂ©e en 1789 — une Ă©norme transformation de la sociĂ©tĂ© touchant Ă  la finance, au machinisme, aux transports, aux Ă©changes Ă  l'intĂ©rieur et Ă  l'extĂ©rieur de la France
 Qui aurait pu penser que la technique sĂ©culaire de production du fer — en passant par la fonte avec l'aide du charbon de bois — arrivait Ă  la limite de ses possibilitĂ©s ? Et pourtant cette activitĂ© « Ă  l'ancienne Â» allait cesser en quelques dizaines d'annĂ©es seulement. Localement Ă  BoucĂ© (et autour, dans l'Orne ou aux limites), l'Ă©puisement du minerai superficiel, la pĂ©nurie en charbon de bois, et surtout — Ă  partir de 1860 — la concurrence des ateliers anglais plus performants (car chauffĂ©s au coke) signĂšrent la fin. Un des derniers maĂźtres de forges, M. GuĂ©rin-BeauprĂ© fut maire de BoucĂ© vers 1879.

    À la crĂ©ation des cantons sous la RĂ©volution, BoucĂ© est rattachĂ©e au canton de RĂąnes. Ce canton est supprimĂ© lors du redĂ©coupage cantonal de l'an IX (1801)[28].

    Au XIXe siĂšcle — aprĂšs les bouleversements de la RĂ©volution de 1789 — l'empereur NapolĂ©on Ier dĂ©cida de remettre de l'ordre dans de multiples domaines. Pour ce faire, il voulut s'appuyer sur la religion catholique (et ses reprĂ©sentants : Ă©vĂȘques et curĂ©s) en signant avec le pape le concordat de 1801. À BoucĂ©, le clergĂ© encouragea les paroissiens Ă  faire rebĂątir l'Ă©glise Saint-Pierre. Pour porter secours aux habitants les plus pauvres, il entreprit la crĂ©ation d'une maison d'accueil pour enfants malheureux. Les sƓurs de la Providence de RuillĂ©-sur-Loir (Sarthe) furent sollicitĂ©es pour animer cette institution de charitĂ© privĂ©e. Cette maison dĂ©montra tellement son utilitĂ© qu'elle existe toujours en 2020 : c'est la MECS (maison d'Ă©ducation Ă  caractĂšre social). Certes, elle fait dĂ©sormais partie des services sociaux de l'État et les personnes concernĂ©es — ainsi que les services rendus — ont Ă©tĂ© adaptĂ©s aux besoins Ă©volutifs de la sociĂ©tĂ©.

    Depuis 1850, dans tous les dĂ©partements français, le progrĂšs se concrĂ©tisa par de nombreuses innovations. Dans le domaine des transports, ce fut le chemin de fer — avec ses nouveaux services de transport de voyageurs et de marchandises (bois et verges de fer, en lien avec la grosse-forge, matĂ©riel agricole, productions locales: bestiaux pour Paris-La Villette, pommes Ă  cidre, pour ce qui concerne BoucĂ©. Cela toucha de plus en plus de villes — de prĂ©fectures comme Alençon, et de sous-prĂ©fectures comme Argentan, Mortagne et Domfront —. Beaucoup de chefs-lieux de cantons souhaitĂšrent en ĂȘtre aussi dotĂ©s. C'est ainsi que fut programmĂ©e la construction d'un tramway rural Vimoutiers - PrĂ©-en-Pail. La portion Trun-Carrouges via Argentan fut mise en service en ; elle desservait BoucĂ© ; cependant la ligne ne fut pas prolongĂ©e aprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale car elle fut vite concurrencĂ©e — ici comme ailleurs en France — par les camions, les autocars et les voitures automobiles circulant sur un rĂ©seau routier sans cesse amĂ©liorĂ©. La ligne de tramway ferma donc en 1937.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Argentan du département de l'Orne.

    Elle faisait partie depuis 1806 du canton d'ÉcouchĂ©[29]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et les "cantons" ne sont plus que des circonscriptions Ă©lectorales.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Magny-le-Désert

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisiÚme circonscription de l'Orne.

    Intercommunalité

    BoucĂ© Ă©tait membre de la communautĂ© de communes d'ÉcouchĂ©, un petit Ă©tablissement public de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre crĂ©Ă© fin 1996 et auquel la commune a transfĂ©rĂ© un certain nombre de ses compĂ©tences, dans les conditions dĂ©terminĂ©es par le code gĂ©nĂ©ral des collectivitĂ©s territoriales.

