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Bonnac-la-CĂŽte

Bonnac-la-CÎte (Bonac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Bonnac-la-CĂŽte
Bonnac-la-CĂŽte
Mairie de Bonnac-la-CĂŽte.
Blason de Bonnac-la-CĂŽte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté urbaine Limoges Métropole
Maire
Mandat
Claude Brunaud
2020-2026
Code postal 87270
Code commune 87020
DĂ©mographie
Gentilé Bonnacois
Population
municipale
1 655 hab. (2020 en diminution de 2,19 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 64 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 56â€Č 32″ nord, 1° 17â€Č 08″ est
Altitude Min. 324 m
Max. 561 m
Superficie 26,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Ambazac
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Bonnac-la-CĂŽte
Liens
Site web bonnac-la-cote.fr

    Ses habitants sont appelés les Bonnacois[1].

    GĂ©ographie

    Généralités

    Paysage vallonné à l'est de la commune. Culminant à 561 mÚtres d'altitude, Bonnac-la-CÎte est la plus élevée des communes de la communauté d'agglomération.
    Situation de la commune de Bonnac-la-CĂŽte en Haute-Vienne.

    Située à environ 15 kilomÚtres de Limoges, Bonnac-la-CÎte bénéficie d'une situation idéale, avec la proximité de l'autoroute A20.

    Premier contrefort du Massif central et située à l'ouest des monts d'Ambazac, la commune de Bonnac-la-CÎte possÚde un climat tempéré, avec une grande amplitude de températures, et des conditions hivernales parfois difficiles. Elle est bordée à l'est par la Cane, un affluent de la Vienne.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 108 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973[9] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,4 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bonnac-la-CÎte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (52,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (50,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (47,3 %), prairies (33 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,3 %), zones urbanisĂ©es (5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,9 %), terres arables (1,4 %), eaux continentales[Note 7] (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bonnac-la-CĂŽte est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bonnac-la-CÎte.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[22]. 48,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Bonnac-la-CĂŽte est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[24].

    Histoire

    Bien qu'aucun vestige ne l'atteste, on suppose qu'une villa gallo-romaine est à l'origine du bourg, et qu'un camp romain devait exister prÚs de Leychoisier. Les voies romaines et chemins antiques ont eux laissé des traces.

    La plus ancienne bĂątisse de la commune est le chĂąteau de Leychoisier, datant du IXe siĂšcle. Il n'est cependant pas classĂ© comme monument historique, ni mĂȘme inscrit Ă  l'inventaire supplĂ©mentaire. Seul le site de Leychoisier serait protĂ©gĂ©, ainsi que le site de la vallĂ©e de la Mazelle, riviĂšre qui traverse la commune et alimente certaines rĂ©serves d'eau potable de la ville de Limoges. Bien que protĂ©gĂ©s, ces sites font cependant l'objet de projets immobiliers.

    Dans le hameau de Theillet (autrefois Teillet), se trouve la maison de Jean-Baptiste Dominique d'HĂ©ralde, dit LĂ©on DhĂ©ralde (1815-1891), homme de lettres limousin dont l'Ɠuvre maĂźtresse est le Dictionnaire de la langue limousine, qui l'a rendu cĂ©lĂšbre non seulement dans le Limousin mais auprĂšs de tous les Ă©rudits occitans. Le Dictionnaire de la langue limousine a Ă©tĂ© publiĂ© en 1968 par la SociĂ©tĂ© d'ethnographie de la Marche et du Limousin, subventionnĂ© par le CNRS, patronnĂ© par le dĂ©partement d'ethnologie de l'universitĂ© de Lettres de Bordeaux dirigĂ© par le Pr JoĂ«l MĂ©tais. LĂ©on DhĂ©ralde est Ă©galement l'auteur de « diverses Ɠuvres en langue limousine » et notamment d'un recueil de plus de 2 000 proverbes limousins, avec leur traduction française, de deux volumes de contes et de fables en langue limousine et d'une tradition du premier chant de la Chanson de Roland, ainsi que d'une piĂšce en vers intitulĂ©e JĂ©sus et Lucifer.

    En 1162 est construite l'Ă©glise romane (sans clocher) - prieurĂ© de Saint-Saturnin. De la mĂȘme Ă©poque on retrouve l'existence de couvents de bĂ©nĂ©dictines Ă  la Drouille Noire et de grandmontaines Ă  la Drouille Blanche. Cette derniĂšre sera paroisse jusque vers 1640.

    De Henri IV à Louis XIII c'est le déclin dû aux guerres de religion (XVe siÚcle). Les chapelles latérales de l'église sont élevées.

    En 1767 naßt Marie-Maurille de Sombreuil, la future héroïne de l'histoire de Leychoisier.

