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Blangy-Tronville

Blangy-Tronville est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Blangy-Tronville
Blangy-Tronville
La mairie.
Blason de Blangy-Tronville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CA Amiens Métropole
Maire
Mandat
Éric Guéant
2020-2026
Code postal 80440
Code commune 80107
Démographie
Gentilé Blangeois
Population
municipale
629 hab. (2020 en augmentation de 13,95 % par rapport à 2014)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 52′ 50″ nord, 2° 25′ 28″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 117 m
Superficie 12,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Amiens-4
Législatives 2e circonscription de la Somme
Localisation
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Blangy-Tronville
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Blangy-Tronville
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Blangy-Tronville
Liens
Site web http://www.blangy-tronville.fr/

    Géographie

    Localisation

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    Blangy-Tronville est une commune rurale de l'Amiénois, située 10 km à l'est d'Amiens, dans la vallée de la Somme.

    La commune est traversée par l'ancienne RN 29 Amiens-Saint-Quentin (actuelle RD 1029), ainsi que par l'autoroute A29.

    Blangy-Tronville est traversée par la ligne de chemin de fer Amiens-Laon sur laquelle se trouvait la halte de Blangy-Glisy qui a été supprimée.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le territoire communal est limité au nord par le fleuve côtier la Somme et ses nombreux étangs.

    Urbanisme

    Typologie

    Blangy-Tronville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,7 %), zones humides intérieures (8 %), forêts (6,4 %), zones urbanisées (3,4 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %), prairies (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 274, alors qu'il était de 223 en 2014 et de 198 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 88,1 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 11,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Blangy-Tronville en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi l'absence en 2019 de résidences secondaires et logements occasionnels. Concernant le statut d'occupation de ces logements, 92,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (91 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Blangy-Tronville en 2019.
    Typologie Blangy-Tronville[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 88,1 83,2 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0 8,3 9,7
    Logements vacants (en %) 11,9 8,5 8,2

    Milieux naturels et biodiversité

    Quinze des soixante hectares du marais de Blangy-Tronville (ou Grand Marais de la Queue) sont protégés par un arrêté de biotope. La commune se présente comme le poumon vert d'Amiens-Métropole.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Blangium (1149.) ; Blangi (1197.) ; Blangiacum (1200.) ; Blangi-sur-Somme (1416.) ; Blangy (1440.) ; Blangys (1579.) ; Blangis (1707.) ; Blangy et Tronville (1763.) ; Blangy-Tronville (1801.)[8].
    Blangiacum, constaté en 1200 et provenant du gentilice latin blandius.

    Tronville est un ancien hameau de blangy attesté attesté sous les formes Trucivilla en 1105 ; Trounvilla en 1132 ; Truncivilla en 1183 ; Tronvile en 1239 ; Trunvilla en 12... ; Trouville en 1337 ; Tronville-sur-Somme en 1728[9].
    Trucivilla (Tronville), constaté en 1105 et provenant du germanique Drogo.

    Histoire

    Carte postale de la mairie-école vers 1910.

    La commune de Blangy, instituée par la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Tronville et prend le nom de Blangy-Tronville[10].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Boves (dont le chef-lieu a été de 1801 à 1880 à Sains)[10]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Amiens-4

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Somme.

    Intercommunalité

    Saint-Ouen est membre de la communauté d'agglomération dénommée Amiens Métropole, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 (et qui succédait au district du Grand Amiens, créé en 1994 avec 18 communes) et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[11]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1793 1798 Honoré Joron
    1798 1800 Firmin Wargnier
    1800 1816 Étienne Cresson
    1816 1831 Duliège de Beaumont
    1831 1847 Dufresne
    1847 1854 Louis Frédéric Cresson
    1854 1871 Alexis Poirion
    1871 1872 Armand Cresson
    1872 1874 Octave de Septenville
    1874 1876 Clément Hordi
    1876 1879 Ulysse Wargnier
    1879 1882 Gidion Vast
    1882 1884 Armand Wargnier
    1884 1894 Hector Vadurel
    1894 1897 Armand Wargnier
    1897 Gustave Glanguet
    Les données manquantes sont à compléter.
    octobre 1939 ? PCF Conseil municipal supsendu par le Gouvernement Édouard Daladier (5) à la suite de la signature du Pacte germano-soviétique
    octobre 1939[12] décembre 1939[13] Paul Langlet Président de la délégation spéciale préfectorale
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2008 Jean-Robert Chateauroux
    mars 2008 août 2009[14] Jean-Pierre Ludès Démissionnaire le 12 août 2009
    août 2009[14] En cours
    (au 13 septembre 2022)
    Éric Guéant DVD puis NC Visiteur médical
    Vice-président de la CA Amiens Métropole (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[15] - [16] - [17]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2020, la commune comptait 629 habitants[Note 4], en augmentation de 13,95 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    400395393449454458458442436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    447434420411402380370336324
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    326322326321313304275301319
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    313320335490565553532526555
    2018 2020 - - - - - - -
    573629-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Pour l'année scolaire 2016-2017, l’école fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec celle de Glisy depuis 1994.