    Celle-ci fusionne dans un premier temps avec ses voisines pour former, le la communautĂ© de communes des Courbes de l'Orne qui regroupait 16 communes mais moins de 7 000 habitants.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique du 7 aoĂ»t 2015, qui prĂ©voit que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, les Courbes de l'Orne ont du fusionner Ă  leur tour au sein de la communautĂ© de communes Argentan Intercom. Cette fusion est intervenue le et BoucĂ© en est depuis lors membre.

    Administration muicipale

    Compte tenu de la taille de la commune, Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et ses adjoints[30].

    Liste des maires

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 mai 2020 Jacky CoursiĂšre[31] SE Agriculteur
    mai 2020[32] juin 2020[33] M. Dominique Busson SE Responsable financier
    DĂ©missionnaire
    juin 2020[34] En cours Brigitte Messager SE Secrétaire

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[36].

    En 2020, la commune comptait 598 habitants[Note 9], en diminution de 3,55 % par rapport Ă  2014 (Orne : −3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).Au premier recensement rĂ©publicain, en 1793, BoucĂ© comptait 1 488 habitants, population jamais atteinte depuis.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    1 4881 1591 4691 3791 4761 2511 3111 3041 212
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1501 1571 1211 1021 0371 0281 0061 002871
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    920929764772764742749833822
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    784700645630619597620619598
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Édifices religieux : Sous l'Ancien RĂ©gime, BoucĂ© comprend deux paroisses : Saint-Pierre de BoucĂ© et Notre-Dame de BoucĂ© :

    Activité et manifestations

    Sports

    L'Association sportive de Boucé fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[40] - [41]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Argentan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Boucé et Argentan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Argentan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Boucé et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Argentan », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Ernest NÚgre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 511 - (ISBN 2600028838).
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    26. RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (Ă©ditĂ© erronĂ©), BNF 36174448), p. 75.
    27. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des ßles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 31.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : BoucĂ© », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
    31. Réélection 2014 : « Boucé (61570) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. Huguo Pigeon, « Municipales Ă  BoucĂ©. Dominique Busson repart avec une Ă©quipe « unie » : Conseiller municipal sortant, Dominique Busson a dĂ©voilĂ© les quinze noms de sa liste en vue de l’échĂ©ance Ă©lectorale de mars. Avec l’ambition de dĂ©velopper l’offre de commerces pour attirer de nouveaux habitants. », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « AprĂšs vingt-cinq annĂ©es passĂ©es Ă  la tĂȘte de la commune, Jacky CoursiĂšre avait annoncĂ© en septembre dernier son intention de laisser la place. Pour lui succĂ©der, Dominique Busson, 62 ans, conseiller municipal sortant ».
    33. Amine El-Hasnaouy, « Municipales 2020. Coup de thĂ©Ăątre Ă  BoucĂ© : Ă  peine Ă©lu, le maire dĂ©missionne : Elu maire de BoucĂ© (Orne) ce samedi 23 mai 2020, Dominique Busson prĂ©sente sa dĂ©mission Ă  la prĂ©fĂšte de l'Orne qui doit prendre une dĂ©cision. En attendant, il reste maire », Le Journal de l'Orne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Ne souhaitant s’exprimer dans la presse, Dominique Busson garde ses motivations pour lui ».
    34. « Municipales 2020. Pour la premiĂšre fois, une femme est Ă  la tĂȘte de la commune de BoucĂ© : Dominique Busson dĂ©missionnaire, un nouveau maire de BoucĂ© (Orne) a Ă©tĂ© Ă©lu : Brigitte Messager devient la premiĂšre femme Ă  la tĂȘte de la commune. », Le Journal de l'Orne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « À la fonction de maire, seule candidate, Brigitte Messager est Ă©lue avec 10 voix pour 14 votes exprimĂ©s ».
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. http://www.fondation-patrimoine.net/fr/delegations-projet.php4?id=130
    39. « Motte féodale », notice no PA00110750, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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    • Bertrand Gille, "Les forges françaises en 1772", Ă©ditions HESSE, 1960
    • Yannick Lecherbonnier,"Dossier de repĂ©rage du patrimoine industriel; usine de fabrication des mĂ©taux" BoucĂ©, 1987

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