Amfreville-la-Mi-Voie
Amfreville-la-Mi-Voie est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Amfreville-la-Mi-Voie | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Hugo Langlois 2020-2026 |
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Code postal | 76920 | ||||
Code commune | 76005 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Amfrevillais | ||||
Population municipale |
3 299 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 837 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
532 559 hab. | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 24âČ 10âł nord, 1° 07âČ 52âł est | ||||
Altitude | Min. 3 m Max. 145 m |
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Superficie | 3,94 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Rouen (banlieue) |
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Aire d'attraction | Rouen (commune du pĂŽle principal) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Darnétal | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | amfreville-la-mivoie.fr | ||||
GĂ©ographie
Amfreville-la-Mi-Voie est située à 5 km au sud de Rouen, sur la rive droite et la rive gauche de la Seine, dans le canton de Darnétal.
Communes limitrophes
Bonsecours | ||||
Sotteville-lĂšs-Rouen, Saint-Ătienne-du-Rouvray | N | Le Mesnil-Esnard | ||
O Amfreville-la-Mi-Voie E | ||||
S | ||||
Oissel | Belbeuf |
Transports
La ligne de bus 15 permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes, avec un bus toutes les 25 minutes en moyenne.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve Ă 5 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 805,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 5 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Amfreville-la-Mi-Voie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pÎle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (52 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (46,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (28,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (23,7 %), forĂȘts (23 %), eaux continentales[Note 8] (19,4 %), prairies (5,4 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[23].
Toponymie
Amfreville-la-Mi-Voie est une mentionnée sous les formes Offredivilla et Offrevilla en 1205[24], Onfreville en 1217 (Arch. S.-M. cart. f. 32), Ouffreivilla en 1226 (Arch. S.-M. 25 H), Onffreville en 1319, Offreville en 1392 (Arch. S.-M. G 3267), Onffreville la mi-voie en 1395 (Arch. S.-M. B Ech. f. 172 v.), Onffrevilla media via en 1441 et en 1442 (Arch. S.-M. G 9439), Onffreville la myvoie en 1444 (Arch. S.-M. tab. Rouen), Onffreville la Mivoye en1463 (Arch. S.-M. tab. Rouen), Offreville en 1471 (Arch. S.-M. G 3269), Amfrevilla media via en 1501 (Arch. S.-M. G. 9402), Oufreville la my voie en 1648, Amfreville la Myvoie en 1738 (pouillé), Amfreville la mivoye en 1757 (Cassini), Amfreville la Mivoye en 1788 (Dict.), Amfreville la mi Voie en 1952 (I.G.N.)[25].
Les formes anciennes indiquent que le premier Ă©lĂ©ment Amfre- dâAmfreville n'est pas analogue Ă celui des autres Amfreville de Normandie. En effet, pour ces derniers, elles sont toutes du type Ansfridivilla, Ansfredivilla[24], dans lesquels le premier Ă©lĂ©ment reprĂ©sente manifestement l'anthroponyme vieux norrois ĂsfrĂĂ°r, le plus souvent de genre fĂ©minin, et qui se perpĂ©tue dans les noms de famille normand Anfry et Lanfry (< l'Anfry). Il s'est confondu avec le nom de personne francique Ansfred, d'oĂč le patronyme normand Anfray.
Dans le cas d'Amfreville-la-Mi-Voie, au vu des formes anciennes, il est prĂ©fĂ©rable d'avoir recours Ă son Ă©quivalent vieil anglais Ćs-ferĂ° (Osferth) de mĂȘme Ă©tymologie germanique[24].
La toponymie ancienne des environs est constituée de nombreux noms de lieux scandinaves ou anglo-scandinaves : Boos, Belbeuf, Le Thuit, Normare, Bouquelon, Inglemare, etc.
