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Bonsecours (Seine-Maritime)

Bonsecours est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Bonsecours
Bonsecours (Seine-Maritime)
La basilique Notre-Dame de Bonsecours.
Blason de Bonsecours
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Laurent Grelaud
2020-2026
Code postal 76240
Code commune 76103
Démographie
Gentilé Bonauxiliens
Population
municipale
6 466 hab. (2020 en diminution de 0,12 % par rapport à 2014)
Densité 1 720 hab./km2
Population
agglomération
532 559 hab.
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 43″ nord, 1° 07′ 43″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 157 m
Superficie 3,76 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Darnétal
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bonsecours
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Bonsecours
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Bonsecours
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Bonsecours
Liens
Site web mairie-bonsecours.fr

    Elle est connue dans l'agglomération rouennaise pour son panorama qu'elle offre sur la « ville aux cent clochers ».

    Géographie

    Bonsecours fait partie de l'agglomération de Rouen qui compte 45 communes et 405 392 habitants. Bonsecours est située entre Rouen et Le Mesnil-Esnard.

    Le territoire de la commune va des bords de la Seine jusqu'au plateau, ce qui ne lui donne pas de cohérence topographique ; il en résulte des quartiers dont l'aménagement est difficile à organiser.

    Carte de la commune.
    Légende.
    Légende.

    Communes limitrophes

    Transports

    Les lignes de bus F5 et 13 desservent Bonsecours.

    Ces lignes permettent de rejoindre le centre-ville de Rouen ainsi que les communes voisines (Boos, Le Mesnil-Esnard, Franqueville-Saint-Pierre…).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 899 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 805,2 mm pour la période 1981-2010[9].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bonsecours est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (55,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (48,7 %), forêts (28,5 %), prairies (10,3 %), terres arables (3,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), eaux continentales[Note 8] (1,7 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le site est attesté sous les formes Blovilla au XIe siècle, Notre-Dame de Bloville en 1390 et 1393[24], Notre-Dame de Bloville les Rouen en 1472[25], Ecc. Beate Marie de Blovilla en 1502 et 1503[26], Notre Dame de Blosville en 1544, Nostre Domine de Bonsecours en 1571[27], Notre Dame de Blosville dit Bonsecours en 1609[28], Notre Dame de Blosville dit Bonsecours en 1618[29], Blosseville des Bonsecours en 1793, Blosseville dit Bonsecours en 1801[30]. La commune s'est appelée Blosseville-Bonsecours jusqu'en 1958[31].

    Le nom de « Bloville » s'explique probablement comme Bloville à Boisjean (Pas-de-Calais, Bladulfi villa 858) par l'anthroponyme germanique Bladulfus. À l'origine, la graphie alternative Blosville note l'allongement et la fermeture du [o], mais elle a été lue de manière erronée "Blosseville" à l'époque moderne[32].

    Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée Blosseville-Bonsecours, porta provisoirement le nom de Blosseville-la-Montagne[30].

    En 1958, le nom de la commune est raccourci en Bonsecours[30]. Bonsecours est hagiotoponyme caché.

    Le qualificatif Bonsecours qui apparait au XVIe siècle, est lié au célèbre pèlerinage de Notre-Dame de Bonsecours, dont le sanctuaire est mentionné comme église parrochiale de Bloville dit Bonsecours. Déjà Dom Duplessis[33] constatait au XVIIIe siècle que seul Bonsecours était utilisé par la population[34].

    Notre-Dame du Bon Secours est l'un des titres donnés à la Vierge Marie dans l'Église catholique depuis le XIVe siècle. Cette dévotion qui s'est répandue dans le monde entier a donné son nom à de multiples églises, chapelles et autres bâtiments religieux et à certaines localités.

    Histoire

    La commune de Bonsecours est construite sur le site de l'ancien monastère Sainte-Catherine qui fut un lieu de séjour des rois notamment pendant les guerres qui opposèrent le roi de France à son vassal, le duc de Normandie.

    Le camp de Sainte-Catherine, en fait le château de Thuringe [35], fut occupé en 1592 par Henri IV. Le pèlerinage à Notre-Dame de Bonsecours, attesté dès le XIVe siècle, se serait surtout développé après la disparition en 1597 de l'abbaye de Sainte-Catherine.

    Hugues de Blosville (fl. au XVe siècle) qui fut l'un des auteurs préférés de Charles d'Orléans était en fait Hugues de Saint-Maard, vicomte de Blosville[36].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[37]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Tamelier
    1827 1828 Lemarié
    1849 1892 Lebourgeois
    1896 1900 Sinoquet Cafetier
    1900 1902 Jules Lebourgeois
    1902 1919 Édouard Larcher
    1919 1923 Gaston Mignot
    1923 6 février 1939 Georges Loquet
    7 avril 1939 juin 1943 Emmanuel Bleuzet
    juillet 1943 1944 Jacques Morin Avocat
    1944 1945 Charles Saint-Aubin Médecin
    1945 octobre 1947 Georges Ledru DVD Militaire
    Conseiller général du canton de Boos (1945 → 1951)
    octobre 1947 mai 1953 Numa Servin
    mai 1953 mars 1959 Raymond Jullien
    mars 1959 mars 1971 Lucien Aubert Comptable
    mars 1971 mars 1989 Guy Eliot Médecin
    mars 1989 mars 2008 Max Martinez app. UDF Suppléant du député Pierre Albertini
    mars 2008 En cours Laurent Grelaud PS puis DVG
    puis Horizons
    Administrateur au ministère des finances
    Vice-président Métropole Rouen Normandie (2015 → 2020)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[38] - [39]
    Conseiller départemental depuis 2021

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

    En 2020, la commune comptait 6 466 habitants[Note 9], en diminution de 0,12 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7556477521 0711 0441 1061 3161 2231 231
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3071 4111 4061 5121 4971 5491 5511 7241 715
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7721 8721 9572 3792 3652 5622 9522 6853 098
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 6863 8065 4356 1086 8986 8536 8676 4696 473
    2020 - - - - - - - -
    6 466--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    Terrains de tennis, terrains de foot, gymnase, terrain de basketball, tir à l'arc, organisation de la cyclo Robic Bonsecours.

