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Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis

Saint-Léger-du-Bourg-Denis est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime en Normandie.

Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis
Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis
La mairie.
Blason de Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Sophie Boucquiaux
2022-2026
Code postal 76160
Code commune 76599
DĂ©mographie
Gentilé Bourdenysien
Population
municipale
3 617 hab. (2020 en augmentation de 5,18 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 287 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 26â€Č 07″ nord, 1° 09â€Č 05″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 138 m
Superficie 2,81 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Darnétal
LĂ©gislatives 2e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Liens
Site web https://www.ville-stleger76.fr/

    Les Bourdenysiens y habitent.

    GĂ©ographie

    Description

    À 130 km au nord-ouest de Paris, elle est la premiĂšre commune Ă  la sortie est de Rouen, port maritime et fluvial entre Le Havre et Paris sur la Seine.

    En superficie (281 ha), elle est l’une des plus petites communes du dĂ©partement.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La riviĂšre Aubette route de Lyons-la-ForĂȘt Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis
    La riviĂšre Aubette route de Lyons-la-ForĂȘt Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis.

    La commune est drainée par l'Aubette, un affluent de la Seine.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 806 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 805,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Rouen, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (41,4 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (35,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (38,1 %), zones urbanisĂ©es (24,6 %), prairies (20,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (16,8 %), terres arables (0,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 1 584, alors qu'il Ă©tait de 1 448 en 2013 et de 1 329 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 94,8 % étaient des résidences principales, 0,3 % des résidences secondaires et 5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 76,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 23,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Léger-du-Bourg-Denis en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,3 %) inférieure à celle du département (3,9 %) mais supérieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (63 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis en 2018.
    Typologie Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 94,8 88 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,3 3,9 9,7
    Logements vacants (en %) 5 8,1 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Burdeni au XIIe siÚcle[24], Bourdeny en 1262, Saint Ligier de Bordeni en 1298, Saint Léger de Bourdeni en 1364, Bourdeny en 1459, Bourdeny en 1502, Sancti Leodegarii de Bourdeny en 1502, Bourdenyaco en 1503, Saint Léger et Bourg Denis en 1715, Bourdeny 1738, Bourgdenis 1788[25], Léger du Bourgdeny en 1793, Saint-Léger-du-Bourgdenis en 1801, puis Saint-Léger-du-Bourg-Denis[26].

    Comme le montrent les formes anciennes, Bourg-Denis est une graphie fallacieuse pour Bourdeny.

    Il s'agit d'un toponyme gallo-roman en -acum, composĂ© avec le nom de personne germanique Burdo / Burdinus, d'oĂč *Burdiniacum > Bourdeny[27].

    Burdin[us], d'abord prénom, a donné les patronymes Bourdain et Bourdin, communs dans le centre ouest de la France.

    Un nom d'homme similaire se retrouve dans le toponyme mérovingien ou carolingien Bourdainville.

    Saint-Léger est un toponyme et un patronyme inspirés de saint Léger d'Autun, VIIe siÚcle.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie du canton de Darnétal[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Darnétal

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxiÚme circonscription de la Seine-Maritime.

    Intercommunalité

    Saint-Léger-du-Bourg-Denis était membre de la communauté d'agglomération dénommée Agglomération de Rouen, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1974 sous le statut de SIVOM puis de district et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA), transformée le en métropole sous le nom de Métropole Rouen Normandie, et dont est désormais membre la commune.

    Tendances politiques et résultats

    Au premier tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime, la liste PG menée par Jean-Pierre Garcia obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 893 voix (19 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire), devançant trÚs largement celle PS menée par ThérÚse DeriviÚre-Julien, qui a recueilli 604 voix (40,34 %, 4 conseillers municipaux).
    Lors de ce scrutin, 34,72 % des Ă©lecteurs se sont abstenus[28].

    Au premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste DVG menée par Géraldine Théry obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 621 voix (57,07 %, 18 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant largement celle PS menée par ThérÚse Deriviere-Julien, qui a recueilli 467 voix (42,92 %, 5 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 57,03 % des électeurs se sont abstenus[29].

    Au terme d'une crise qui a vu la démission de 13 conseillers municipaux, de nouvelles élections municipales sont organisées en février 2022, qui voient la victoire au second tour de la liste menée par Sophie Boucquiaux, ancienne maire-adjointe démissionnaire, qui a recueilli 506 voix (46,6 % des suffrages exprimés, 21 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant les listes menées respectivement par Yann Queval (32,90 %, 4 conseillers municipaux élus) et par la maire sortante, Géraldine Théry, qui n'a recueilli que deux siÚges.
    Lors de ce scrutin, 58,76 des Ă©lecteurs se sont abstenus[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1946 1971 André Bellet
    mars 1971 1977 Georges Le Coguiec MĂ©decin
    mars 1977 décembre 1990 Roger Delalondre[Note 8] PCF Décédé en cours de mandat
    janvier 1991 mars 2014 Nicolle Rimasson PS Retraitée de l'éducation nationale
    mars 2014 mai 2020[31] Jean-Pierre Garcia PG-LFI Retraité
    mai 2020[32] - [33] 11 février 2022 [34] Géraldine Théry DVG Ex responsable des ventes pour un promoteur immobilier
    Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
    11 février 2022[30] En cours
    (au 13 février 2022)
    Sophie Boucquiaux DVG Fonctionnaire territoriale

    DĂ©mographie

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[36].

