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Amfreville-la-Mi-Voie

Amfreville-la-Mi-Voie est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Amfreville-la-Mi-Voie
Amfreville-la-Mi-Voie
La mairie.
Blason de Amfreville-la-Mi-Voie
Blason
Amfreville-la-Mi-Voie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Hugo Langlois
2020-2026
Code postal 76920
Code commune 76005
DĂ©mographie
Gentilé Amfrevillais
Population
municipale
3 299 hab. (2020 en augmentation de 2,42 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 837 hab./km2
Population
agglomération
532 559 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 24â€Č 10″ nord, 1° 07â€Č 52″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 145 m
Superficie 3,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune du pĂŽle principal)
Élections
Départementales Canton de Darnétal
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web amfreville-la-mivoie.fr

    GĂ©ographie

    Amfreville-la-Mi-Voie est située à km au sud de Rouen, sur la rive droite et la rive gauche de la Seine, dans le canton de Darnétal.

    Communes limitrophes

    Transports

    La ligne de bus 15 permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes, avec un bus toutes les 25 minutes en moyenne.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 781 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 805,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Amfreville-la-Mi-Voie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Rouen, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pĂŽle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (52 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (46,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (28,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (23,7 %), forĂȘts (23 %), eaux continentales[Note 8] (19,4 %), prairies (5,4 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Amfreville-la-Mi-Voie est une mentionnée sous les formes Offredivilla et Offrevilla en 1205[24], Onfreville en 1217 (Arch. S.-M. cart. f. 32), Ouffreivilla en 1226 (Arch. S.-M. 25 H), Onffreville en 1319, Offreville en 1392 (Arch. S.-M. G 3267), Onffreville la mi-voie en 1395 (Arch. S.-M. B Ech. f. 172 v.), Onffrevilla media via en 1441 et en 1442 (Arch. S.-M. G 9439), Onffreville la myvoie en 1444 (Arch. S.-M. tab. Rouen), Onffreville la Mivoye en1463 (Arch. S.-M. tab. Rouen), Offreville en 1471 (Arch. S.-M. G 3269), Amfrevilla media via en 1501 (Arch. S.-M. G. 9402), Oufreville la my voie en 1648, Amfreville la Myvoie en 1738 (pouillé), Amfreville la mivoye en 1757 (Cassini), Amfreville la Mivoye en 1788 (Dict.), Amfreville la mi Voie en 1952 (I.G.N.)[25].

    Les formes anciennes indiquent que le premier Ă©lĂ©ment Amfre- d’Amfreville n'est pas analogue Ă  celui des autres Amfreville de Normandie. En effet, pour ces derniers, elles sont toutes du type Ansfridivilla, Ansfredivilla[24], dans lesquels le premier Ă©lĂ©ment reprĂ©sente manifestement l'anthroponyme vieux norrois ÁsfrĂ­Ă°r, le plus souvent de genre fĂ©minin, et qui se perpĂ©tue dans les noms de famille normand Anfry et Lanfry (< l'Anfry). Il s'est confondu avec le nom de personne francique Ansfred, d'oĂč le patronyme normand Anfray.

    Dans le cas d'Amfreville-la-Mi-Voie, au vu des formes anciennes, il est prĂ©fĂ©rable d'avoir recours Ă  son Ă©quivalent vieil anglais ƌs-ferĂ° (Osferth) de mĂȘme Ă©tymologie germanique[24].

    La toponymie ancienne des environs est constituée de nombreux noms de lieux scandinaves ou anglo-scandinaves : Boos, Belbeuf, Le Thuit, Normare, Bouquelon, Inglemare, etc.

    Le dĂ©terminant complĂ©mentaire la-mi-Voie, attestĂ© en 1395, Ă©voque la route de Rouen Ă  Pont-de-l'Arche qui traverse ce village (cf. le Boullay-Mivoye sur la route de Dreux Ă  Chartres)[24], le nom s'explique parce que la commune se trouve, Ă  peu prĂšs, Ă  mi-chemin de Rouen et du Port-Saint-Ouen oĂč se trouvait la premiĂšre poste sur le grand chemin de Paris, le complĂ©ment qui constitue un syntagme assez rare apparaĂźt Ă  la fin du XIVe siĂšcle[26].

    Lescure, lieu-dit d'Amfreville-la-Mi-voie, a laissĂ© son nom Ă  un quai de Seine : quai Lescure. Contrairement aux apparences, il ne semble pas s'agir du nom de personne mĂ©ridional Lescure qui aurait Ă©tĂ© importĂ© et qui est issu des toponymes occitans du type Lescure. En effet, il est dĂ©jĂ  attestĂ© sous la forme Scurra vers 1055. La conservation du s devant le c est graphique et sert Ă  indiquer un [e] ou un [ɛ] (cf. MĂ©nesqueville).