    Économie

    Bonsecours possède des commerces : quatre boulangeries, une boucherie, un pressing, un supermarché Super U, une supérette, un fruitier, deux magasins de presse, un caviste, une épicerie Italienne, une pizzeria, coiffeurs, fleuristes, banques, bars restaurants.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La basilique Notre-Dame de Bonsecours.

    La basilique Notre-Dame a été reconstruite au XIXe siècle (architecte : Jacques-Eugène Barthélémy) sur un très ancien site de pèlerinage. Elle a été inscrite en 1977 sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. José-Maria de Heredia est enterré dans le cimetière qui la jouxte. L'ancienne église, quant à elle, aurait été détruite en 1473.

    Monument à Jeanne d'Arc.

    Situé en face de la basilique, on trouve le monument dédié à Jeanne d'Arc avec, à son sommet, l'archange saint Michel. Ce monument a été inauguré en 1892.

    Portail de l'ancienne église de Bonsecours.

    Le casino fut bâti en 1893 par les concessionnaires du funiculaire de Bonsecours qui reliait alors le quartier d'Eauplet à la basilique par la colline. Il était alors à la fois restaurant, dancing et salle de jeux. En 1905, il fut racheté par un restaurateur rouennais, Dieudonné, qui le spécialisa dans les noces, les banquets. En 1942, il fut cédé à une organisation charitable qui en fit un lieu de vacances pour les enfants de Rouen. Le 17 novembre 1964, la commune de Bonsecours devient propriétaire du casino. En 1970, le casino est restauré, son aspect d'origine lui est restitué. Il était alors utilisé pour les noces mais aussi pour des expositions et de nombreuses manifestations culturelles. Le 3 janvier 2006 à 2 h 30, un incendie le réduisit en cendres.

    Un nouveau casino a été reconstruit pour remplacer l'ancien.

    Le cimetière particulièrement monumental est aussi un centre d'intérêt à ne pas négliger. Sa situation particulièrement escarpée offre un magnifique panorama à toutes ses sépultures dont certaines sont très anciennes. La tombe de José-Maria de Heredia et de sa famille y est conservée. Un carré est consacré à des sépultures de prêtres du diocèse de Rouen, dont celui du père Jacques Hamel, prêtre assassiné dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray le 26 juillet 2016. Non loin du carré des prêtres se trouve la tombe commune de sœurs dominicaines et de Jean Amoudru, « curé de Leningrad », qui subit la persécution en URSS du temps de Staline. Monument à Albert Ier, œuvre du sculpteur Fivet[43].

    La proximité du monumental hommage à Jeanne d'Arc en relève encore la grandeur.

    La côte Sainte-Catherine offre un panorama sur Rouen et les communes voisines, ainsi qu'un espace naturel abritant des espèces rares à l'échelle de la région : Dactylorhiza praetermissa, Sorbus latifolia, Mantis religiosa[44].

    Patrimoine naturel

    Site classé

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Armes de Bonsecours

    Les armes de la commune de Bonsecours se blasonnent ainsi :

    D'or à trois croisettes de sable enfermées dans un orle de gueules.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bonsecours et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bonsecours et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Arch. S.-M., Tab. Rouen reg. 5 f. 281 v.
    25. Arch. S.-M., Tab. Rouen reg. 14 f. 64.
    26. Arch. S.-M., G 9493.
    27. Arch. S.-M., 32 H.
    28. Arch. S.-M., G Offlcialité.
    29. Arch. S.-M., tab. Rouen m.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 47.
    32. François de Beaurepaire, op. cit., p. 48.
    33. Description géographique et historique de la Haute-Normandie, Paris, 1740.
    34. François de Beaurepaire, op. cit., p. 47-48 .
    35. « Oppidum dit château de Thuringe », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 123.
    37. Les maires de Bonsecours de 1790 à aujourd'hui, sur mairie-bonsecours.fr (consulté le 13 octobre 2018).
    38. Isabelle Villy, « Municipales. Le « contrat » municipal de Laurent Grelaud pour Bonsecours, près de Rouen : Laurent Grelaud, maire sortant de Bonsecours (Seine-Maritime), est candidat aux élections municipales pour un 3e mandat, à la tête d’une liste renouvelée de moitié », 76 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    39. « Municipales 2020. À Bonsecours, Laurent Grelaud retrouve son fauteuil de maire : Laurent Grelaud a été réélu maire de Bonsecours près de Rouen. Le 15 mars 2020, il l’avait emporté avec 54,65 % des suffrages loin devant Gwénaël Labarre et Marylène Follet », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une distribution issue du premier tour des élections municipales qui a vu Laurent Grelaud l’emporter avec 54,65 % devant Gwénaël Labarre (26,87 %) et Marylène Follet (18,67 %). (...) C’est Laurent Grelaud qui a emporté les suffrages avec 23 voix, contre quatre pour son challenger et deux pour son ancienne adjointe ».
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. « À Bonsecours. Le monument au roi Albert a été inauguré hier par le comte de Kerchove de Denterghem », Journal de Rouen,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    44. ZNIEFF 230000316 - Côte Sainte-Catherine sur le site de l’INPN..
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