Le dĂ©terminant complĂ©mentaire la-mi-Voie, attestĂ© en 1395, Ă©voque la route de Rouen Ă Pont-de-l'Arche qui traverse ce village (cf. le Boullay-Mivoye sur la route de Dreux Ă Chartres)[24], le nom s'explique parce que la commune se trouve, Ă peu prĂšs, Ă mi-chemin de Rouen et du Port-Saint-Ouen oĂč se trouvait la premiĂšre poste sur le grand chemin de Paris, le complĂ©ment qui constitue un syntagme assez rare apparaĂźt Ă la fin du XIVe siĂšcle[26].
Lescure, lieu-dit d'Amfreville-la-Mi-voie, a laissĂ© son nom Ă un quai de Seine : quai Lescure. Contrairement aux apparences, il ne semble pas s'agir du nom de personne mĂ©ridional Lescure qui aurait Ă©tĂ© importĂ© et qui est issu des toponymes occitans du type Lescure. En effet, il est dĂ©jĂ attestĂ© sous la forme Scurra vers 1055. La conservation du s devant le c est graphique et sert Ă indiquer un [e] ou un [É] (cf. MĂ©nesqueville).
Ernest NĂšgre explique le mot escure comme un ancien terme de langue d'oĂŻl signifiant « grange » et que l'on retrouve dans Escures-sur-FaviĂšres (Calvados, Escurium 1154) et Xures (Meurthe-et-Moselle, Scuris 1103), ainsi que les lieux-dits Escures Ă Commes et Ă Saint-Jean-le-Blanc, Ă©galement situĂ©s dans le dĂ©partement du Calvados. Ce mĂȘme terme se retrouve en langue d'oc, mais le type toponymique est plutĂŽt Lescure (cf. ci-dessus)[27].
L'étymologie d'escure est germanique, d'une racine *skƫr- (vieux haut allemand sciura, scûra > Scheuer « grange », néerlandais schuur, danois skure « abris »), plutÎt francique au nord (voire saxon dans le Calvados) et gotique au sud.
Histoire
Une seule berge était aménagée pour le halage, la rive gauche de la Seine étant inondable et donc souvent marécageuse, les ouvriers du fleuve n'avaient pas d'autre choix que de passer par Amfreville-la-Mi-Voie.
Autrefois commune industrielle (fabrique d'alun ou de nitrate de plomb, fonderieâŠ) et berceau de la batellerie (chantiers navals , Amfreville ne compte plus actuellement que deux entreprises, TrĂ©fimĂ©taux, devenu Pirelli puis Prysmian, spĂ©cialisĂ©e dans la fabrication de cĂąbles et Eureka, leader de la fripe et des vĂȘtements vintage, installĂ©e dans l'ancienne usine Keittinger (carte postale), devenue entretemps Patis France.
Considérée pendant de trÚs nombreuses années uniquement comme un axe de circulation (on comptait jusqu'à 18 000 véhicules par jour en centre-ville), une déviation de la RD 6015 en 1997 a été ouverte en 1997.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[33].
En 2020, la commune comptait 3 299 habitants[Note 9], en augmentation de 2,42 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 42,9 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (36,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 17,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 26,0 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 626 hommes pour 1 698 femmes, soit un taux de 51,08 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,90 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie et industrie
- Entreprise de fabrication de cĂąbles Ă©lectriques MT et BT (groupe italien Prysmian, ex-CĂąbles Pirelli).
Culture locale et patrimoine
Centre culturel Simone-Signoret
ImplantĂ© en bordure de Seine, sur lâemplacement de lâancien chĂąteau d'Amfreville, pour remplacer la salle des fĂȘtes ne rĂ©pondant plus aux normes de sĂ©curitĂ©, ce bĂątiment possĂšde une architecture contemporaine.
Ăglise Saint-Remi
De style « renaissance byzantine » (unique dans la rĂ©gion), elle a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en centre ville en 1908 pour remplacer lâancienne Ă©glise devenue vĂ©tuste et difficile dâaccĂšs. C'est une rĂ©alisation des architectes Charles Lassire[38] et Lesueur, fortement inspirĂ©e (en beaucoup plus petit) par la basilique du SacrĂ©-CĆur de Montmartre. Construite en 1907, le matĂ©riau retenu est le bĂ©ton. L'une des toutes premiĂšres Ă ĂȘtre construite sous le nouveau rĂ©gime de la sĂ©paration de l'Ă©glise et de l'Ătat, elle est dĂ©sacralisĂ©e en .