    Ernest NĂšgre explique le mot escure comme un ancien terme de langue d'oĂŻl signifiant « grange » et que l'on retrouve dans Escures-sur-FaviĂšres (Calvados, Escurium 1154) et Xures (Meurthe-et-Moselle, Scuris 1103), ainsi que les lieux-dits Escures Ă  Commes et Ă  Saint-Jean-le-Blanc, Ă©galement situĂ©s dans le dĂ©partement du Calvados. Ce mĂȘme terme se retrouve en langue d'oc, mais le type toponymique est plutĂŽt Lescure (cf. ci-dessus)[27].

    L'étymologie d'escure est germanique, d'une racine *skƫr- (vieux haut allemand sciura, scûra > Scheuer « grange », néerlandais schuur, danois skure « abris »), plutÎt francique au nord (voire saxon dans le Calvados) et gotique au sud.

    Histoire

    Amfreville industrielle au début du siÚcle dernier.

    Une seule berge était aménagée pour le halage, la rive gauche de la Seine étant inondable et donc souvent marécageuse, les ouvriers du fleuve n'avaient pas d'autre choix que de passer par Amfreville-la-Mi-Voie.

    Autrefois commune industrielle (fabrique d'alun ou de nitrate de plomb, fonderie
) et berceau de la batellerie (chantiers navals , Amfreville ne compte plus actuellement que deux entreprises, TrĂ©fimĂ©taux, devenu Pirelli puis Prysmian, spĂ©cialisĂ©e dans la fabrication de cĂąbles et Eureka, leader de la fripe et des vĂȘtements vintage, installĂ©e dans l'ancienne usine Keittinger (carte postale), devenue entretemps Patis France.

    ConsidĂ©rĂ©e pendant de trĂšs nombreuses annĂ©es uniquement comme un axe de circulation (on comptait jusqu'Ă  18 000 vĂ©hicules par jour en centre-ville), une dĂ©viation de la RD 6015 en 1997 a Ă©tĂ© ouverte en 1997.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1884 Maurice Keittinger Directeur d'usine
    1913 ? décembre 1918 Louis Abroboc
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1918 mai 1925 Ernest Gamblin
    mai 1925 08/02/1938 (mort en fonction) Michel Jacob Directeur d'usine
    avril 1938 août 1944 Lucien Margris
    septembre 1944 novembre 1947 Henri Mignot
    mai 1953 mars 1971 LĂ©opold FĂ©ret
    mars 1971 mars 1983 Bernard Langlois PCF
    mars 1983 mars 2008 Claude Avisse PS
    mars 2008 juillet 2020[28] Luc Von Lennep PS Professeur des écoles retraité
    juillet 2020[29] - [30] - [31] En cours Hugo Langlois PS Professeur des Ă©coles

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 3 299 habitants[Note 9], en augmentation de 2,42 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5143374026438111 0099201 0801 110
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1161 2371 2541 2151 2861 2901 3221 3761 394
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4471 5031 5521 6841 6882 0132 0062 0092 407
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    2 3892 4302 0932 5092 5562 8693 0223 0633 250
    2018 2020 - - - - - - -
    3 3243 299-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  42,9 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 17,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 26,0 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 626 hommes pour 1 698 femmes, soit un taux de 51,08 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,90 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    0,5
    4,2
    75-89 ans
    6,1
    11,1
    60-74 ans
    12,0
    20,9
    45-59 ans
    20,0
    19,6
    30-44 ans
    19,6
    22,6
    15-29 ans
    23,9
    21,4
    0-14 ans
    18,0
    Pyramide des ùges du département de la Seine-Maritime en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    6,4
    75-89 ans
    9,4
    16,3
    60-74 ans
    17,3
    19,7
    45-59 ans
    19,3
    18,5
    30-44 ans
    17,7
    19,1
    15-29 ans
    17,5
    19,4
    0-14 ans
    17

    Économie et industrie

    • Entreprise de fabrication de cĂąbles Ă©lectriques MT et BT (groupe italien Prysmian, ex-CĂąbles Pirelli).

    Culture locale et patrimoine

    Centre culturel Simone-Signoret

    ImplantĂ© en bordure de Seine, sur l’emplacement de l’ancien chĂąteau d'Amfreville, pour remplacer la salle des fĂȘtes ne rĂ©pondant plus aux normes de sĂ©curitĂ©, ce bĂątiment possĂšde une architecture contemporaine.