    La garderie et la restauration scolaire sont installées sur la commune de Glisy[21].

    Économie

    L'activité de la commune était agricole, avec, en 2009, ses huit exploitations concernant essentiellement la grande culture intensive (céréales, oléoprotéagineux (soja et pois) et betteraves sucrières, pomme de terre), qui utilisent les 950 hectares de la surface agricole utile.

    Quatre types de sols se rencontrent sur le territoire : les cranettes (terres très crayeuses), les sols limoneux, les sols lourds et les limons de plateaux[22].

    Le Pôle Jules Verne, qui, en 2019, compte 350 implantations sur 300 hectares, soit 7 000 emplois de toutes activités, réparti dans les ZAC ZAC de l’Arc (Boves/Longueau), Croix de Fer (Boves/Glisy), Bois Planté II (Glisy) et Jules-Verne (Glisy/Boves/Longueau) soit s'étendre sur Blangy-Tronville[23] - [24].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Médard, ancienne chapelle castrale, avec son christ en pierre polychrome du XVIe siècle[25].
    • Jardin du Château[26]
    • Grand Marais de La Queue, où un chemin de découverte a été aménagé. Il permet d'apprécier un biodiversité remarquable « avec au total 33 espèces de libellules et autant de papillons, 90 espèces d’oiseaux, 14 espèces de poissons, 220 espèces de plantes, dont neuf protégées par la loi, et 58 espèces de mousses qui se côtoient dans les quinze hectares du site »[27].
    • L'école.
      L'école.
    • Monument aux morts
      Monument aux morts
    • L'église Saint-Médard.
      L'église Saint-Médard.
    • Carré militaire au cimetière.
      Carré militaire au cimetière.

    Héraldique

    Blason de Blangy-Tronville Blason
    D'azur à la fasce d'or chargée de trois merlettes de sable, accompagnée de trois croissants d'or.
    Détails
    Le conseil municipal adopte le blason le [28].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 128 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    9. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 352 (lire en ligne sur DicoTopo) .
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. « Notice historique et géographique sur la commune de Blangy-Tronville », sur http://archives.somme.fr, (consulté le ).
    12. « Suspension de municipalités communistes », Le Populaire, no 6085,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
    13. « Décret du 14 décembre 1939 abrogeant les dispositions du décret du 12 octobre 1939 portant suspension du conseil municipal de Balngy-Tronville », Journal officiel de la République française}, no 312,‎ , p. 13970 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
    14. Jean-Christophe Fouquet, « Blangy-Tronville : Le nouveau maire est arrivé », Journal d'Amiens Métropole,‎ , p. 5 (lire en ligne [PDF]).
    15. « Blangy-Tronville: Éric Guéant repart en campagne : Avec sa liste « Bien vivre à Blangy-Tronville », le maire sortant se relance dans l’aventure des municipales. Il est déterminé à améliorer la qualité de vie », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    16. Delphine Richard, « De l’air grâce au pôle Jules-Verne à Blangy-Tronville : L’extension du pôle Jules-Verne va permettre au maire sortant, Éric Guéant, de débloquer certains projets en sommeil. Il dévoile son programme basé sur davantage d’écologie », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Éric Guéant brigue un troisième mandat, plus sereinement. Car dans quelque temps, Blangy-Tronville bénéficiera de rentrées foncières liées à l’extension de la ZAC du Pôle Jules Verne, pour laquelle une enquête publique est en cours ».
    17. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. Site communal de Glisy
    22. « Situation géographique », sur http://www.ville-blangy-tronville.fr (consulté le ).
    23. David Vandevoorde, « Le pôle Jules-Verne d’Amiens presque au maximum de ses capacités : Le pôle Jules-Verne compte dorénavant 350 implantations sur 300 hectares, soit 7 000 emplois de toutes activités. Un chiffre qui pourrait grimper à plus de 9 000 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. Delphine Richard, « De l’air grâce au pôle Jules-Verne à Blangy-Tronville : L’extension du pôle Jules-Verne va permettre au maire sortant, Éric Guéant, de débloquer certains projets en sommeil. Il dévoile son programme basé sur davantage d’écologie », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Éric Guéant brigue un troisième mandat, plus sereinement. Car dans quelque temps, Blangy-Tronville bénéficiera de rentrées foncières liées à l’extension de la ZAC du Pôle Jules Verne, pour laquelle une enquête publique est en cours ».
    25. Notice no PM80001504, base Palissy, ministère français de la Culture.
    26. Notice no IA80000439, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. « Un joyau naturel à Blangy-Tronville : La faune et surtout la flore, autour des étangs, sont les points forts à découvrir au cours de cette promenade bucolique de 1,6 km, qui dure un peu moins d’une heure », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Le blason dans l'Armorial de France ».
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