La mairie
Achevée en 1884, sous la TroisiÚme République, aprÚs bien des difficultés techniques et financiÚres, la nouvelle école de garçons et le logement du directeur ont laissé place au cours du temps à la mairie et au Musée du patrimoine des écoles.
Parc Lacoste
Des sentiers qui y ont été aménagés dans ce parc communal.
Personnalités liées à la commune
- Jean Ulrich Guttinguer (1742-1825), homme politique, y est mort.
- Ulric Guttinguer (1787-1866), poÚte, y a vécu.
- André Durand (1807-1867) peintre, dessinateur, lithographe né en cette ville.
- Georges Le Meilleur (1861-1945), peintre et graveur, y est mort.
- famille Umfraville.
HĂ©raldique
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Les armes de la commune d'Amfreville-la-Mi-Voie se blasonnent ainsi : Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Amfreville-la-Mi-Voie sur le site de l'Institut géographique national
- Amfreville-la-Mi-Voie sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Amfreville-la-Mi-Voie et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Amfreville-la-Mi-Voie et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 28.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 6.
- Christian Guerrin - Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime [article] Nouvelle revue d'onomastique Année 2000 - p. 312.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- Florian Gambin, « Municipales 2020. Hugo Langlois tĂȘte de liste de la majoritĂ© sortante, Ă Amfreville, prĂšs de Rouen : Luc Von Lennep, maire sortant d'Amfreville-la-Mi-Voie ne se reprĂ©sente pas pour les municipales 2020. C'est son premier adjoint Hugo Langlois qui sera candidat. PrĂ©sentation », 76 actu,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « On va tout de suite Ă©viter les polĂ©miques, je ne suis ni lassĂ©, ni fatiguĂ©, ni malade. La passion est toujours lĂ , mais aprĂšs deux mandats en tant que maire, je pense quâil est temps de laisser la place », explique dâentrĂ©e de jeu Luc Von Lennep ».
- Isabelle Villy, « Ă Amfreville-la-mi-Voie, Hugo Langlois lassĂ© des « attaques personnelles » : Le second tour des municipales Ă Amfreville-la-mie-Voie, prĂšs de Rouen (Seine-Maritime), opposera deux adjoints sortants : Hugo Langlois et Karima Paris. Explications », 76 actu,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Le second tour des municipales 2020 Ă Amfreville-la-mi-Voie prĂšs de Rouen (Seine-Maritime) verra sâaffronter dimanche 28 juin, deux listes, menĂ©es par⊠deux adjoints sortants. La troisiĂšme liste conduite par AurĂ©lia Rousseeuw, un temps qualifiĂ©e de tendance Gilets Jaunes, ne sera finalement pas prĂ©sente au second tour⊠».
- Isabelle Villy, « Hugo Langlois vainqueur avec 100 voix dâĂ©cart Ă Amfreville-la-mi-Voie, prĂšs de Rouen : Cent voix dâĂ©cart ! Câest ce qui a sĂ©parĂ© Hugo Langlois de Karima Paris, lors de ce second tour des Ă©lections municipales Ă Amfreville-la-mi-Voie prĂšs de Rouen (Seine-Maritime) », 76 actu,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « Le premier adjoint sortant Hugo Langlois a totalisĂ© 55,84 % des suffrages, face à ⊠une autre adjointe sortante, Karima Paris, qui a recueilli 44,15 % des voix. Lâabstention a, lĂ encore, marquĂ© ce second tour des Ă©lections municipales et sâĂ©lĂšve 57,77 % ».
- « Ă Amfreville-la-Mivoie, Hugo Langlois a ceint lâĂ©charpe de maire : Sans surprise, le maire sortant Luc Von Lennep a passĂ© le flambeau a son dauphin Hugo Langlois », Paris-Normandie,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Amfreville-la-Mi-Voie (76005) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Seine-Maritime (76) », (consultĂ© le ).
- Nadine-Josette Chaline, L'église Saint-André, 2010.