    En 2020, la commune comptait 3 617 habitants[Note 9], en augmentation de 5,18 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3129807948949009609321 021999
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9969759819901 0301 1611 2921 3141 339
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4261 4521 4981 4951 4681 5511 5031 5511 630
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 9252 1442 3812 9532 7723 1243 2473 4643 402
    2020 - - - - - - - -
    3 617--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  34,5 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 25,4 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 26 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 729 hommes pour 1 848 femmes, soit un taux de 51,66 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,9 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,8
    7,0
    75-89 ans
    10,8
    14,3
    60-74 ans
    15,9
    21,2
    45-59 ans
    22,7
    17,7
    30-44 ans
    18,6
    17,5
    15-29 ans
    15,7
    21,5
    0-14 ans
    14,5
    Pyramide des ùges du département de la Seine-Maritime en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    6,4
    75-89 ans
    9,4
    16,3
    60-74 ans
    17,3
    19,7
    45-59 ans
    19,3
    18,5
    30-44 ans
    17,7
    19,1
    15-29 ans
    17,5
    19,4
    0-14 ans
    17

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-LĂ©ger du XVe siĂšcle, modifiĂ©e au XIXe siĂšcle, abritant deux Ɠuvres du peintre Adrien SacquespĂ©e : sainte Clotilde construisant l'abbaye des Andelys et le BaptĂȘme de Clovis.
    • Croix de pierre de la Renaissance dans le cimetiĂšre
    • ChĂąteaux du XVIIe siĂšcle et du XIXe siĂšcle.
    • CheminĂ©e d’usine, l'un des rares tĂ©moins subsistant du passĂ© industriel de la commune.
    • Église Saint-LĂ©ger et cimetiĂšre Nord rue Cantony Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis
      Église Saint-LĂ©ger et cimetiĂšre Nord rue Cantony .
    • Monument aux morts de Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis dans le cimetiĂšre Nord rue Cantony Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis
      Monument aux morts de dans le cimetiĂšre Nord.
    • Ancienne usine Jeudy et sa cheminĂ©e rue EugĂšne-Lavoisier Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis
      Ancienne usine Jeudy et sa cheminée rue EugÚne-Lavoisier.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis Blason
    De gueules au chevron accompagnĂ©, en chef de deux tĂȘtes de lĂ©opards et en pointe d’une quenouille posĂ©e en barre, le tout d’argent.
    DĂ©tails
    Un nouveau blason avait été dessiné par André Tellier, ancien instituteur [40] puis la commune a décidé de ne plus avoir de blason officiel mais seulement un logo[41].

    Les deux tĂȘtes de lĂ©opards rappellent les armes de la Normandie.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Guy Pessiot, Les communes de l'agglomĂ©ration de Rouen : De Maromme Ă  Ymare, vol. 2, Rouen, Éd. des Falaises, , 512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le stade municipal porte ne nom de ce maire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Léger-du-Bourg-Denis et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Léger-du-Bourg-Denis et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 138
      Ouvrage publié avec le soutien du CNRS
      .
    25. Beaurepaire (Charles de), Laporte (dom Jean), Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984, p. 912.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    27. François de Beaurepaire, op. cit..
    28. RĂ©sultats officiels pour la commune Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis
    29. « Seine-Maritime (76) - Saint-Léger-du-Bourg-Denis », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, MinistÚre de l'intérieur (consulté le ).
    30. « PrĂšs de Rouen. Sophie Boucquiaux Ă©lue Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis, la maire sortante dĂ©savouĂ©e : Fin de suspense : c’est Sophie Boucquiaux, dĂ©missionnaire de l’équipe de la maire sortante GĂ©raldine ThĂ©ry qui l’a emportĂ© largement dimanche 6 fĂ©vrier 2022 aux Ă©lections municipales Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis. Un scrutin provoquĂ© par une vague de 13 dĂ©missions au sein d’un conseil de 27 membres », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    31. « AprĂšs 31 ans de vie publique et politique, le maire de Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis fait ses adieux : Jean-Pierre Garcia abandonne la vie municipale. La population lui a rendu un chaleureux hommage », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Il a Ă©tĂ© Ă©lu en 1989 comme premier adjoint de Roger Delalande et a eu en charge les finances pendant vingt-cinq ans, puis en complĂ©ment la culture, le sport et l’urbanisme. Enfin, en 2014, il a accĂ©dĂ© au poste de maire succĂ©dant Ă  Nicolle Rimasson ».
    32. Isabelle Villy, « Municipales. GĂ©raldine Thery Ă  la tĂȘte d’une liste sans Ă©tiquette Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis : Une seconde liste conduite par GĂ©raldine Thery sera proposĂ©e aux habitants de Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis, prĂšs de Rouen (Seine-Maritime), lors des municipales de mars 2020 », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    33. « Municipales 2020. GĂ©raldine ThĂ©ry, maire de Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis : Un peu plus de deux mois aprĂšs son Ă©lection Ă  la mairie de Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis, GĂ©raldine ThĂ©ry est prĂȘte Ă  assumer sa nouvelle mission », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « GĂ©raldine ThĂ©ry a dĂ» attendre plusieurs semaines pour revĂȘtir l’écharpe tricolore, crise du coronavirus oblige, aprĂšs sa joie du 15 mars dernier lorsqu’elle emportait la mairie avec 57,07 % des suffrages face Ă  ThĂ©rĂšse DeriviĂšre. Elle succĂšde ainsi Ă  Jean-Pierre Garcia parti, voici quelques jours Ă  BĂ©ziers ».
    34. « Suites aux nombreuses dĂ©missions Ă  Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis prĂšs de Rouen, la maire s’exprime : La maire de Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis, GĂ©raldine ThĂ©ry, dont les troupes ont fondu, ne sait pas encore si elle prĂ©sentera une liste aux nouvelles Ă©lections municipales qui doivent avoir lieu d’ici trois mois », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-LĂ©ger-du-Bourg-Denis (76599) », (consultĂ© le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Seine-Maritime (76) », (consultĂ© le ).
    40. Le nouveau blason
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