    Le 2 septembre 1792 ayant rejoint son pĂšre Charles François de Virot de Sombreuil, gouverneur aux Invalides, elle assiste au procĂšs houleux oĂč le peuple de Paris veut se faire justice lui-mĂȘme (accusation d'avoir prĂȘtĂ© main-forte aux suisses des Tuileries). Un des forcenĂ©s a plongĂ© un verre dans un baquet qui recueillait le sang des victimes dĂ©capitĂ©es. Il a invitĂ© la jeune fille Ă  boire pour obtenir la grĂące de son pĂšre. Elle obĂ©it sans hĂ©siter en criant : Vive la nation.

    En 1808 une perception est créée. Elle sera fermée deux ans plus tard.

    Le 28 janvier 1814, le pape Pie VII, otage de l'empereur s'en retournant en Italie, passa une nuit Ă  Maison Rouge car il lui Ă©tait interdit de sĂ©journer dans les grandes villes. Il mangea deux Ɠufs Ă  la coque et dormit dans le relais de Maison Rouge connu aujourd'hui sous le nom de Maison du Pape. Une plaque commĂ©morative avait Ă©tĂ© apposĂ©e officiellement sur cette maison le 28 janvier 1914, elle a Ă©tĂ© dĂ©truite lors de la tempĂȘte de 1999. Pour cĂ©lĂ©brer le bicentenaire de cet Ă©vĂšnement historique mais aussi la fin de la restauration du bĂątiment, une nouvelle plaque identique Ă  la prĂ©cĂ©dente a Ă©tĂ© scellĂ©e en janvier 2014 par le propriĂ©taire actuel.

    Dans les années 1850-1880, Léon Dhéralde rédige dans sa maison de Theillet le Dictionnaire de la langue limousine.

    En 1909, la route bleue, future RN 20 est aménagée.

    En 1911, les premiers tramways relient Maison-Rouge Ă  Limoges.

    En 1919, Bonnac devient Bonnac-la-CÎte par décret, pour éviter toute confusion avec d'autres localités.

    En 1967 l'école de hameau de Bled est fermée à la suite de l'institution du ramassage scolaire.

    Depuis les annĂ©es 1980, Bonnac subit de plein fouet l'Ă©talement urbain et notamment le dĂ©veloppement pavillonnaire (mitage), particuliĂšrement important dans ce secteur, et connaĂźt un recul trĂšs important de ses zones naturelles et agricoles. Le PLU de 2006 prĂ©voit en outre la crĂ©ation de zones pavillonnaires ou de zones artisanales supplĂ©mentaires sur la commune, au ChĂȘne-Vert, Ă  Vedrenne, Leychoisier ou Maison-Rouge, y compris Ă  proximitĂ© des sites protĂ©gĂ©s.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1953 Pierre Combes SFIO
    1953 1959 Gabriel RĂ©gnier SFIO
    1959 1967 Émile Moreau SFIO
    1967 1977 Alfred Villemonteix SFIO puis PS
    1977 1983 Jean SĂ©namaud PCF
    1983 En cours Claude Brunaud[26] PS

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[28].

    En 2020, la commune comptait 1 655 habitants[Note 9], en diminution de 2,19 % par rapport Ă  2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9731 0148279541 0111 0601 0771 0811 103
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0809631 0241 0071 0091 0471 0471 0611 086
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1241 0741 068938991925920850869
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    8058417198059981 1661 3351 3741 534
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 6921 6511 655------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le village de Salesse.
    • Le chĂąteau, les Ă©tangs, la cascade et le moulin de Leychoisier.
    • Le chĂąteau de Saint-Antoine Ă  Maison-Rouge.
    • Village remarquable de Salesse.
    • Église Saint-Saturnin de Bonnac-la-CĂŽte.
    • Maison de LĂ©on DhĂ©ralde Ă  Teillet.
    • BĂątiments remarquables de l'ancien Chai Barriant, Ă  Maison-Rouge, menacĂ©s par l'extension de la zone artisanale.
    • Église paroissiale Saint-Saturnin et ses sculptures[31] - [32]
    • VĂ©lodrome Raymond-Poulidor.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Bonnac-la-CĂŽte Blason
    Parti : au premier d'or au monogramme BONNAC en lettres capitales de gueules, au second coupĂ© au I d'azur aux trois coqs d'argent, crĂȘtĂ©s et membrĂ©s d'or, et au II de gueules aux deux pals d'argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Carte IGN sur GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Limoges-Bellegarde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Bonnac-la-CÎte et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Bonnac-la-CÎte », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    24. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    25. « Les maires de la commune » (consulté le ).
    26. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Statuette : saint Jacques le Majeur », notice no PM87000046, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    32. « Groupe sculpté (statuette) : Vierge de Pitié », notice no PM87000047, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
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