    Église Saint-Remi

    L'Ă©glise Saint-Remi.

    De style « renaissance byzantine » (unique dans la rĂ©gion), elle a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en centre ville en 1908 pour remplacer l’ancienne Ă©glise devenue vĂ©tuste et difficile d’accĂšs. C'est une rĂ©alisation des architectes Charles Lassire[38] et Lesueur, fortement inspirĂ©e (en beaucoup plus petit) par la basilique du SacrĂ©-CƓur de Montmartre. Construite en 1907, le matĂ©riau retenu est le bĂ©ton. L'une des toutes premiĂšres Ă  ĂȘtre construite sous le nouveau rĂ©gime de la sĂ©paration de l'Ă©glise et de l'État, elle est dĂ©sacralisĂ©e en .

    La mairie

    Achevée en 1884, sous la TroisiÚme République, aprÚs bien des difficultés techniques et financiÚres, la nouvelle école de garçons et le logement du directeur ont laissé place au cours du temps à la mairie et au Musée du patrimoine des écoles.

    Parc Lacoste

    Des sentiers qui y ont été aménagés dans ce parc communal.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Armes de Amfreville-la-Mi-Voie

    Les armes de la commune d'Amfreville-la-Mi-Voie se blasonnent ainsi :
    Parti : au 1er mi-parti d'azur à l'ancre de sable cordée et bordée d'or, au 2e mi-parti de gueules à la roue dentée d'argent; à la cotice en barre de sinople bordée d'or brochant sur le tout et entravaillée dans l'ancre et la roue dentée ; le tout sommé d'un chef parti : au 1er de gueules à deux léopards d'or, l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'or à trois marteaux de gueules.

    Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Amfreville-la-Mi-Voie et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Amfreville-la-Mi-Voie et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 28.
    25. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 6.
    26. Christian Guerrin - Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime [article] Nouvelle revue d'onomastique Année 2000 - p. 312.
    27. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    28. Florian Gambin, « Municipales 2020. Hugo Langlois tĂȘte de liste de la majoritĂ© sortante, Ă  Amfreville, prĂšs de Rouen : Luc Von Lennep, maire sortant d'Amfreville-la-Mi-Voie ne se reprĂ©sente pas pour les municipales 2020. C'est son premier adjoint Hugo Langlois qui sera candidat. PrĂ©sentation », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « On va tout de suite Ă©viter les polĂ©miques, je ne suis ni lassĂ©, ni fatiguĂ©, ni malade. La passion est toujours lĂ , mais aprĂšs deux mandats en tant que maire, je pense qu’il est temps de laisser la place », explique d’entrĂ©e de jeu Luc Von Lennep ».
    29. Isabelle Villy, « À Amfreville-la-mi-Voie, Hugo Langlois lassĂ© des « attaques personnelles » : Le second tour des municipales Ă  Amfreville-la-mie-Voie, prĂšs de Rouen (Seine-Maritime), opposera deux adjoints sortants : Hugo Langlois et Karima Paris. Explications », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Le second tour des municipales 2020 Ă  Amfreville-la-mi-Voie prĂšs de Rouen (Seine-Maritime) verra s’affronter dimanche 28 juin, deux listes, menĂ©es par
 deux adjoints sortants. La troisiĂšme liste conduite par AurĂ©lia Rousseeuw, un temps qualifiĂ©e de tendance Gilets Jaunes, ne sera finalement pas prĂ©sente au second tour
 ».
    30. Isabelle Villy, « Hugo Langlois vainqueur avec 100 voix d’écart Ă  Amfreville-la-mi-Voie, prĂšs de Rouen : Cent voix d’écart ! C’est ce qui a sĂ©parĂ© Hugo Langlois de Karima Paris, lors de ce second tour des Ă©lections municipales Ă  Amfreville-la-mi-Voie prĂšs de Rouen (Seine-Maritime) », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Le premier adjoint sortant Hugo Langlois a totalisĂ© 55,84 % des suffrages, face à
 une autre adjointe sortante, Karima Paris, qui a recueilli 44,15 % des voix. L’abstention a, lĂ  encore, marquĂ© ce second tour des Ă©lections municipales et s’élĂšve 57,77 % ».
    31. « À Amfreville-la-Mivoie, Hugo Langlois a ceint l’écharpe de maire : Sans surprise, le maire sortant Luc Von Lennep a passĂ© le flambeau a son dauphin Hugo Langlois », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Amfreville-la-Mi-Voie (76005) », (consultĂ© le ).
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